- Accueil
- Réflexions personnelles 76-100
- 93. l'eucharisitie
- L' EUCHARISTIE, signe de La Miséricorde Divine...1ère Partie.
L' EUCHARISTIE, signe de La Miséricorde Divine...1ère Partie.
L’EUCHARISTIE, signe de
J’aimerais revenir aujourd’hui sur un sujet que j’ai très souvent abordé, car il est essentiel dans notre vie Chrétienne. Il s’agit du plus grand Miracle de Jésus, celui de L’Eucharistie.
Extrait de ma Réflexion n°32 : Quelques Méditations.
Qu’est-ce que L’Eucharistie ? Le plus grand des miracles de Dieu, Le plus Saint. C’est Dieu Lui-même.
C’est Dieu parce que dans L’Eucharistie se trouvent Le Fils de Dieu, Dieu comme Père, Dieu fait Chair par L’Amour, autrement dit par Dieu qui est Amour et par L’Opération de L’Amour, c’est-à-dire de
C’est Dieu parce que c’est un miracle d’Amour et, là où L’Amour est présent, Dieu est présent.
L’Amour témoigne de Dieu plus que toute parole ou dévotion, action ou œuvre.
Moi qui suit L’Auteur de ce miracle qui témoigne de La Puissance de Dieu et de Sa Nature (L’Amour) Je rends honneur à ce miracle, pour vous affirmer qu’il est Vrai, pour vous affirmer qu’il est Saint, pour vous affirmer qu’il doit être vénéré avec Le plus grand des Respects.
Jésus Le Maître adore Sa Nature Divine dans L’Eucharistie.
Mais pour en parler, j’aimerais d’abord laisser Jésus témoigner du rôle des Prêtres qu’Il a institué, ainsi que de La Sainteté et de La Pureté de cœur, d’esprit, de membres et de langue qu’Il attend d’eux, lors de ses Révélations à Maria Valtorta.
Jésus se trouve avec ses apôtres (y compris Thomas) après La Résurrection et leur parle après avoir demandé à Thomas de toucher ses Plaies afin qu’il ne soit plus incrédule mais croyant. http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2010/10-015.htm (Tome 10, chapitre 15 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé).
“Vous” continue-t-il “vous avez été avec Moi dans les épreuves... Vous serez aussi avec Moi dans
Vous ne savez pas que l’infusion de l’Esprit est comme un baptême de feu, puisque l’Esprit est Amour et que l’amour annule les fautes ? Votre péché de désertion, pour ce motif, pendant que je mourais vous est pardonné. ”
(Jean 20 21-23 : Comme Le Père m’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie. Ayant dit cela, Il souffla et leur dit : « Recevez L’Esprit-Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis. Ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus »).
“Je vous ai donné le pouvoir de remettre les péchés. Mais on ne peut donner ce que l’on ne possède pas.
Vous devez donc être certains que ce pouvoir Je le possède dans la perfection et J’en use pour vous qui devez être tout à fait purs pour purifier ceux qui viendront à vous, souillés par le péché.
Comment quelqu’un pourrait-il juger et purifier, s’il méritait d’être condamné et s’il était personnellement impur ? Comment quelqu’un pourrait-il juger un autre s’il avait une poutre dans son œil et des poids infernaux dans son cœur ? Comment pourrait-il dire : “Je t’absous au nom de Dieu” si, à cause de ses péchés, il n’avait pas Dieu avec lui ?
Amis, réfléchissez à votre dignité de prêtres. Auparavant j’étais parmi les hommes pour juger et pardonner. Maintenant je m’en vais au Père. Je reviens à mon Royaume. La faculté de juger ne m’est pas enlevée. Et même elle est toute entière en mes mains puisque le Père me l’a déférée.
Mais c’est un jugement redoutable, car il se fera quand il ne sera plus possible à l’homme de se faire pardonner avec des années d’expiation sur la Terre.
Toute créature viendra à Moi avec son esprit quand elle laissera, à cause de la mort matérielle, sa chair comme une dépouille inutile. Et je la jugerai une première fois.
Puis l’Humanité reviendra avec son vêtement de chair, repris sur commandement céleste, pour être séparée en deux parties : les agneaux avec le Pasteur, les boucs sauvages avec leur Tortureur.
