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30. Le Couronnement de La Création: L' Homme...2ème Partie.
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
LE COURONNEMENT DE LA CREATION : L’HOMME…2ème Partie.
DEUXIEME PARTIE.
Jésus parle sur la Famille.
Extrait des Révélation de Jésus à Maria Valtorta du 22 Mars 1944 (dans les Cahiers de 1944).
Jésus dit :
Certaines familles ne sont pas de vraies familles, et sont à l’origine de grands malheurs qui se propagent de l’intérieur de la cellule familiale pour détruire les structures des nations et, par là, menacent la paix mondiale.
Ce sont ces familles dans lesquelles ce n’est pas Dieu qui domine, mais la sensualité et l’intérêt, par conséquent l’affiliation à Satan.
Fondées que sur la sensualité et l’intérêt, elles ne s’élèvent pas vers ce qui est Saint mais, comme des herbes malsaines nées dans la boue, rampent toujours en direction de la terre.
L’Ange dit à Tobie (Tobie 6,16) : Je t’apprendrai quels sont ceux sur qui le démon a pouvoir.
Oh ! En vérité, il y a des époux qui sont sous le pouvoir de démon dés la première heure de leur mariage !
Certains le sont avant même d’être mariés, d’autres le sont à partir du moment où ils décident de prendre un compagnon ou une compagne.
Leur but n’est pas droit, ils font des calculs sournois sur lesquels l’égoïsme et la sensualité règnent en maître.
Rien de plus sain, rien de plus saint aussi que deux personnes qui s’aiment honnêtement et s’unissent pour perpétuer la race humaine et fournir des âmes au Ciel.
La Dignité de L’Homme et de La Femme devenus parents suit immédiatement celle de Dieu.
La dignité royale elle-même ne lui est pas semblable. En effet, le plus sage des rois ne fait qu’administrer des sujets.
Au contraire, ces parents attirent sur eux le regard de Dieu et prélèvent à ce regard une nouvelle âme qu’ils enferment dans l’enveloppe de chair qui naît d’eux.
Je pourrais presque dire que, à ce moment précis, ils ont Dieu pour sujet car Dieu, devant leur Amour droit qui s’unit pour donner à La Terre et au Ciel un nouveau citoyen, crée immédiatement une nouvelle âme.
S’ils pensaient à ce pouvoir qui est le leur et auquel Dieu consent aussitôt ! Les Anges n’ont pas la même possibilité.
Mieux, les Anges, comme Dieu, sont aussitôt prêts à adhérer à l’acte des époux féconds et à devenir les gardiens de la nouvelle créature.
Mais nombreux sont ceux qui, comme le dit Raphaël, embrassent l’état conjugal de manière à chasser Dieu d’eux-mêmes et de leur esprit, et à s’abandonner à la luxure.
Le Démon a tout pouvoir sur eux.
Quelle différence y a-t-il entre le lit du péché et le lit de deux époux qui ne refusent pas la jouissance mais repoussent toute descendance ?
Ne jouons pas aux équilibristes en mots et en raisonnement faussés. Il n’y a pas grande différence.
S’il est conseillé ou interdit, en cas de maladie ou d’imperfections, d’avoir des enfants, alors il convient de savoir être continent et de s’interdire ces satisfactions stériles qui ne sont rien d’autre qu’une satisfaction des sens.
En revanche, si aucun obstacle ne s’oppose à la procréation, pourquoi faites-vous d’une loi naturelle et surnaturelle un acte immoral en la détournant de sa finalité ???
Lorsqu’une réflexion honnête vous conseille de ne pas augmenter le nombre de vos enfants, sachez vivre en époux chastes et non en singes luxurieux.
Comment voulez-vous que L’Ange de Dieu veille sur votre maison quand vous en faites un nid de péché ?
Comment voulez-vous que Dieu vous protège quand vous l’obligez à détourner son regard avec dégoût de votre nid souillé ?
