Fête de la Sainte Famille…2ème Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

LA SAINTE FAMILLE…2ème Partie.

DEUXIEME ET DERNIERE PARTIE.

Aussi, j’aimerais apporter ici un témoignage de Jésus (révélé à Maria Valtorta) qui rétabli cet oubli sur la vie de La Sainte Famille.

Jésus parle de La Sainte Famille en Egypte.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 1, chapitre 61 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

"Dans cette maison l'ordre est respecté".

Jésus dit :

"La leçon pour toi et pour tous les autres est donnée par les choses que tu vois. Leçon d'humilité, de résignation, de parfaite entente, proposée à toutes les familles chrétiennes et particulièrement aux familles chrétiennes de ce moment particulier et douloureux.

Tu as vu une pauvre maison, et ce qui est pénible, une pauvre maison dans un pays étranger.

Nombreux sont les fidèles "passables" qui prétendraient avoir une vie matérielle facile, bien à l'abri de la plus petite peine, une vie prospère et heureuse, uniquement parce qu'ils prient et me reçoivent dans l'Eucharistie, parce qu'ils prient et communient pour "leurs" besoins, non pas pour les besoins pressants des âmes et pour la gloire de Dieu. (il est bien rare, en effet, qu'en priant on ne soit pas égoïste).

Joseph et Marie me possédaient Moi, le vrai Dieu, comme leur fils. Et pourtant ils n'eurent même pas la pauvre satisfaction d'être si pauvres, mais dans leur patrie, dans leur pays où ils étaient connus, où au moins il y avait une petite maison "à eux" et le problème du logement n'aurait pas été uni à tous les autres; dans leur pays où il eût été plus facile de se procurer un travail et pouvoir à la vie, puisqu'ils y étaient connus.

C'est à cause de Moi qu'ils sont deux rescapés dans un climat différent, dans un pays différent si triste en comparaison des douces campagnes de la Galilée, et aussi avec une langue, des mœurs différents au milieu d'une population qui ne les connaît pas, mais qui a cette méfiance habituelle que les populations ont pour les rescapés et les inconnus.

Ils sont privés de ces meubles confortables et chers de "leur" maisonnette, de tant, tant de petites choses humbles et nécessaires mais qui ne le paraissaient pas là-bas, tandis qu'ici, avec ce dénuement qui les entoure, elles semblent pourtant si belles, comme ce superflu qui rend délicieuses les maisons des riches.

Ils ont la nostalgie du pays et de la maison, leur pensée court à ces pauvres choses laissées là-bas, au petit jardin-potager, ou peut-être plus personne ne pourvoit, à la vigne, au figuier et aux autres plantes utiles.

Ils sont dans la nécessité de pourvoir à la nourriture de tous les jours, aux vêtements, au feu, à Moi enfant, à qui on ne peut pas donner la nourriture permise à soi-même. Et avec ça, beaucoup de peine dans le cœur.

Pour les nostalgies, pour ce qui les attend demain, pour la méfiance du monde qui est rétif surtout dans les premiers temps car on n'accueille pas facilement les offres de travail de deux inconnus.

Pourtant, tu l'as vu, dans cette demeure plane la sérénité, le sourire, la concorde, et d'un commun accord, on tâche de la rendre plus belle, jusqu'au pauvre potager, afin que tout soit pareil à la maison qui a été quittée, et plus confortable encore.

Il n'y a qu'une pensée : celle qui pour Moi, saint, la terre hostile me soit rendue moins misérable, à Moi qui viens de Dieu.

C'est un amour de croyants et de parents qui se manifeste avec mille soins; voilà une chevrette qui a coûté tant d'heures de travail en plus, les petits jouets sculptés sur les morceaux de bois restés, et les fruits achetés pour Moi seul, tandis qu'eux se privent même d'une bouchée de nourriture.

Père chéri de la terre, comme tu as été aimé de Dieu, de Dieu le Père du haut des Cieux, de Dieu le Fils, devenu Sauveur sur la terre !

