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Dimanche 03 Mai 2009 (Journée mondiale de Prières pour les Vocations) (1ère Partie)
PRIERES et MEDITATIONS du jour…EN UNION AVEC L’EGLISE
Je tiens ici à vous rassurer car je ne vais pas faire un nouveau site reprenant les lectures et les Evangiles de chaque jour, car il y en a déjà beaucoup et qui sont très bien, pour ne pas en rajouter (sans parler de
Pour vous donner quelques sites où vous trouverez ceci et gratuitement (il suffit de vous inscrire et vous recevrez les lectures, Evangiles et Homélies gratuitement et chaque jour dans votre boite mail !!!)
L’Evangile au quotidien : http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR
Lectures et Psaumes de L’Eucharistie et des offices du jour (Liturgie des Heures…de Laudes à Complies) en union avec toute L’Eglise: http://www.aelf.org/
Enseignements et Homélies du VATICAN : http://www.zenit.org/index.php?l=french
Enseignements et Homélies purement Catholique : www.theotime.com
Vous pouvez aussi aller à partir de la page d’accueil de mon site sur le site CATHOLIEN qui regroupe une très grande quantité de sites Catholiques, mais aussi dans les sites amis (sites religieux) de mon site, pour trouver de quoi vous nourrir spirituellement…et chaque jour.
N’oubliez pas La lecture de
N’hésitez pas à lire
Pour lire tout ce qui concerne
Non, je viendrais de temps en temps rajouter une méditation, lorsque je sentirais que Le Seigneur le désire, et que cela peut aider chacun à se nourrir et à avancer dans
Dimanche 03 Mai 2009 (Journée mondiale de Prières pour les Vocations) :
Quatrième dimanche de Pâques
Saint(s) du jour : Saint Philippe et Saint Jacques le Mineur, apôtres (1er s.)
Livre des Actes des Apôtres 4,8-12.
Convoqué devant le grand conseil d’Israël, Pierre, rempli de l’Esprit Saint, déclara : « Chefs du peuple et anciens,
nous sommes interrogés aujourd'hui pour avoir fait du bien à un infirme, et l'on nous demande comment cet homme a été sauvé.
Sachez-le donc, vous tous, ainsi que tout le peuple d'lsraël : c'est grâce au nom de Jésus le Nazaréen, crucifié par vous, ressuscité par Dieu, c'est grâce à lui que cet homme se trouve là devant vous, guéri.
Ce Jésus, il est la pierre que vous aviez rejetée, vous les bâtisseurs, et il est devenu la pierre d'angle.
En dehors de lui, il n'y a pas de salut. Et son Nom, donné aux hommes, est le seul qui puisse nous sauver. »
Psaume 118,1.4.8-9.22-23.28-29.
Rendez grâce au Seigneur : Il est bon ! Éternel est son amour !
Qu'ils le disent, ceux qui craignent le Seigneur : Éternel est son amour !
Mieux vaut s'appuyer sur le Seigneur que de compter sur les hommes ;
mieux vaut s'appuyer sur le Seigneur que de compter sur les puissants !
La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d'angle :
c'est là l'oeuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux.
Tu es mon Dieu, je te rends grâce, mon Dieu, je t'exalte !
Rendez grâce au Seigneur : Il est bon ! Éternel est son amour !
Première lettre de saint Jean 3,1-2.
Voyez comme il est grand, l'amour dont le Père nous a comblés : il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu - et nous le sommes. Voilà pourquoi le monde ne peut pas nous connaître : puisqu'il n'a pas découvert Dieu.
Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons ne paraît pas encore clairement. Nous le savons : lorsque le Fils de Dieu paraîtra, nous serons semblables à lui parce que nous le verrons tel qu'il est.
Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,11-18… Lire la suite... 'Homélie du 3 mai 2009'
Jésus disait aux Juifs : « Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis.
Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse.
Ce berger n'est qu'un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui.
Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent,
comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis.
J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur.
Le Père m'aime parce que je donne ma vie pour la reprendre ensuite.
Personne n'a pu me l'enlever : je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le commandement que j'ai reçu de mon Père. »
Extrait de
Commentaire du jour
Saint Antoine de Padoue (vers 1195-1231), franciscain, docteur de l'Eglise
Sermons pour le dimanche et les fêtes des saints (trad. Bayart, Eds. franciscaines 1944, p. 140)
« Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis »
« Je suis le bon pasteur. » Le Christ peut dire à bon droit : « Je suis. » Pour lui, rien n'est passé ni futur ; tout lui est présent. C'est ce qu'il dit de lui-même dans l'Apocalypse : « Je suis l'alpha et l'oméga, le principe et la fin ; celui qui est, qui était et qui viendra, le Tout-Puissant » (Ap 1,8). Et dans l'Exode : « Je suis celui qui est. Tu diras aux fils d'Israël : ' Celui qui est m'a envoyé vers vous ' » (Ex 3,14).
« Je suis le bon pasteur. » Le mot « pasteur » vient du mot « paître ». Le Christ nous repaît de sa chair et de son sang, chaque jour, dans le sacrement de l'autel. Jessé, le père de David, a dit à Samuel : « Mon dernier fils est un enfant et il paît les brebis » (1S 16,11). Notre David à nous, petit et humble, comme un bon pasteur, paît aussi ses brebis...
On lit aussi dans Isaïe : « Comme un pasteur, il paîtra son troupeau ; dans ses bras il rassemblera les agneaux, il les portera dans son sein ; il portera lui-même les brebis mères (Is 40,11)... Le bon berger, en effet, quand il mène son troupeau au pâturage, ou qu'il l'en ramène, rassemble les tout petits agneaux qui ne peuvent pas encore marcher ; il les prend en ses bras, les porte en son sein ; il porte aussi les mères, celles qui doivent mettre bas ou celles qui viennent d'être délivrées. Ainsi fait Jésus Christ : chaque jour, il nous nourrit des enseignements de l'Évangile et des sacrements de l'Église. Il nous rassemble dans ses bras, qu'il a étendus sur la croix « pour réunir en un seul corps les enfants de Dieu qui étaient dispersés » (Jn 11,52). Il nous a recueillis dans le sein de sa miséricorde, comme une mère recueille son enfant.
ALLELUIA, ALLELUIA, CHRIST EST RESSUSCITE, IL EST VIVANT !!!
Avant d’aborder le sujet du jour, juste une précision concernant les Saints du jour (voir le lien ci-dessus). Concernant Jacques le mineur, Jacques d’Alphée, cousin de Jésus.
Il a été surnommé « le mineur », car il est rentré dans « le groupe apostolique » après Jacques de Zébédée, frère de Jean de Zébédée (L’Evangéliste)…qui est surnommé « le majeur », car rentré avant lui.
En ce jour de prières pour les vocations, et particulièrement pour les vocations de consacrés et de Prêtres, dont Le Seigneur, Notre Dieu, a tant besoin pour perpétrer continuellement Son Sacrifice dans lequel Jésus-Christ laisse couler de Son Cœur ouvert les flots de Son Sang pour notre Salut…L’Esprit-Saint suggérant au Père de donner à notre âme si fragile cette nourriture si nécessaire dans nos combats, Le Père demandant à Son Fils de se sacrifier pour nous sauver et Le Fils, non seulement se sacrifiant sur le bois de
Qu’est-ce que L’Eucharistie ? Le plus grand des miracles de Dieu, Le plus Saint. C’est Dieu Lui-même.
