- Accueil
- Réflexions personnelles 76-100
- 87. VIVRE EN DIEU
- VIVRE EN DIEU…2ème Partie.
VIVRE EN DIEU…2ème Partie.
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
VIVRE EN DIEU…2ème Partie.
DEUXIEME PARTIE.
Pensons-nous réellement à notre âme ??? Ou, comme nous ne la voyons pas, faisons-nous comme si elle n’existait pas ???
Pourtant elle est la « marque » que Dieu a mis en nous pour laquelle Il a accepté et désiré se Sacrifier pour son Salut, elle est « le sceau » qui renferme la Divinité que Dieu a mis en nous reflétant une partie de la Sienne, la créant à Son Image et à Sa Ressemblance et la rendant éternelle afin de pouvoir hériter à notre mort sur cette terre de Son Royaume et d’avoir le Bonheur Infini de Contempler Son Visage éternellement…à condition de le choisir Lui, en l’Adorant Lui-seul, en L’Aimant plus que tout, en Aimant notre Prochain de Son Amour puisé en Lui, en Lui obéissant en tout…pour ne pas blesser cette âme que Dieu a mis en nous.
J’ai déjà rappelé la valeur de notre âme dans ma précédente Réflexion, mais j’aimerais y rajouter ceci, dont j’avais déjà parlé dans ma Réflexion : Notre âme (Réflexion que vous pouvez relire entièrement pour encore mieux réaliser la merveille dont Dieu nous a fait cadeau, laissant en nous un reflet de Sa Divinité !!!).
Extrait de ma Réflexion : Notre âme.
Je me permet une interruption…pour rappeler la valeur de notre âme…Immortelle !!!
Extrait de ma Réflexion : Notre Dame de Fatima…homélie du Saint Curé d’Ars.
2/ En deuxième lieu, nous avons dit que, pour connaître le prix de notre âme, nous n'avons qu'à considérer ce que Jésus-Christ a fait pour elle.
Qui de nous, pourra jamais comprendre combien le bon Dieu estime notre âme, puisqu'Il a fait tout ce qu'il était possible à un Dieu de faire, pour rendre heureuse une créature.
Pour se sentir plus porté à l'aimer Il a voulu la créer à son image et ressemblance, afin qu'en la contemplant, Il se contemplât lui-même.
Aussi, voyons-nous qu'Il donne à notre âme les noms les plus tendres et les plus capables de montrer un amour jusqu'à l'excès.
Il l'appelle son enfant, sa sœur, sa bien-aimée, son épouse, son unique, sa colombe.
Mais ce n'est pas assez : l'amour se montre encore bien mieux par les actions que par les paroles.
Voyez son empressement à venir du Ciel pour prendre un corps semblable au nôtre…et épousant notre nature, Il a épousé toutes nos infirmités, sinon le péché…ou plutôt Il a voulu se charger de la justice que Son Père demandait de nous.
Voyez Son anéantissement dans le mystère de l'Incarnation.
Voyez cette pauvreté : pour nous Il naît dans une crèche.
Voyez les larmes qu'Il répandait sur cette paille, où Il pleure d'avance nos péchés.
Voyez ce sang qui coule sous le couteau de la circoncision.
Voyez-le fuir en Égypte comme un criminel.
Voyez cette humilité et cette soumission à ses parents.
Voyez-le dans le jardin des Oliviers, qui gémit, qui prie et répand des larmes de sang.
Voyez-le pris, lié, garrotté, jeté par terre et battu à coups de pieds et de bâtons par ses propres enfants. Considérez-le attaché à cette colonne, tout en sang…son pauvre corps a reçu tant de coups, le sang coule tellement, que les bourreaux en sont eux-mêmes tout couverts.
Voyez cette couronne d'épines qui perce cette tête sainte et sacrée.
Voyez-le portant Sa Croix au Calvaire : autant de pas, autant de chutes.
Voyez-le cloué sur la croix et s'y étendant Lui-même, sans laisser sortir de sa bouche une seule parole de murmure.
Voyez ces larmes d'amour qu'Il répandait en mourant, qui se mêlent à son sang adorable !
Est-ce bien là, un Amour digne d'un Dieu qui est l'Amour !
Est-ce là, nous montrer l'estime qu'Il fait d'une âme !
En est-ce assez pour nous faire comprendre ce qu'elle vaut et les soins que nous en devons prendre ?
