Lundi 19 Octobre 2009 (Fête de Saint Paul de La Croix)…3ème Partie.

Jésus dit encore :

Pour préserver les corps de la corruption de la mort, on utilise depuis les temps les plus anciens, des aromates qui arrêtent la putréfaction et conservent les dépouilles.

Mais vous, humains qui spirituellement tombez en lambeaux, qui êtes rongés par la Corruption de toute une société pourrie jusqu’à la moëlle…pauvres humains pour qui Je suis mort en vain, pourquoi n’utilisez-vous pas les aromates qui arrêteraient votre Putréfaction ???

Je vous les ai enseignés. Je vous les ai enseignés avec la vie, avec la Parole, avec la mort. Dans Mon Evangile, ils sont la norme pour vivre sains dans la chair et dans l’âme, dans la pensée et dans l’action.

Et cet Evangile, Je l’ai vécu dans Mes trente-trois ans de vie !!!

Vous ne pouvez pas me dire, comme vous pouvez le dire de vos faux prophètes :

« Tu as prêché une chose, mais Tu en as fait une autre !!! ».

Je vous ai enseigné à préférer La Pureté et La Continence à La Luxure, à préférer la sobriété à la débauche, à préférer la fidélité à la tromperie, le travail à l’oisiveté, l’honnêteté à la fraude, le respect des autorités à la rébellion, l’Amour de la famille à la dissipation, La Miséricorde à la dureté, L’Humilité à L’Orgueil, la justice à l’abus, la sincérité au mensonge, le respect de l’innocence au scandale, La Foi à l’incroyance, Le Sacrifice à la jouissance.

Mais toutes ces choses, Moi, Votre Dieu, Je les ai faites avant vous.

Vous avez tout piétiné et vous avez dansé, comme des sots, sur les maximes Divines sur lesquelles reposait votre Bien en cette vie et dans l’autre.

Vous avez augmenté le savoir dans tous les domaines, excepté dans le seul domaine nécessaire : Ma Parole.

Vous avez cru vous élever jusqu’au niveau de surhomme. Vous n’avez réussi qu’à devenir des super animaux.

Seule Ma Loi crée le surhomme car, elle vous déifie et vous rend éternels. Tout le reste ne vous élève pas, il ne fait que vous rendre fous.

Marthe m’a dit : « Maître, Lazare est dans son sépulchre depuis quatre jours et il sent déjà mauvais ».

Mais vous, depuis combien de siècles y êtes-vous ??? Vous vous enfoncez toujours davantage dans le sépulchre et dans la putréfaction de La Mort.

Même Ma Voix ne réussit pas à vous secouer, ni même Mes pleurs !!!

Mais comment pouvez-vous être contents, avilis comme vous l’êtes ???

Vous possédiez Le Ciel, vous étiez les héritiers de Dieu…et maintenant qu’êtes-vous ??? Une foule de lépreux et de possédés des démons qui vous torturent, vous tuent, vous font délirer, vous traînent dans le feu avant que vous ne soyez Morts !!!

Vous avez Le Feu de L’Enfer dans l’esprit et dans le cœur. Et Moi, j’y avais mis Le Feu suave de La Charité !!!

Les aromates pour vous sauver de La Putréfaction totale sont : La Pénitence, Le Sacrifice et La Charité.

Mais voudrez-vous les utiliser ???

Non. Vous ne regardez pas Le Maître Crucifié qui, par Son Sacrifice, vous a donné une nouvelle âme, capable de Vie éternelle, qui vous a Purifiés, par Son Sang et Ses Larmes, de La Lèpre du Péché. Vous ne Le regardez pas.

Il vous parle de Bonté, d’Amour, de Sacrifice. Vous, vous voulez être méchants, vous voulez Haïr, vous voulez jouir !!!

Contre La Grande Victime et contre les petites Victimes qui cherchent à vous insuffler une Vie nouvelle, vous levez un poing menaçant et vous lancez votre Blasphème moqueur.

Prenez garde, humains obstinés !!! La Patience de Dieu est immense, mais ce n’est pas à vous de la tenter outre mesure, car J’ai dit : « Tu ne Tenteras pas Le Seigneur Ton Dieu ».

