LA COMMUNION DES SAINTS…3ème Partie.

Nous sommes sur Terre pour Aimer, Aimer Dieu plus que tout et Aimer nous-même et notre Prochain de L’Amour que Dieu déverse en nous…afin de réparer par notre Amour tout le mal que nous avons fait la plupart du temps par ignorance sincère ou voulue…refusant souvent de chercher à découvrir qui est vraiment Dieu et combien Il nous Aime au point de Sacrifier Son Fils en Victime Pure pour notre Salut (Comme le dit Jésus à Son Père alors qu’Il est fixé au bois de Sa Croix par d’énormes clous : « Père, Pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font).

Chaque fois que nous avons fait le mal, nous avons blessé notre âme, chassé Dieu de notre âme…mais aussi blessé notre Prochain voir chassé Dieu de l’âme de notre Prochain en l’ayant corrompu par notre comportement, par notre attitude, par notre péché.

Et ce n’est qu’en remplaçant le mal fait, partout où il s’est répandu, par un bien encore plus grand, celui de L’Amour, de La Pureté, de La Compassion, de La Miséricorde, de L’Humilité…que nous épongerons nos dettes, au fil des années.

Et Dieu seul peut réaliser ce miracle, à condition de vivre tel qu’Il nous le demande et de rejeter toutes les tentations mauvaises pouvant survenir, en acceptant de reconnaître que notre mal a fait beaucoup de dégâts en nous et dans ceux qui nous sont unis…et qu’il faut accepter à notre tour, à l’image de Jésus, de nous offrir en Sacrifice d’Amour pour faire retrouver la santé à tous.

Pour bien comprendre le mal que nous faisons et le lien qui nous unis les uns aux autres, imagions que vous blessez une personne (cela peut être avec une arme, avec une parole, par votre comportement, votre attitude, votre orgueil, vos mensonges, vos pensées corrompues, perverses, luxurieuses, racistes, haineuses, médisantes, calomnieuses, etc…).

Cette personne, si elle ne surmonte pas cette blessure, va en être plus ou moins détruite aussi bien dans son corps (fatigues, maladies, allergies, etc…), dans son esprit (dépression, honte, désespoir, envie de suicide ou au contraire de tuer, etc…) et dans son âme (rejet de Dieu, de L’Eglise, des autres, de l’humanité, etc…).

C’est ce que j’appelle les victimes directes de notre soumission aux désirs de Satan.

Mais cette personne n’est pas seule au monde. Elle a peut-être un conjoint, des enfants, sûrement des parents, de la famille et des proches (même si certains sont décédés ou pas encore nés, ils restent présents…même s’ils paraissent absents).

La blessure de cette victime directe engendre chez elle un comportement, une attitude et des pensées déformées et occasionnées par ses blessures…et donc rejaillissent automatiquement sur ses proches (conjoints, enfants, familles, voisins, amis, proches, etc…), et vont donc occasionnés chez eux aussi des blessures dans leur corps, dans leur esprit et dans leur âme, les faisant rejeter Dieu, L’Eglise, les autres, l’humanité, etc…).

C’est ce que j’appelle les victimes indirectes de notre soumission aux désirs de Satan.

Toutes ces personnes ne sont pas seules au monde…et les nouvelles se répandent très vite aussi bien dans un village, dans un quartier, dans une ville, dans le monde entier…aussi bien par le bouche à oreille (qui souvent se déforme en pire au fur et à mesure qu’il se répand comme une traînée de poudre), que par ceux qui sont médisants, calomnieux, jaloux, que par les médias et internet qui se jettent sur tout ce qui peut détruire…et qui fait vendre.

Cela rejaillit alors sur des personnes réparti dans le monde entier qui en sont traumatisés au point de rejeter Dieu, L’Eglise, les autres, l’humanité, etc…

C’est ce que j’appelle les victimes collatérales de notre soumission aux désirs de Satan.

C’est vrai alors, nous ne réalisons pas le mal que nous faisons, ni toutes ses conséquences (directes, indirectes et collatérales) en suivant nos penchants mauvais, en disant oui à Satan qui se sert des envies et fantasmes de notre chair (orgueil, pouvoir, gloire, égoïsme, racisme, haine, désobéissance, paresse, adultère, luxure, jouissance, impureté, mensonges, médisances, calomnies, etc…) et en rejetant Dieu et Ses Commandements d’Amour, comme notre Prochain que nous rejetons et condamnons au lieu d’Aimer, de Pardonner, d’être plein de Compassion à l’image de Jésus-Christ, Crucifié par nous et mort pour notre Salut.

