Vendredi 03 Juillet 2009 (Fête de Saint Thomas)…1ère Partie

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOS FAMILLES ET VOS PROCHES

FÊTE DE SAINT THOMAS…1ère Partie. 

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Pour lire en format WORD la deuxième partie de cette Réflexion, aller soit dans la sous-page (tout en bas de cette page), soit dans le menu déroulant.

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EUCHARISTIE et OFFICES  du jour…EN UNION AVEC L’EGLISE

Je tiens ici à vous rassurer car je ne vais pas faire un nouveau site reprenant les lectures et les Evangiles de chaque jour, car il y en a déjà beaucoup et qui sont très bien, pour ne pas en rajouter (sans parler de La Parole de Dieu et de L’Eucharistie qui vous est transmise dans les paroisses de chacun).

Pour vous donner quelques sites où vous trouverez ceci et gratuitement (il suffit de vous inscrire et vous recevrez les lectures, Evangiles et Homélies gratuitement et chaque jour dans votre boite mail !!!)

L’Evangile au quotidien : http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR

Lectures de L’Eucharistie et Psaumes des offices du jour (Liturgie des Heures…de Laudes à Complies) en union avec toute L’Eglise: http://www.aelf.org/

Enseignements et Homélies du VATICAN : http://www.zenit.org/index.php?l=french

Vous pouvez aussi aller à partir de la page d’accueil de mon site sur le site CATHOLIEN qui regroupe une très grande quantité de sites Catholiques, mais aussi dans les sites amis (sites religieux) de mon site, pour trouver de quoi vous nourrir spirituellement…et chaque jour.

N’oubliez pas La lecture de La Bible, des Enseignements de L’Eglise, des vies de Saints et de toute Parole venant de Dieu.

N’hésitez pas à lire La Vie de Jésus, de Marie, des Apôtres et de tous ceux qui ont vécus dans leurs entourages, au travers des Révélations de Jésus faites à Maria Valtorta (Le Pape PIE XII a approuvé celles-ci : « Le Pape fait part de son jugement favorable. Aussi conseille-t-il de publier l’œuvre sans rien enlever, pas même les déclarations explicites de rapporter des “visions” et des “dictées” »)…l’œuvre : http://www.maria-valtorta.org/

Saint thomas 6

Vendredi 03 Juillet 2009 (Fête de Saint Thomas). 

Fête de Saint Thomas, Apôtre

Saint(s) du jour : St Thomas, apôtre (1er s.),  St Raymond Lulle, o.f.m. (v. 1315)

Lettre de saint Paul Apôtre aux Ephésiens 2,19-22.
Frères, maintenant, dans le Christ Jésus, vous n'êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes citoyens du peuple saint, membres de la famille de Dieu,
car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ; et la pierre angulaire c'est le Christ Jésus lui-même.
En lui, toute la construction s'élève harmonieusement pour devenir un temple saint dans le Seigneur.
En lui, vous êtes, vous aussi, des éléments de la construction pour devenir par l'Esprit Saint la demeure de Dieu.

Psaume 117,1.2.
Louez le Seigneur, tous les peuples ; fêtez-le, tous les pays !
Son amour envers nous s'est montré le plus fort ; éternelle est la fidélité du Seigneur !

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 20,24-29.
L'un des Douze, Thomas (dont le nom signifie: Jumeau), n'était pas avec eux quand Jésus était venu.
Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l'endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d'eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! »
Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d'être incrédule, sois croyant. »
Thomas lui dit alors : « Mon Seigneur et mon Dieu ! »
Jésus lui dit : « Parce que tu m'as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

 

Commentaire du jour
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Sermon 88

« Heureux ceux qui croient sans avoir vu » 

      La faiblesse des disciples était tellement chancelante que, non contents de voir le Seigneur ressuscité, ils voulaient encore le toucher pour croire en lui. Il ne leur suffisait pas de voir de leurs yeux, ils voulaient approcher leurs mains de ses membres et toucher les cicatrices de ses récentes blessures. C'est après avoir touché et reconnu les cicatrices que le disciple incrédule s'est écrié : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Ces cicatrices révélaient celui qui, chez les autres, guérissait toutes les blessures. Est-ce que le Seigneur n'aurait pas pu ressusciter sans cicatrices ? Mais il voyait dans le coeur de ses disciples des blessures que devaient guérir ces cicatrices qu'il avait gardées dans son corps.