Mais combien y aurait-il d’hommes qui seraient avec leur Pasteur si après le bain du Baptême il n’y avait plus quelqu’un pour pardonner en mon nom ?
Voilà pourquoi je crée les prêtres. Pour sauver ceux qui ont été sauvés par mon Sang. Mon Sang sauve. Mais les hommes continuent à tomber dans la mort, à. retomber dans
Vous et vos successeurs le ferez.
A cause de cela, je vous absous de tous vos péchés. Car vous avez besoin de voir, et la faute aveugle car elle enlève à l’esprit la Lumière qui est Dieu. Parce que vous avez besoin de comprendre, et la faute abêtit car elle enlève à l’esprit l’intelligence qui est Dieu. Parce que vous avez le ministère de purifier et la faute souille, car elle enlève à l’esprit la Pureté qui est Dieu.
Il est grand votre ministère de juger et d’absoudre en mon nom ! Quand vous consacrerez pour vous le Pain et le Vin et en ferez mon Corps et mon Sang, vous ferez une chose grande, surnaturellement grande et sublime.
Pour l’accomplir dignement vous devez être purs puisque vous toucherez Celui qui est le Pur et que vous vous nourrirez de la Chair d’un Dieu.
Vous devrez être purs de cœur, d’esprit, de membres et de langue car c’est avec le cœur que vous devrez aimer l’Eucharistie et il ne faudra pas mêler à cet amour céleste des amours profanes qui seraient un sacrilège.
Purs d’esprit parce que vous devrez croire et comprendre ce mystère d’amour et l’impureté de pensée tue la Foi et l’intelligence. Il reste la science du monde, mais en vous meurt la Sagesse de Dieu.
Vous devrez être purs de membres, car dans votre sein descendra le Verbe comme il est descendu dans le sein de Marie grâce à l’Amour.
Vous avez l’exemple vivant de ce que doit être un sein qui accueille le Verbe qui se fait Chair.
Cet exemple est celui de la Femme sans faute d’origine et sans faute individuelle qui m’a porté.
Observez comme est pur le sommet de l’Hermon encore enveloppé dans le voile de la neige d’hiver. De l’Oliveraie, il parait être un tas de lys effeuillés ou d’écume de mer qui s’élève comme une offrande en face de l’autre blancheur des nuages, portés par le vent d’avril à travers les champs azurés du ciel. Observez un lys qui ouvre maintenant sa corolle à un sourire parfumé.
Et pourtant l’une et l’autre pureté sont moins vives que celle du sein qui m’a formé. La poussière apportée par les vents est tombée sur les neiges de la montagne et sur la soie de
Mieux encore : regardez la perle la plus pure que l’on a arrachée à la mer, au coquillage où elle est née, pour orner le sceptre d’un roi. Elle est parfaite dans son irisation compacte qui ignore le contact profanateur de toute chair, s’étant formée comme elle l’est dans la cavité nacrée de l’huître, isolée dans le fluide saphir des profondeurs marines. Et pourtant elle est moins pure que le sein qui m’a porté. A son centre se trouve un petit grain de sable, un corpuscule très menu, mais toujours terrestre.
En Elle qui est la Perle de la Mer, il n’existe pas de grain de péché, ni de tendance au péché. C’est une perle née dans l’Océan de la Trinité pour porter sur
Une étincelle qui, trouvant en Elle une correspondance, a engendré les tourbillons du Divin Météore, qui maintenant appelle et attire à Lui les fils de Dieu : Moi, le Christ, Étoile du Matin.
C’est cette Pureté inviolée que je vous donne en exemple.
Mais quand ensuite, comme des vendangeurs près d’une cuve, vous plongez vos mains dans la mer de mon Sang, et en puisez de quoi purifier les étoles corrompues des misérables qui ont péché, soyez en plus d’être purs parfaits pour ne pas vous souiller d’un péché plus grand, et même de plusieurs péchés, en répandant et en touchant d’une manière sacrilège le Sang d’un Dieu ou en manquant à la charité et à la justice, en le refusant ou en le donnant avec une rigueur qui n’est pas du Christ, qui fut bon avec les mauvais pour les attirer à son Cœur et trois fois bon avec les faibles pour les porter à la confiance, en usant de cette rigueur trois fois indignement en s’opposant à ma Volonté, à ma Doctrine et à
O mes bien-aimés, amis que j’envoie à travers les chemins du monde pour continuer l’œuvre que j’ai commencée et qui sera poursuivie tant que le Temps existera, rappelez-vous mes paroles. Je vous les dis pour que vous les disiez à ceux que vous consacrerez pour le ministère dans lequel je vous ai consacrés.