Vivre en Aimant notre Prochain malgré nos blessures et ses blessures, le mal qui est en nous et celui qui est en lui, n’est non seulement pas facile, mais quasiment impossible sans l’aide Divine de Dieu…d’autant plus que Satan, qui ne supporte pas ni L’Amour, ni La Lumière, ni La Vérité et encore moins l’Humilité et l’Obéissance, se charge de nous faire des croques en jambes pour nous faire chuter et rejeter Dieu…et tous les moyens lui sont bons, y compris celui de l’Amour et de Dieu (voir plus haut, comment Pierre a essayé de corrompre Margziam en l’obligeant, au nom de L’Amour, au nom de Jésus, à rompre l’engagement de son jeûne).

Ce n’est qu’en Aimant Dieu plus que tout, en L’Adorant, en ayant Foi en Son Amour malgré toutes les épreuves, les difficultés et les souffrances qui nous surviennent, en étant obéissant non seulement à tous Ses Commandements d’Amour mais aussi à tout ce qu’Il nous demande par L’Eglise, par notre Prochain, par le pauvre que Dieu met sur notre route, par notre conscience et notre esprit qui perçoivent ce que Dieu révèle à notre âme où Il est présent, en étant humble sachant non seulement que nous ne sommes rien sans Dieu, mais aussi que nous même comme notre Prochain sommes blessés, malades et tentés par Satan.

Jésus a accepté l’humiliation d’être condamné comme un esclave, comme un malfaiteur, comme un brigand, comme un assassin…et Il n’a pas répondu en foudroyant ceux qui l’accusaient injustement, Lui Le Pur, Lui Notre Dieu…mais en demandant au Père de Pardonner, car ils ne savent pas ce qu’ils font !!!

Mais ne tombons pas dans l’orgueil de croire que ce que Dieu nous demande, en résistant aux assauts de Satan, pour prendre Le Chemin de L’Amour, de La Miséricorde, de La Compassion, de L’Humilité, de L’Obéissance pleine d’Amour est une chose impossible à réaliser…sauf pour les très grands Saints

Dieu ne nous demande rien d’impossible. Il nous demande juste notre Amour et Lui nous donne Sa Grâce en échange.

Plus nous sommes attaqués, plus Dieu répand Sa Grâce de façon à ce que nous puissions toujours résister aux assauts de Satan, à condition de prendre et tenir fermement la main de Jésus (ou comme Saint Jean, en nous mettant contre Son Cœur), sans la lâcher et en obéissant en toute humilité et Amour à tout ce qu’Il nous demande.

Et plus nous résistons, plus nous-même et ceux qui nous sont unis par ce lien invisible qui se trouve entre nous, sommes inondés de La Grâce et de La Bénédiction Divine pour nous aider à lutter contre les assauts du mal.

Moins nous croyons en Dieu, en Son Amour et en Sa Puissance, plus nous succombons facilement…et nous entraînons dans notre chute ceux qui nous sont unis par ce lien invisible que Dieu met entre nous.

Voilà pourquoi Dieu nous demande notre Foi et notre Amour, notre Obéissance et notre Humilité, notre Fidélité et notre Pureté…et Lui fait alors…Le Miracle aussi bien en nous que dans tous ceux qui nous sont unis !!!

Romains 5 20.

…Mais où le péché s'est multiplié, la grâce a surabondé.

Mais je voudrais rappeler rapidement ce que j’ai déjà souvent dit, mais qui est important. Notre chair, qui est périssable et retournera en poussière, du fait du péché originel est corrompue par le venin de Satan, et même si par Le Sacrement du Baptême notre âme retrouve sa virginité première, notre être s’en trouve fragilisé (par la trace et le souvenir de cette blessure en nous…Dieu rend à notre âme sa Pureté d’origine, mais laisse cette fragilité à notre chair, cette écharde, afin de tester notre Amour et savoir s’il est sincère et solide ou prêt à trahir à la première occasion ou difficulté, notre esprit décidant du choix qu’il fera durant notre passage sur Terre, choisir d’Aimer et d’Adorer Dieu présent dans notre âme ou les désirs corrompus par Satan de notre chair !!!) et devient l’objet des attaques de Satan qui se charge de séduire notre chair et de la dominer, pour faire en sorte qu’elle excite notre esprit par toutes sortes de désirs destinés à nous empêcher de suivre Dieu et Ses Commandements (orgueil, gloire, pouvoir, argent, confort, égoïsme, jalousie, convoitise, paresse, haine, mensonges, dureté de cœur, racisme, violence, compromissions, vol, médisances, luxure, adultère, excitation des sens, perversions, meurtres, idolâtrie, désespoir, etc…).