      Et que répond le Seigneur à cette confession de foi de son disciple qui dit : « Mon Seigneur et mon Dieu » ? « --Parce que tu m'as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. » De qui parle-t-il, mes frères, sinon de nous ? Et pas seulement de nous, mais aussi de ceux qui viendront après nous. Car, peu de temps après, lorsqu'il a échappé aux regards mortels pour affermir la foi dans les coeurs, tous ceux qui sont devenus croyants ont cru sans avoir vu, et leur foi avait un grand mérite : pour l'obtenir, ils ont approché de lui non pas une main qui voulait le toucher, mais seulement un coeur aimant.

 

« Si je ne vois pas…si je ne touche pas du doigt…si je ne mets pas mes mains dans Ses blessures, là où Il a été transpercé…Alors je ne croirais pas !!! »

Combien de gens, encore actuellement, réagissent ainsi…et en toute occasion !!!

C’est malheureusement oublier un peu vite La Parole de Jésus qui suit : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

Et comme le dit si justement Saint Augustin dans son commentaire de ce jour…tous ceux qui sont devenus croyant après le départ de Jésus (donc peu de temps après le moment où a eu lieu cette rencontre entre Thomas et Jésus) ont cru sans avoir vu.

Ils n’ont pu approcher leurs mains des blessures de Jésus…mais seulement « un Cœur Aimant »…et c’est là que réside tout le secret…

C’est par et avec notre cœur aimant que nous pouvons approcher du Cœur Ouvert de Jésus…et Jésus qui ne refuse jamais rien à ceux qui s’approchent de Lui avec un cœur pur et en toute sincérité…Il vient dans leur cœur pour que leur âme touche Son Cœur Ouvert, Ses Plaies laissées par les clous dans Ses mains et Ses pieds et reçoive en retour tout Son Sang qui s’en écoule, tout Le Sérum de Son Amour, de Sa Miséricorde et de Sa Compassion afin de détruire en chacun les chaînes de l’esclavage au Péché, de panser les plaies, de guérir les blessures et d’apporter une nourriture et une boisson saine et vivifiante pour reprendre des forces et apporter Sa Paix…réconfort de nos âmes !!!

 

« Si je ne vois pas…je ne croirais pas !!! ». Cela a été l’objet et le deuxième titre de ma Réflexion n°42 : Notre Regard…alors n’hésitez pas à aller la lire, la relire voir à la méditer.

EXTRAIT :

La Foi permet de faire les choses, sans les avoir vu, mais en croyant qu’elles se réaliseront.

Jésus nous dit à tous : "Sans aucun doute. Ne sois pas incrédule. Celui qui croit, verra s'accomplir le miracle."

Ainsi, à l’image de ce que nous venons de voir dans l’épisode de la multiplication des pains, où ceux-ci ne se multiplient que si celui qui a le panier contenant quelques petites portions de pain et de poisson, fait à la fois un acte de Foi et un acte d’obéissance pour aller distribuer la nourriture aux milliers de personnes présentes, alors que celui qui attend sans bouger le miracle, pour seulement ensuite aller faire la distribution…celui-là ne verra rien…et il n’y aura aucun miracle.    

 

« Si je ne vois pas…je ne croirais pas !!! »…C’est malheureusement l’excuse que prenne la très grande majorité des gens pour, non pas, à l’image de Saint Thomas, chercher à croire… mais pour justifier de leur incrédulité…et ne surtout pas en changer.

C’est le cas de nombreux incroyants qui n’ont vraiment pas envi de penser et de croire en un Dieu…ce qui risquerait de déranger leurs habitudes et leurs manières de vivre !!!

Mais c’est aussi le cas de nombreuses personnes qui se disent croyants, qui vont même parfois à la messe, même régulièrement…mais dont la Foi…s’arrête là…et ne change rien à leur vie et à leur manière d’agir…eux non plus n’ont pas envi d’être dérangés dans leurs habitudes et leurs manières de vivre.