Dans cette maison il n'y a pas de gens nerveux, susceptibles, de physionomies revêches, ni non plus de reproches réciproques, et encore moins envers Dieu qui ne les comble pas de bien-être matériel.

Joseph ne reprochera pas à Marie d'être la cause des pertes qu'il a subies et Marie ne reprochera pas à Joseph de ne pas savoir lui procurer un plus grand bien-être.

Ils s'aiment saintement, c'est tout, et leur préoccupation n'est pas leur intérêt personnel, mais celui du conjoint.

Le véritable amour ne connaît pas l'égoïsme. Et le véritable amour est toujours chaste, même s'il n'est pas parfait en ce domaine autant que celui de deux époux qui sont vierges.

La chasteté, unie à la charité, entraîne derrière elle tout un cortège d'autres vertus et réalise, pour deux personnes qui s'aiment chastement, la perfection conjugale.

L'amour de ma Mère et de Joseph était parfait. Il portait à toute autre vertu et spécialement à la charité envers Dieu, béni à toute heure, même si sa sainte volonté était pénible pour la chair et pour le cœur; l'esprit chez ces deux saints était plus vivant et dominait tout.

C'était cet esprit qui leur faisait magnifier le Seigneur en le remerciant de les avoir choisis comme gardiens de son Fils Éternel.

Dans cette maison on priait. On prie trop peu dans les maisons à présent. Au point du jour et du crépuscule, au début du travail, et vous vous asseyez à table sans une pensée pour le Seigneur qui avait permis de voir un nouveau jour, de pouvoir arriver à une nouvelle nuit, qui avait béni vos fatigues et permis qu'elles vous procurent cette nourriture, ce feu, ces vêtements, ce toit, toutes ces choses nécessaires aussi dans votre condition humaine.

Tout est toujours "bon" qui vient du Dieu Bon.

Même si ces biens sont pauvres et peu abondants, l'amour leur donne de la saveur et du prix, l'amour qui vous fait voir en l'Éternel Créateur le Père qui vous aime.

Dans cette maison on était frugal. On l'aurait été, même si l'argent n'avait pas manqué. On mangeait pour vivre, on ne mangeait pas pour satisfaire la gourmandise, avec l’insatiabilité des goinfres et les caprices des gourmands qui absorbent les aliments jusqu'à s'en alourdir et gaspillent leur avoir en produits coûteux sans penser à ceux qui n'ont pas leur content ou doivent se priver, sans réfléchir qu'en se modérant ils pourraient épargner à beaucoup les souffrances de la faim.

Dans cette maison on aime le travail. On l'aimerait même si l'argent abondait car, en travaillant l'homme obéit au commandement de Dieu et échappe au vice qui comme un lierre tenace enserre et étouffe les oisifs semblables à des masses inertes.

La nourriture est bonne, agréable le repos, satisfait le cœur quand on a bien travaillé et on apprécie un moment de détente entre un travail et un autre.

Dans la maison et dans l'esprit de qui aime le travail, le vice aux multiples visages n'y entre pas.

Et comme il n'y pousse pas, il s'y développent l'affection, l'estime, le respect réciproque. Dans une atmosphère de pureté grandissent les tendres rejetons qui donneront naissance à de futures familles où fleurira la sainteté.

Dans cette maison règne l'humilité. Quelle leçon d'humilité, pour vous orgueilleux ! Marie aurait eu, humainement parlant, mille et mille raisons de s'enorgueillir et de se faire adorer par son conjoint.

Il y en a tant, parmi les femmes qui le font parce qu'elles ont une culture plus étendue, une naissance noble, une fortune supérieure à celle de leur mari.

Marie est Épouse et Mère de Dieu et pourtant elle sert son conjoint, elle ne se fait pas servir et elle est toute affectueuse pour lui.

Joseph est le chef de maison que Dieu a jugé digne, si digne d'être chef de famille, de recevoir de Dieu la garde du Verbe Incarné et de l'Épouse de l'Éternel Esprit, et pourtant il veille attentivement à alléger pour Marie fatigues et travaux.

