Samedi 04 Février 2023 : Fête du Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Henri Grialou), Prêtre et Fondateur de l'Institut séculier Carmélitain Notre-Dame de Vie (1894-1967).
Il a été Béatifié le 19 Novembre 2016 et sa Fête Liturgique fixée au 04 Février, jour de son Ordination.
http://nominis.cef.fr/contenus/saint/12564/Bienheureux-Marie-Eugene-de-l-Enfant-Jesus.html
Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus
Fondateur de l'Institut séculier Carmélitain Notre-Dame de Vie (? 1967)
Le Serviteur de Dieu Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus, Prêtre de notre Ordre, Fondateur (1894-1967):
Natif du Gua, dans l'Aveyron, Henri Grialou rejoignit les Carmes Déchaux à Avon en 1922, à la suite à son Ordination presbytérale.
Fondateur de l'Institut séculier Carmélitain Notre-Dame de Vie à Venasque, en 1932, il occupa plusieurs charges de gouvernement dans l'Ordre et au sein de sa Province d'Avignon-Aquitaine.
Il écrivit la synthèse de spiritualité Carmélitaine 'Je veux voir Dieu'. (site du Carmel en France)
- site Notre Dame de Vie.
- Père Marie-Eugène (1894-1967), livré à la grâce de Dieu
Le 19 Décembre 2011, le Pape Benoît XVI a reconnu l’héroïcité des vertus du Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus.
Le 4 Mars 2016, Vers la béatification du père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus, promulgation du décret du Pape François.
Le 19 Novembre 2016, béatification du père Marie-Eugène à Avignon:
Le Père Carme Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus a été Béatifié le 19 Novembre 2016 à 11 heures au Parc des expositions de la cité papale au cours d’une Messe présidée par le Cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des Saints.
Dans son homélie, il a relevé trois caractéristiques de la vie du Père Marie-Eugène: la prière comme expression de la Foi, l'abandon à la Providence et la joie comme expression de la Charité.
La Fête locale du nouveau Bienheureux est fixée au 4 Février...
Béatification du père carme Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus (Radio Vatican)
«La sainteté, c’est la force de Dieu dans la faiblesse de l’homme».
https://levangileauquotidien.org/FR/display-saint/66edda56-ca2a-4512-b9a7-b88e8363d69b
Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus
Fondateur de l’Institut « Notre-Dame de Vie »
Marie-Eugène de l’Enfant Jésus, au siècle Henri Grialou, naît le 2 Décembre 1894 à Gua (Aveyron), dans une famille d'origine rurale modeste et Catholique fervente du bassin minier de Cransac.
Son père Auguste meurt d'une pneumonie en 1904 alors qu'Henri est à peine âgé de dix ans, et l'enfant magnifiera alors la figure maternelle ; sa mère, née Marie Miral, se consacre à l'éducation de ses cinq enfants (2 garçons et 3 filles).
Encore enfant, il s’oriente vers le Sacerdoce. Il fait une partie de ses études chez les Pères du Saint-Esprit de Susa (Piémont, Italie). Il entre en Octobre 1908 au petit séminaire de Graves puis, en 1911, au grand séminaire du diocèse de Rodez.
Devançant volontairement l'appel pour le service militaire en 1913, il se trouve encore sous les drapeaux quand éclate la déclaration de la guerre.
Il obtient le grade de lieutenant dans le 122e Régiment d'infanterie de Rodez, et il combat pendant toute la Première Guerre mondiale où il expérimente la puissante protection de Thérèse de l’Enfant-Jésus.
Il est démobilisé en 1919. L'année suivante, pendant la retraite de préparation à l’Ordination au sous-diaconat, Henri Grialou lit un Abrégé de la vie de Saint Jean de la Croix.
La découverte de ce Saint lui révèle sa vocation au Carmel de la Réforme Thérésienne où il entre au lendemain de son Ordination Sacerdotale, le 4 Février 1922. Il prend le nom de Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus.
Fortement saisi par la grâce prophétique et mariale du Carmel dans son double mouvement de Contemplation et d’action, le Père Marie-Eugène pressent très tôt sa mission : comme Carme, puis comme Fondateur d’un institut séculier, il servira passionnément son Ordre et l’Église.
Dès les débuts de son Ministère, il s’emploie à diffuser la doctrine spirituelle des Maîtres du Carmel et, convaincu de l’actualité de l’héritage de Thérèse de Jésus (Thérèse d’Avila), il travaille à renforcer la vitalité des Carmels de France.
Appelé par Dieu à transmettre sa grâce à un grand nombre d’hommes, il fonde à Venasque (Vaucluse, France), en 1932, l’Institut séculier « Notre-Dame de Vie » dont les membres, laïcs et Prêtres, veulent témoigner du Dieu vivant et le révéler aux hommes de notre temps.