Ce sont eux que l’on retrouve à la sortie d’une messe en train de se disputer…ou de se précipiter pour faire la fête avec les amis (même si cela est au détriment de la famille, à l’écoute les uns des autres dans un profond Amour mutuel, de cet Amour reçu en abondance à La Source, au Cœur de Jésus !!!)…fête avec les amis, bien plus importante que le moment « casse-pieds » de la messe venant de se terminer.

Ce sont eux, entre autre, dont La Très Sainte Vierge Marie parlait en disant (dans ma Réflexion n°32 : Quelques Méditations) :

2/ La signification de Ses 7 Douleurs :

Extrait des Révélation de Marie à Maria Valtorta du 20 Mai 1944 (dans les Cahiers de 1944).

Marie dit :

Ma Quatrième Douleur : j’étais Mère, et voir mon Enfant sous La Croix était une souffrance naturelle.

Mais  ce m’était une douleur plus grande, surnaturelle, de voir la haine, bien plus torturante que le bois, accabler mon Fils.

Que de Haine ! Une Mer infinie ! C’est de cette foule qui vociférait Blasphèmes et moqueries qu’allaient provenir, par filiation spirituelle, tous ceux qui allaient haïr Le Saint Martyr.

 

Si j’avais pu retirer à mon Jésus Sa Croix pour la prendre sur mes épaules de Mère, j’aurais moins souffert que de voir, par les yeux de l’esprit, tous ceux qui allaient crucifier Leur Sauveur.

Ceux qui tentent de l’abolir pour ne pas rencontrer Son Trône de Juge, sans savoir que pour eux seuls Il sera un Juge, mais pour les autres un Ami.

 

La Cinquième épée fut de savoir que l’on Blasphémerait toujours contre ce Sang, qui coule comme autant de ruisseaux de Salut des membres déchirés de Jésus.

Il parlait cependant ce Sang, et il parle. Il crie d’une voix amoureuse, et il appelle. Mais les hommes n’ont pas voulu l’entendre, et pas davantage aujourd’hui.

Ils se pressaient autour du Messie pour Lui demander la guérison de leurs maladies et ils le suppliaient de leur dire une Parole.

Or au moment où Il ne s’est plus servi de son doigt, ni de poussière et de salive, mais Il a donné Sa Vie et Son Sang pour les guérir de leur seule vraie Maladie, la « faute » indélébile, ils l’ont fui plus qu’un lépreux.

 

Ils le fuient aujourd’hui encore (Matthieu 27 25). « Que Son Sang retombe sur nous ! ».

Oh ! Oui, il retombera au dernier jour pour leur demander raison de leur haine et, puisqu’ils n’ont pas voulu L’Aimer, Il maudira.

Alors moi, La Mère, ne devrais-je pas souffrir à la vue du grand nombre de mes enfants qui ont mérités d’être maudits et retranchés pour toujours de La Famille Spirituelle du Ciel, dont je suis La Mère et Mon Jésus Le Premier-Né et Le Frère Aîné ???   

 

Lorsque J’ai reçu Le Corps inanimé de Mon Dieu et Fils(et j’aurais pu vous énumérer Ses plaies une par une), j’ai senti mon sein se déchirer.

Oh ! Certes, Je n’ai pas connu la souffrance de l’enfantement. Mais J’ai connu celle-ci et il n’est aucune douleur d’accouchement qui puisse y être comparée.

Toute ma douleur de croyante, toute ma douleur de mère n’ont plus fait qu’un. Cette unique Souffrance est La Base de Ma Croix comme Le Calvaire l’était pour La Croix de Mon Seigneur.

De là provient Ma Douleur.

 

Je n’ai pas vu Jésus mort dans vos cœurs. Car ce n’est pas Lui qui meurt, ce sont vos cœurs qui meurent à Lui.

J’ai vu la foule de cœurs dans lesquels Il allait être déposé comme une froide dépouille.

 

Pour combien de personnes aura-t-Il ordonné inutilement : « Lève-toi ! », pour ces hommes qui ne veulent pas vivre, qui ne veulent pas se lever.

