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REGARD SUR LA MORT…1ère Partie.
REGARD SUR LA MORT.
Aujourd’hui, je voudrais approfondir davantage ce sujet que j’avais abordé lors de ma précédente Réflexion.
Quel regard a-t-on face à la mort, la notre lorsqu’elle arrivera dans un avenir que nous ne connaissons pas, celle de nos proches lorsqu’elle survient, celle qui survient à ceux qui sont un peu partout dans le monde et dont les médias parlent ???
Quel regard a-t-on face à la mort qui survient lors de catastrophes (quelles soient de causes naturelles ou accidentelles) ou de drames, y compris de ceux dues à la folie des hommes, folie qui n’a aucune limite dans l’atrocité, l’horreur voir la perversion (les actualités en sont pleines et partout dans le monde) ???
Quel regard a-t-on face aux maladies « mortelles » dont l’échéance fatale est plus ou moins proche et qui surviennent à tout âge et pour n’importe qui, y compris parmi nos proches et parfois nous-même ???
Quel regard a-t-on face aux maladies « mortelles » dont l’échéance est immédiate (par exemple suite à une crise cardiaque, etc…) et qui survient à un de nos proches quel que soit son âge et peut nous tomber dessus personnellement à tout instant ???
La mort, comme la maladie, les drames et les catastrophes nous touchent tous à un moment donné de notre vie (et parfois durant toute notre vie sur Terre) et peuvent encore nous toucher de manière dramatique dans un avenir proche ou lointain…alors y avons-nous pensé et quel regard y portons-nous ???
Souvent ceux qui y pensent le moins sont ceux qui sont jeunes, en bonne santé, sans problèmes financiers et qui ne rêvent que d’une chose, celle de profiter de la vie au maximum, car pensent-ils, il n’y a qu’une vie (celle sur cette Terre).
A ce sujet j’aimerais rappeler ce que je disais lors d’une de mes anciennes Réflexions :
Extrait de ma Réflexion n° 42 : Notre Regard.
Jean 20 29.
« Parce que tu me vois, tu crois. Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru ».
Mais que veut dire : J’ai besoin de voir ??? La vision est quelque chose de tellement trompeur que l’on peut se poser la question de savoir s’il est mieux de voir avec les yeux qui sont sur notre figure, ou avec les yeux du cœur, ou avec les yeux de l’imagination, ou avec les yeux de
Comme je le disais à la fin de ma précédente Réflexion (n°41), mais aussi à la fin de ma Réflexion sur Le Royaume de Dieu (n°12), le fœtus (qu’il soit seul ou en compagnie de jumeaux…dernièrement une femme a accouchée de 8 bébés) ne voit que le monde où il vit, et s’il pouvait parler, dirait que le seul monde qui existe est le sien, en milieu aquatique et fermé…milieu où il est heureux de vivre sauf s’il est secoué de trop ou si ce qu’il mange le rend malade (qui provient des repas, de la boisson et de tout ce qu’absorbe sa maman).
Et pourtant quelques temps plus tard, même s’il ne le veut pas, même s’il n’y croit pas, il quittera son monde aquatique (ce qui le fera crier) pour entrer dans un autre monde, tout aussi réel que le précédent…même s’il ne le voyait pas auparavant !!!
En effet, il pourrait dire comme Saint Thomas, alors qu’il est encore dans son univers : « Si je ne vois pas qu’il y a un autre univers que celui où je suis et je vis, je n’y croirais pas !!! ».
Mais la nature est ainsi faite, que même si nous n’y croyons pas, cela se réalise quand même.
J’irais même plus loin (mais c’est une impression personnelle) que le fœtus perçois davantage Le Royaume de Dieu (celui qui attend, après leur mort à cette terre, ceux qui auront suivit Le Chemin qui y mène) que celui où nous vivons et qu’il va rejoindre quelques semaines plus tard.
En effet, Dieu met une âme éternelle dans son corps (voir dans ma précédente Réflexion : La brebis perdue n°41), et je pense que le souvenir du moment de sa création au Ciel, est quelque part encrée dans son cœur…souvenir qui s’estompe lors de sa venue dans notre monde, due à l’extrême douleur qu’il en ressent.
Souvenir qui disparaît peu à peu durant l’enfance, mais qui pourtant est présent au début…car beaucoup de petits enfants posent des questions sur Dieu à leurs parents…mais si les parents refusent de répondre (souvent parce qu’ils n’y croient plus…ou refusent d’y croire…ou ne veulent pas que leur enfant y croit !!!), peu à peu ce désir disparaît.
