Samedi 04 Mai 2024 : Fête du Bienheureux Jean-Martin Moyë, Prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris, Fondateur des « Sœurs de la Divine Providence » (1730-1793).
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Bienheureux Jean-Martin Moyë
Prêtre des Missions étrangères de Paris (? 1793)
Né à Cutting en Lorraine, il fonda les Sœurs de la Divine Providence pour "l'éducation de la jeunesse" (Directoire).
Entré ensuite aux Missions Étrangères de Paris, il partit pour la Chine où il créa "les vierges chinoises" consacrées à l'évangélisation de leurs frères.
Épuisé par les contradictions et la maladie, il revint en Lorraine en 1784. Au moment de la Révolution française, il s'exila avec les Religieuses de la Divine Providence en Allemagne et s'éteignit à Trèves le 4 Mai 1793.
- site des Sœurs de la Divine Providence de Saint Jean de Bassel
- Jean-Martin Moyë naît à Cutting (diocèse de Metz) le 27 Janvier 1730.
Ordonné Prêtre, il est frappé par la misère matérielle et spirituelle des villages.
Il fonde une Congrégation de Religieuses pour l’éducation des enfants des campagnes; c’est la naissance des Sœurs de la Divine Providence: pauvreté, charité, simplicité, confiance totale en la Divine Providence.
Le 30 Décembre 1771, il quitte la France pour la Chine et y reste 12 années. Il revient malade en France; la Révolution l’oblige à s’exiler à Trèves.
Totalement épuisé, il y meurt le 4 Mai 1793.
Pie XII le Béatifie le 21 Novembre 1954.
Aujourd’hui encore se poursuit son œuvre dans le monde, plusieurs Congrégations sont issues de Jean-Martin Moyë, dont la Congrégation de la Providence de Portieux (Vosges).
(Diocèse de Saint-Dié)
- Jean-Martin Moyë naquit le 27 Janvier 1730 à Cutting, près de Dieuze. Après ses études de théologie au séminaire de Metz, il fut ordonné Prêtre le 9 Mars 1754.
Comme vicaire dans plusieurs paroisses de Metz (Saint-Victor et Sainte-Croix), il fut un prédicateur infatigable.
Frappé par la misère matérielle et spirituelle des villages, il fonda une Congrégation de Religieuses pour l’éducation des enfants de la campagne sous le vocable de Sœurs de la Divine Providence.
Le 30 Décembre 1771, il quitta la France pour la Chine. Après douze années difficiles, il revint dans sa Lorraine natale.
La dernière partie de sa vie fut partagée entre la prédication et la direction des Sœurs de la Divine Providence.
La Révolution le contraignit à s’exiler à Trèves, où il mourut le 4 Mai 1793 d’une maladie contractée en visitant les malades.
Il fut béatifié le 21 Novembre 1954. Son œuvre se continue dans les diverses branches des Sœurs de la Providence, notamment celles de Saint-Jean-de-Bassel et de Portieux.
À Trèves en Allemagne, l’an 1797, le Bienheureux Jean-Martin Moyë, Prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris, qui fonda en Lorraine l’Institut des Sœurs de la Providence et rassembla en Chine des vierges enseignantes.
Persécuté par les païens, contredit par certains Chrétiens, expulsé de France sous la Révolution, il se montra toujours animé du zèle des âmes.
Martyrologe romain.
https://levangileauquotidien.org/FR/display-saint/563efdbf-fba3-434d-b10c-39b829654c8d
Bienheureux Jean-Martin Moyë
Prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris
Fondateur des « Sœurs de la Divine Providence »
Jean-Martin Moyë est né le 27 Janvier 1730 dans le petit village lorrain de Cutting, à 25 km de Sarrebourg.
Vicaire à Metz, cet apôtre au cœur de feu se laisse émouvoir par toutes sortes de situations difficiles qu’il rencontre.
Un exemple : en ce temps là, beaucoup de nouveaux nés mouraient. Jean-Martin travaille et lutte pour que ces enfants reçoivent le Baptême.
Mais son désir de faire connaître et aimer Dieu n’a pas de frontières. En 1771, il part en Chine, pays interdit aux Missionnaires.
Il y entre clandestinement, il rencontre persécutions, privations, emprisonnements… Son zèle ne diminue pas, surtout pour les enfants. Il fonde de petites écoles et appelle des jeunes femmes à enseigner.
Épuisé et malade, il revient en France en 1784. Il consolide son œuvre jusqu’à la révolution française.
En 1791 il doit s’exiler à Trèves en Allemagne où il s’occupe encore des soldats blessés. A leur contact il tombe malade du typhus et meurt le 4 Mai 1793.
Pour un approfondissement biographique :
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