Oh !!! Pauvres familles qui se forment sans que l’on pense à ce qui est supérieur, mais uniquement sous l’aiguillon d’un appétit sensuel et d’une réflexion financière !!!
Bien des époux n’ont plus la moindre pensée pour Dieu une fois passée la coutume inévitable de la cérémonie religieuse (Je parle bien de coutume, et je le répète, car pour la majorité ce n’est rien d’autre, et en tout cas pas une aspiration de l’âme à avoir Dieu à ses côtés en un tel moment).
Ils font de ce Sacrement un festin, et du festin un exutoire pour leur bestialité, alors que dans ma Pensée Le Sacrement, loin de se terminer avec la cérémonie religieuse, commence à cet instant et dure aussi longtemps que la vie des époux.
On peut le comparer aux vœux monastiques qui, loin de se limiter à la cérémonie religieuse, durent aussi longtemps que la vie du religieux ou de la religieuse.
L’Ange apprend à Tobie que, si la prière précède l’acte, celui-ci devient Saint, Béni et Fécond en joies véritables et en descendance.
Voilà ce qu’il conviendrait de faire : aller se marier d’une part en étant poussé par le désir d’avoir des enfants, puisque c’est là le but de l’union humaine (tout autre but est un péché qui déshonore l’homme comme être raisonnable et blesse l’esprit, Temple de Dieu, qui s’enfuit avec indignation), d’autre part en gardant Dieu à l’esprit à tout moment.
Dieu n’est pas un garde-chiourme oppressif. C’est un Père bon, qui se réjouit des joies honnêtes de Ses enfants et qui répond à leurs étreintes par des Bénédictions Célestes et par l’approbation, ce dont la création d’une nouvelle âme est la preuve.
Mais qui comprendra cette page ??? Comme si J’avais parlé la langue d’une planète inconnue, vous la lirez sans en goûter la sainte saveur. Elle vous semblera être du ressassé, or c’est La Doctrine Céleste.
Vous la tournerez en dérision, vous, les savants du moment.
Mais vous ne savez pas que Satan rit de votre stupidité, lui qui a réussi, grâce à votre manque de continence, grâce à votre bestialité, à tourner à votre condamnation ce que Dieu avait crée pour votre bien : Le Mariage en tant qu’union humaine et Sacrement.
Je vous répète les mots de Tobie à sa femme, pour que vous vous en souveniez et que vous vous comportiez en conséquence (si toutefois un reste de dignité humaine survit en vous et vous le permet) :
« Nous sommes enfants de Saints, et nous ne pouvons nous unir comme des païens qui ne connaissent pas Dieu » (Tobie 4,12)… (Voir ma Réflexion n°25 : Savoir dire Merci).
Qu’elles soient votre règle de conduite. Car, même si vous êtes nés là où la sainteté était déjà morte, Le Baptême a fait de vous des enfants de Dieu, du Saints des Saints, de sorte que vous pouvez toujours affirmer que vous êtes des enfants de Saints, et vous y conformer.
Vous aurez alors « une descendance dans laquelle Le Nom du Seigneur sera Béni », et l’on vivra conformément à Sa Loi.
Or, quand les enfants vivent conformément à La Loi Divine, les parents en profitent, car elle enseigne La Vertu, Le Respect, L’Amour, si bien que les premiers à en bénéficier après Dieu sont les heureux parents, ces saints époux qui surent faire de leur mariage un rite perpétuel, et non un vice déshonorant.
Pourquoi Dieu ne punit-Il pas les méchants.
Extrait des Révélation de Jésus à Maria Valtorta du 26 Février 1944 (dans les Cahiers de 1944). (Commentaire sur le Psaume 94(93) ).
Jésus dit :
Combien de fois, en particulier ces temps-ci (nous sommes le 26 Février 1944, en pleine guerre mondiale), l’homme ne dit-il pas :
« Mais, Seigneur, pourquoi n’interviens-tu pas pour punir ? Donne ce qu’ils méritent aux orgueilleux et aux mauvais. Si tu es juste, comment peux-tu laisser les méchants triompher pendant que tes fidèles souffrent ? »
Mes enfants, Je vous rappelle une parole de L’Evangile : « Ote d’abord la poutre de ton œil, alors tu verras clair pour ôter la paille de l’œil de ton frère ».