Pour sauver le monde, Jésus a besoin d’âmes qui soient « follement amoureuses » de Lui au point de désirer renoncer totalement à eux-mêmes et à tous les plaisirs auxquels ils auraient droit pour se détendre et se divertir (sans pour autant vivre dans le péché)…et cela à cause d’une intense Compassion pour toutes les souffrances qu’Il a vécu pour nous obtenir Le Salut.

Grâce à leur Sacrifice consenti et voulu pour Le Salut de tant d’âmes qui, par ignorance (Père, Pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font) courent à leurs pertes pour suivre le monde et ses attraits…Dieu pourra alors agir dans les cœurs de ces âmes, pourra agir dans leurs consciences…afin qu’elles réalisent qu’elles courent à leurs pertes…et en toute humilité, avec un regret amer et profond, elles pourront, si elles le désirent, se convertir pour prendre Le Chemin qui les sauvera de L’Enfer éternel.

Extrait de ma Réflexion n°33 : L’Heure Sainte.

Prenons un exemple pour mieux comprendre le sens du Sacrifice, au travers d’une parabole donné par Jésus à Maria Valtorta :

Une âme, au fil de la vie, se laisse envahir par toutes sortes de choses humaines qui l’encombre et l’empêche, plus ou moins, de pouvoir accueillir Dieu en elle, comme tout ce qui est Spirituel.

L’effort fait pour arracher cette âme à ses idées est dû au fait qu’elle est totalement encombrée.

Pour mettre du liquide dans un vase, il faut que celui-ci soit préparé.

S’il est vide, on peut le remplir de toute l’eau qu’on veut. S’il est à moitié plein, on en mettra la moitié. S’il en manque un doigt pour qu’il déborde, on en mettra un doigt. Ce ne sera pas grand-chose, mais cela servira à y mélanger quelque chose.

Mais s’il est plein jusqu’à ras bord, on ne peut rien y mettre. Absolument rien.

Il faut d’abord le vider.

C’est facile quand le vase peut être déplacé. Mais s’il est fixe et par conséquent inamovible, comment pourrait-on le vider ?

Il faut l’assécher par la chaleur du soleil ou par un travail patient de notre part, en y plongeant une éponge qui aspire le liquide jusqu’à ce qu’il soit vide.

Certains cœurs sont des vases pleins jusqu’au bord et inamovibles. C’est leur volonté qui les rend ainsi. Ils se maintiennent donc dans l’eau qu’ils ont mise, mais qui n’est pas celle que toi et Moi voudrions qu’ils aient. Il est alors nécessaire de les vider de leur contenu avec une charité ardente et une persévérance patiente.

Ce serait une besogne bien plus aisée s’ils se laissaient retourner par un élan d’Amour.

Mais il est plus méritoire pour toi de brûler d’Amour pour les débarrasser du mal et de les essuyer de tout mal par des sacrifices, des sacrifices, et encore des sacrifices, puis d’y mettre Dieu, Ton Dieu.

Voilà pourquoi Dieu a besoin d’âmes qui acceptent de vivre ainsi en offrant leurs « actes de Charité », leur « Sacrifice » et même leur « immolation » qui est « Brûlure d’Amour » pour, par la chaleur d’Amour qu’ils dégagent, assécher le liquide de corruption qui se trouve dans l’âme de leur Prochain (en ayant commencé par assécher le liquide de corruption se trouvant dans leur âme propre…par une conversion totale et par un Amour total pour Dieu et leur Prochain).

Extrait des Révélations faites à Maria Valtorta le 11 Août 1943.

Jésus dit :

Hier soir ton cousin s’étonnait et se désolait parce que tes souffrances ne cessent pendant que tu écris.

Pourquoi devraient-elles cesser ??? Les missions sont toujours pénibles pour la nature humaine. La chair souffre dans le service de Dieu.

Mais plus elle souffre et plus le travail de l’esprit devient fructueux.

A quel moment ai-je accompli Ma Mission au plus haut degré ??? Au moment de Ma plus grande Souffrance.

