EN PREAMBULE
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
Ce sont des réflexions que je me suis faite pour les transmettre … Afin que La Parole du Seigneur puisse se répandre …. Afin de ne pas garder pour moi ce que Le Seigneur m’enseigne, mais de pouvoir le partager avec ceux que j’aime.
J’ai écris quelques réflexions en m’inspirant de passages dans les livres de Maria Valtorta.
Au travers de ces Réflexions, j’essaie de retransmettre les bases de La vie Chrétienne au travers de ce qui fait l’essentiel de notre Foi en Dieu, qui est un Dieu Amour, qui veut notre Salut et qui veut nous faire partager Son Royaume pour l’éternité….Il attend juste notre Amour et notre réponse à Son Amour.
Dans une deuxième partie, j’essaie d’approfondir le sens de La Souffrance et La réponse d’Amour de ceux qui ont pris au mot la demande de Jésus : « Que celui qui m’Aime prenne Sa Croix et me suive »…L’Amour de Dieu et de nos frères conduit à La Croix de Jésus…à l’Aimer et à la désirer pour les plus amoureux de Dieu…puis, je me suis fié à mes inspirations
Mais qui est Maria Valtorta..
Trois voyantes ont reçu ces visions complètes : la bienheureuse Marie d'Agréda (María Jesús de Ágreda; 1602-1665), la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich (Anna Katharina Emmerick; 1774-1824) et Maria Valtorta.
Toutes ces voyantes ont en commun d'avoir vu une très grande polémique autour de leur œuvre et d'avoir eu une vie de souffrance acceptée.
L'intérêt de l'œuvre de Maria Valtorta tient principalement en trois points :
1. Alors que les visions de Marie d'Agréda, concernent la vie de Marie, peu connue des Évangiles, celles de Maria Valtorta, comme d'ailleurs celles d'Anne-Catherine Emmerich, relatent en plus la vie de Jésus, autrement dit l'Évangile. L'œuvre de Maria Valtorta est si précise dans cette relation qu'une concordance exacte a pu être établie entre les quatre Évangiles et l'œuvre de Maria Valtorta.
2. Alors que les visions de Marie d'Agreda souffrent d'une narration tardive (à plus de trente ans de distance) et que celles d'Anne-Catherine Emmerich souffrent d'une narration indirecte (Clemens Brentano et ses héritiers), celles de Maria Valtorta sont retranscrites immédiatement et directement après les visions.
3. Enfin, plus encore qu'Anne-Catherine Emmerich, Maria Valtorta rapportent la vision historique des scènes d'Évangile, sans interférer dans leur narration. Les enseignements (de Jésus) sont distincts et rapportés dans la série des trois "Cahiers".
Même dans ces conditions, l'étude comparative des œuvres de ces trois voyantes met en lumière des différences mineures, probablement dû à leur mode de retransmission. On ne peut réellement conclure à l'influence de l'une sur l'autre ou à l'influence des textes apocryphes sur elles. Par contre, il y a des convergences intéressantes entre ces voyantes : Marie confiée au Temple à l'âge de trois ans, les modalités de choix de Joseph comme époux, le mode de crucifixion,
Qui est Maria Valtorta ?
Maria Valtorta est née à Caserte le 14 mars 1897. Son père étant militaire de carrière, la famille se déplace en divers endroits d'Italie, au gré de l'affectation de son régiment. En 1920, tandis qu'elle chemine en compagnie de sa mère, elle est agressée par un jeune dévoyé qui la frappe violemment dans le dos avec une barre métallique. Elle doit garder le lit durant trois mois et en restera affectée toute sa vie. En 1924, la famille s'établit définitivement à Viareggio, en Toscane. Le 1er juillet 1931, elle s'offre au Seigneur comme victime expiatoire pour les péchés des hommes. Suite à l'agression dont elle fut victime et à son acte de donation totale, sa santé se détériore progressivement. Dès le printemps 1934 elle demeurera définitivement clouée sur son lit de douleur. Elle a quitté ce monde le 12 octobre 1961.
Maria Valtorta a rempli 122 cahiers, soit près de 15000 pages manuscrites, avec la description des visions et révélations qu'elle a reçues du Seigneur entre 1943 et 1951 essentiellement.
De ces 122 cahiers a d'abord été éditée l'œuvre principale "Le Poème de L'Homme-Dieu", parue en français en 10 volumes sous le titre "L'Evangile, tel qu'il m'a été révélé".