C’est vrai que vous êtes tourmentés par « les grands pécheurs ». Mais vous n’êtes pas vous-mêmes sans péché. Vos péchés, certes bien plus petits que ceux, énormes, des corrupteurs du monde, n’ont cessé de s’accumuler au point de provoquer l’indignation de Dieu.
Vous devez prendre en considération que Dieu, Perfection et Justice, Juge les grands et les petits, et que le péché grave du grand et le péché plus véniel du petit, lui répugnent pareillement.
S’Il devait donc intervenir pour punir les grands, comme vous l’en implorez, pourquoi ne lui serait-Il pas permis de vous punir de vos péchés répétés et nombreux ?
Il y a les péchés de nations entières. Leurs habitants ont oublié Dieu, ils l’ont remplacé par une multitude d’autres dieux qui vont d’un « homme » issu d’eux à une idée, d’une idée à un ensemble d’habitudes morales (c’est-à-dire amorales) dont aucune n’est approuvée par Dieu.
Que s’est-il donc passé ? Ce qui se produit dans un éboulement de sable. Il existe sur la terre certains lieux où, en raison d’une configuration particulière du sol et de sa composition spéciale, l’ont voit s’accumuler du sable transporté lentement mais continuellement par les vents.
Il y faut des siècles, mais il vient un moment où cette accumulation est telle que la dune de terre ne la supporte plus.
Elle s’écroule d’elle-même, provoquant ainsi des catastrophes qui engloutissent des villages, quand ce ne sont pas des villes entières.
Si l’homme y était attentif, il veillerait à contrebalancer l’action des vents par quelque ouvrage et il balayerait ces entassements avec une ténacité égale à celle des éléments.
Mais il n’y fait pas attention : au contraire, il se réjouit de ce que ceux-ci apportent des couches de terre là où il n’y avait auparavant que de la roche, ou ensablent un estuaire, augmentant par là, la surface cultivable.
C’est ainsi qu’il exploite le « pseudo-don » du vent traître et du courant sournois en en faisant une source de profit pour jouir et triompher davantage, peut-être même au détriment du village voisin.
Veillez à ce petit grain de poussière ? Mais, non ! Quel tort pourrait-il donc causer ? Un tel tort (malgré sa petitesse qui devient grande grâce à la coopération d’un nombre infini d’autres petitesses) qu’il peut provoquer des catastrophes.
Il n’y a rien de plus petit qu’un grain de sable. Mais rassemblez-en des millions et des milliards, et vous verrez quelle horrible mort ils provoquent.
Quel est ce défaut ? Quelle habitude amorale ? Rien : une vétille. Est-ce un péché grave ! Bien-sûr que non ! Un péché véniel ? Pas même ! Une simple imperfection due à la rapidité de la vie actuelle et à ce que tout un ensemble de circonstances impose.
Vous dites : « Nous ne sommes plus au Moyen-Âge. Il faut être à la hauteur de l’époque moderne, avoir des vues plus larges. Ne pas penser que Dieu est toujours là avec une feuille et un crayon, à noter mes omissions, mes satisfactions, mes transactions.
Aujourd’hui, j’ai préféré traiter une affaire plutôt que d’aller à la messe dominicale, ou même prendre ces dix minutes de dialogue avec Dieu qui forment la prière du matin et du soir.
Si je ne profite pas de cette matinée, je ne trouverai plus tel client ou tel professionnel. Si je perds ces dix minutes, je perds toute possibilité d’arriver à temps. On verra demain… »
Dix minutes ! Vous êtes restés une demi-heure à vous prélasser au lit, une autre à discuter avec votre femme et les domestiques, presque une heure à vous pouponner comme des efféminés. Alors vous ne trouvez pas dix minutes pour votre Dieu.