Son désir est d’ouvrir à tous les Chrétiens, en plein monde et dans la vie ordinaire, les chemins de la Contemplation et de la sainteté.
En 1948 il est nommé Visiteur Apostolique par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958) en 1948.
Dans l’Ordre, il assume diverses charges parmi lesquelles celles de Définiteur Général (1937-1954) et de Vicaire Général (1954-1955).
Il sera Provincial des Carmes Déchaux d’Avignon-Aquitaine de 1957 à 1960. Il réside définitivement à l'Institut « Notre-Dame de Vie » à partir de 1961.
Réélu provincial d'Avignon-Aquitaine en 1963 (jusqu'à sa mort), il poursuit aussi la Fondation de son Institut qui a été reconnu de droit pontifical le 24 Août 1962.
Son maître ouvrage, ‘Je veux voir Dieu’, synthèse des richesses doctrinales du Carmel, nous livre sa propre expérience spirituelle.
Il passe sur l’autre rive de la Vie le 27 Mars 1967, un lundi de Pâques, jour où lui-même aimait célébrer la joie pascale de Marie, Mère de Vie.
Sa cause de Béatification a été ouverte par le diocèse d'Avignon le 7 Avril 1985. Le 19 Décembre 2011, le Pape Benoît XVI (Joseph Aloisius Ratzinger, 2005-2013 reconnaît les vertus héroïques du Père Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus, et le déclare Vénérable.
Le 3 Mars 2016, le Pape François (Jorge Mario Bergoglio, 2013-) signe le décret reconnaissant le caractère miraculeux d'une guérison obtenue par son intercession, ouvrant ainsi la voie à la Célébration de sa Béatification.
Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus a été Béatifié le 19 Novembre 2016 au Parc des expositions d’Avignon au cours d’une Messe présidée par le Cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des Saints.
La Fête locale est fixée au 4 Février, jour anniversaire de son Ordination Sacerdotale.
Pour approfondissements :
>>> Lettre du 23 novembre 2004: Père Marie-Eugène
Pour publier la lettre de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval dans une revue, journal, etc. ou pour la mettre sur un site internet ou une home page, une autorisation est nécessaire.
Elle doit nous être demandée par email ou à travers http://www.clairval.com.
LE PERE MARIE-EUGENE DE L'ENFANT-JESUS, UN GRAND SAINT POUR L'AVEYRON ET POUR LE MONDE.
La belle gueule du Père Grialou respire l'Aveyron. Il a tout du paysan rouergat: les traits, la stature solide, la silhouette, le caractère bourru à l'occasion, le sourire même.
Ceux qui l'ont connu le décrivent comme un "homme de la terre" au discours imagé, son béret vissé sur le crâne.
Selon Georges Hubert, "ses origines rurales lui avaient donné le sens du concret", d'où ses talents d'organisateur.
Jeune, son "accent aveyronnais si tranché" lui causa quelques déboires; néanmoins, il n'abandonna jamais cet "accent rocailleux" et se souviendra, comme pour lui-même, que "Le saint ne monte pas les escaliers sans toucher les marches...
Il monte avec ses sabots!" Un littéraire (le Père admirait Flaubert) ne manquera pas de rapprocher cet éternel curé de campagne aveyronnaise des personnages bernanosiens: abbé Donissan pour l'héroïsme, curé d'Ambricourt pour la sainteté.
Mgr Guy Gaucher, qui s'y connaît, considère le Père Marie-Eugène comme "un grand charismatique, dans le sens où il a toujours été à l'écoute de l'Esprit Saint et (...) a obéi à ses inspirations."
D'autres assurent qu'il fut "le Jean de la Croix du vingtième siècle" tant sa paternité spirituelle féconda et nourrit les cœurs.
Comme Jean-Henri Fabre, et très mystérieusement, son destin le mena loin de la petite patrie rouergate pour vivre et reposer, à quelques kilomètres de distance l'un de l'autre, dans un coin du Vaucluse...
Rémi Soulié.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Eug%C3%A8ne_de_l%27Enfant-J%C3%A9sus
Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus
Henri Grialou, plus connu sous son nom de Religion Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus, né le 2 Décembre 1894 au Gua en Aveyron et mort le 27 Mars 1967 à Venasque dans le Vaucluse, est un Religieux de l'Ordre du Carmel, Fondateur de l'Institut Notre-Dame de Vie. Son procès en Béatification fut ouvert en 1985.
Sa Béatification a eu lieu le 19 Novembre 2016 à Avignon.
Sa Fête Liturgique a été fixée au 4 Février, jour anniversaire de son Ordination Sacerdotale.