Ah ! Si nous avions le bonheur, une fois dans notre vie, de bien comprendre la beauté et la valeur de notre âme, ne serions-nous pas prêts, comme Jésus-Christ, à faire tous les sacrifices pour la conserver ?
Oh ! Qu’une âme est belle, qu'elle est précieuse aux yeux de Dieu même !
Comment se peut-il faire que nous en fassions si peu de cas, et que nous la traitions plus durement que le plus vil des animaux ?
Quelle doit être la pensée de cette âme qui connaît sa beauté et toutes ses belles qualités, de se voir traînée dans les ordures du péché ?
Ah ! Sentons, lorsque nous la roulons dans les eaux de ces sales voluptés, quelle horreur ne doit pas avoir d'elle-même une âme qui n'a que Dieu seul qui la surpasse !... Mon Dieu, est-il bien possible que nous fassions si peu de cas d'une telle beauté ?
Voyez, ce que devient une âme qui a le malheur de tomber dans le péché. Dans la grâce de Dieu, on la prendrait pour une divinité…mais, dans le péché !...
Le Seigneur fit un jour voir à un prophète une âme en état de péché, il nous dit qu'elle était semblable à une charogne, traînée pendant huit jours dans une rue à la rigueur du soleil.
Ah ! C’est bien là, que nous pouvons dire avec le prophète Jérémie : « Elle est tombée, la grande Babylone, elle est devenue le repaire des démons. »
Oh ! Qu’une âme est belle, quand elle a le bonheur de posséder la grâce de son Dieu ! Non, non, il n'y a que Dieu qui peut en connaître tout le prix et toute la valeur !
Si vous me demandez ce qui est la cause de nos tentations, je vous dirais que c'est la beauté et la valeur de notre âme que le démon estime et aime tant, qu'il consentirait à souffrir deux enfers s'il le fallait, et si par là il pouvait entraîner notre âme en Enfer.
Mais si nous avons vu, combien notre âme est quelque chose de grand, combien Dieu l'aime, combien il a souffert pour la sauver, les biens qu'Il lui prépare dans l'autre vie…si nous avons vu en même temps toutes les ruses et tous les pièges que le démon nous tend pour la perdre… à présent, qu'en pensons-nous ? Et quelle estime en faisons-nous ? Et quels soins en prenons--nous ? Avons-nous jamais conçu une pensée de la grandeur de notre âme, et du soin que nous en devons prendre ?
Que faisons-nous, de cette âme qui a tant coûté à Jésus-Christ ?
Hélas ! Si nous disions que nous ne l'avons que pour la rendre malheureuse et la faire souffrir !
Nous la tenons pour moins estimable que nos plus vils animaux. Quand ils sont dans l'écurie, nous leur donnons à manger…nous avons soin d'ouvrir et de fermer les portes, crainte que les voleurs ne nous les prennent…s'ils sont malades, nous allons chercher le médecin pour les soulager…nous sommes touchés, souvent jusqu'au cœur, en les voyant souffrir.
Le faisons-nous pour notre âme ?
Avons-nous soin de la nourrir par la grâce, par la fréquentation des sacrements ?
Avons-nous soin de bien fermer les portes, crainte que les voleurs ne l'emportent ?
Hélas ! Disons-le à notre honte, nous la laissons périr de misère…nous la laissons déchirer par nos ennemis, qui sont nos passions…nous laissons toutes les portes ouvertes.
Le démon de l'orgueil vient, nous le laissons entrer, meurtrir et déchirer notre pauvre âme. Celui de l'impureté vient, il entre, salit et pourrit cette pauvre âme.
« Ah ! Pauvre âme, nous dit saint Augustin, que l'on t'estime peu de chose : Un orgueilleux te la vend pour une pensée d'orgueil…un avare, pour une pièce de terre, un ivrogne, pour un verre de vin, et un vindicatif, pour une pensée de vengeance ! »
Est-il bien possible, que nous fassions si peu de cas d'une âme qui est si belle, que Dieu a aimée plus que Lui-même, puisqu'il est mort pour la sauver ?
Hélas, nous aimons le monde et les plaisirs du monde…et tout ce qui a rapport à la Gloire de Dieu ou au Salut de notre âme nous ennuie, nous rebute…nous murmurons même, quand il faut le faire.