Alors, pour perpétrer ce miracle permanent, Jésus a besoin de trouver continuellement de Saints Prêtres, qui à l’image de Jésus Lui-même, Le grand Prêtre par excellence,
Et comme Jésus, Ils deviendront des « bons pasteurs ». Ils reprendront Sa devise :
Je suis le Pasteur des brebis, je suis la voie, la vérité, la vie ; je suis le bon Pasteur, je connais mes brebis et mes brebis me connaissent. Alléluia.
Si pour tous les Chrétiens ces deux Commandements sont vrais, à combien plus forte raison sont-ils vrais pour les Prêtres.
Écoute, ô Israël : le Seigneur notre Dieu est l'unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toutes tes forces".C'est le premier et suprême commandement. Le second ensuite est semblable à celui-ci : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". Il n'y a pas de commandements plus grands que ceux-ci. Ils renferment toute
Quelle magnifique Vocation que celle de Prêtre. Pouvoir être témoin de L’Amour de Dieu pour les hommes, être comme Jésus, le berger qui conduit ses brebis qui lui sont confié sur des verts pâturages où ils pourront s’épanouir en ayant Dieu qui veille jalousement sur eux en suivant avec Son Infini Amour leurs besoins pour leurs corps comme la nourriture pour leurs âmes.
Mais le Prêtre a aussi à sa disposition tous les nombreux et infinis miracles, plus extraordinaires les uns que les autres, que Dieu met entre ses mains.
Ainsi, par ses mains, il peut bénir...il peut délier des péchés par le Sacrement de Pénitence…il transforme l’hostie et le vin en Corps et Sang du Christ…donnant à notre âme la nourriture dont elle a besoin et permettant l’exposition permanente du Saint-Sacrement dans Le Tabernacle…donnant l’ensemble des Sacrements…etc…
Quelques exemples :
Quand tu vas te confesser, sache que c'est Moi-même qui t'attends dans le confessionnal. Je ne fais que me cacher derrière le prêtre, mais c'est moi seul qui agis dans l'âme. Ici, la misère de l'âme rencontre le Dieu de Miséricorde. Dis aux âmes qu'à cette source de Miséricorde elles ne puisent qu'avec le vase de la confiance. Lorsque leur confiance est grande, il n'y a pas de borne à mes largesses.
Autre enseignement sur L’Eucharistie (Extrait de ma Réflexion n°32 : Quelques Méditations).
Maria Valtorta, en recevant la communion de la main du Prêtre, retrouve sa Joie Eucharistique : La présence visible de son Jésus au côté du Prêtre.
Je souris à Mon doux Jésus vêtu de blanc…et pendant que je rends grâce, je me demande pourquoi Il se tient à gauche du Père. Il me semble que Sa place devrait être à droite.
Jésus satisfait mon désir d’obtenir un éclaircissement, et Il me répond :
Mon attitude est un Enseignement de Foi, de Respect et d’Humilité. Comment Me vois-tu ? En vêtements Glorieux ? Non, tu me vois en tant que Jésus de Nazareth, Le Maître, L’Homme.
Qu’est-ce que L’Eucharistie ? Le plus grand des miracles de Dieu, Le plus Saint. C’est Dieu Lui-même.
C’est Dieu parce que dans L’Eucharistie se trouvent Le Fils de Dieu, Dieu comme Père, Dieu fait Chair par L’Amour, autrement dit par Dieu qui est Amour et par L’Opération de L’Amour, c’est-à-dire de
C’est Dieu parce que c’est un miracle d’Amour et, là où L’Amour est présent, Dieu est présent.
L’Amour témoigne de Dieu plus que toute parole ou dévotion, action ou œuvre.
Moi qui suit L’Auteur de ce miracle qui témoigne de
Jésus Le Maître adore Sa Nature Divine dans L’Eucharistie.
Voilà pourquoi Je t’apparais en tant que Maître, et non en tant que Jésus Glorieux.
Ce dernier ne pourrait rien adorer. C’est à Lui que vont les Adorations de tout ce qui existe, puisqu’Il est Le Dieu retourné à Son Royaume.