Il se charge des plus humbles occupations d'une maison pour épargner les fatigues à Marie et puis comme il peut, autant qu'il le peut lui fait plaisir, s'ingénie à rendre l'habitation plus pratique et d'égayer par les fleurs le petit jardin.

Dans cette maison on respecte l'ordre surnaturel, moral, matériel. Dieu est le Chef Suprême et c'est à Lui que l'on rend le culte et l'amour : ordre surnaturel.

Joseph est le chef de la famille et on lui donne affection, respect, obéissance: c'est l'ordre moral.

La maison est un don de Dieu, comme les vêtements et le mobilier. En toutes ces choses c'est la Providence de Dieu qui se manifeste, de ce Dieu qui donne aux brebis leurs toisons, aux oiseaux leur plumage, aux prés la verdure, le foin aux animaux domestiques, le grain et le feuillage aux volatiles et qui tisse le vêtement des lys de la vallée.

La maison, les vêtements, les meubles on les reçoit avec gratitude en bénissant la main divine qui les fournit, en les traitant avec respect en tant que dons du Seigneur sans les regarder de mauvaise grâce parce qu'ils sont pauvres, sans les abîmer en abusant de la Providence: c'est l'ordre matériel.

Tu n'as pas compris les paroles échangées dans le dialecte de Nazareth, ni les mots de la prière, mais le spectacle des choses a donné une grande leçon.

Méditez-la vous qui avez tant à souffrir pour avoir manqué à Dieu en tant de choses et parmi elles aussi en celles où ne manquèrent jamais les saints Époux qui furent ma Mère et mon père.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 1, chapitre 63 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

"Je n'ai pas voulu m'affranchir bruyamment des règles de la croissance".

Jésus dit :

"Je t'ai consolée, mon âme, avec une vision de ma petite enfance heureuse dans sa pauvreté, parce que entourée de l'affection de deux saints, les plus grands que le monde ait possédé.

On dit que Joseph fut mon nourricier. Bien sûr, il n'a pas pu, puisqu'il était homme, me donner le lait comme Marie qui m'en a nourri, mais il s'est fatigué au travail pour me procurer le pain et des aliments fortifiants.

Il a eu pour Moi la tendresse d'une vraie mère. J'ai appris de lui - et jamais élève n'eut un meilleur maître - tout ce qui d'un bambin fait un homme et un homme qui doit gagner son pain.

Si mon intelligence de Fils de Dieu était parfaite, il faut réfléchir et croire que je n'ai pas voulu m'affranchir bruyamment des règles de la croissance.

Rabaissant donc la perfection de mon intelligence divine au niveau de la compréhension humaine, je me suis assujetti à avoir pour maître un homme et à avoir besoin d'un maître.

Que si par la suite j'ai appris rapidement, cela ne m'enlève pas le mérite de m'être mis sous la dépendance d'un homme, ni à cet homme juste le mérite d'avoir nourri ma petite intelligence des connaissances nécessaires à la vie.

Les doux moments passés à côté de Joseph qui comme en jouant m'amenait à être capable de travailler, je ne les oublierai pas, même maintenant que je suis au Ciel.

Et, quand je revois mon père putatif, et le petit jardinet et l'atelier enfumé, il me semble voir apparaître la Maman avec son sourire qui rendait le logis merveilleux et me comblait de joie.

Combien les familles auraient à apprendre de cette perfection d'époux qui s'aimèrent comme nuls autres ne se sont aimés !

Joseph était le chef. Indiscutée et indiscutable son autorité dans la famille.

Devant elle s'inclinait respectueusement celle de l'Épouse et Mère de Dieu et le Fils de Dieu s'y assujettissaient.

Tout était bien fait, de ce que Joseph décidait de faire, sans discussions, sans objections, sans résistances. Sa parole était notre petite loi que nous suivions. Et, malgré cela, en lui quelle humilité !

Jamais un abus de pouvoir, jamais un vouloir déraisonnable venant du fait de son autorité. L'épouse était sa douée conseillère et si dans son humilité profonde elle se considérait comme la servante de son conjoint, lui tirait de la sagesse de Celle qui était pleine de Grâce, la lumière qui le guidait en toutes circonstances.