Notre âme est le lieu où Dieu habite, Le Temple où Il réside et vit en nous. C’est la partie éternelle de notre être destinée à hériter du Royaume de Dieu en tant que fils adoptifs de Dieu. Elle est le reflet de L’Amour de Dieu, crée à l’image et à la ressemblance de Dieu. Mais Dieu ne peut y vivre avec Satan et côtoyer le péché. Il nous laisse libre et si notre esprit lui commande de partir et Le rejette, alors Dieu s’en va…et Satan ainsi que ses démons viennent aussitôt prendre la place ainsi libérée par notre volonté.

Rappelez-vous l’assiette qui a servi à nourrir les cochons, encore pleine de leurs baves. Peut-on y servir un succulent dessert et le manger ??? Non, il nous faut d’abord nettoyer à fond l’assiette ainsi corrompue, et qui sent mauvais…ou avoir une assiette propre qui n’a jamais servi à nourrir les porcs !!!

Notre esprit est le lieu haut de notre être, celui qui prend les décisions et les transmet à tout notre être. Il est éternel. Il manifeste ce que nous sommes réellement, au même titre que L’Esprit-Saint est la personne Divine qui est la manifestation de L’Amour de Dieu, qui est Le Souffle de La Vie et de L’Amour de Dieu.

Notre esprit, choisi soit de diriger notre vie pour aller au but pour lequel nous avons été crée, hériter du Royaume de Dieu en suivant les appels de Dieu qui vit dans notre âme, soit d’être esclave des envies et désirs de notre chair auquel Satan suggère (sans en dévoiler les conséquences) plaisirs, fortune, gloire…à condition de s’agenouiller devant Lui (en obéissant aveuglément aux caprices de notre chair corrompue)…et en fonction de son choix, vivra un Bonheur infini et éternel au Ciel ou des Souffrances infinies et éternelles en Enfer. 

Mais Dieu a pour chacun de nous un Amour tellement infini qu’Il nous laisse libre de Le choisir ou de Le rejeter, et Il nous laisse à chacun le temps nécessaire pour réaliser ce que nous perdrons si nous Le rejetons jusqu’à notre dernier souffle de vie…et s’il le faut, Il rajoutera quelques années à notre vie sur Terre s’Il voit que nous les utiliserons pour nous rapprocher de Lui, ou au contraire Il en retranchera s’Il voit que notre perversion risquera d’augmenter de plus en plus, au fil des années à venir…

Luc 13 6-9.

Il disait encore une parabole.

Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint y chercher des fruits et n’en trouva pas. Il dit alors au vigneron : "Voilà trois ans que je viens chercher des fruits sur ce figuier, et je n'en trouve pas. Coupe-le. Pourquoi donc use-t-il la terre pour rien ?"

L’autre lui répondit : Maître, laisse-le cette année encore, le temps que je creuse tout autour et que je mette du fumier. Peut-être donnera-t-il des fruits à l'avenir… Sinon tu le couperas".  "

Voilà ce que fait Jésus, Il est prêt à nous accorder une vie plus longue (par exemple au travers de malades condamnés à mourir à cause de leur maladie…et qui guérissent miraculeusement), à travailler encore plus en nous, y compris en se servant des évènements, de notre Prochain qu’Il met sur notre route, comme des morts en état de sainteté qu’Il rappelle auprès de Lui afin que, par La Communion des Saints, ils interviennent beaucoup plus fortement et efficacement dans notre vie…afin que nous donnions des fruits, et de très bons fruits.

Extrait de ma Réflexion n° 25 : Savoir dire Merci.

J’aimerais reprendre un texte de Jésus donné à Maria Valtorta le 1^er Décembre 1943 :

Jésus dit :

« Vous qui recouvrez la santé après une maladie mortelle, vous ne pensez, quand vous y pensez, qu’à me remercier de votre santé physique recouvrée. Vous ne songez pas au fait que Je vous ai envoyé cette épreuve pour vous faire réfléchir à la fin qui vous attend, au-delà de laquelle il y a un commencement, tout comme le soleil qui se couche le soir indique le recommencement du cycle qui va ramener une nouvelle aurore.