Mais Le Fils de L’Homme peut encore montrer Sa Volonté de Vénérer L’Arche qui Me contient en tant que Dieu (Le Pain Eucharistique), et Je le fais pour vous apprendre à en faire autant.
Pourquoi est-ce que Je me tiens à gauche ? Encore une fois à titre d’enseignement.
Tant que le Prêtre accomplit ses fonctions sacerdotales, il est digne du plus grand respect.
Ce qui doit vous l’assurer, c’est le fait que J’obéisse à son commandement et que Je descende, en tant que Sang, vous laver le cœur et, en tant que Chair, vous nourrir l’âme.
Apprenez de Moi, qui suit Humble, à avoir de L’Humilité.
Mais la grandeur Infini de ces Sacrements, la grandeur Infini de ces Miracles a ces exigences, sous peine de s’entraîner la condamnation éternelle du Juge Suprême lors du Jugement, celles de devenir soi-même d’autres Christ, Le Bon Berger, Le Grand Prêtre en se laissant convertir au Feu de Son Amour, Feu Purificateur qui détruira ce qui n’est pas bon et mettra en valeur, en le faisant monter au milieu de Ses flammes jusqu’au pied du Trône de Dieu, tout ce qui est Pur, tout ce qui est Amour en soi.
O toi que je ne connais pas, mais qui veux connaître le Bien, pour le distinguer du Mal, pour posséder l'azur, le Soleil céleste, tout ce qui est joie surnaturelle, aime et tu l'auras. Aime le Christ. Tu mourras à la vie d'ici-bas mais tu ressusciteras en ton esprit. Avec un esprit nouveau, sans avoir besoin d'utiliser les pierres, tu seras pour l'éternité un feu immortel. La flamme monte. Il n'y a pas besoin d'escalier ni d'ailes pour monter. Libère ton être de toute construction, mets en toi l'Amour. Tu deviendras une flamme. Laisse cela arriver sans aucune restriction. Excite, au contraire, la flamme en y jetant pour l'alimenter tout ton passé de passions, de connaissances. Ce qu'il y aura de moins bon se détruira dans la flamme et ce qui est déjà métal noble se purifiera. Jette-toi, ô frère, dans l'amour actif et joyeux de
(Extrait de ma Réflexion n°32 : Quelques Méditations)
Mais
Lorsque, à
Voilà pourquoi Une Virginité évangélique est exigée de Mes Prêtres.
Malheur aux Profanateurs qui touchent Le Corps du Christ alors que leur corps est souillé par une union charnelle !!!
Car si votre corps est Le Temple de L’Esprit Saint et doit donc être gardé Saint et Chaste, le corps du Prêtre sur l’ordre de qui Je descend du Ciel pour devenir Corps et Sang, et entre les mains de qui Je repose comme dans un berceau, doit être plus Pur que Le Lys.
Il en va de même de son Esprit, de son Cœur et de sa Langue.
Je voudrais rappeler ceci : Dieu nous rappelle Sa Loi (et c’est ce que j’ai essayé de faire au travers de l’ensemble de mes Réflexions et des exemples mis dedans), non pour nous condamner, mais pour faire chanter en nous L’Espérance, en nous reconnaissant pécheur et en reconnaissant que sans Lui, nous ne pouvons rien…mais avec Lui, nous pouvons tout.
Jésus dit :
Votre lecture distraite de L’Evangile fait que trop de vérités vous échappent. Vous prenez les grands enseignements, mais mal eux aussi, et vous les adaptez à votre façon de voir actuelle.
Vous savez pourtant que ce n’est pas à L’Evangile de s’adapter à vous, mais bien l’inverse. Lui, Il est ce qu’il est. Son Enseignement est celui de son premier siècle d’existence et sera le même au dernier, même si ce dernier siècle devait advenir dans des milliards d’années.