Et je n’avais pas alors le bien que tu as, car pendant ces heures-là, J’étais abandonné par Le Père. Mais toi, tu ne l’es pas par Moi.

Cela ne suffit-il pas largement à te dédommager de la souffrance de cette poignée de cendres qu’est ta chair ??? Bien-sûr que oui.

Ma présence auprès de toi suffirait à elle seule. Mais Moi, Je t’ai accordé, non seulement Ma présence à tes côtés, mais de plus Ma caresse, Ma vue et Ma Parole.

La Croix portée ainsi n’est plus une Croix pour l’âme. Elle le reste pour la chair et le sang.

Mais tu Me les a donnés en Offrande totale, et il convient qu’ils soient consumés, car dans le Sacrifice s’annulent leurs fautes, dont (tu en es convaincue) Je n’ai pas à parler pour te les rappeler.

Tu me les a donnés pour toi et « beaucoup de choses ». Donc, qu’ils portent la Croix de la souffrance totale, car il est juste qu’il en soit ainsi.

En luttant contre l’angoisse de l’agonie, J’ai accompli jusqu’à la dernière heure Ma Mission de Maître et Rédempteur.

Souviens-toi de Caïphe, de Pilate, des femmes de Jérusalem, de Disma (le bon larron). Jusqu’au bout, J’ai consolé, instruit, sauvé.

Et il n’y a que Moi qui sache qu’elle était Ma Souffrance !!! Comparée à la Mienne, ta souffrance n’est rien.

Aucun disciple n’est plus que Son Maître, en quoi que ce soit, et si Ton Maître a tant souffert pour racheter les êtres humains, toi qui t’es placée dans le sillage du Maître, veux-tu moins souffrir que Lui ???

Du reste, Je sais jusqu’où (si tu acceptes d’être Ma « victime »), Je peux t’accabler. Et si Je t’accable lourdement, c’est signe que Je te donne la capacité de supporter la charge supplémentaire et que : Le besoin de souffrances est infini pour l’heure terrible que vous vivez.

La Souffrance des holocaustes est celle qui empêche, non la ruine matérielle, mais la ruine spirituelle qui, comme un nuage chargé de brouillard, est sur le point d’aveugler les esprits et de les mener à ruiner, matériellement et plus encore, ce qui reste encore sauf.   

Mais, Maria (Valtorta), il n’est pas donné aux petites amies de Jésus de se soustraire à la peine.

Pendant Sa Passion, Votre pauvre Jésus eut pour seul réconfort le secours de Sa Mère.

Rien n’est échappé à Marie, pas un de Mes gémissements, pas une larme, pas un plissement d’épiderme, un tressaillement des muscles, une contraction de visage, un sanglot, un râle. C’étaient autant de coups de lance pour son cœur de Mère, mais elle ne s’y est pas soustraite parce qu’elle savait que sa présence était la seule consolation pour Son Jésus.

La petite Maria (et toute âme désirant devenir « victime d’Amour ») ne doit pas être dissemblable de La Grande Marie.

Encore maintenant Je Souffre, Je Souffre beaucoup devant l’obstination humaine.

Je le répète,(Jésus en a déjà parlé dans ses dictées du 23 Avril et du 26 Juillet 1943)  Je viendrais volontiers mourir de nouveau pour vous Sauver, ô humains qui tombez dans le gouffre de milles fautes. Je souffre tant…Je ne peux taire Ma Douleur.

Et en parler veut dire amener celui qui m’écoute à la vision d’un avenir bien triste.

Mais c’est si doux de pleurer ensemble. Ne retire pas ton épaule où J’appuie Ma tête dans laquelle l’humanité enfonce des couronnes d’épines.

Les mêmes épines te piqueront, toi aussi. Mais penses-y :

Nos pleurs et notre sang seront offerts ensemble pour tenter d’arrêter Le Châtiment.

C’est cela qu’il faut, Maria. Les autres choses ne servent à rien et vous unissent à de nouvelles Puissances du Mal. Mais le Sacrifice sauve.

Si seulement beaucoup d’âmes de Sacrifice naissaient de la Terre devenue Enfer !!!