Mais, ô douleur qui fait saigner la blessure de mon Cœur comme quand elle fut ouverte sur le Golgotha ! Mais que voient mes yeux divins ? Il n’y a peut-être pas de prêtres parmi les foules innombrables qui passent ? C’est pour cela que saigne mon Cœur ?
Les séminaires sont-ils vides ? Mon divin appel ne résonne donc plus dans les cœurs ? Le cœur de l’homme n’est-il plus capable de l’entendre ?
Non. Au cours des siècles, il y aura des séminaires et dans ceux-ci des lévites. D’eux sortiront des prêtres car à l’heure de l’adolescence mon appel aura résonné avec une voix céleste en de nombreux cœurs et eux l’auront suivi.
Mais d’autres, d’autres, d’autres voix seront venues ensuite avec la jeunesse et la maturité, et ma Voix aura été dominée dans ces cœurs. Ma Voix qui parle au cours des siècles à ses ministres, pour qu’eux soient toujours ce que vous êtes maintenant : les apôtres à l’école du Christ. Le vêtement est resté, mais le prêtre est mort.
Chez un trop grand nombre, au cours des siècles, ce fait se produira. Ombres inutiles et sombres, ils ne seront pas un levier qui soulève, une corde qui tire, une source qui désaltère, un grain qui nourrit, un cœur qui est un oreiller, une lumière dans les ténèbres, une voix qui répète ce que le Maître lui dit.
Mais ils seront pour la pauvre humanité un fardeau de scandale, un poids de mort, un parasite, une pourriture… Horreur ! Les plus grands Judas de l’avenir je les aurai encore et toujours parmi mes prêtres !
Amis, Je suis dans La Gloire et cependant Je pleure. J’ai pitié de Ces foules innombrables, troupeaux sans pasteurs ou avec des pasteurs trop peu nombreux. Une pitié infinie !
Eh bien, je le jure par ma Divinité : Je leur donnerai le pain, l’eau, la lumière, la voix que ne veulent pas donner ceux qui ont été choisis pour cette œuvre.
Je répéterais au cours des siècles le miracle des pains et des poissons. Avec quelques pauvres, petits poissons et avec quelques quignons de pain : d’humbles âmes et laïques, Je donnerais à manger à un grand nombre et ils en seront rassasiés et il y aura pour ceux de l’avenir, car “J’ai Compassion de ce peuple” et Je ne veux pas qu’il périsse.
Bienheureux ceux qui mériteront d’être tels. Non pas bénis parce qu’ils sont tels, mais parce qu’ils l’auront mérité par leur amour et leurs sacrifices.
Et tout à fait bénis les prêtres qui sauront rester apôtres : pain, eau, lumière, voix, repos et remède de mes pauvres fils. Ils brilleront dans le Ciel d’une lumière spéciale. Je vous le jure, Moi qui suis la Vérité.
Levons-nous, amis, et venez avec Moi pour que je vous enseigne encore à prier. L’oraison c’est ce qui alimente les forces de l’apôtre car elle le fond avec Dieu.
Comme nous le voyons, Jésus a besoin de Prêtres pour Son Eglise. Mais Il a besoin de Saints Prêtres qui se laissent Convertir, avec Humilité et Obéissance, par La Grâce que Dieu met en eux pour devenir les « Bons Bergers » qui sauront prendre soin du troupeau que Dieu leur confie.
Extrait de ma Réflexion n° 17 : Être Prêtre Catholique.
Tout cela pour dire à tous (et à vous les Prêtres, en particulier) que les âmes sont sauvées par Le Sacrifice, par La Générosité dans Le Sacrifice qui va jusqu’au dépouillement total et absolu des affections, du confort, du nécessaire, de la vie.