Biographie
Enfance et études
Né en Aveyron, dans une famille d'origine rurale modeste et Catholique fervente du bassin minier de Cransac, Henri Grialou est le fils d'Auguste Grialou, un mineur du bassin houiller ; son père meurt d'une pneumonie en 1904 alors qu'Henri est à peine âgé de dix ans, et l'enfant magnifiera alors la figure maternelle ; sa mère, née Marie Miral, se consacre à l'éducation de ses cinq enfants.
Il fait une partie de ses études chez les Pères du Saint-Esprit de Suse, en Italie. Il entre en octobre 1908 au petit séminaire de Graves puis, en 1911, au grand séminaire du diocèse de Rodez.
Devançant volontairement l’appel pour le service militaire en 1913, il se trouve encore sous les drapeaux quand éclate la déclaration de la guerre.
Il obtient le grade de lieutenant dans le 122e Régiment d'infanterie de Rodez, et il combat pendant toute la 1ère guerre mondiale : il participe aux terribles batailles de l'Argonne, à Verdun et au Chemin des Dames et reçoit plusieurs décorations pour bravoure.
Il s'occupe également de l'instruction des nouvelles recrues.
Il est démobilisé en 1919.
L'année suivante pendant la retraite de préparation à l’Ordination au sous-diaconat, Henri Grialou lit un Abrégé de la vie de saint Jean de la Croix.
Cette lecture lui semble d'abord « insipide », mais un appel intérieur à entrer au Carmel s’impose vigoureusement à lui.
Le Carme
Henri Grialou est ordonné Prêtre le 4 Février 1922 à Rodez, puis il est reçu dans l'Ordre du Carmel quelques jours plus tard, le 24 Février, chez les Carmes déchaux au couvent d'Avon, près de Fontainebleau.
Deux ans plus tard il est au Couvent des Carmes de Lille. Il est nommé à 33 ans Supérieur du Petit-Castelet à Tarascon dans les Bouches-du-Rhône.
Durant ces années, il s’adonne largement dans sa prédication à faire connaître le message de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus récemment Béatifiée (1923) puis Canonisée (1925) et de saint Jean de la Croix, proclamé Docteur de l'Église (1926).
C’est en 1929 qu’il rencontre trois jeunes femmes qui ont créé un cours d’enseignement à Marseille.
Leur désir de mener une vie de Prière intense tout en ayant une activité professionnelle rejoint le désir du Père Marie-Eugène de diffuser l’enseignement du Carmel.
De cette rencontre naît en 1932 le groupement qui, constitué d'abord en fraternité du Tiers-Ordre Carmélitain, deviendra, près de 15 ans plus tard, l'Institut Notre-Dame de Vie.
Définiteur et Fondateur
Parallèlement aux débuts du groupement, le Père Marie-Eugène remplit diverses missions : Prieur du Couvent des Carmes à Agen (1932-1936), puis à celui de Monaco (1936-1937), mais il doit partir pour Rome, le 17 Avril 1937, car il est nommé définiteur général de l'Ordre.
Il le restera jusqu'en 1955. Il doit cependant retourner en France pour être mobilisé le 2 Septembre 1939.
Il ne retourne définitivement à Rome qu'en 1946. Cependant sa nouvelle charge de visiteur apostolique des Carmels de France à partir de 1948 lui permet de suivre l'évolution de son institut.
De 1954 à 1955 le Père Marie-Eugène est vicaire général de l'Ordre du Carmel. À son retour en France, il devient Prieur du Couvent du Petit-Castelet à Tarascon, puis provincial de la province Avignon-Aquitaine de 1957 à 1960.
Il réside définitivement à l'Institut Notre-Dame de Vie à partir de 1961.
Réélu provincial d'Avignon-Aquitaine en 1963 (jusqu'à sa mort), il poursuit aussi la Fondation de son Institut qui a été reconnu de droit pontifical le 24 Août 1962.
L'année suivante, il y accueille les premières vocations masculines qui donneront naissance respectivement à la branche Sacerdotale et à la branche masculine (laïque).
Il meurt le Lundi de Pâques 1967, jour de la Fête de son Institut.
Reconnaissance par l’Église Catholique
Sa cause de Béatification a été ouverte par l'Église en 1985 dans le diocèse d’Avignon.
Le 19 Décembre 2011, le Pape Benoît XVI reconnaît les vertus héroïques du Père Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus, faisant du Père un Vénérable, ultime étape avant la procédure de Béatification.
Un ouvrage-clé de théologie spirituelle : Je veux voir Dieu
Pour le Père Marie-Eugène, l'homme ne doit jamais perdre de vue le sens de sa destinée surnaturelle et éternelle :
« Ne nous laissons pas troubler par les appels qui viennent du prince de ce monde qui voudrait faire de ce monde un paradis, y établir des conditions telles qu'elles nous fassent oublier Dieu, oublier la vie éternelle », dit-il dans une homélie ; il ne cessera de dénoncer la ruse diabolique de l'humanisme athée pour lui opposer la doctrine Catholique de la Providence.