Et Moi, je grandissais comme une fleur protégée par deux arbres vigoureux, entre deux amours qui s'entrelaçaient au-dessus de Moi, pour me protéger et m'aimer.

Non, tant que ma jeunesse me fit ignorer le monde, je ne regrettais pas le Paradis. Dieu le Père et le Divin Esprit n'étaient pas absents parce que Marie en était remplie, et les anges avaient là leur demeure car rien ne les éloignait de cette maison.

L'un d'eux, pourrais-je dire, s'était incarné et c'était Joseph, âme angélique, libérée du poids de la chair uniquement occupé à servir Dieu et ses intérêts et à l'aimer comme l'aiment les séraphins.

Le regard de Joseph ! Tranquille et pur comme la lumière d'une étoile qui ignore les concupiscences de la terre. C'était notre repos, notre force.

Beaucoup s'imaginent que je n'ai pas humainement souffert quand s'éteignit le regard de ce saint qui veillait sur notre maison.

Si j'étais Dieu et si je connaissais comme tel le sort heureux de Joseph, et si, pour cette raison, je n'étais pas affligé de son départ, qui après un court séjour aux Limbes lui devait ouvrir le Ciel, comme Homme, j'ai pleuré dans la maison privée de son affectueuse présence.

J'ai pleuré sur l'ami disparu. Et n'aurais-je pas dû pleurer sur ce saint qui m'était si proche, sur le cœur duquel j'avais dormi tout petit et qui pendant tant d'années m'avait entouré de son amour ?

Enfin je fais observer aux parents comment sans le secours d'une formation pédagogique, Joseph sut faire de Moi un brave travailleur.

À peine arrivé à l'âge où je pouvais manier les outils, il ne me laissa pas moisir dans l'oisiveté, il me mit au travail, et de mon amour pour Marie il se fit le premier auxiliaire pour m'encourager au travail.

Confectionner des objets utiles pour la Maman, c'est ainsi qu'il inculquait le respect dû à la maman que tout fils devrait avoir. C'était sur ce levier du respect et de l'amour qu'il s'appuyait pour former le futur charpentier.

Où sont aujourd'hui les familles dans lesquelles on fait aimer le travail aux jeunes enfants pour leur apprendre à faire plaisir à leurs parents ?

Les enfants, maintenant, sont des despotes dans la maison. Ils grandissent durs, indifférents, grossiers envers leurs parents.

Ils les considèrent comme leurs domestiques, leurs esclaves. Ils ne les aiment pas et en sont peu aimés.

C'est qu'en faisant de vos fils des violents coléreux, vous vous séparez d'eux avec un absentéisme honteux.

Ils sont les fils de tout le monde. Mais à vous ils ne vous appartiennent pas, ô parents du XX° siècle.

Ils sont beaucoup plus les fils de la nourrice, de l'institutrice, ils appartiennent au collège, si vous êtes riches. Aux compagnons, à la rue, à l'école, si vous êtes pauvres. Ils ne sont plus à vous.

Vous, les mères, vous les engendrez et c'est tout. Vous, les pères, vous n'en avez pas davantage de souci.

Mais un fils, n'est pas seulement un être de chair. C'est une intelligence, un cœur, un esprit. Croyez-le, donc, personne plus qu'un père et une mère n'a le droit et le devoir de former cette intelligence, ce cœur, cet esprit.

La famille existe et doit exister. Il n'y a pas de théorie ou de progrès qui puisse s'opposer à cette vérité sans provoquer la ruine.

D'une famille qui se désagrège, ne peuvent venir dans l'avenir que des hommes et des femmes toujours plus dépravés et qui causeront de plus grandes ruines.

Et je vous dis en vérité, qu'il vaudrait mieux qu'il n'y eût plus de mariages, ni d'enfants sur la terre, plutôt que d'y avoir des familles moins unies tels que sont les tribus de singes, des familles qui ne sont pas des écoles de vertu, de travail, d'amour, de religion, mais un chaos où chacun vit pour soi comme des engrenages mal assemblés qui finissent par se rompre.