Mais votre aurore dans l’au-delà ne marque pas le début d’une journée de quelques heures. C’est le début d’un jour éternel.

C’est à cela que veut vous faire réfléchir la maladie et c’est vers ce but que vous devriez diriger la santé recouvrée. A fournir une journée de Paix à ce qui ne meurt pas.

Si vous saviez réfléchir à cela, combien de proies perdrait l’enfer !  

Mais d’habitude, vous faites un mauvais usage de la santé que Je vous accorde et des années que J’ajoute à votre existence à cette fin.

Dans la maladie, vous vous impatientez, vous vous découragez, souvent vous cessez de prier en vous disant : Il est inutile que je le fasse. De toute façon, c’est Dieu qui me l’a envoyée, et à quoi cela sert de Lui demander de me l’enlever ?

Une fois que vous êtes guéris, vous n’avez pas une pensée pour Celui qui vous a rendu la santé.

Avec votre inconséquence et votre ingratitude irrespectueuse, vous tenez Dieu responsable de vous envoyer les maladies, mais vous ne lui attribuez pas le mérite de vous les enlever.

Si vous pensez que c’est Lui qui envoie le mal, pourquoi ne pensez-vous pas qu’Il doit bien vous envoyer le bien ?

En fait, c’est le contraire, mes enfants. Le mal, quel qu’il soit, émane à 99% de vous-même et le bien a une source unique : Dieu.

Dieu qui inspire et éclaire celui qui vous soigne, Dieu qui allonge vos journées pour donner aux médicaments le temps d’agir et augmente votre résistance pour donner au corps la possibilité de réagir, Dieu qui par un acte de volonté instantanée peut vous faire vous lever, guérir contre toute espérance et indépendamment de tout autre secours, pour une raison impénétrable.

Mais avant de vous réjouir d’être guéris, vous devriez vous réjouir de la possibilité que Dieu vous accorde de réparer les erreurs d’avant la maladie et de travailler à mériter la vie qui ne meurt pas.

Moi, J’agis pour délivrer votre âme de la perdition et J’efface vos péchés de Mon Amour, toujours espérant en vous.

Et vous…que faites-vous ? Rendez l’Amour pour l’Amour que vous recevez et devenez « vivants ».

Etre vivant ne veut pas dire être de ce monde, cela veut dire être dans Le Seigneur. Cela veut dire posséder La Grâce et avoir droit au Ciel.

Celui qui respire, mange et dort avec une âme morte n’est pas vivant. Il est une dépouille déjà putrescente sur le point de tomber, telle une figue pourrie sur la branche, dans la fosse dont le fond est l’enfer.

Est vivant celui qui possède « La Vie », même s’il agonise dans la chair, même que, au fur et à mesure que diminue la vitalité d’ici, « La Vraie Vie » s’approche et grandit en lui.

Est vivant celui qui, au moment d’expirer, arpège déjà les louanges qu’il chantera éternellement au Seigneur et, pendant que les ténèbres descendent sur ses pupilles, il voit de plus en plus clairement, avec les yeux de L’Esprit, Le Visage du Père.

Est vivant celui qui, après avoir été guéri d’une maladie humaine, se sent racheté par Son Seigneur et Lui consacre tous ses mouvements.

Est vivant celui qui connaît La Vérité et qui, par-dessus toutes les joies et toutes les richesses humaines, veut cette joie et cette richesse : La Vérité.

Et tout au long de ses jours, il se consacre à en obtenir la possession, car le fait de la connaître lui a donné soif de la conquérir. »  

Plus haut dans cette Réflexion, j’ai dit que nous sommes sur terre pour Aimer et pour réparer par notre Amour le mal que nous avons fait (sans en réaliser les conséquences) en nous et autour de nous, ainsi qu’Aimer pour réparer par notre Amour le mal qui se fait sur la Terre par ceux avec qui nous sommes unis par le lien invisible qui nous unis les uns aux autres…

Mais nous sommes aussi sur Terre pour produire par notre Amour, notre Foi, notre Espérance en Dieu ainsi que par notre Fidélité, notre Obéissance, notre Humilité et notre Don de soi, des fruits, de très bons fruits…et en quantité importante…afin de faire avancer Le Royaume de Dieu sur Terre, dans les cœurs et de permettre à de nombreuses personnes d’hériter à leur mort d’un Bonheur infini et éternel au Ciel, alors qu’ils risquaient de partir sur les chemins du plaisir et de la corruption pour des souffrances infinies et éternelles.  