Les autres écrits - ceux qui ne sont pas en rapport avec l'Evangile - sont parus en italien dans l'ordre chronologique où ils ont été notés, et publiés en trois volumes: Quaderni del 1943, Quaderni del 1944 et Quaderni dal 1945 al 1950, parus en français sous les titres « les cahiers de 1943 », « les cahiers de 1944 » et « les cahiers de 1945 à 1950 ».
Maria Valtorta
Visionnaire et amie de Dieu
Avec Maria Valtorta l’ampleur du message, sa qualité objective et sa haute spiritualité en imposent. Rappelons quelques étapes de sa reconnaissance. En 1949, le texte manuscrit du Poema fut présenté au pape Pie XII qui déclara: "Publiez, qui lira comprendra." Il déconseilla d’ajouter une préface qui parlait de phénomène surnaturel. Il ajoutait: "Il n’est pas nécessaire de donner une opinion sur son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Qui lira comprendra. On fait mention de nombreuses visions et révélations. Je ne dirai pas qu’elles sont toutes authentiques, mais il y en a dont on peut dire qu'elles sont authentiques."
Une première édition en 4 volumes parut chez Pisani (1956-59), lorsqu’un décret du Saint-Office daté du 6 janvier 1960 mit l’ouvrage à l’Index. La mesure fut levée en 1962 à la suite de plusieurs interventions et témoignages, en particulier celui du cardinal Béa, ancien Supérieur de l’Institut biblique et confesseur de Pie XII. La suppression en 1966 par Paul VI des articles 1399 et 2318 du Droit canon abolit l’exigence d’une autorisation ecclésiastique pour la publication des écrits de ce genre: "L’Eglise fait confiance à la conscience mûre des fidèles", précisait le décret de Paul VI. Ajoutons le témoignage de Mgr Pasquale Marchi, ancien secrétaire privé de Paul VI: "Quand Sa sainteté (Paul VI) était Archevêque de Milan, il lut un des livres du Poema dell’Uomo-Dio. Il me dit combien il l’appréciait et m’avait envoyé mettre l'œuvre complète dans la librairie du séminaire diocésain. "
Maria Valtorta
Visionnaire chrétienne née à Caserta en Italie le 14 mars 1897 et décédée le 12 octobre 1961, à l'âge de 64 ans.
Son œuvre en 10 volumes «L'Evangile tel qu'il m'a été révélé» constitue non seulement un enchantement constant mais une source de méditation et de meilleure compréhension de l'amour du Christ et de ce qu'il attend de nous.
Cette révélation privée, dont Pie XII avait encouragé la publication, est un ensemble de visions de scènes de la vie du Christ, depuis l'enfance de Marie jusqu'aux débuts de l'Eglise.
L'ouvrage dénote une connaissance stupéfiante de la végétation locale, des coutumes, de la topographie, voire du plan de certaines villes de Palestine, tous aspects qui étaient complètement inaccessibles à Maria Valtorta, malade allongée n'ayant à sa disposition que l'Evangile.
Maria Valtorta est au milieu de chaque scène, comme une disciple: elle sent les parfums, la température, se retourne pour voir arriver d'autres personnages derrière elle ...
Plus important, la psychologie des personnages est extrêmement riche, et amène à se représenter les apôtres dans leur diversité; à suivre les efforts de Jésus vis à vis de Judas; à méditer sur le rôle de Marie, l'attitude des divers groupes juifs ...
Depuis que j'ai placé ce livre dans mes "livres de chevet", je ne peux plus vivre mon christianisme comme avant. Je me sens disciple avec les disciples: entourant le maître, suivant ses efforts incessants pour faire connaître le Père et répandre son amour; conscient de mes faiblesses, et sûr de son incroyable amour. Un tel parfum de vérité se dégage de ces visions que je recommande à chacun de faire l'effort d'en lire deux tomes; c'est le temps qu'il faut pour passer du scepticisme à l'ouverture. (Introduction tirée d'un texte de Philippe Lestang)
L’amour exige la connaissance, on n’aime pas un inconnu. Le Christ, chez Valtorta, est non seulement adorable et proche, il est aussi la source d’un enseignement accordé à notre modernité.