Hélas ! Qu’un jour nous aurons de regret !... Le monde semble nous donner quelques plaisirs, mais nous nous trompons.
Quant à Jésus, Il nous dit (toujours dans les extraits de cette même Réflexion) :
Quand J’ai dit : « Soyez parfaits comme Mon Père est Parfait », ce n’était pas une Parole vaine ou exagérée.
L’homme était sur le point d’être élevé à nouveau à l’état de grâce.
C’est donc à bon droit que Je pouvais vous laisser ce Commandement de Perfection.
Car, vous avez été créés pour La Perfection.
Et ce désir des justes de parvenir à la Perfection est un désir Spirituel qui provient directement de Dieu, qui vient vous en donner Le Commandement :
« Marche en Ma Présence et sois Parfait » (Genèse 17 1).
Dieu ne fait pas d’actes inutiles et ne prononce pas de Paroles futiles. J’ai réveillé en vous un désir attiédi que Mon Père et Moi avions déposé, bien vivant, dans l’âme humaine.
L’homme aurait dû le transmettre à ses descendants avec tous les autres Dons de Dieu :
Le désir de posséder Dieu, d’en jouir au Ciel après une vie passée à Son service.
Ce désir ravivé aurait été vain s’il n’avait dû devenir réalité. Mais les créatures peuvent atteindre cette réalité.
C’est même le désir de Dieu qu’ils y parviennent.
C’est pour cette raison que Dieu laisse au fond de l’âme (même chez l’homme le plus sauvage) un souvenir de Dieu grâce auquel il lui sera possible d’atteindre son but, comme elle le peut et dans un futur plus ou moins lointain : La Connaissance de Dieu, qui est Béatitude, pour L’avoir Aimé et servi le mieux possible, pour ensuite Le posséder.
La plupart des âmes ont beau vivre d’une manière qui semble démentir Mon affirmation, cela ne contredit pas pour autant Mes Paroles : Cela prouve plutôt à quel point l’homme est perverti dans ses affections et ses volontés, à cause de ses alliances avec Le Mal.
En vérité, nombreux sont ceux qui étranglent leur âme par la corde des vices et des péchés, après l’avoir rendue esclave de Satan à qui ils sont alliés.
Ils l’étranglent définitivement pour ne plus l’entendre crier et pleurer en rappelant que Le Mal n’est pas permis, et qu’un châtiment attend ceux qui s’y livrent.
Ce sont ceux qui, d’enfants de Dieu qu’ils étaient, retournent à l’état de créatures-hommes par la perte de la grâce, puis deviennent des démons, car l’homme coupé du Bien est un petit liseron qui se cramponne au mal pour tenir.
En l’absence d’une Loi surnaturelle, il est difficile qu’une Loi morale existe, encore n’est-ce qu’imparfaitement.
Or là où La Loi morale est imparfaite ou absente, la triple concupiscence est bien vivante, totalement ou partiellement.
Mais si la plupart des âmes semblent nier par leurs actes le souvenir et le désir naturels de Dieu, ainsi que leur volonté qui est de tendre à une fin joyeuse, il convient de rappeler que la créature charnelle et la créature spirituelle coexistent en l’homme, et que l’homme a son libre-arbitre, qui sert toujours la plus forte des deux.
Si donc on affaiblit son âme par toutes sortes de vices et de péchés, il est certain qu’elle deviendra effectivement faible jusqu’à la tuer.
Mais l’on ne pourra nier que l’âme soit créée avecla capacité de se souvenir de sa fin et de la désirer.
L’âme est de nature spirituelle. Il s’ensuit qu’elle a des désirs spirituels même si, par privation de la grâce (chez ceux qui ne sont pas régénérés par Le Baptême), ce ne sont que des désirs naturels du Royaume spirituel d’où elle vient et où elle devine instinctivement la présence de L’Esprit Suprême.
D’autre part, chez les âmes régénérées à la grâce par Le Baptême puis maintenues et fortifiées en elles par les autres Sacrements, l’attrait de l’âme pour sa fin advient Divinement : en effet, la grâce (c'est-à-dire encore Dieu) attire à elle Ses enfants Bien-aimés, toujours plus près, toujours plus dans La Lumière.
Plus ils s’élèvent degré par degré en Spiritualité (de sorte que la séparation diminue), plus vive est leur vision, plus étendue leur connaissance, plus grande leur compréhension, plus parfait leur Amour.