La terre, corrompue par tant de choses, fermente comme un corps en décomposition qui contamine les âmes par sa puanteur de péché. Mais les cœurs seraient purifiés si les églises disséminées parmi les maisons étaient des encensoirs où un prêtre vit avec ardeur et brûle d’Amour, et la puanteur du monde serait contrebalancée par Le Parfum de Dieu suintant du cœur des prêtres qui vivent dans un état de totale « fusion » avec Dieu et s’anéantissent en Dieu au point d’être uniquement comme Moi, qui suis dans Le Saint-Sacrement à la disposition de l’homme à tout moment.
En effet, Moi, Dieu, J’y suis sans fatigues, sans orgueil, sans résistance.
De tels prêtres, des prêtres parfaits, ressemblent au soleil. Ils aspirent les âmes au Ciel comme s’il s’agissait de gouttes d’eau, ils les purifient dans l’atmosphère du Ciel. Elles deviennent alors comme des nuages qui se dissolvent délicatement en rosée bénéfique pendant la nuit, discrètement, pour porter un peu de fraîcheur sur les plaies et sur la soif brûlante des âmes, ces pauvres fleurs blessées par tant de choses.
Ils aspirent : Pour aspirer (les âmes) à soi, il faut avoir une grande force. Seul un très vif Amour pour Le Seigneur et pour Le Prochain peuvent le procurer. Si vous êtes bien établis en Dieu, en haut, tout en haut au-dessus de la terre, vous pouvez, si vous le voulez, attirer les âmes à vous, c’est-à-dire à Dieu, en qui vous vivez.
C’est une entreprise qui exige générosité et constance. Le moindre battement de cil doit servir ce but. Toutes vos actions doivent tendre à cela.
Il est des regards qui peuvent convertir un cœur quand Dieu y brille.
Ils se dissolvent : Se sacrifier, de toutes les manières, en secret, en apportant aux âmes desséchées Le Rafraîchissement Céleste qui se répand si doucement qu’elles ne savent pas à quel moment cela a eu lieu, mais elles se découvrent humides.
Exactement comme le fait la rosée qui tombe, silencieuse et pudique, pendant que tout repose (les hommes, les animaux et les fleurs), lave l’air des impuretés du jour, désaltère et couvre de perles les plantes et les feuillages.
Sacrifice, Sacrifice, Sacrifice, ô prêtres !!! Prière, Prière, Prière, ô pasteurs !!!
Je vous ai appelés « pasteurs ». Je ne vous ai appelés ni « solitaires » ni « capitaines ». Le solitaire vit par lui-même. Le capitaine marche à la tête des siens.
Mais le « pasteur » se tient au milieu de son troupeau et le surveille. Il ne s’isole pas, car le troupeau se disperserait. Il ne marche pas à la tête, car les tête-en-l’air du troupeau resteraient à l’écart du chemin, à la proie des loups et des voleurs.
A moins d’être fou, le pasteur vit au milieu de son troupeau, il l’appelle, le regroupe, il va inlassablement de l’avant à l’arrière.
Il le précède dans les difficultés, qu’il examine en premier et aplanit le plus possible. Il rend sûrs les passages malaisés par ses efforts, puis il reste à l’endroit difficile pour surveiller le passage de ses brebis. S’il voit que l’une d’elles est apeurée ou faible, il la prend sur les épaules et lui fait traverser l’endroit dangereux. Il ne s’enfuit pas si le loup vient, mais il se jette sur lui devant ses brebis et les défend, quand bien même il devrait mourir pour les sauver.
Il s’immole pour elles, pour assouvir la faim du fauve, de sorte qu’il ne se sente plus le besoin de dévorer.
Que de fauves s’en prennent aux âmes !!! Le pasteur ne se perd pas en vains discours avec les passants, il ne si distrait pas avec des choses qui ne sont pas de sa compétence.
Il s’occupe de son troupeau, et voilà tout.
Le Prêtre doit être un Témoin de L’Amour de Dieu, Témoin non seulement en paroles, mais par toute sa vie qui doit être à l’image de la vie de Jésus sur Terre. Ce ne doit plus être lui qui parle, qui agit, qui vit mais Dieu en lui.
Pour cela le Prêtre a besoin de la Prière, de l’aide et du soutien de tous et non pas d’être pressé comme un citron jusqu’à éclater, d’être considéré comme coupable de tous les problèmes des gens avant même qu’il est pu réagir, d’être invité par tous ceux qui veulent avoir de l’ascendance sur lui dans de nombreux repas continuels et bien arrosés.