Vous ne saurez plus vivre selon L’Evangile (vous le savez déjà bien mal), mais ce n’est pas pour autant qu’il sera différent.
Il vous dira toujours les mêmes vérités de vie.
Votre volonté d’adapter L’Evangile à votre manière de vivre est une confession de votre misère spirituelle.
Si vous aviez Foi dans les vérités Eternelles et en Moi qui vous les ai proclamées, vous vous efforceriez de vivre L’Evangile intégralement, comme le faisaient les premiers Chrétiens.
Et ne dites pas : « La vie actuelle est telle que nous ne pouvons suivre à
Les païens des premiers siècles étaient eux aussi très différents, sinon trop, de L’Evangile, et cependant ils ont su les suivre…
…Il faut Renaître. Il faut être Régénéré, se refaire une âme nouvelle, vous, les païens du vingtième siècle. Cela n’est possible qu’en abandonnant compromis et idées du monde pour embrasser Mon Idée et
Il ne suffit pas de se dire Chrétien pour l’être ! Ce n’est pas parce qu’on a reçu Le Baptême pour la forme qu’on l’est ! Etre Chrétien signifie être ce que Le Christ nous a dit d’être, comme L’Evangile vous le répète.
Je voudrais faire là une parenthèse que j’ai déjà dite dans ma Réflexion n°10 (Etre Fidèle à Dieu) :
La lecture de
1/ La lire de manière érudite, en tenant compte des différences de cultures, de temps et de genre littéraire, en fonction des différentes époques.
2/ La lire avec Foi, sachant que Dieu est Vivant et qu’Il nous parle à nous personnellement dans ce que nous sommes nous-même et ce que nous vivons.
Les deux manières de lire
Pour faire une comparaison, Dieu, par
Est-ce que la fiancée, recevant une lettre d’ Amour de Son Fiancé, après avoir ouvert la lettre, va l’examiner avec une quantité de dictionnaires, du point de vue grammaticale et syntaxique, et s’arrêter là, sans y puiser l’Amour qu’elle contient !!!!
Dieu est notre Père (Il nous a crée, Il veille sur nous, Il nous donne tout ce qu’il faut pour lutter contre tous les pièges de cette vie, Il chasse le Mal qui est en nous si nous le lui demandons, Il nous laisse totalement libre de notre vie à cause de tout L’Amour qu’Il a pour nous tout en nous montrant Le Chemin qui est le seul chemin qui conduit au Bonheur éternel comme un bon Père le ferait pour ses enfants (voir ma Réflexion Etre Fidèle à Dieu (n°10)).
Le prêtre, à l’image de Jésus, Le Bon Pasteur, prend soin des 100 brebis qui lui sont confié. Lui aussi est chargé de rappeler
EXTRAIT de ma Réflexion : Les Vocations Chrétiennes (n°17)
Voici une page douloureuse à dicter, à écrire, à lire. Mais c’est la vérité et elle sera dite. Ecris. Elle est destinée aux prêtres.
L’on accuse beaucoup les fidèles d’être peu fidèles et tièdes. L’on accuse beaucoup les hommes de ne pas avoir de charité, ni de pureté, ni de détachement des richesses, ni d’esprit de Foi.
Mais, de même que les enfants sont, à de rares exceptions près, tels que leurs parents les forment, moins par les punitions que par l’exemple, de même les fidèles sont, à part les exceptions qui existent toujours, tels que les prêtres les forment, moins par leurs paroles que par l’exemple.
Les églises disséminées au milieu des maisons de l’homme devraient être une sorte de phare et un lieu de purification. Il devrait s’en dégager une lumière douce et puissante, pénétrante et attirante qui, comme il en est de la lumière du jour, pénètre au fond des cœurs en dépit de toutes les serrures.