Le Sacrement de La Vie refusé ou accueilli de manière Sacrilège, même quand vos jours sont comptés.

Ces Judas innombrables qui ne savent pas se convertir honnêtement pour se rendre dignes de recevoir Leur Dieu blessé, alors que La Repentance les guérirait. 

 

Vois, Maria. Tout vaut mieux que d’être les nouveaux Judas Iscariote. C’est pourtant le péché que l’on commet dans la plus grande indifférence.

C’est d’ailleurs loin d’être le fait des grands pécheurs, mais aussi de beaucoup qui paraissent ou se croient fidèles à Mon Fils. Il les appelle « les pharisiens d’aujourd’hui ».

Tu peux les reconnaître à leurs œuvres.

 

Le contact avec Mon Fils ne les rend pas meilleurs. Au contraire, leur vie est la négation de La Charité, et donc de Dieu.

Ce sont des morts, si ce n’est à La Grâce du moins à ses fruits. Ils n’ont aucune vitalité.

Jésus ne peut agir en eux parce qu’Il ne trouve pas en eux de répondant.

 

Ce sont eux qui précèdent d’un cran seulement ceux qui ne sont Chrétiens que de nom. Ils sont des temples désaffectés et profanés par la pourriture de tous les vices, eux chez qui le nom, le seul nom, du Christ se trouve comme le fut Le Corps de Mon Jésus dans Le Sépulcre.

Ils sont eux aussi, sans vie.

 

Et si, à Gethsémani, la connaissance de tous ceux pour qui son Sacrifice allait être inutile constitua Le Martyre Spirituel de Mon Fils, cette Vision fut ma Torture au moment où j’embrassais Jésus en un ultime adieu.  

 

Elle ne cesse pas, d’ailleurs. Les épées sont toujours plongées dans mon cœur, car l’homme continue à lui infliger Ses Sept Douleurs.

Tant que le nombre des sauvés ne sera pas complet de même que La Gloire de Dieu en Ses bienheureux, je souffrirais de ma double Douleur de Mère qui voit son Fils premier-né offensé, et de Mère qui voit un trop grand nombre de Ses enfants préférer l’exil éternel à La Maison du Père.

 

Lorsque tu pries sous le titre de Notre-Dame des Douleurs, pense à mes paroles. Dans tes propres souffrances, abolis tout égoïsme pour m’imiter.

Pour ma part, j’ai élargi mes Douleurs de Mère de Jésus à tous ceux qui sont nés. Je suis La Nouvelle Eve.

Toi, sers-toi de tes souffrances en faveur de tes frères. Amène-les à Dieu. A moi.

 

« Si je ne vois pas…je ne croirais pas !!! »…C’est avec cette excuse qu’ils justifient leur volonté de ne pas changer.

Et même si un miracle se produisait devant leurs yeux…ils refuseraient de le voir en trouvant toutes sortes d’excuses pour se justifier…et ne pas croire…car ils refusent de devoir risquer de changer de vie…ils ne veulent absolument pas être dérangés dans leurs habitudes…et la vie qu’ils se sont choisis…même si, pour certains (les plus corrompus) celle-ci conduit à leur perte !!!

Jésus parle d’eux dans sa parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare (Luc 16 19-30) : 

« Du moment qu’ils n’écoutent pas Moïse et les Prophètes, même si quelqu’un ressuscite d’entre les morts, ils ne seront pas convaincus ».

« Si je ne vois pas…je ne croirais pas !!! »…En effet combien parmi ceux qui font cette affirmation, en fait (et même s’ils vont à l’Eglise) ne connaissent rien ou quasiment rien de Dieu.

Ils s’en font une image qui leur convient, qui les arrange en leur permettant de justifier leur attitude et leur manière de vivre.

Pour certains, ils verront un Dieu « gâteau » qui leur permet de vivre et de s’accommoder avec leurs péchés cachés (adultère, mensonges, etc…) ou leurs péchés connus (dureté de cœur, intransigeance, égoïsme, racisme, colportage sur les autres, etc…)…tout en se disant Chrétiens…Dieu est Amour…Il pardonne tout !!!