D’ailleurs, certains de ces embryons (ou fœtus) ne connaîtront jamais le monde où nous sommes, et iront directement de leur monde au Royaume de Dieu, soit suite à un avortement (si au moment où il a lieu, l’âme éternelle est déjà mise par Dieu dans le corps de l’embryon…car Dieu seul sait à quel moment Il l’a déposé…peut-être même, pourquoi pas, dès le moment de la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde !!!...Voir à ce sujet le début de ma Réflexion : Les Béatitudes (n°16)), soit suite à une mort naturelle (fausse couche).
Mais que veut dire : J’ai besoin de voir ??? Combien de fois nous savons que des choses existent, et nous ne pouvons les voir, ou, au contraire, nous voyons des choses…qui n’existent pas !!!
Les exemples sont très nombreux, mais je me limiterais à certains…à chacun de trouver d’autres exemples dans sa propre vie…(pour voir la suite, aller dans la Réflexion correspondante).
Souvent ceux qui y pensent le moins oublient simplement qu’en vivant ainsi leur vie, ils contribuent à bien des drames dans leur vie personnelle (par leur âmes qu’ils détruisent peu à peu en refusant de l’entendre pour être asservi aux désirs et appels de leur chair) et dans la vie de ceux qui les entourent !!!
Les exemples sont infinis et personnels à chacun, mais comme je l’ai souvent dit au travers de mes Réflexions, tout acte bon ou mauvais a des conséquences en nous (dans notre âme et parfois dans notre corps) et en ceux qui sont dans notre cœur (notre Prochain, notre voisin).
Matthieu 5 45.
…afin de devenir fils de votre Père qui est aux cieux, car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes.
Cette vérité représente en fait une grande réalité qui concerne chacun de nos actes. Ceux-ci ont des conséquence pas seulement sous nos propres pieds, mais partout autour de nous, comme le soleil ne tombe pas seulement sur une personne alors que la personne proche n’en n’aurait pas, ou comme la pluie ne tombe pas seulement sur une personne alors que la personne proche n’en n’aurait pas (je ne parle pas ici pour ceux qui voudraient jouer sur les mots en disant qu’une personne peut s’abriter à l’ombre alors qu’une autre se met au soleil, qu’une personne peut s’abriter de la pluie alors qu’une autre est au-dessous…le soleil ou la pluie sont là, avec toutes leurs conséquences…à chacun ensuite de prendre les mesures en rapport pour se protéger ou au contraire en profiter).
Par exemple, si nous écoutons de la musique bien forte pour notre plaisir, nous obligeons ceux qui sont proches à l’entendre…et si ceux-ci ont besoin de silence suite à une maladie, suite à un besoin de dormir après de longues heures de travail, à cause d’un bébé qui a besoin de sommeil, etc…, ils en subissent les conséquences.
Mais cet exemple est aussi vrai pour ceux qui écoutent la musique à fond avec des écouteurs. Là ce sont leurs propres oreilles qu’ils détruisent à plus ou moins long terme…et le jour où ils auront besoin d’entendre un bruit insolite, une conversation très importante, un cambrioleur qui s’introduit chez eux, une voiture qui freine sans pouvoir les éviter (etc…)…ils deviendront source de drames, car ils n’auront pas entendu !!!
Extrait de ma Réflexion n°1 : Qui est Jésus ?
Jésus dit à Marthe :
« Ne sais-tu pas que ce sont les tortures d'une tierce personne, qui résiste aux assauts parce qu'elle est bonne et fidèle, qui affermissent la guérison d'un autre esprit ?
Ne sais-tu pas que rien n'est isolé de tout ce qui arrive et existe dans la création, mais que tout suit une loi éternelle de dépendances et de conséquences qui fait qu'une action de quelqu'un a des répercussions naturelles et surnaturelles très étendues ? ».
Ne devrait-on pas, quel que soit notre âge et notre condition, en bonne santé ou grabataire, en pleine forme ou mourant, enfant ou vieillard, penser à notre mort et à notre vie après notre mort…car personne ne sait quand elle va survenir aussi bien pour nous que pour nos proches ???
Matthieu 24 42 44.
Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour va venir votre Maître. Comprenez-le bien. Si le maître de maison avait su à quelle heure de la nuit le voleur devait venir, il aurait veillé et n’aurait pas permis qu’on perçât le mur de sa demeure.
Ainsi donc, vous aussi, tenez-vous prêts, car c’est à l’heure que vous ne pensez pas que Le Fils de l’Homme va venir.