Vous avez six jours pour traiter de vos affaires et vous traînez sans rien conclure. Et ce n’est que le dimanche matin que vous trouvez que cela doit se faire de toute urgence.
Or quel professionnel, quel client est libre uniquement le dimanche ? Pourquoi ? Si personne n’était disponible à cause de ses mauvaises habitudes, il devrait se décider à se consacrer à ses affaires pendant les six autres jours.
Vous êtes amoraux l’un comme l’autre, et vous ne vous souciez pas de Dieu. Voilà tout.
Ou encore : Qu’y a-t-il de répréhensible dans ma petite calomnie ? Ce n’est d’ailleurs pas une calomnie, juste une médisance. Ou pas même : C’est une bonne blague dite dans le dos…pour rire, pour laisser croire que l’on est bien informé, pour se mettre dans les bonnes grâces des supérieurs ou des puissants. Mais au fond, vous estimez cette personne. On sait bien…il faut flatter les supérieurs pour leur soutirer leur protection et de bonnes places.
On sait bien…C’est un monde de compétition et tant mieux si je peux prendre ta place, moi qui ai une famille pleine d’exigence. D’ailleurs toi, cher collègue, tu peux vivre plus modestement !
Vous commettez ainsi un vol de réputation et de place. Vous êtes des voleurs, ô hypocrites, pour satisfaire aux exigences, aux caprices de l’épicurisme familial, de la vanité sociale ou féminine.
Ou encore : Qu’est-ce qu’il y a de mal à faire un peu la cour à cette femme et, de son côté, à se laisser faire ? C’est enlever un peu de monotonie à la vie. Ensuite, nous redevenons de simples amis comme auparavant. Ce sont des choses sans conséquence. Il ne faut pas être puritain !
Vous êtes adultères, ô hypocrites ! Vous l’êtes parfois même sous les yeux de vos enfants. Vous croyez qu’ils ne vous voient pas, mais ils voient tout, vous les scandalisez et vous les obligez à vous juger.
Qu’y a-t-il de répréhensible à s’émanciper de ses parents, de son mari, à être indépendant, à mener notre vie comme cela nous plait ?
Quelle importance si l’on fait du mariage un moyen d’avoir, en son épouse, une infirmière et une servante ou, en son mari, quelqu’un qui se fatigue pour nos besoins et nos caprices, et non une mission de procréation et d’éducation ?
Il vaut mieux ne pas avoir d’enfants, ou alors en petit nombre. Ils donnent du souci, ils coûtent cher, ils sont source de rancoeurs entre les parents A ou B, ou avec les enfants qui les précèdent. Pas d’autres enfants que les un ou deux qui, on ne sait trop comment, ont voulu naître.
Et maintenant qu’ils sont nés, n’allons pas nous fatiguer pour eux : nourrices, gardes d’enfants, institutrices, collège. C’est bien ce que vous dites.
Vous êtes des assassins, ô hypocrites. Vous supprimez des vies ou des âmes. Car sachez-le bien, un collège a beau être bon ou une institutrice parfaite, ce ne seront jamais la mère, le père, la famille.
Ces enfants, qui ont été ceux de tous hormis les vôtres, comment peuvent-ils vous aimer de ce grand Amour qui continue à rester uni au plus profond de vous-mêmes comme s’ils avaient leurs racines en vous ?
Comment ces enfants peuvent-ils vous comprendre si vous êtes des étrangers pour eux, et réciproquement ?
Quelle société peut émaner de peuples dans lesquels la première forme de société, la famille, est aussi aride, morte, démembrée ? Une anarchie dans laquelle chacun ne pense qu’à soi, si encore il ne pense pas à nuire aux autres ?
Quant à cet argent que vous économisez en refusant à un enfant de naître, que croyez-vous avoir dans votre portefeuille ?
Un ver qui en détruit la substance, car ce que vous ne déboursez pas pour un enfant, vous le dépensez trois fois plus en divertissements et luxes inutiles et nocifs.