Voyez une belle journée d’été. Le soleil diffuse une lumière glorieuse qui embrasse la terre, si victorieuse et puissante que, même dans la pièce la mieux fermée, l’obscurité n’est jamais complète. Ce peut être un rayon fin comme un cheveu de bébé, ce peut être un point qui tremble sur un mur, ce peut être une poussière d’or qui danse dans l’air, mais il y a, dans cette pièce, un petit signe de lumière qui témoigne que Le soleil de Dieu resplendit au-dehors.
Il en va de même des cœurs les plus barricadés. S’il se dégageait, des églises disséminées parmi les maisons, une « lumière » comme celle que Je vous ai donnée pour signe, ô prêtres que J’appelle « lumière du monde » (Je vous ai appelés ainsi quand Je vous ai crées) un fil, un point, une poussière de lumière y pénètrerait. Cela suffirait à rappeler qu’il existe « une Lumière » sur le monde, à donner aux cœurs faim de lumière, de « cette Lumière ».
Mais combien y a-t-il d’églises dont il émane une lumière vive au point de forcer les portes fermées des cœurs et d’y pénétrer pour porter Dieu, Dieu qui est Lumière ???
Vous, curés, prêtres et moines, vous tous que J’ai appelés à Me porter dans les cœurs, combien y a-t-il d’âmes, dans vos églises, qui soient enflammées de Charité au point d’arriver à vaincre le gel des âmes et à porter dans les cœurs des hommes L’Amour de Dieu et L’Amour pour Dieu, pour Dieu qui est Charité ???
Les hommes pris dans leurs souffrances (et Je suis seul à savoir combien elles sont nombreuses) devraient pouvoir considérer leur église comme une mère sur le sein de laquelle on va pleurer et entendre des mots de réconfort après avoir raconté tous ses problèmes, avec la certitude d’être écouté et compris.
Leurs souffrances sont différentes des vôtres, ou du moins les vôtres devraient être différentes des leurs, car vous devriez uniquement souffrir des peines provoquées par votre zèle pour Votre Seigneur Dieu qui n’est pas assez aimé, pour les fidèles qui se perdent, pour les pécheurs qui ne se convertissent pas : Ce sont celles-ci, et nulle autre, qui devraient être vos souffrances.
Car, en vous appelant, Je ne vous ai pas indiqué un palais, une table, une bourse, une famille, mais « une Croix », Ma Croix, sur laquelle Je suis mort nu, sur laquelle J’ai expiré seul, sur laquelle Je suis monté après m’être détaché, dépouillé de tout, et même de Ma pauvreté qui était richesse comparée à Ma misère de condamné à qui il ne reste plus que l’échafaud fait d’un peu de bois, de trois clous et d’une poignée d’épines tissées en couronne.
Tout cela pour dire à tous (et à vous en particulier) que les âmes sont sauvées par Le Sacrifice, par Les hommes, dans leurs moments d’obscurités provoqués par tant de causes, qui ne proviennent pas toujours de leur volonté propre mais sont imposées par la volonté d’autrui, par un ensemble de circonstances qui les incitent à croire à l’Erreur ou à douter de Dieu, les hommes donc, devraient trouver en vous des porteurs de Lumière, de Ma Lumière, des hommes compatissants comme Le Bon Samaritain, des maîtres comme Votre Maître, des pères comme Votre Père. La terre, corrompue par tant de choses, fermente comme un corps en décomposition qui contamine les âmes par sa puanteur de péché. Mais les cœurs seraient purifiés si les églises disséminées parmi les maisons étaient des encensoirs où un prêtre vit avec ardeur et brûle d’Amour, et la puanteur du monde serait contrebalancée par Le Parfum de Dieu suintant du cœur des prêtres qui vivent dans un état de totale « fusion » avec Dieu et s’anéantissent en Dieu au point d’être uniquement comme Moi, qui suis dans Le Saint-Sacrement à la disposition de l’homme à tout moment. En effet, Moi, Dieu, J’y suis sans fatigues, sans orgueil, sans résistance. POUR LIRE
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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