Car, même si l’on fait l’autruche en refusant d’y penser, la mort (comme la maladie mortelle) peut survenir à tout moment et sans prévenir (comme un voleur) que l’on soit jeune ou vieux, en bonne santé ou malade (les exemples sont nombreux…y compris parmi les personnes qui viennent d’avoir leur permis de conduire, qui font la fête et se soûlent avant de prendre le volant (je profite de ma vie au maximum, même si je ne maîtrise pas bien mon véhicule et que j’ai bu…d’ailleurs je contrôle la situation !!!) et qui se tuent en sortie de boite ou de bar, entraînant avec eux dans leur mort, ceux qui sont dans leur voiture (ou leur bolide pour certains) et ceux qu’ils ont fauchés avec leur voiture…y compris parfois des bébés, des femmes enceintes ou des pères de famille…sans parler des souffrances atroces des familles et des proches de ceux qui ont été tués ou blessés gravement, voir handicapés à vie.
Et le pire, c’est que face à des mourants (dont on sait avec quasi certitude que l’échéance est proche), si nous les motivons au maximum pour rester en vie sur Terre car nous avons besoin d’eux (et c’est une excellente chose)…nous refusons bien souvent de les aider à penser à se préparer à rejoindre la vie qui les attend, voir à se mettre en règle avec Dieu et aussi avec tous ceux qu’ils ont blessés durant leur vie sur Terre en pardonnant ou en recherchant leur pardon…voir en exprimant leur amour qu’ils avaient toujours tu auparavant, faute de savoir le dire…voir en exprimant leurs désirs cachés, à leurs proches.
D’ailleurs eux, par la conscience que Dieu éveille à leur esprit, désireraient souvent cette préparation, cette mise en ordre de leur vie et La Grâce de recevoir Dieu en eux avant de partir, l’âme en Paix après avoir reçu La Pardon de Dieu et Le Corps du Christ…mais ce sont leurs proches… qui, souvent, ne veulent pas en entendre parler !!!
Souvent on pense que le fait de soutenir une personne dans son combat pour rester en vie au milieu de nous en luttant contre la maladie de toute ses forces, en la motivant pour se soigner et essayer de tout faire pour en guérir…s’oppose au fait de penser à la mort et à la vie éternelle qui nous attend.
C’est faux, l’un et l’autre doivent être à notre esprit afin d’agir toujours en conscience et en vérité, prêt à entendre immédiatement le Jugement de Dieu sur notre vie, s’Il décide de nous rappeler immédiatement…et prêt à rester sur Terre bien des années encore pour vivre et témoigner de L’Amour de Dieu pour nous et pour ceux qui nous sont chers si Dieu nous permet de guérir.
En refusant de leur parler de la mort, nous les bloquons dans le désir que peut-être Dieu cherche à mettre en eux, de faire le point avec leurs proches, de demander pardon à ceux qu’ils ont blessés, de voir un Prêtre pour recevoir les derniers Sacrements (extrême onction), pour recevoir Le Sacrement de Réconciliation afin de recevoir La Grâce de
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 6,47-58.
Amen, amen, je vous le dis : celui qui croit en moi a la vie éternelle.
Moi, je suis le pain de
Au
Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c'est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. »
Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n'aurez pas la vie en vous…
Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même aussi celui qui me mangera vivra par moi.
Tel est le pain qui descend du ciel : il n'est pas comme celui que vos pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. »
C’est aussi oublier que parfois certaines personnes qui sont condamnés à mourir à courte échéance, reçoivent une guérison totale et inexpliquée après avoir reçu l’extrême onction de la part d’un Prêtre !!!
Vivre en ayant la conscience que la mort peut nous rejoindre à tout instant quel que soit notre âge et notre état de santé, cela permettrait déjà à chacun de vivre en fonction de la conscience qu’il a, de la Vérité qu’il croit, de remettre de l’ordre dans les priorités de sa vie et non plus en inconscient qui se moque de tout, y compris de l’image qu’il transmet autour de lui, voir des scandales dont il est la source ou la cause, voir des drames qui surviennent à cause de son inconscience et de son désir de croquer la vie à pleine dent, de faire tout ce qu’il a envi et que lui suggère sa chair (orgueil, égoïsme, dureté de cœur, violence, haine, racisme, luxure, paresse, etc…).
Et paradoxalement, si nous fuyons la pensée de notre mort en vivant notre vie comme s’il nous restait de très nombreuses années à vivre (ce qui sera peut-être le cas), en rejetant Dieu et Ses Commandements d’Amour pour vivre tous les plaisirs que nous offre la vie et les envies de notre chair (nous avons le temps de nous tourner vers Dieu d’ici notre mort…en attendant profitons de notre vie au maximum)…nous sommes traumatisés et paniqués par toutes les catastrophes qui risquent de nous tomber dessus, un jour ou l’autre !!!