On reste confondu par l’aisance et la profondeur de cette catéchèse si autorisée qui donne brusquement un relief inattendu aux moindres paroles de l’Ecriture.
Déshabitué et renseigné, le lecteur relit ensuite l’Evangile tel que la tradition nous le donne, avec un regard neuf. Il entre dans le mystère. Au moment où des ouvrages consacrés à la personne de Jésus ruinent l’essentiel du message révélé en prétendant montrer le véritable Jésus, nous avons une oeuvre que les médias ont en grande partie ignorée, qui répond à toutes les objections en montrant Jésus en son temps.
La meilleure présentation du Poema est faite par Jésus Lui-même dans le chapitre 38 du 10e volume intitulé Adieu à I ‘oeuvre:
"A cette oeuvre on n ‘a rien ajouté à la révélation, mais l’on a comblé les lacunes qui s‘étaient produites par des causes naturelles et des volontés surnaturelles. Et s‘il m‘a plu de reconstituer le tableau de ma Divine Charité comme fait celui qui restaure une mosaïque en remettant les tessères détériorées ou manquantes pour rendre à la mosaïque sa complète beauté, et si je me suis réservé de le faire en ce siècle où l’humanité se précipite vers l’Abîme de la ténèbre et de l’horreur pouvez-vous me le défendre?"
Une grâce a été donnée avec cette oeuvre au moment où, sous prétexte de science ou par incrédulité pure et simple, certains disloquent le message évangélique en prétendant reconstituer avec des morceaux arrachés ici et là un ensemble mort.
La culture de mort dont parle Jean-Paul Il ne sévit pas seulement en dehors du corps ecclésial, elle fait des ravages aussi dans les milieux chargés d’apporter une explication scientifique en vue de la prédication.
Rien n’est ajouté à la Révélation, mais des lumières nouvelles sont mises au service de cette Révélation pour lutter contre l’envahissement des ténèbres et contribuer ainsi à sauver les âmes.
Qui est Maria Valtorta
Maria Valtorta est une mystique chrétienne née à Caserta, au nord de Naples, le 14 mars 1897 et décédée à Viareggio, sur la côte toscane le 12 octobre 1961, à l'âge de 64 ans.
Fille d’un sous-officier de cavalerie, pour qui elle avait une grande et profonde affection et d'une enseignante de français, une femme très autoritaire et acariâtre qui exigeait l'exclusivité de l'attention de sa fille et ne supportant aucun soupirant, cassa ses fiançailles.
Elle se déplace en divers endroits d'Italie, au gré de l'affectation du régiment de son père.
En 1920, tandis qu'elle chemine en compagnie de sa mère, elle est agressée par un jeune dévoyé qui la frappe violemment dans le dos avec une barre métallique. Elle doit garder le lit durant trois mois et en restera affectée toute sa vie. En 1924, la famille s'établit définitivement à Viareggio, en Toscane.
Le 1er juillet 1931, elle s'offre au Seigneur comme victime expiatoire pour les péchés des hommes. Sa santé se détériore progressivement. Dès le printemps 1934 elle demeurera définitivement clouée sur son lit de douleur.
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C'est là que Maria Valtorta remplit 122 cahiers, soit près de 15.000 pages manuscrites, avec la description des visions et révélations qu'elle reçoit du Seigneur à partir de 1943 jusqu'en 1947, mais en mesure moindre jusqu'en 1953.
Elle précise ce qu'elle appelle son travail : "écrire sous la dictée ou décrire ce qui se présente à moi. S'il s'agit de dictée et qu'elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par me faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer. […]
Si c'est la vision qui se présente, comme je l'ai dit, avec une image initiale qui est généralement le point culminant de la vision, et puis se déroule en suivant l'ordre […] je décris ce point, puis ce qui précède et ce qui suit"
Maria Valtorta évoque discrètement, dans certaines notes personnelles, les souffrances qu'elle endure. Mais Jésus, dans une dictée, est plus explicite et d'une portée plus générale:
"Si vous saviez quel esclavage c’est que d’être instrument de Dieu […] Cela entraîne sommeil, faim, souffrances, fatigues, envie de penser à autre chose, de lire des écrits qui ne soient pas des paroles de source surnaturelle, de parler et d’entendre des choses ordinaires, l’envie d’être et de vivre comme tout le monde, ne serait-ce qu’un seul jour : tout cela, la brûlure inexorable de la volonté de Dieu les empêche de l’avoir et de le réaliser. Sur tout cela, la hargne des hommes dépose son sel et son acide, comme si le maître de la galère mettait du sel et du vinaigre sur les brûlures de ses esclaves."