Pour cela le Prêtre a besoin de pouvoir s’isoler régulièrement (à l’image de Jésus) pour se retirer dans la Prière et l’Union à Dieu (car personne ne peut répandre L’Amour de Dieu s’il ne peut puiser à Sa Source afin de Le répandre sur tous).
Pour cela le Prêtre a besoin de se laisser Convertir par Dieu en étant Humble, plein d’Amour et Miséricordieux, Obéissant envers son autorité et au service de tous, qu’ils soient bien en vue et cherchant à l’accaparer en permanence ou discret dans leur coin, n’osant pas l’aborder, qu’ils aient beaucoup de pouvoir et d’argent ou rejetés et exclus par tous, qu’ils soient bons Chrétien ou horribles délinquants, qu’ils soient nouveau-nés ou vieillards grincheux et malades, qu’ils soient croyants ou incroyants…
Mais le Prêtre est aussi et avant tout un homme qui, a un moment de sa vie, a découvert L’Amour de Dieu et a décidé de le faire découvrir à tous en devenant Prêtre. Ce n’est pas un saint et personne ne peut se prévaloir de l’être.
Dieu désire l’amener sur un Chemin d’Amour toujours plus grand et de Conversion toujours plus profonde…mais Dieu (rappelez-vous ce Commandement adressé à tous les Chrétiens : « Tu Aimeras ton prochain comme toi-même ») a besoin de L’Amour et La Miséricorde de tous envers Ses Prêtres et non pas de leur condamnation dès qu’ils commettent une faute.
Dieu peut se servir de tout Chrétien pour remettre sur le droit chemin un Prêtre qui s’égare en lui rappelant avec Amour et Miséricorde le mal qu’il fait, mais ce n’est pas à nous de condamner le Prêtre lui-même…car nous sommes tous pécheurs et personne ne connaît l’âme du Prêtre, si ce n’est Dieu Lui-même (n’oublions pas que Le Jugement n’appartient qu’à Dieu)…nous devons condamner fermement le péché, mais jamais le pécheur surtout lorsqu’il se repend !!!
Dieu a besoin de Ses Prêtres pour distribuer Ses Sacrements d’Amour et Sa Grâce à tous Ses enfants…sans eux, plus personne ne peut recevoir Le Baptême, ni recevoir Le Sacrement de La Réconciliation nous ouvrant à La Grâce de Dieu perdue lors de nos péchés, ni Le Sacrement de L’Eucharistie reçue en état de Grâce qui est le plus grand Miracle de Dieu…et qui est la nourriture indispensable dont nous avons besoin pour hériter de La Vie de Dieu en nous.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 6,52-59.
Les Juifs discutaient entre eux : « Comment cet homme-là peut-il nous donner sa chair à manger ? »
Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même aussi celui qui me mangera vivra par moi.
Tel est le pain qui descend du ciel : il n'est pas comme celui que vos pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. »
Voilà ce que Jésus a dit, dans son enseignement à la synagogue de Capharnaüm.
Commentaire du jour
Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Lettere di Padre Pio, Vicenza 1969, p.55
« Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle »
Question : Padre, je me sens tellement indigne de communier ! Vraiment, j'en suis indigne.
Réponse : C'est vrai, nous ne sommes pas dignes d'un tel don ; mais une chose c'est d'y prendre part indignement en état de faute grave, une autre c'est de ne pas en être dignes. Tous nous en sommes indignes ; mais c'est Jésus qui nous invite, c'est lui qui le désire. Soyons donc humbles et recevons-le d'un coeur rempli d'amour.
Question : Padre, pourquoi pleurez-vous lorsque vous communiez ?
Réponse : Si l'Église a poussé ce cri : « Il ne dédaigna point le sein de la Vierge », en parlant de l'incarnation du Verbe dans le sein de l'Immaculée, que dire de nous, pécheurs ? Mais le Christ a dit : « Qui ne mange pas ma chair et ne boit pas mon sang, n'aura pas la vie éternelle. » Par conséquent, approchons-nous de la table de communion avec beaucoup d'amour et un grand respect. Que toute la journée serve, d'abord à nous y préparer, ensuite à rendre grâce.