Comme je le disais lors d’une ancienne Réflexion, certains cherchent à traumatiser les gens en leur faisant miroiter « la fin du monde », et actuellement plus que jamais avec des dates (et des comptes à rebours) qui s’affichent sur le net et tout le commerce qui va autour (y compris la vente de bunker pour le jour J !!!), alors que Dieu ne dévoile jamais de date (Son jour viendra comme un voleur) et qu’il faut être prêt à tout instant.
Extrait de ma Réflexion n°45 : Carême…et Conversion.
Avec ce que je viens d’écrire dans cette Réflexion, et aussi dans l’ensemble de celles-ci, il est plus facile de se rendre compte que nous nous trouvons au centre d’un combat entre Dieu et Satan, où Dieu veut nous sauver et Satan nous détruire (durant toute notre vie sur terre…y compris dans les instants qui suivent notre dernier souffle de vie, où
C’est notre désir et notre Volonté…mais aussi notre habitude à obéir (ou non) avec Amour aux Commandements de Dieu et notre Foi en Lui qui feront le choix et nous permettrons d’entrer dans un Royaume (Le Ciel…voir en passant par un temps plus ou moins long dans Le Purgatoire) ou dans un autre (L’Enfer)…et cela POUR L’ETERNITE !!!
Alors, face à tout cela, alors que nous sommes en plein temps de carême, que devons-nous faire ???
Nous lever et crier au monde de se convertir…car «
D’une part, la fin du monde n’est pas encore pour maintenant (même le temps de la venue de L’Antéchrist n’est pas encore là puis Le Triomphe du Christ comme ROI Spirituel sur la terre et la chute de L’Antéchrist, puis la venue de Satan Lui-même…etc…), d’autre part cela à revient à juger les autres, sentiment qui ne vient pas de Dieu mais de Satan, à condamner les autres, à les Haïr (ceux-là qui à cause de leurs péchés nous apportent la fin du monde…les autres (ceux qui ont une paille devant les yeux…ou que nous croyons comme tel)…les juifs qui pendant la deuxième guerre mondiale étaient la cause des rafles ordonnées par Hitler, alors qu’ils en étaient les premières victimes (et innocentes en plus), etc…)…
Moi, je les appelle « les oiseaux de mauvais augure », car leurs discours ne viennent pas de Dieu (même s’ils le croient eux-mêmes…Hitler, comme ceux qui lui ressemblent, ne se croient-ils pas investis d’une mission divine !!!), mais de Satan.
Nous n’avons pas à juger les autres et certains à qui nous allons dire de se convertir pourraient nous donner des leçons de vie en Dieu !!!
D’autre part aussi nous serons sans doute déjà mort à ce moment là…mais surtout nous pouvons mourir à tout instant et cela quelque soit notre âge et notre condition…c’est pourquoi il ne s’agit pas de se convertir pour être prêt lors de la fin du monde dans …de nombreuses années…mais il faut être prêt dès maintenant, car l’heure du Jugement pour nous peut très bien arriver dans quelques instants !!!...Alors, en toute conscience…sommes-nous prêt maintenant ??? Avons-nous été demandé pardon pour nos derniers péchés dont nous avons conscience devant un prêtre dans Le Sacrement de Pénitence ??? Avons-nous été communié, en état de grâce dernièrement ???
C’est cela qu’il faut savoir : être prêt à tout moment, car Dieu viendra nous chercher comme un voleur (si le maître de maison savait quand viendrait le voleur…vous connaissez sûrement cette parabole dans l’évangile…Matthieu 24 42-44)…et cela peut être…maintenant !!!
Je dis toujours ceci : Faisons toujours tout comme si nous allions encore vivre pendant de très nombreuses années, mais en ayant constamment à l’esprit d’être prêt à partir à tout instant, car nous pouvons mourir dans l’instant qui suit.
Ne nous attachons pas, encore une fois, à l’extérieur, au monde où nous vivons, à ce que nous voyons et ressentons à l’extérieur de nous (et avec nos yeux sur notre figure, pas nos yeux spirituels)…car le danger ne vient pas de l’extérieur et des catastrophes qui peuvent survenir, mais de l’intérieur de nous (ne craignez pas la nourriture dont votre corps se nourrit, mais ce qui peut détruire votre âme !!!...Il n’est rien d’extérieur à l’homme qui, pénétrant en lui, puisse le souiller, mais ce qui sort de l’homme, voilà ce qui souille l’homme (Marc 7 14-16)).