Dieu accorde une longue vie sur Terre à ceux qui le servent fidèlement et qui par leur témoignage, leurs prières, leurs souffrances offertes, leurs Sacrifices et leur Amour (plus que par leurs paroles) permettent à Dieu de toucher un grand nombre de Ses enfants égarés, de Ses brebis perdues, et de creuser la terre tout autour d’eux en y mettant beaucoup de bon fumier… afin qu’à leur tour, ils se mettent à donner de bons fruits…et contribuent à leur tour à faire avancer Le Royaume de Dieu.

Mais nos actes ont aussi des répercutions sur nos ancêtres qui sont au Purgatoire (j’en ai souvent parlé mais j’en parlerais à nouveau ensuite) et sur notre futur descendance…

…le venin de notre corruption se répandant sur nos enfants, macère en eux et prend encore plus d’ampleur en eux…pour se répandre ensuite sur leurs enfants avec encore plus de force et d’ampleur…comme le venin dans le corps qui grossit et se développe au fur et à mesure qu’il progresse à l’intérieur du corps, comme une cellule cancéreuse qui se multiplie en tuant les bonnes cellules et grandit en envahissant tout le corps, comme un brigand (les démons qui nous tentent) à qui on ouvre la porte du Temple où nous nous trouvons (notre âme) après en avoir chassé le gardien (Dieu), invite tous les truands de la pire espèce qu’il connaît et qui sont bien plus dangereux que lui (et ainsi de suite jusqu’aux pires des pires) pour investir le lieu où nous vivons, le Temple qui est en nous et où se trouve tous ceux qui nous sont les plus chers, tous ceux avec qui nous sommes reliés par ce lien invisible et qui sont présents en nous…

…ou inversement comme le sang d’un corps sain qui transmet ses gênes purs et sains aux générations qui suivent en leur donnant toujours plus de force et de santé, se développant de plus en plus sainement au fur et à mesure qu’il progresse dans les corps des générations futures…mais aussi dans le corps de tous ceux qui vivent avec nous dans le Temple qui est en nous…où Dieu vit et répand ses Grâces à profusion (un bon arbre donne toujours de bons fruits à moins d’y apporter de la vermine qui les pourrit ensuite…comme un mauvais arbre donne toujours de mauvais fruits à moins de le soigner et de le guérir avec beaucoup de soins et de temps).

Matthieu 7 16-19.

C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Cueille-t-on des raisins sur des épines ou des figues sur des chardons ??? Ainsi tout arbre bon produit de bons fruits, tandis que l’arbre gâté produit de mauvais fruits.

Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un arbre gâté porter de bons fruits. Tout arbre qui ne donne pas un bon fruit, on le coupe et on le jette au feu.

Mais si Jésus sait que cet arbre redeviendra un bon arbre portant de bons fruits à condition de lui accorder un peu plus de temps et de s’occuper beaucoup de lui, de L’Aimer encore plus, d’être plein de Miséricorde et de Compassion pour lui…alors Jésus dit à Son Père : « Père, laisse-le cette année encore, le temps que je creuse tout autour, que j’y mette du fumier… peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir…sinon tu le couperas ».

C’est ainsi que des parents saints ont des enfants (et générations qui suivent) qui deviennent souvent de plus grands saints et que des parents corrompus ont des enfants (et générations qui suivent) qui deviennent souvent beaucoup plus corrompus…sauf que chacun ayant sont libre arbitre (Dieu nous a laissé libre dans Son Amour infini pour nous, libre de Le choisir ou libre de Le rejeter, libre d’Aimer ou libre d’Haïr, libre de faire le bien ou libre de faire le mal, libre d’hériter du Royaume qu’Il nous offre si nous suivons Ses Commandements d’Amour ou libre d’hériter de L’Enfer si nous suivons les désirs corrompus de notre chair), des parents saints peuvent engendrer des enfants corrompus (voir la maman de Judas qui était une sainte femme et Judas qui était corrompu) et inversement des parents corrompus peuvent engendrer de saints enfants (qui s’offriront en Sacrifice agréable à Dieu pour la conversion de leurs parents, quitte à accepter le martyr qu’ils en subiront parfois quotidiennement…

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA QUATRIEME PARTIE.

Sous-pages :

• 95. La Communion des Saints (a).
• 95. La Communion des Saints (b).
• 95. La Communion des Saints (c).
• 95. La Communion des Saints (d).