Alors portons-les dans nos cœurs et dans nos Prières, souffrons de l’égarement de certains qui n’ont pas compris L’Amour de Dieu ou qui ont été étouffé ou condamné injustement, offrons pour eux nos Sacrifices…et Aimons-les, eux que Dieu a mis sur notre route pour nous apporter La Grâce et La Vie de Dieu en nous, Aimons L’Eglise de Jésus que Dieu nous donne pour nous éclairer « humainement » et « spirituellement » et pour nous fortifier sur ce Chemin si difficile de L’Amour, du Pardon, de La Miséricorde, de La Compassion, de L’Humilité, de La Pureté, de L’Obéissance Amoureuse et du Don de Soi que Dieu nous demande de prendre afin de pouvoir hériter, à notre mort sur cette Terre, de Son Royaume pour un Bonheur Infini, inimaginable et éternel.
Le Prêtre nous permet de recevoir (ou plus exactement Dieu se sert de Ses Prêtres pour nous donner, comme Jésus, sur Terre, se servait de Ses apôtres) La Vie de Dieu en nous grâce au Pouvoir qu’ils ont reçus par
Ainsi Ses Prêtres, au nom de Dieu, et par l’intermédiaire de Son Eglise Catholique Romaine, distribuent Les Sacrements Divins à ceux qui sont prêts à les recevoir.
Ils sont 7 Sacrements : Baptême – Réconciliation – Sacrement des malades – Ordination – Mariage – Confirmation – Eucharistie.
Mais pour avoir de bons Prêtres Témoins de L’Amour de Dieu, comme je l’ai déjà dit plusieurs fois, il faut que leur formation soit pleine de L’Amour de Dieu…et cette formation commence dès leur naissance avec leurs parents !!!
Le Pape Jean-Paul II (Prêtre devenu Pape) disait par rapport aux vocations des Prêtres.
« Leur vocation est liée aux profondeurs de la conscience et de la liberté humaine. Avec celle-ci commence un dialogue d’Amour, qui, jour après jour, modèle la personnalité du Prêtre à travers un chemin de formation commencé dans la famille, poursuivi par la suite au séminaire, et dure toute la vie.
Ce n’est que grâce à cet itinéraire ascétique et pastoral ininterrompu que le Prêtre peut devenir l’image vivante de Jésus, Bon Pasteur, qui se donne lui-même pour le troupeau qui lui est confié ».
Extrait de ma Réflexion : Prière pour les Vocations.
Comme cela est souvent le cas, les vocations naissent plus facilement dans des milieux où les parents vivent vraiment et concrètement L’Amour pour Dieu, tel que L’Evangile nous l’enseigne, tel que L’Eglise nous le demande et élèvent leurs enfants en leur faisant découvrir cet Amour dont Dieu les Aime personnellement et leur enseignent comment y répondre.
En effet, comme les prêtres et les religieux, comme toute personne vivante a eu, au départ, un père et une mère, qui lui a transmis la vie, je pense que notre prière pour l’Eglise, doit commencer par une prière pour les vocations, mais dés le sein de notre famille.
Il faut de Saintes familles pour qu’il y est de Saints prêtres et de Saints religieux et il faut que ces familles désirent avoir de Saints prêtres et de Saints religieux parmi leurs propres enfants et leurs descendances, en priant pour eux, en les éduquant Chrétiennement et en leur montrant l’Amour de DIEU par le témoignage de leur vie.
Aussi je prie pour que chaque famille Chrétienne porte vers Dieu une prière continuelle pour que de Saintes vocations naissent parmi leur descendance, et pour cela, que ces familles vivent vraiment plongées dans Le FEU de l’Amour de Dieu.
Je vous livre la prière que j’ai faite mienne et que je redis chaque jour.
PRIERE POUR LES VOCATIONS :
Que Le Seigneur Notre Dieu, qui est Père, Fils et Saint-Esprit, accorde à notre famille, et à toute sa descendance, tant qu’elle durera, si possible, jusqu’à la fin de monde, de très nombreux Saints qui brûleront d’Amour pour Toi, Mon Seigneur et Mon Dieu, et pour Ta Très Sainte Maman,
Et si notre famille n’existe plus d’ici la fin du monde, qu’il y est quand même encore en cette période, de très nombreux Saints qui brûleront d’Amour pour Toi, Mon Seigneur et Mon Dieu, et pour Ta Très Sainte Maman.
POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
Ajouter un commentaire