Nous pouvons souffrir, nous pouvons mourir à cette terre (qui n’est rien d’autre que le lieu où Dieu nous a mis pour vivre notre « grande épreuve »), il peut y avoir d’horribles catastrophes (et il y en a toujours eu !!!)…la plus grande catastrophe est de perdre son âme et avec elle, Le Royaume de Dieu…pour hériter d’une place en Enfer.
Ayons les yeux fixés sur l’essentiel (et qui est invisible à nos yeux sur notre figure…mais visible avec nos yeux spirituels de
N’oublions pas non plus que lorsqu’une personne que nous aimons meurt à cette terre, nous la retrouverons un jour…à condition qu’elle comme nous, héritions du Royaume de Dieu (voilà aussi pourquoi, il faut prier pour notre conversion, mais aussi pour ceux que nous aimons)… mais que si une des deux part pour Le Royaume de Satan…elle sera séparé de l’autre pour l’Eternité…et on en oubliera même son nom !!!
La plus grande catastrophe est de perdre son âme et avec elle, Le Royaume de Dieu… pour hériter d’une place en Enfer.
Effectivement, Dieu ne va pas courir après nous avec un fouet pour nous punir durant notre vie sur terre (voir la parabole du bon grain et de l’ivraie)…
Matthieu 13 24-31.
Veux-tu donc que nous allions la ramasser (l’ivraie). Non, vous risqueriez, en ramassant l’ivraie, d’arracher en même temps le blé. Laissez l’un et l’autre croître ensemble jusqu’à la moisson, et au moment de la moisson, Je dirais aux moissonneurs : Ramassez d’abord l’ivraie et liez-la en bottes que l’on fera brûler…
Dieu dans Son Infinie Miséricorde, nous laisse libre avec les graines de Blé qu’Il as mis en nous pour porter de bons fruits et avec les graines d’ivraie que nous avons laisser pénétrées en nous et avec lesquels, nous nous complaisons facilement en nous fiant à L’Infinie Miséricorde de Dieu…qui peut bien, après tout, nous laissez vivre et jouir avec Satan et toutes les œuvres sataniques qu’il nous propose…orgueil, égoïsme, luxure, dureté de cœur, haine, adultère, etc…Oui, Dieu est bon, Il pardonnera !!! (Alors reprenez le temps de relire le passage ci-dessous où le Père nous parle !!!)…
Maintenant, c’est Le Père qui parle (extrait du 20/03/1945) :
La parole qui exprime la vérité vous parait dure. Vous ne voudriez que des paroles de miséricorde. Pouvez-vous prétendre la mériter ?
N’est-elle pas également miséricorde,
Ce désir de n’entendre que des promesses de bonté, cette envie d’obtenir de Dieu des caresses seulement est une déviation de la religion.
Vous avez même transformé en épicurisme cette réalité sublime qu’est
Vous en attendez du plaisir. Vous ne voulez faire aucun effort. Vous souhaitez vous abandonner à un compromis commode entre le Commandement et ce qui vous plaît, à vous.
Vous allez jusqu’à prétendre que Dieu s’y conforme.
A une époque, l’on donnait à ce vice spirituel le nom de « quiétisme ». Les docteurs spirituels l’emploient toujours.
Je suis plus sévère et je l’appelle « épicurisme de l’esprit ».
De la religion, de Dieu, de Sa Parole, vous voudriez n’avoir que ce qui caresse votre côté sensuel. Vous êtes en effet tombés si bas que vous avez rendu sensuel l’esprit lui-même.
C’est pourquoi vous désirez lui donner des sensations et des frissons absolument humains.
Vous ressemblez à ces fous d’autres religions qui provoquent, par des cérémonies adéquates, un état psychique anormal pour jouir des fausses extases de leurs paradis.
Vous ne comprenez plus la grande, la plus grande miséricorde de Dieu.
Vous appelez donc dureté, terreur, menace, ce qui est amour, conseil, appel au repentir pour obtenir des grâces…
Vous les générations des hommes actuels, ne vous reconnaissez-vous pas dans vos ancêtres ?
Moi ? Je vous reconnais. Votre malice a augmenté. Elle est devenue plus satanique. Elle vous fait toujours appartenir à cette engeance, détestable à mes yeux.
Vous ne faites pas les mêmes sacrifices que les Cananéens ??? Mais vous en faites de pires !!!
Si ce ne sont pas les chairs que vous immolez, ce sont vos âmes et celles de vos semblables, en faisant fi du droit de Dieu et de la liberté de l’homme.
Car vous en êtes venus à utiliser la raillerie et la domination pour violer les consciences qui savent encore me rester fidèles.
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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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