Pour certains, ils verront un Dieu « mauvais, voir sadique » en regardant justement les premiers et leurs manières de vivre, en regardant toutes les catastrophes, les guerres (y compris les guerres de religions), les fléaux…et la folie de certains hommes…qui n’a aucune limite dans la perversité, dans l’horreur et dans l’inconscience.

 

Mais combien prennent le temps d’essayer de Le découvrir vraiment afin de commencer à Le connaître, voir de Le connaître de plus en plus…afin de savoir s’Il existe peut-être et dans ce cas, qui Il est vraiment. 

Ce que beaucoup sont prêt à faire pour essayer de découvrir des choses totalement futiles et inutiles en poussant leurs recherches très loin, en recherchant tout ce qui est écrit dessus, en fabriquant des matériaux permettant de pousser leurs expériences très loin…repousse même l’idée d’ouvrir et de lire des écrits parlant de Dieu ou de La Foi des Saints, voir des miracles qu’ils ont vécus au travers de leur vie en entraînant nombre de conversions (très loin d’une vie de violence, de haine, de confort…).

Combien d’entre eux connaissent tous les écrits de La Bible (même s’ils l’ont chez eux !!!) et leurs sens ??? Si peu !!! Cela permet ainsi à des sectes de sélectionner tel ou tel passage en les sortant de leur contexte et d’entraîner nombre de gens « pommés » dans leurs rangs !!!

Par contre, ils connaissent à fonds (en ayant lus de nombreux ouvrages dessus) des sujets qui ne feront que satisfaire leur intellect ou simplement leurs sens…mais ne leur apportera rien !!!

 

Vous mettez à la disposition des gens une revue sur des peoples, sur du sexe, sur de la violence, des bagarres, des meurtres, des tortures, des guerres, sur de sublimes voitures ou bateaux, sur des maisons de rêves, sur la voyance et l’invocation des morts, sur les planètes d’autres galaxies et l’invasion virtuelle de notre planète, sur des robots, sur la destruction de la Terre, etc… et des revues sur des vies exemplaires de Saints, sur des Révélations divines (lors d’apparitions reconnus par L’Eglise (telles que Lourdes, Fatima, La Salette, etc…) ou de Révélations telles que celles faites à Maria Valtorta), etc…

Ce sont presque toujours les premiers qui sont ouverts…et les derniers qui sont rejetés !!!

 

« Si je ne vois pas…je ne croirais pas !!! »…ne veut alors plus rien dire. Il serait beaucoup plus juste de dire :

« Quoiqu’il en soit…je refuse de croire !!! Je me sens bien tel que je suis (même si je n’ai pas l’âme en Paix et ma conscience qui me dérange) et je n’ai pas envi de changer…je préfère tout ce qui satisfait mes sens et me procure d’agréables sensations (même passagères et d’un très court instant)…alors non, je refuse de croire en un Dieu qui m’apporterait peut-être une grande Paix intérieure que je n’ai pas…mais m’obligerait à changer ma manière de vivre !!! » 

 

« Si je ne vois pas…je ne croirais pas !!! »…Heureusement, il y a aussi ceux qui ont le cœur pur et sincère qui, comme je l’ai dit dans une ancienne Réflexion ne peuvent Aimer Dieu car ils ne croient pas en Lui…et n’ont jamais eu l’occasion d’évènements dans leur vie leur donnant la possibilité de croire…en un Dieu que ceux qui croient disent « qu’Il est Vivant, aujourd’hui, dans leur Vie, qu’Il est L’Amour infini, qu’Il Vit en eux et font continuellement l’expérience de Son Amour dans leur vie quotidienne ».

 

Ils sont à l’image de Saint Thomas qui avait le cœur pur, qui était Amoureux de Jésus, qui l’avait suivi sur les routes de Palestine pendant trois ans…mais qui était profondément humain…et ne voulait pas se réjouir trop vite et participer à une hystérie collective…bien loin de toute réalité.

Jésus pouvait-il Ressusciter Lui-même ??? Il ne pensait pas que cela soit possible…même s’il avait assisté peu de temps auparavant à La Résurrection de Lazare…ce qui lui semblait déjà impossible au départ.