L'internaute gagnera à consulter les luttes qu'a dû subir Maria Valtorta contre les tentations de Satan et l'éthique personnelle qu'elle a toujours voulu garder à l'œuvre.
Après avoir offert tout à Dieu, jusqu'à sa propre intelligence, Maria commença à se renfermer graduellement, pendant plusieurs années, dans une sorte d'isolement psychique.
Elle s'éteignit le 12 octobre 1961 après avoir vu la publication de l'œuvre qui, selon les directives de Jésus, devait être posthume puis sa mise à l'Index vingt mois avant sa mort. Elle laissa comme souvenir, la phrase suivante: "J'ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer".
L’œuvre de Maria Valtorta
Les deux tiers à peu près de la production littéraire de Maria Valtorta ont été occupés par l’œuvre monumentale de la vie de Jésus; un ensemble de visions de scènes de la vie du Christ, depuis l'enfance de Marie jusqu'aux débuts de l'Église. Cet ouvrage est paru, en 1956, sous le titre "Le Poème de L'Homme-Dieu" (''Il poema dell'Uomo-Dio''), puis en français sous le titre "L'Évangile, tel qu'il m'a été révélé". C'est ce titre qui est maintenant retenu dans toutes les éditions.
Maria Valtorta est au milieu de chaque scène, parmi ceux qui suivent Jésus et elle décrit ce qu'elle voit et entend. Elle sent les parfums, la température, se retourne pour voir arriver d'autres personnages derrière elle ... L'ouvrage dénote une connaissance stupéfiante de la végétation locale, des coutumes, de la topographie, voire du plan de certaines villes de Palestine
Tout en gardant son lit et malgré ses grandes souffrances, elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, sans se sentir nullement dérangée par des interruptions occasionnelles, gardant toujours son aspect naturel. Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient "la Bible et le Catéchisme de Pie X". (Préface de l'éditeur)
Cette révélation privée, dont Pie XII avait encouragé la publication, fut mise un temps à l'Index avant que le Pape Paul VI le supprime en 1966.
Les autres écrits de Maria Valtorta, se présentent comme des "enseignements" de Jésus. Ils ont été édités dans l'ordre chronologique où ils ont été notés, et publiés en trois volumes : ''Les cahiers de 1943'', ''les cahiers de 1944'' et ''les cahiers de 1945 à 1950''.
Cette œuvre est enfin complétée par une ''Autobiographie'' faite à la demande de son confesseur, les "Leçons sur l'épître de saint Paul aux romains", leçons dictées par Jésus à Maria Valtorta, et le "Livre d'Azarias", commentaires des textes de la messe donnés par l'ange gardien de Maria Valtorta.
Extraits de l'Adieu à l'Œuvre:
"Et je vous dis encore: “Prenez, prenez cette œuvre et "ne la scellez pas", mais lisez-la et faites-la lire "car le temps est proche" (Jean, Apocalypse ch. 25, vers. 10) “et que celui qui est saint se rende encore plus saint” (vers. 11).
Que la Grâce de votre Seigneur Jésus-Christ soit avec tous ceux qui dans ce livre voient une approche de Moi et demandent qu’elle s’accomplisse, pour les défendre, avec le cri de l’Amour : "Viens, Seigneur Jésus!"
http://maria.valtorta.free.fr/ …site officiel complet sur Maria Valtorta, avec tout ce qui s’y rapporte…ainsi que le livre d’or des commentaires des lecteurs.
http://www.maria-valtorta.org/ …l’œuvre intégrale de Maria Valtorta.
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Toute l’œuvre dans son intégralité sur les 10 tommes de « l’évangile tel qu’il m’a été révélé ». Mais aussi des passages des 3 autres volumes (les cahiers de 1943, 1944, et 1945 à 1950).
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On retrouve les 5 périodes de la vie de Jésus (enfance, 1ère année, 2 ème année, 3ème année, Passion-Résurrection).
Toujours sur la page d’accueil, en ouvrant le dossier : « Quel était le visage de Jésus », on trouve le dossier sur le linceul de Turin, ainsi que des sites sur ce sujet.
EN UNION DE COEUR, D'AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE