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JESUS-CHRIST, Chemin pour notre Salut, Porte ouverte pour notre Rédemption…5ème Partie.
Dieu nous dit clairement que pour hériter du Ciel il nous faut prendre le même Chemin que Jésus…Ce Chemin n’est en aucun cas, un chemin de compromissions. Son Chemin est Lumière et Vérité…quoiqu’il en coûte (Lumière et Vérité, non pour condamner ou Juger, mais pour amener à la conversion, à l’humilité, à l’obéissance, à la compassion et à la Miséricorde).
Nous ne pouvons accepter de prendre un chemin qui nous conduit à faire des compromissions avec le péché…qui nous font croire que nous sommes « purs » alors que nous sommes au contraire englué dans nos péchés (celui qui rêve de céder aux tentations qui l’assaillent est aussi coupable que celui qui cède concrètement à ces mêmes tentations…car il en prend le chemin en en jouissant à l’avance…avant de tomber lors de l’attaque suivante des démons qui l’assaillent).
Chaque compromission nous rend un peu plus esclave de notre chair et de Satan (même si les autres ne le voient pas…mais Dieu le voit…et l’âme en reçoit les blessures).
Vous ne pouvez vous dire Chrétien en rejetant ouvertement la luxure (quitte à condamner ceux dont vous penser qu’ils la vivent, quitte à avoir des parole médisantes à leur égard…ce qui est un manque évident d’Amour pour le frère que Dieu met sur votre route… « que celui qui n’a pas péché lui jette la première pierre »…et Dieu seul est sans péché, voit le fond des cœurs et peut juger) et vous précipiter sur des briquets avec des femmes ou des hommes à moitié ou totalement nus, acheter des calendriers ou autres objets « sexy », regarder la poitrine des femmes ou des hommes que vous croisez en les imaginant dans votre intimité (en les déshabillant du regard et de la pensée), rigoler et plaisanter avec des blagues « sexy, salaces voir pires et dégradantes »…car alors vous vivez en permanence dans la luxure.
Vous ne pouvez vous dire Chrétien en rejetant ouvertement le vol…sans réaliser que lorsque vous vous servez, par exemple, du téléphone professionnel de votre patron pour passer des coups de fils personnels vous le volez deux fois, une fois en volant l’argent qu’il paie pour le téléphone et une fois en ne travaillant pas pendant les moments où vous êtes payés…sans réaliser que lorsque vous empruntez quelque chose que vous ne rendez jamais (soit par oubli, par négligence ou par paresse, etc…) vous volez cette personne qui a acheté cette chose et en plus vous êtes menteur si vous lui aviez promis que vous la lui rendriez !!!
Ce ne sont que quelques exemples…mais que chacun peut multiplier à l’infini. Rappelez-vous ce que je disais lors d’une ancienne Réflexion.
Extrait de ma Réflexion n°41 : La Brebis perdue.
Mais quand sommes-nous cette brebis égarée et prisonnière des ronces (du péché) ???
Lorsque nous violons même un seul des dix commandements (voir ma Réflexion « Les 10 Commandements » (n°15).)
Lorsque nous commettons un des sept péchés capitaux (voir ma Réflexion « Exigence de L’Amour » (n°13).)
Lorsque nous succombons aux tentations qui surviennent en nous, sans le moindre regret, mais au contraire avec un plaisir profond (ces tentations variant avec chacun, en fonction de ce que nous sommes).
La tentation (le désir corrompu en nous) n’est pas un péché, si nous le rejetons dés qu’il survient (si Eve avait rejeté Satan dès ces premiers mots critiquant l’ordre de Dieu, où, si, se sentant séduite, pour ne pas succomber, avait appelé Dieu, immédiatement à son aide…elle n’aurait pas commis de péché).
Mais la tentation (le désir corrompu en nous) devient un péché lorsque nous nous laissons séduire par cette tentation (comme Eve), nous l’entretenons en nous, nous la macérons en nous, voir nous y entraînons les autres avec nous (viens que je te montre ce que j’ai envi(e), à l’image d’Eve invitant Adam à se joindre à son désir) !!!
Le désir corrompu et entretenu devient un péché au même titre que si l’acte était consommé réellement (car alors le cœur a déjà péché en nous…même si les autres ne le savent pas et ne le voient pas…car Dieu voit tout ce qui est au plus profond de nous, et ce que nous sommes et vivons réellement en nous !!!).
Je vais prendre deux exemples (à chacun de s’examiner en fonction de ce qu’il vit) qui montrent bien cela.
2/ Vous vous réveillez au milieu d’un rêve, et le seul souvenir que vous en avez, c’est l’image d’un très beau jeune homme inconnu (ou d’une très belle jeune fille inconnue), sans aucun vêtement en train de vous caresser amoureusement et langoureusement.
Qu’allez-vous faire ???
Allez-vous vous reprendre aussitôt, demander pardon à Dieu d’avoir eu de telles pensées, même si elles venaient de votre inconscient, et rejeter immédiatement toutes ces images…et dans ce cas, vous ne commettez aucun péché…voir, si vous sentez que ces images restent en vous, demander à Dieu de vous en débarrasser et de venir au secours de votre faiblesse (ce qu’aurait dut faire Eve), vous ne commettez là non plus, aucun péché.
Allez-vous au contraire, rester allongé dans votre lit en pensant à cette image, en la malaxant, en y rêvant éveillé, en imaginant une suite très agréable, etc…auquel cas vous êtes en état de péché au même titre que si vous aviez consommé réellement et concrètement cette union intime avec cet(te) inconnu(e) et donc cet adultère !!!
Nous sommes cette brebis, lorsque voulant donner l’apparence extérieure de « bons Chrétiens », nous allons à L’Eucharistie le dimanche et nous allons communier alors que nous sommes et vivons en état de péché…nous disant intérieurement : « le prêtre ne le sais pas, les paroissiens non plus »… ou nous disant intérieurement : « je ne veux pas rester seul à ma place alors que les autres et surtout mon conjoint vont tous communier, je paraîtrais alors, à leurs yeux, en état de péché…et je ne veux pas qu’ils le découvrent !!! »,…alors que, par exemple, nous vivons en concubinage ou nous avons des relations avec des unions illégitimes (j’ai fait une liste non limitative plus haut dans cette Réflexion), voir des unions illégitimes et contre-nature, voir des unions illégitimes, contre-nature et en groupe (mais ceci est valable pour tout péché à commencer par la non-obéissance à au moins un des 10 Commandements et par les 7 péchés capitaux, mais se poursuivant par tous les péchés véniels que nous faisons en connaissance de cause, sans les regretter et demander pardon (en s’engageant devant Dieu à ne plus les faire) dans Le Sacrement de Pénitence).
C’est oublier un peu vite que c’est Dieu que nous recevons en nous et que Lui voit tout.
C’est vouloir unir le corps et le sang de Dieu avec notre luxure et notre corruption puisque dans l’hostie (même si ce n’est qu’une partie la plus infime possible) se trouve le corps en entier de Jésus avec Son Sang. L’hostie consacrée que nous mangeons lors de
(Mangeriez-vous un suprême dessert dans une assiette contenant les restes de la nourriture donnée aux cochons, restes tout liquide, tout visqueux et tout puant…ou voudriez-vous manger ce dessert dans une assiette bien lavée et bien propre…alors, pensez à cela, lors de votre prochaine communion !!!).
EXTRAIT de ma Réflexion n° 11 Les dons de Dieu
Aussi, fils de Dieu, protégez vous-mêmes contre vous-mêmes. Surveillez-vous attentivement contre toutes les tentations. Être tenté n'est pas un mal. C'est par la lutte que l'athlète prépare
Et voudriez-vous pour une heure de plaisir, de n'importe quelle espèce, perdre une éternité de paix ?
Que vous laisse le plaisir de la chair, de l'or et de la pensée ? Rien. Qu'acquérez-vous en les repoussant ? Tout.
Extraits dans Leçons sur L’Epître de Saint Paul aux Romains (Leçon n°31 du 08 Février 1950…Romains 8 12-16).
Une personne qui a été secourue et gratifiée, à qui doit-elle sa gratitude ??? Qui est-elle tenue de remercier pour l’aide et les dons qu’elle a reçus ??? Son bienfaiteur.
Alors, l’homme, à qui doit-il sa gratitude ??? A la chair ou à l’esprit ???
La chair s’est laissée corrompre par la séduction du fruit défendu. Elle a réduit l’homme, de divin qu’il était par Grâce reçue du Créateur, en un être voué à la douleur, à la lassitude, à la mort, à l’exil loin du Ciel.
L’esprit, lui, par les mérites du Christ est revenu à son état de Grâce. Il a été régénéré, re-déifié, rendu capable de tendre à nouveau vers la joie du Ciel, dans laquelle, elle aussi, aura sa part.
En vérité, c’est à son esprit que l’être humain doit sa gratitude, et même son obéissance, à l’esprit qui guide l’homme vers La Joie éternelle.
Et l’esprit, à son tour, qui est mû par L’Esprit-Saint, doit sa gratitude et son obéissance à Dieu.
Les hommes sont tous, certes, des créatures de Dieu, mais seulement ceux qui vivent de l’esprit sont les « enfants de Dieu ».
Les autres, ceux qui n’obéissent qu’aux instincts et aux tendances de la chair, en vrais esclaves, ceux-là sont « fils de la chair ».
Ce sont des créatures animales, comparables aux autres espèces animales qui vivent sur la terre, dans l’eau, dans les airs, et qui ont été créées par Dieu le sixième jour (Gn 1 20-25).
Mais, tandis que les créatures animales sont toutes agréables au Créateur car elles obéissent à la tâche pour laquelle elles ont été créées sans qu’aucune ne viole sa propre loi naturelle qui les guide dans leurs actes de procréation et dans leur façon de servir l’homme et la nature entière, parmi les hommes au contraire, il y en a qui violent l’ordre Divin qui est en eux.
Ils violent
Ces hommes déplaisent grandement à Dieu, qui par conséquent les repousse de Lui-même et de Son Royaume, car ils assassinent et violent leur propre nature.
Que cela ne vous paraisse pas exagéré. Le pécheur qui vit et meurt dans son péché est un assassin de lui-même dans ses deux natures, qui sont tellement liées qu’elles n’en font qu’une.
La nature surnaturelle de l’homme ne saurait être tuée impunément, c’est-à-dire sans que sa nature naturelle ne soit impliquée elle aussi dans cette mort éternelle.
Et on ne peut vivre comme des brutes sans tuer aussi, de façon prématurée, la nature animale (la chair) par des maladies qui sont la conséquences des vices.
Par conséquent l’homme qui vit comme une brute devient homicide et déicide. En tuant en lui-même la vie spirituelle Divinisée, il supprime aussi sa vie animale.
Il outrage cet Amour créatif qui a choisi de demeurer dans l’esprit de l’homme (Vous êtes Temples de l’Esprit de Dieu) le temps que cet homme doit vivre sur Terre, avant de monter à la demeure éternelle de Dieu : Le Ciel.
Par conséquent l’homme n’est pas débiteur envers sa chair, et il doit tout faire pour éviter de l’être. Cela ne peut lui procurer que châtiment et mort.
L’homme doit plutôt être débiteur de l’esprit. C’est l’esprit qui mérite d’être servi, puisque c’est lui qui donne à la chair les lumières, les voix, la force, l’aide, et les joies surnaturelles pouvant compenser les troubles quotidiens.
Ces lumières, ces voix, ces forces, ces secours, ces joies, sont envoyées à l’esprit en état de Grâce par L’Esprit de Dieu qui demeure en lui.
Extraits dans Leçons sur L’Epître de Saint Paul aux Romains (Leçon n°34 du 14 Mars 1950…Romains 8 22-25).
Le monde est peuplé, ou plutôt, le monde a été peuplé, au commencement, de créatures douées de raison et de créatures non douées de raison.
Peuplé, non qu’elles fussent nombreuses les créatures de chaque espèces, mais parce que les espèces des créatures non douées de raison étaient nombreuses.
Au dessus de ces espèces, il y avait deux créatures qui formaient un couple royal. En effet, elles étaient douées de raison et d’une âme spirituelle et immortelle.
Toutes les choses créées étaient bonnes (Gn 1 31), d’après Le Jugement du Créateur Lui-même, qui est Bonté absolue et parfaite.
Elles étaient « très bonnes », mais de quel genre de bonté ???
Bonnes uniquement parce que l’homme pouvait s’en servir comme aide pour cultiver l’Eden ??? Bonnes comme nourriture ??? Comme agrément ??? Bonnes d’une bonté passive parce que c’était là ce qu’elles devaient être ???
Est-ce qu’elles étaient bonnes par leur tâche servile à l’égard de l’homme qui était différent des autres créatures, qui s’en distinguait par sa position érigée, sa démarche majestueuse, son beau visage, la noblesse de ses actes et de sa voix ???
Est-ce qu’elles étaient bonnes parce que l’homme possédait la supériorité caractéristique de l’être doué de raison : volonté sûre, commandement décidé, capacité de punir ou de récompenser selon la justice, qualités qui inspirent une soumission naturelle à l’être inférieur ???
Non. Elles étaient « très bonnes » parce qu’elles étaient sans férocité, sans méchanceté, sans ruse.
Le lion côtoyait la brebis, le loup l’agneau, le guépard la petite chèvre, les petits de l’ours broutaient l’herbe avec les petits de la jument (comme on peut le lire en Gn 2 19-20 où il est dit qu’Adam leur a donné un nom à chacun).
Même les plus féroces n’étaient pas une menace pour Adam, et lui-même n’inspirait la crainte à aucun d’entre eux.
Ils éteient tous bons, et l’instinct leur disait que l’homme, « bon » lui aussi, ne les aurait pas puni sans raison.
C’est comme cela que le monde redeviendra lorsque « la science du Seigneur », c’est-à-dire le royaume de l’esprit, aura vraiment rempli la Terre une nouvelle fois,comme il est prophétisé par Isaïe (Is 11 6-9).
Puis Adam a péché, et par sa faute la Terre a été maudite. Parmi les nombreuses tribulations que la Terre a produit à l’homme déchu car insubordonné à Dieu, il y a celle de l’insubordination des créatures qui lui étaient inférieures.
En effet, en plus d’être obligé, pour avoir sa nourriture quotidienne, de travailler une terre devenue maudite, Adam s’est trouvé obligé de se protéger contre les animaux, créatures inférieures qui n’étaient plus bons.
Ils lui étaient devenus rebelles comme lui-même était devenu rebelle à Son Créateur. Et ils étaient devenus ennemis entre eux.
Depuis, c’est le désordre qui a installé son règne, et ce désordre va durer jusqu’au Jour du Seigneur, jusqu’au retour de Son Royaume.
Alors disparaîtront le ciel et la terre tels qu’ils existent maintenant et surgiront des nouveaux Cieux et une nouvelle Terre (Ap 21 1).
Et les hostilités entre les créatures seront terminées.
D’ici là, les fils de Dieu doivent constamment lutter, soupirer et gémir, afin d’engendrer en eux-mêmes « le fils de Dieu ».
Cette transformation de l’homme charnel en homme Spirituel et de l’homme Spirituel en fils de Dieu qui monte au Ciel, pour posséder Le Royaume du Père, dont il est cohéritier pour Le Christ et avec Le Christ (Rm 8 17), est une transformation qui ressemble vraiment à une longue et laborieuse gestation, à un travail douloureux d’enfantement.
Mais réconfortez votre esprit avec les Paroles du Divin Maître (Jn 16 21-22) : « La femme, sur le point d’accoucher, s’attriste parce que son heure est venue. Mais lorsqu’elle a donné le jour à l’enfant, elle ne se souvient plus des douleurs, dans la joie qu’un homme soit venu au monde. Vous aussi maintenant vous êtes tristes, mais Je vous verrai de nouveau et votre cœur sera dans la joie, et votre joie, nul ne vous l’enlèvera ».