Rompez, désagrégez. Les fruits de cette désagrégation de la plus sainte des sociétés, vous les voyez, vous les subissez.

Continuez donc, si vous voulez. Mais ne vous lamentez pas si cette terre devient toujours plus un enfer, repaire de monstres qui dévorent familles et nations.

Vous le voulez : qu'il en soit ainsi.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 1, chapitre 71 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

"Marie a éprouvé une souffrance aiguë à la mort de Joseph".

Jésus dit :

"A toutes les femmes que frappe une douleur torturante, j'enseigne à imiter Marie dans son veuvage en s'unissant à Jésus.

Ceux qui pensent que Marie n'a pas souffert pour les peines de son cœur, sont dans l'erreur. Ma Mère a souffert. Sachez-le. Saintement, parce que en Elle tout était saint, mais profondément.

Ceux qui pensent que l'amour de Marie pour son époux était plutôt tiède, parce que c'était entre eux une union d'esprits, sont pareillement dans l'erreur.

Marie aimait intensément son Joseph. Elle lui avait consacré trente ans d'une vie fidèle. Joseph avait été pour Elle : un père, un époux, un frère, un ami, un protecteur.

Maintenant, elle se sentait seule, comme un sarment que l'on a coupé du pied de vigne auquel est associé sa vie.

Sa maison était comme frappée par la foudre. Maintenant elle se séparait. Avant c'était l'unité où chaque membre de la famille s'appuyait sur les autres.

Maintenant, venait à manquer le mur principal, le premier des coups portés à cette Famille, annonce de la très proche séparation d'avec le bien aimé Jésus.

La volonté de l'Éternel qui l'avait voulue épouse et Mère, lui imposait maintenant le veuvage et l'abandon de sa Créature.

Marie au milieu de ses larmes, dit un de ses sublimes "Oui. Oui, Seigneur, qu'il en soit fait de moi selon ta parole".

Et, à cette heure, pour avoir la force, elle se serre contre Moi. Toujours elle s'est serrée contre Dieu aux heures les plus graves de sa vie.

Au Temple, appelée au mariage, à Nazareth, appelée à la Maternité, à Nazareth encore, dans les larmes de son veuvage, à Nazareth dans le supplice de la séparation d'avec son Fils, sur le Calvaire dans la torture du spectacle de ma mort.

Recevez cette leçon, vous qui pleurez, vous qui mourez, vous qui vivez pour mourir. Tâchez de mériter les paroles que j'ai dites à Joseph. Elles seront votre paix dans votre agonie. Retenez cette leçon, vous qui mourez, pour mériter d'avoir Jésus près de vous pour vous réconforter.

Et même si vous ne l'avez pas mérité, osez également m'appeler auprès de vous. Je viendrai. Les mains pleines de grâces et de réconfort, le Cœur débordant de pardon et d'amour, sur les lèvres des paroles d'absolution et d'encouragement.

La mort perd toute âpreté lorsqu'elle vous prend entre mes bras. Croyez-le. Je ne puis supprimer la mort, mais je la rends douce à qui meurt en se confiant à Moi.

Le Christ l'a dit, pour vous tous, sur sa Croix : "Seigneur, je Te remets mon esprit". Il l'a dit en pensant, dans son agonie, à vos agonies, à vos terreurs, à vos erreurs, à vos craintes, à vos désirs de pardon.

Il l'a dit, le cœur déchiré, avant que la lance ne le perce, d'un déchirement spirituel plutôt que physique, pour que les agonies de ceux qui meurent en pensant à Lui soient adoucies par le Seigneur et que l'esprit passe de la mort à la Vie, de la douleur à la joie pour toujours.

 

Je laisse à votre méditation l’ensemble de ces commentaires de Jésus et de Marie sur Joseph et sur la vie de La Sainte Famille.

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                                          

                               PIERRE

 

Date de dernière mise à jour : 18/12/2024

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