Ils en viennent ainsi à la Contemplation, qui est déjà Fusion et Union de la créature à Son Créateur.
C’est un acte temporel mais indélébile et transformateur, car l’étreinte de Feu de La Divinité qui enlace Sa créature en extase imprime un caractère nouveau sur ces vivants, qui sont déjà séparés de l’humanité et spiritualisés sous forme de séraphins, savants dans La Sagesse que Dieu leur procure en se donnant à eux, comme eux à Lui.
C’est pourquoi il est juste de préciser que l’esprit inspiré « a Dieu pour auteur ».
Dieu révèle ou éclaire des mystères ou des vérités à Ses instruments, comme Il lui plaît, en les stimulant ou en suscitant en eux des motions par des vertus surnaturelles, en les aidant à écrire de sorte qu’ils conçoivent exactement par l’intelligence tout ce que Dieu commande (et cela seulement), qu’ils veuillent bien l’écrire et l’expriment par des moyens adaptés et avec une vérité infaillible.
Pour pouvoir vivre en Dieu, il faut non seulement suivre tous les Commandements d’Amour de Dieu, mais il nous faut être une Lumière, celle qui est Le Reflet de L’Amour de Dieu.
Dieu est La Lumière qui brille et illumine Son Royaume, Il est La Lumière qui brille et illumine l’âme de Ses enfants.
Plus nous nous nourrirons (avec Amour, Humilité, Foi et en état de Grâce) de cette nourriture que Dieu nous donne, plus nous nous convertirons pour devenir Dieu qui vit en nous (Ce n’est plus moi qui vit, c’est Dieu qui vit en moi)…c’est le principe de toute nourriture.
En mangeant Dieu quotidiennement, nous absorbons Sa Divinité et devenons Lui (comme notre corps se transforme en fonction de ce qu’il mange) pendant que Jésus absorbe notre péché et devient notre péché (Jésus a pris sur Lui tous nos péchés), puis s’offre en Victime au Père pour notre Salut.
Extrait de ma Réflexion : Mardi 27 Octobre 2009.
Tous nous avons été crée par Dieu…qui a mis dans notre âme le reflet, l’image de Sa Divinité à Lui !!!
Ce n’est qu’en nous coupant de Dieu par notre esclavage volontaire aux désirs corrompus de notre chair, aux plaisirs que nous choisissons plutôt que de suivre Le Chemin où Dieu nous attend, à notre attrait pour « les honneurs, la gloire et la luxure » qui satisfont les désirs toujours plus grand de notre chair et que Satan nous offre…que nous risquons de perdre à jamais…cette demeure dans Le Royaume de Dieu !!!
C’est à cause de cette diversité (où chacun exprime différemment L’Amour de Dieu) que nous ne pouvons pas imposer à ceux que nous rencontrons, au Prochain devant notre porte qui vient faire appel à nous…nos vues et nos directives…voir nos communautés, nos paroisses, etc…
Notre Prochain n’est pas un reflet de nous-même et ne doit pas le devenir. Il est le reflet de La Divinité de Dieu…différent de celui que nous réfléchissons !!!
Pour mieux me faire comprendre, il faut réaliser (en ravalant tout orgueil en nous) que nous ne sommes rien…à peine un peu de poussière sans vie !!!
Le Vie c’est Dieu qui nous la donne, et ce n’est qu’en vivant en Dieu et tel que Dieu nous le demande que nous devenons quelque chose…sans chercher à en retirer…la moindre Gloire pour nous !!!
En vivant en Dieu, tel que Dieu nous le demande et en nous nourrissant de Dieu (de Sa Parole et de Son Corps…en étant en état de Grâce) quotidiennement afin que notre âme ne meurt pas de l’absence de cette nourriture que Dieu désire nous donner pour Notre Salut…nous devenons une lumière, et une lumière de plus en plus intense au fur et à mesure que notre Union avec Dieu grandit, que Dieu prend toute la place en nous et que nous-même, nous disparaissons (la graine en terre, le levain dans la farine, le caillou dans l’huître).
Alors, notre Prochain que Dieu met sur notre route (notre conjoint, nos enfants, notre famille, nos proches, celui que nous rencontrons comme Le Bon Samaritain a rencontré le blessé sur sa route) commence à voir cette Lumière que nous lui partageons.