Or la naissance d’un homme qui par sa volonté propre naît en esprit et en vérité, et devient fils de Dieu d’homme charnel qu’il était, cette naissance en est une encore plus grande que la première.
Rappelez-vous aussi les autres Paroles Divines (Lc 21 19) : « C’est par votre constance que vous sauverez vos vies »…que vous sauverez vos âmes, c’est-à-dire que vous leur donnerez la Gloire après votre longue fatigue terrestre.
Travaillez donc avec fidélité et constance à votre transformation en fils de Dieu. Attendez avec patience la vision de ce qui maintenant n’est que matière de Foi pour vous, et que vous espérez voir un jour.
Même si votre existence est longue, et votre épreuve ardue, elles sont démesurément inférieures comparées (tant en longueur qu’en profondeur) à l’éternité de La Béatitude qui vous attend.
Quelle que soit la force des agents et des causes qui vous procurent lutte et souffrance, pensez que Dieu vous a donné des agents et des causes de victoire infiniment supérieurs que ceux par lesquels vous êtes attaqués et affligés.
Il vous a donné La Grâce, Les Sacrements, La Parole évangélique. Il vous a rendu La Loi facile par le mobile que Jésus-Christ y a introduit : L’Amour.
Extraits dans Leçons sur L’Epître de Saint Paul aux Romains (Leçon n°35 du 29 Mars 1950…Romains 8 26-27).
Finalement, vous sont données aussi l’aide et la Prière du Saint-Esprit.
L’Esprit-Saint, par son aide, vient au secours de votre faiblesse de mille manières. En se donnant à vous avec son immensité de Lumière et de Puissance, Il pénètre et Illumine même les retraits les plus enfouis de votre esprit.
Il y fait prospérer La Grâce et les autres vertus en vous faisant connaître Le Père, Le Fils et Leur Amour réciproque, c’est-à-dire Lui-même (L’Esprit-Saint), comme aucun livre, aucune parole de sagesse humaine ne saurait le faire.
Vous vous transformez donc en fils de Dieu, et vous accomplissez des œuvres dignes d’un fils de Dieu. En cela vous augmentez votre identification avec Lui, et continuez votre ascension vers La Perfection.
Plus encore : Votre « moi », autant le moi naturel que le moi Spirituel, toujours imparfaits par suite de la Faute originelle, s’annulent (c’est le mot) pour prendre le « Moi » Parfait du Christ.
Tout Chrétien qui sur Terre réalise cette transformation, moyen par lequel après sa mort, il héritera du Ciel éternel, peut dire avec Paul (Ga 2 20) : « Ce n’est plus moi qui vit, mais c’est Le Christ qui vit en moi ».
Et vraiment ses actions seront des actions accomplies selon L’Esprit du Christ. Ses oraisons seront des oraisons qui poursuivront l’Oraison incessante que Le Christ a faite pendant Sa vie terrestre. Ses souffrances seront en vérité la continuation et le complément des Souffrances du Christ.
Aussi elles ont le même but : La Sanctification des humains…et leur but sera le même : l’exaltation Glorieuse et éternelle après l’humiliation et le martyre de l’immolation.
L’Esprit-Saint étant Dieu, Il sait comment il faut Prier…aussi Il le fait avec vous et pour vous.
Votre Prière, rendue efficace par L’Union avec Sa Prière à Lui, monte au Ciel jusqu’au Trône de Celui qui « scrute » les cœurs.
C’est cela l’aide des aides : votre justification, votre force, votre sanctification, qui se réalise, qui s’exerce, qui commence sur Terre, et qui est couronnée au Ciel.
Romains 8 26-27
Pareillement L'Esprit vient au secours de notre faiblesse, car nous ne savons que demander pour prier comme il faut. Mais L'Esprit Lui-même intercède pour nous en des gémissements ineffables, et Celui qui sonde les cœurs sait quel est le désir de L’Esprit et que son intercession pour les saints correspond aux vues de Dieu.
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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