Extrait de ma Réflexion n°29 : Le Signe de Jonas.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 8, chapitre 7 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

"Allons trouver notre ami Lazare qui dort".

"Lazare est mort. J'ai attendu qu'il soit mort pour aller là-bas, pas à cause de ses sœurs ni de lui, mais à cause de vous pour que vous croyez, pour que votre foi grandisse. Allons chez Lazare."

"Bon. Allons-y ! Nous mourrons comme il est mort et comme tu veux mourir" dit Thomas en fataliste résigné.

Mais à ce moment là, Jésus était vivant…mais maintenant Il était mort…donc Il ne pouvait plus agir…pour Ressusciter !!!

Il aurait fallu qu’Il agisse avant…pour mettre en déroute ses agresseurs !!! Maintenant il était trop tard !!!...Exactement comme Marthe le disait vis-à-vis de son frère Lazare…Il aurait pu venir alors qu’il était encore vivant…pour l’empêcher de mourir !!!

 

En plus, Lui Jésus qui est Dieu, a vu tous les apôtres s’enfuir et le laisser seul (à l’exception de Jean de Zébédée) lors de Sa Passion et de Sa Crucifixion…alors comment Jésus pourrait-Il apparaître à des personnes qui étaient si proches de Lui au point de les appeler « ses amis » et qui l’ont tous trahit en s’enfuyant !!!

Je vous mets l’extrait correspondant à L’Evangile de ce jour, tel que Jésus l’a révélé à Maria Valtorta.

La première partie se passe lorsque les apôtres retrouvent Thomas. Cela se passe lorsqu’Elie (un des Bergers de La Grotte de Bethléem) a trouvé Thomas et l’amène aux apôtres.

 

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 10, chapitre 14 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

Le retour de Thomas.

On frappe à la porte. Ils se taisent tous pour écouter et ils poussent un “oh !” de stupeur en voyant entrer dans le vestibule Élie avec Thomas, un Thomas si hagard qu’il semble que ce ne soit plus lui.

Ses compagnons se pressent autour de lui en criant leur joie : “Tu sais qu’il est ressuscité et qu’il est venu ? Et il t’attend pour revenir !”

“Oui. Élie aussi me l’a dit. Mais je n’y crois pas. Je crois ce que je vois et je vois que pour nous c’est fini. Je vois que nous sommes tous dispersés. Je vois qu’il n’y a même plus un tombeau où le pleurer. Je vois que le
Sanhédrin veut se débarrasser à la fois du complice, dont il décrète l’inhumation comme si c’était un animal souillé, au pied de l’olivier où il s’est pendu, et des fidèles du Nazaréen. J’ai été arrêté le vendredi aux portes, et ils m’ont dit : ‘Toi aussi tu étais l’un des siens ? Il est mort, désormais. Retourne battre l’or”. Et je me suis enfui...”

“Mais où ? Nous t’avons cherché partout !”

“Où ? Je suis allé vers la maison de ma sœur à
Rama. Puis je n’ai pas osé entrer car... pour qu’une femme ne m’adresse pas de reproches. Alors j’ai erré à travers les montagnes de Judée et hier j’ai fini à Bethléem, dans sa grotte. Combien j’ai pleuré... J’ai dormi dans les décombres et c’est là que m’a trouvé Élie quand il est venu... Je ne sais pourquoi.”

 “Pourquoi ? Mais parce qu’aux heures de joie ou de douleur trop grande, on va où on sent Dieu davantage. Moi, bien des fois, ces années-ci, je suis allé là, de nuit, comme un voleur, pour me sentir caresser l’âme par le souvenir de son vagissement. Et puis je m’échappais dès le lever du soleil pour ne pas être lapidé. Mais j’étais déjà consolé. Maintenant j’y suis allé pour dire à cet endroit : “Je suis heureux” et pour en prendre ce que je puis. Nous en avons décidé ainsi. Nous voulons prêcher sa Foi, mais nous en recevrons la force d’un morceau de ce mur, d’une poignée de cette terre, d’une écharde de ces poteaux. Nous ne sommes pas assez saints pour oser prendre la terre du Calvaire..."