Son ouvrage, Je veux voir Dieu, a été écrit en 1947 et a reçu l'Imprimatur en 1949 ; il a été tiré à plus de 63 000 exemplaires et son titre complet est : La Spiritualité Thérésienne : Je veux voir Dieu.
L'idée de ce livre est de faire un rapprochement entre d'abord l'action de Dieu sur chaque personne, puis l'activité de l’Âme et enfin symboliquement, le Christ.
Le livre décrit progressivement les sept Demeures de l’Âme, en prenant pour appui et référence l'expérience mystique vécue par Sainte Thérèse d’Avila.
L’Âme, dans sa quête de Dieu, va cheminer progressivement de la première Demeure (vie spirituelle presque éteinte) vers la 2e Demeure (Effort vigoureux et douloureux d'ascension), puis la 3e Demeure (Triomphe de l'activité raisonnable), la 4e Demeure (Nuit des sens), la 5e Demeure (Union de volonté).
Ensuite, et si l’Âme continue à persévérer dans sa progression, viennent les 6e et 7e Demeures (Nuit de l'esprit : Formation du saint et de l'apôtre) et enfin Union transformante.
La lecture de ce livre est on ne peut plus facile et agréable parce que le langage n'est pas celui de la théologie mais celui de la vie et de l'Amour comme tout un chacun peut l'exprimer.
Le livre s'adresse directement et questionne l’Âme du lecteur (un peu comme si c'était l’Âme elle-même qui lisait le livre) et au fur et à mesure des descriptions faites des Demeures, l’Âme du lecteur reconnaît facilement la Demeure qui est sienne et peut ensuite imaginer (visualiser) ce qu'elle devra encore entreprendre pour arriver aux 7e Demeures où il ne s'agit pas moins que d'être en Union totale au Christ, dans « l'envahissement Divin complet. »
Il y est notamment écrit au niveau des "faveurs extraordinaires" : « En même temps, l'union de l’Âme avec Dieu se contracte au centre le plus intime de l’Âme qui doit être la demeure où Dieu Lui-même habite, et où, ce me semble, il entre sans qu'il ait besoin de passer par aucune porte. »
Quant aux "fiançailles spirituelles", il est écrit : « La nuée Divine s'élève vers le Ciel, emporte l’Âme à sa suite et commence à lui découvrir les splendeurs du Royaume qui lui est préparé. »
Pour un approfondissement biographique :
>>> PERE MARIE-EUGENE DE L'ENFANT-JESUS
Le Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Henri Grialou) a été inhumé dans la chapelle de Vénasque.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/vaucluse/venasque-le-pape-francois-signe-la-beatification-du-pere-marie-eugene-de-l-enfant-jesus-943974.html
Vénasque : le Pape François signe la Béatification du Père Marie-Eugène de l'enfant Jésus
Publié le 04/03/2016.
Le Pape François a signé l'autorisation de la Béatification du Père Marie-Eugène de l'enfant Jésus de Vénasque.
Carme Fondateur de l'institut Notre Dame de Vie, il est décédé en 1967.
Le Pape François a donné le 4 Mars 2016 son accord pour la Béatification du Père Henri Grialou plus connu sous le nom de Père Marie-Eugène de l'enfant Jésus, ordonné Prêtre en 1922, Religieux de l'Ordre du Carmel et Fondateur de l'institut Notre Dame de Vie de Vénasque.
Il est décédé en 1967 à Venasque à l'âge de 73 ans.
Par la Béatification, l'Église Catholique déclare officiellement le Père Marie-Eugène "Bienheureux" et en fait un exemple pour la Communauté.
Une double enquête a été nécessaire pour obtenir l'accord du Vatican. La première étude portant sur sa vie a duré 30 ans et a abouti le 19 Décembre 2011 à sa reconnaissance par le Pape Benoît XVI comme "Vénérable".
La seconde étude a porté sur un possible miracle. Il s'agit de la guérison subite et définitive d'un nourrisson survenu dans les années 1980.
La Béatification du Père Marie-Eugène est un encouragement adressé aux fidèles pour qu'ils confient leurs intentions à sa prière.
C'est l'aboutissement d'un processus entamé dans le diocèse d'Avignon en 1984.
La Cérémonie de Béatification aura lieu eu cours d'une Messe solennelle présidée par le Cardinal responsable de la Congrégation pour les causes des Saints, avec la lecture du décret de Béatification.
La date de cette Messe n'est pas encore fixée, elle se déroulera dans le diocèse d'Avignon où le Père Marie Eugène a terminé sa vie exemplaire.
Par cette décision pontificale, le Père Marie-Eugène n'est pas encore élevé au rang de Saint, mais il sera peut-être un jour Canonisé.
La Béatification est en effet la première étape indispensable dans le processus qui conduit à la Canonisation.