Je ne répète pas par manque d’arguments, Je répète parce que ces mots contiennent La clé du Salut !

Le 26 Juillet 1943 :

J’utilise tous les arts de L’Amour pour vous attirer à Mon Amour qui Sauve. Et, Je le répète, Souffrir La Passion de nouveau ne Me pèserait point, et même un supplice exacerbé, si cela pouvait servir à vous rassembler tous au bercail !!!

Le 23 Avril 1943 :

Je viendrais une deuxième fois pour mourir afin de les Sauver d’une Mort plus atroce encore … Mais Mon Père ne le permet pas…Mon Amour le permettrait, La Justice pas.

Elle sait que ce serait inutile. Je ne viendrais donc qu’à La denière Heure.

Mais Malheur à ceux qui Me verront à cette Heure après avoir choisi Lucifer pour Leur Seigneur !!!

Mes Anges n’auront pas besoin de porter des armes pour gagner Le Combat contre les antéchrists… Mon Regard suffira !!!

Extrait des Révélations faites à Maria Valtorta le 12 Août 1943.

Jésus dit :

Lorsque la nature humaine se rappelle si bien son Origine qu’elle sait vivre dans le surnaturel, elle s’élève au-dessus de la nature angélique et devient motif d’admiration pour les Saints Anges.

Quand cela arrive-t-il ??? Quand une créature vit plongée dans Ma Volonté, entièrement abandonnée à Moi, ne vivant, n’Aimant, n’agissant que pour Moi et avec Moi.

Elle élève sa chair à un niveau qui n’est pas accordé aux Saints Anges, qui ne connaissent pas les angoisses de la chair et n’ont pas le mérite de les dompter.

Si de plus la créature se Crucufie par Amour du Maître Crucifié, elle devient un motif d’admiration aux légions de Saints Anges, lesquels ne peuvent pas souffrir par Amour pour Moi et se Crucifier comme Jésus, Rédempteur du monde et Fils de L’Eternel.

Autour de Ma Croix, comme déjà autour de Mon berceau, se tenaient des légions de Saints Anges, car Le berceau et La Croix étaient l’Alpha et l’Omega de Ma Mission de Rédempteur.

Mais les légions des Saints esprits Angéliques se tiennent aussi autour des petits Crucifiés qui s’immolent silencieusement selon La Loi du parfait Amour, car ils Me voient en vous qui mourez pour Moi.

J’ai besoin de ta Douleur. D’une Douleur absolue, complète, profonde.

Tu ne sais pas qu’elle valeur elle aura entre Mes mains. Quand tu le sauras, tu diras que J’ai valorisé tes Souffrances de mille pour cent et tu m’en remercieras.

Mais remercie-m-en dès maintenant avec Confiance et Amour.

Dans le cœur des voix quoi s’élèvent de la terre au Ciel, il manque des voix qui remercient.

Jésus en profite pour expliquer ce qu’Il veut nous dire (à ceux qui désirent s’offrir en Immolation d’Amour pour Dieu), en faisant une comparaison avec la nature.

Jésus dit :

Ma chère âme, écoute la Parabole de la perle.

Un grain de sable emporté par les vagues de la mer est avalé par les valves d’un mollusque. Un petit caillou, brut et sans valeur, un minuscule fragment de roche, un éclat de ponce, toutes choses qui ne méritent pas un regard.

Dans un premier temps, ce grain de sable avalé regrette sans doute les étendues sans fin de la mer où il roulait librement au gré des courants et où il voyait tant de beautés créées par Mon Père.

Mais au bout de quelques temps, une pellicule blanche se forme autour du grain gris et rêche, une pellicule blanche, de plus en plus belle, dure, régulière.

Et le petit caillou ne regrette plus alors la sauvage liberté d’avant, mais bénit l’instant où une volonté supérieure à ses intentions l’a précipité entre les valves de ce mollusque.

S’il pouvait parler, il dirait : Que l’instant où je perdis ma liberté soit Béni !!! Que soit Bénie la force qui m’a enlevé la liberté et qui a fait de moi, pauvre caillou brut, une précieuse marguerite.