Ayant fait mourir en nous tout ce qui encombrait notre esprit pour laisser toute la place à Dieu et entendre ce qu’Il veut nous dire…nous tournons notre regard « intérieur » vers Dieu pour être à « Son écoute » et entendre ce qu’Il veut dire et montrer à cette âme blessée.
Alors nous devenons une Lumière qui éclaire la route de cette âme que Dieu nous a confié à cette occasion (comme Il l’a confié à bien d’autres de ses enfants…chacun apportant à cette âme en détresse une partie différente de L’Amour de Dieu).
Mais nous ne sommes qu’une Lumière, qui plus elle sera en Dieu, plus éclairera le chemin de notre Prochain !!!
Alors ne nous prenons surtout pas pour le Maître de cet élève…cette tâche ne revient qu’à Dieu qui vit dans l’âme de ce Prochain…et lui montrera directement en lui, Son Amour.
Si nous avons Foi en Dieu, nous savons qu’Il est vivant et qu’Il peut agir dans le cœur de chacun…si une lumière éclaire la route où ils se trouvent.
Ne rallions pas le Prochain égaré à « notre sauce », à nos communautés…à ce que nous pensons…montrons lui L’Amour de DIEU…et laissons agir Dieu en lui.
Jésus Lui.même n’a pas « recruté » pour « sa paroisse » les nombreuses âmes qu’Il a guéri, qu’Il a délivré et qu’Il a enseigné…alors pourquoi ne voulons-nous pas prendre le même chemin que Jésus a pris…et flatter notre orgueil en ramenant des membres à notre communauté…en disant (ou pensant très fort) :
Voyez tous, c’est moi qui l’ai converti et ramené sur le droit chemin !!!
Et si ce que voit votre Prochain, au travers de La Lumière de Dieu qui a éclairé sa route, est totalement différent de ce que vous lui auriez montré (avec votre sensibilité propre) parce que sa manière d’exprimer L’Amour de Dieu en lui est totalement différente de la votre…n’en prenez pas ombrage…ce n’est pas vous qui faites le miracle…c’est Dieu !!!
Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 14,1-6.
Un jour de sabbat, Jésus était entré chez un chef des pharisiens pour y prendre son repas, et on l'observait.
Justement, un homme atteint d'hydropisie était là devant lui.
Jésus s'adressa aux docteurs de la Loi et aux pharisiens pour leur demander : « Est-il permis, oui ou non, de faire une guérison le jour du sabbat ? »
Ils gardèrent le silence. Jésus saisit alors le malade, le guérit et le renvoya.
Puis il leur dit : « Si l'un de vous a son fils ou son boeuf qui tombe dans un puits, ne va-t-il pas l'en retirer aussitôt, le jour même du sabbat ? »
Et ils furent incapables de trouver une réponse.
Jésus ne garde pas dans « Sa troupe apostolique » ce malade…mais une fois guéri, Il le renvoie…à sa vie !!!
Ne devenons pas des gourous…qui voulons pour nous la Gloire qui revient à Dieu !!!
Apprenons à être Uni à Dieu, à mourir à nous-même pour être à l’écoute de Dieu et partager le reflet de Sa Lumière avec le Prochain qu’Il nous envoie…mais ne prenons jamais la place de Dieu en imposant nos idées et nos points de vue…Laissons faire Dieu Lui-même…Il le fera tellement mieux que nous !!!
Pour pouvoir vivre en Dieu, il faut non seulement suivre tous les Commandements d’Amour de Dieu, mais il nous faut être une Lumière…et cette Lumière en nous qui est le reflet de La Lumière de Dieu, nous ne devons pas la cacher !!!
Matthieu 5 14-16
Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne peut se cacher, qui est sise au sommet d’un mont.
Et l'on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais bien sur le lampadaire, où elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
Ainsi votre lumière doit-elle briller devant les hommes afin qu’ils voient vos bonnes œuvres et Glorifient Votre Père qui est dans les Cieux.
Ce Don que Dieu nous fait de devenir de plus en plus le reflet de La Lumière de Dieu ne peut et ne doit se cacher…car nous ne devons pas enfouir les Dons de Dieu (rappelez-vous la parabole des talents : Matthieu 25 14-30).
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA TROISIEME PARTIE.
(Cliquer dans le lien ci-dessous)
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
Ajouter un commentaire