D’ailleurs pourquoi vous mariez-vous si vous ne voulez pas avoir d’enfant ? A quoi réduisez-vous la chambre nuptiale ?
Par respect pour mon « porte-parole » (Maria Valtorta), je tairai la réponse.
Dites-la-vous, hommes indignes.
Ce sont beaucoup de petites choses en comparaison des méfaits des grands pécheurs. Mais ils provoquent l’avalanche. Celle qui vous submerge.
Je l’ai dit : Si les grands s’étaient trouvés en face (Je ne dis pas contre, mais bien, en face) d’un peuple moralement sain, solidement obéissant à La Loi de Dieu et de la morale, même humaine, ils n’auraient pu en arriver à commettre leurs crimes.
Leur satanisme se serait brisé comme une épée de verre contre un bloc de granit, il se serait pulvérisé.
Et Dieu vous aurait Bénis et protégés.
Au contraire, vous avez admiré les grands criminels, chez qui vous admiriez la perfection de leur délinquance que vous-mêmes ne pouviez pas atteindre, cette perfection dans l’immoralité qui vous plaisait parce qu’elle justifiait la votre.
Vous disiez : Si lui, que nous admirons, agit de la sorte, je peux en faire autant.
Ou encore : Si Dieu le protège, lui qui est comme ça, Il me protègera moi aussi, qui le suis bien moins.
Hommes stupides ! Pensez-vous réellement que Je protège celui qui désire réussir et parvenir à faire d’un autre un complice pour triompher à tout prix, et pour ce faire « égorge la veuve et l’étranger et assassine l’orphelin », qui a trahi la confiance des autres, qui a menti à des peuples entiers, qui n’a pas hésité à mener des peuples entiers à l’abattoir ?
Mais ? Je vois, j’entends et je note.
Je souffre de ne pouvoir intervenir, car lorsque j’interviens, vous neutralisez mon intervention par vos actes mauvais.
Vous êtes si empoisonnés que, d’un bien, vous en faites un mal.
Cependant (C’est votre Dieu qui vous en conjure), revenez à Moi. Veuillez revenir à Moi. Libérez-vous individuellement de vos fautes, de vos manques de Foi, de votre désobéissance morale, de vos vices de toutes sortes, puis je délivrerai la collectivité de ses fléaux.
(Le débarquement en Normandie à eu lieu 3 mois ½ plus tard, le 06 juin 1944).
Extrait des Révélation de Jésus à Maria Valtorta du 17 et 18 Janvier 1944 (dans les Cahiers de 1944). (Colossiens 2 6…et suivants)
Jésus dit :
Une seule Foi est la vraie : la mienne, telle que Je vous l’ai donnée. C’est une pierre précieuse Divine dont la lumière est Vie.
Il ne suffit pas de se rappeler cette Foi de nom, comme un morceau de marbre resté par hasard dans une pièce.
Mais il faut se fonder sur elle et la prendre comme faisant partie de vous-mêmes.
Les habits que vous portez sont-ils vie pour vous ??? Deviennent-ils peut-être votre chair et votre sang ? Non.
Ces vêtements vous sont utiles mais, si vous les enlevez pour en endosser d’autres, vous n’enlevez rien d’intime.
Au contraire, la nourriture que vous avalez devient votre chair et votre sang, et vous ne pouvez plus l’ôter de vous.
Elle fait partie de vous, elle vous est essentielle car, sans sang et sans chair, vous ne pourriez pas vivre tout comme, sans nourriture, vous n’auriez ni chair ni sang.
Il en va de même de La Foi. Elle ne doit pas vous recouvrir à certains moments, comme un voile, pour vous permettre de paraître plus beaux et de plaire à vos frères. Il faut qu’elle soit une partie intrinsèque de vous-mêmes, inséparable de vous, vitale.
La Foi ne consiste pas seulement à espérer ce qu’on croit, elle est réalité de vie. Une vie qui commence ici, dans cette chimère qu’est la vie humaine, pour s’accomplir dans l’au-delà, dans La Vie Eternelle qui vous attend.