“Tu as raison, Élie. Nous devrions le faire nous aussi et nous le ferons. Mais Thomas ?"

“Thomas dormait et pleurait. Je lui ai dit : “Éveille-toi et ne pleure plus. Il est ressuscité”. Il ne voulait pas me croire mais j’ai tellement insisté que je l’ai persuadé. Le voici. Maintenant il est parmi vous et je me retire. Je rejoins les compagnons qui vont en Galilée. La paix à vous.” Élie s’en va.

“Thomas, il est ressuscité. C’est moi qui te le dis. Il a été avec nous. Il a mangé. Il a parlé. Il nous a bénis. Il nous a pardonnés. Il nous a donné le pouvoir de pardonner. Oh ! Pourquoi n’es-tu pas venu plus tôt ?”

Thomas ne sort pas de son abattement. Il hoche la tête, têtu. “Je ne crois pas. Vous avez vu un fantôme. Vous êtes tous fous. Les femmes pour commencer. Un homme mort ne se ressuscite pas.”

“Un homme, non. Mais Lui est Dieu. Ne le crois-tu pas ?”


“Si. Je crois qu’il est Dieu. Mais précisément parce que je le crois je dis que, si bon qu’il puisse être, il ne peut l’être au point de venir parmi ceux qui l’ont si peu aimé. Et je dis que si humble qu’il soit, il doit en avoir assez de s’humilier dans notre carne. Non. Il doit être, il l’est certainement, triomphant au Ciel, et peut-être il apparaîtra comme esprit. Je dis : peut-être. Nous ne méritons même pas cela ! Mais ressuscité en chair et en os, non. Non, je ne le crois pas.”

“Mais si nous l’avons baisé, vu manger, entendu sa voix, senti sa main, vu ses blessures !”

 “Rien. Je ne crois pas. Je ne puis croire. Pour croire, je devrais voir. Si je ne vois pas dans ses mains le trou des clous et si je n’y mets pas le doigt, si je ne touche pas les blessures de ses pieds, et si je ne mets pas ma main où la lance a ouvert son côté, moi, je ne crois pas. Je ne suis pas un enfant ou une femme. Je veux l’évidence. Ce que ma raison ne peut accepter, je le refuse. Et je ne puis accepter votre parole.”

“Mais Thomas ! Te semble-t-il que l’on veuille te tromper ?”

“Non, mes pauvrets, au contraire ! Bienheureux vous qui êtes assez bons pour vouloir m’amener à avoir la paix que vous avez réussi à vous donner par votre illusion. Mais… moi, je ne crois pas à sa Résurrection.”

“Tu ne crains pas qu’il te punisse ? Il entend et voit tout, sais-tu ?”

“Je demande qu’il me persuade. J’ai une raison, et je m’en sers. Que Lui, Maître de la raison humaine, redresse la mienne si elle est dévoyée. ”

“Mais la raison, Lui le disait, elle est libre.”

“Raison de plus pour que je ne la rende pas esclave d’une suggestion collective. Je vous aime bien et j’aime bien le Seigneur. Je le servirai comme je puis et je serai avec vous pour vous aider à le servir. Je prêcherai sa doctrine. Mais je ne puis croire que si je vois.” Et Thomas, entêté, n’écoute que lui-même.

Ils lui parlent de tous ceux qui l’ont vu, et comment ils l’ont vu. Ils lui conseillent de parler avec la Mère. Mais lui secoue la tête, assis sur un siège de pierre, plus pierre lui que son siège. Têtu comme un enfant, il répète : “Je croirai si je vois... ”

La grande parole des malheureux qui nient ce qu’il est si doux et Si saint de croire quand on admet que Dieu peut tout.


EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                                                                PIERRE

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA DEUXIEME PARTIE.

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

Commentaires

  • BAHATI  Rachel

    1 BAHATI Rachel Le 01/07/2012

    Merci parce que vous aider à nous enraciner dans la foi catholique mais surtout à aimer et approfrondir les saintes écritures. Grand merci.

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