L’âme est un caillou brut de par sa nature. Il porte le signe de la création Divine, mais, à force de rouler, il est en piteux état, de plus en plus rude et gris.

La Grâce, tel un courant Céleste, le pousse à travers les espaces infinis de l’univers, vers le Cœur de Dieu, ouvert pour recevoir Ses créatures.

Il attend, Le Cœur Ouvert, Votre Dieu, et vous désire, vous, pauvres créatures.

Mais souvent, vous résistez aux courants de La Grâce et à l’invitation de Dieu qui désire vous enfermer dans Son Cœur.

Vous croyez être plus heureux, plus libres, maîtres de vous-mêmes en restant à l’extérieur.

Non, Mes pauvres enfants.

Le Bonheur, La Liberté, la maîtrise sont à l’intérieur du Cœur de Dieu. A l’extérieur, il y a le piège de la chair, le piège du monde, le piège de Satan.

Vous croyez être libres, mais vous êtes attachés comme des esclaves à la rame. Vous croyez être heureux, mais les soucis à eux seuls sont déjà le malheur. Et puis il y a tout le reste.

Vous croyez être les maîtres, mais vous êtes les serviteurs de tout le monde, serviteurs de vous-mêmes dans votre partie inférieure, et vous n’en tirez aucune joie, même si vous peinez pour vous en procurer.

Moi, Je donne La Joie, car Je donne La Paix, car Je donne la continence, car Je donne la résignation, la patience, chaque vertu.

Bienheureuses ces âmes qui n’opposent pas une trop forte résistance à La Grâce qui les pousse vers Moi.

Très Bienheureuses ces âmes qui, non seulement se laissent porter vers Moi, mais qui viennent à Moi avec l’impatience du désir d’être englouties dans Mon Cœur.

Mon Cœur ne repousse personne, quelque petit et brut qu’il soit. Il accueille tout le monde, et plus vous êtes misérables, mais en même temps convaincus que Je peux vous rendre beaux, et plus Je travaille votre petitesse.

Je la revêts d’un nouvel habit, précieux et pur. Mes Mérites et Mon Amour opèrent la métamorphose.

Vous entrez des créatures et vous sortez, à La Lumière du Jour de Dieu, des perles très précieuses.

L’âme regrette parfois sa première liberté. Surtout dans les premiers temps, car Mon travail est sévère, même revêtu d’Amour.

Mais plus l’âme est pleine de bonne volonté et plus elle comprend vite.

Plus l’âme renonce à tout désir de fausse liberté et plus elle préfère la royale servitude de L’Amour, et plus tôt elle goûte La Béatitude de sa captivité en Moi et accélère le prodige sanctifiant de L’Amour.

Le monde perd tous ses attraits pour cette âme heureuse qui vit enfermée en Moi comme une perle dans un écrin.

Toutes les richesses de la Terre, tous les soleils éphémères, toutes les joies insincères et les pseudo-libertés perdent leur lumière et leur voix, et il ne reste plus que la volonté, toujours plus vaste et plus profonde, de Notre Amour réciproque, d’être l’un par l’autre, l’un dans l’autre, l’un à l’autre.

Oh !!! Béatitude des Béatitudes trop peu connue : Vivre avec Moi qui sait Aimer !!!

Si Pierre s’écria sur le mont Tabor, uniquement parce qu’il Me vit transfiguré : « Seigneur, qu’il fait bon d’être ici avec vous », que devrait dire l’âme qui a été elle-même transfiguré en devenant une molécule de Mon Cœur de Dieu ???

Penses-y Maria.

Celui qui vit en Moi devient une partie de Moi.

Comprends-tu ??? De Moi, Jésus, Fils du Vrai Dieu, Sagesse du Père, Rédempteur du monde, Juge éternel et Roi des siècles à venir, Roi pour l’éternité.

L’âme qui vit abîmée dans Mon Cœur devient tout cela.

Partie intégrante et vivante du Cœur d’un Dieu, elle vivra éternellement comme Dieu dans La Lumière, dans La Paix, dans La Gloire de Ma Divinité.

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                               PIERRE

 

 

 

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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