De nos jours (Je rappelle que nous sommes en pleine guerre mondiale, le 17 Janvier 1944), une grande hérésie s’établit, une hérésie des plus sacrilèges.
Une foi est proclamée par « le fils de Satan », par l’un de ses fils, un des plus grands, pourrais-je même dire. (Jésus parle d’Hitler).
Il n’est pas le plus grand dans le passé (c’est Judas), ni le plus grand dans l’avenir (c’est l’Antéchrist), mais c’est l’un de ceux qui vivent aujourd’hui pour le châtiment de l’homme.
En effet, ce dernier (l’homme) a adoré l’homme à la place de Dieu, se donnant ainsi la mort par la main de l’homme, alors que Moi, Dieu, je lui avais donné « la Vie » par ma mort (méditez sur cette différence !!!).
Ce fils de Satan proclame donc une nouvelle foi, qui est une parodie tragique, sacrilège et maudite de la Foi en Moi.
Un nouvel évangile est proclamé, une nouvelle église est fondée, un nouvel autel est élevé, une nouvelle croix est dressée, un nouveau sacrifice est célébré.
Cet évangile, cette église, cet autel, ce sacrifice sont ceux de l’homme, pas de Dieu.
Il n’y a qu’un Evangile : Le Mien.
Il n’y a qu’une Eglise : La Mienne, L’Eglise Catholique Romaine.
Il n’y a qu’un Autel : Celui qui est consacré par L’Huile, L’Eau et Le Vin, et fondé sur les ossements d’un Martyr et d’un Saint de Dieu.
Il n’y a qu’une Croix : La Mienne. Celle à laquelle pend Le Corps du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Celle qui reproduit La figure du bois que J’ai porté avec un infini Amour et une immense Fatigue jusqu’au sommet du Calvaire.
Il n’est pas d’autres Croix.
Il peut exister d’autres signes, des hiéroglyphes semblables à ceux gravés dans les hypogées des pharaons ou des stèles aztèques : ce ne sont là que des signes d’hommes ou de Satan, mais pas des croix, pas les symboles de tout un poème d’Amour, de Rédemption, de Victoire sur toutes les forces du Mal, quelles qu’elles soient.
De l’époque de Moïse à aujourd’hui, et d’aujourd’hui au moment de Jugement, Une sera La Croix : Celle qui ressemble à La Mienne, celle qui fut portée en premier par le « serpent » (Jean 3 14-15) et (Nombre 21 4-9), ce symbole de Vie Eternelle, celle que j’ai portée et que je porterai quand je viendrai en Juge et en Roi pour tous vous juger : vous mes Bénis qui croyez en Mon Signe et en Mon Nom, et vous aussi, qui êtes maudits, parodistes et sacrilèges, qui avez supprimé Mon Signe et Mon Nom des temples, des états et des consciences pour y substituer votre symbole satanique et votre nom de suppôts de Satan.
Il n’y a qu’un Sacrifice : Celui qui réitère mystiquement Le Mien et, sous l’aspect du pain et du vin, vous donne Mon Corps et Mon Sang immolés pour vous.
Il n’est pas d’autre corps et d’autre sang qui puissent remplacer La Grande Victime.
Au contraire, les corps et le sang que vous immolez ne célèbrent rien, ne substituent rien, ne servent pas, non, au sacrifice.
Car vous êtes les féroces sacrificateurs de ceux qui sont pour vous des sujets à votre disposition. En effet, vous les avez changés en corps de galériens condamnés à ramer, marqués de votre signe comme s’ils étaient des animaux de boucherie, rendus même incapables de penser puisque vous avez volé, interdit et blessé leur souveraineté d’hommes sur les bêtes brutes, et puisque vous avez changé des êtres intelligents en un immense troupeau d’êtres privés de raison au-dessus desquels vous agitez le fouet et que vous menacez de « mort » s’ils osent seulement vous juger intérieurement.
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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