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Faire fructifier les Dons de Dieu...3ème Partie.
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
FAIRE FRUCTIFIER LES DONS DE DIEU...3ème Partie.
TROISIEME ET DERNIERE PARTIE.
Ainsi l'ensemencement, le même pour tous les champs, avait donné ici le cent pour un, ailleurs soixante, ailleurs trente, ailleurs rien.
Entende qui a des oreilles pour entendre. La semence c'est la Parole: elle est la même pour tous. Les endroits où elle tombe : ce sont vos cœurs.
Que chacun en fasse l'application et comprenne. La paix soit avec vous."
Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 3, chapitre 40 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…
Dans la cuisine de Pierre. Instruction et annonce de la capture du Baptiste.
Voilà l’explication de cette parabole donnée aux apôtres par Jésus :
Maintenant, écoutez l'esprit de la parabole. Nous avons quatre sortes de champs : ceux qui sont fertiles, ceux qui sont encombrés d'épines, ceux où abondent les pierres, ceux qui sont pleins de sentiers. Nous avons aussi quatre sortes d'esprits.
Nous avons les esprits honnêtes, les esprits de bonne volonté, préparés par leur travail et par le bon travail d'un apôtre, d'un "véritable" apôtre, car il y en a qui en ont le nom, mais pas l'esprit. Ils sont plus meurtriers sur les esprits en voie de formation que les oiseaux, les épines et les cailloux eux-mêmes. Avec leurs intransigeances, leurs hâtes, leurs reproches, avec leurs menaces, ils déroutent de telle façon qu'ils éloignent pour toujours de Dieu. Il y en a d'autres à l'opposé qui, par un arrosement continuel de bienveillance déplacée, font pourrir la semence dans une terre trop molle. Par leur manque de virilité ils dévirilisent les âmes dont ils s'occupent.
Mais n'envisageons que les vrais apôtres, ceux qui sont de purs miroirs de Dieu.
Ils sont paternels, miséricordieux, patients et en même temps forts comme leur Seigneur. Voilà que les esprits préparés par eux et par leur propre volonté sont comparables aux champs fertiles sans cailloux et sans ronces, nets de chiendent et d'ivraie.
En eux prospère la parole de Dieu et toute parole : une semence fait une touffe et des épis, en donnant ici le cent pour cent, ailleurs le soixante, ailleurs encore le trente pour cent.
Y en a-t-il parmi ceux qui me suivent ? Certainement et ils seront saints. Parmi eux, il y en a de toutes les castes, de tous les pays.
Il y a même des gentils et qui pourtant donneront le cent pour cent par leur bonne volonté, uniquement par elle, ou bien par elle et celle d'un apôtre ou d'un disciple qui me les prépare.
Les champs épineux sont ceux où l'incurie a laissé pénétrer les enchevêtrements épineux des intérêts personnels qui étouffent la bonne semence.
Il faut se surveiller toujours, toujours, toujours. Il ne faut jamais dire : "Oh ! Désormais je suis formé, ensemencé, je puis être tranquille que je donnerai des semences de vie éternelle". Il faut se surveiller : la lutte entre le Bien et le Mal est continuelle.
Avez-vous jamais observé une tribu de fourmis qui s'installent dans une maison ? Les voilà sur le foyer. La femme n'y laisse plus de nourriture et la met sur la table; et elles flairent l'air et donnent l'assaut à la table. La femme les met dans la crédence, et elles passent par la serrure. La femme suspend ses provisions au plafond, et elles font un long chemin le long des murs et des soliveaux, elles descendent le long des cordes et dévorent. La femme les brûle, les empoisonne et puis reste tranquille, croyant les avoir détruites.
Oh ! Si elle ne veille pas, quelle surprise ! Voilà que sortent celles qui viennent de naître et tout est à recommencer.
C'est ainsi tant qu'on vit. Il faut se surveiller pour extirper les mauvaises plantes dès qu'elles sortent, dans le cas contraire elles font un plafond de ronces et étouffent la graine.
Les soucis mondains, la duperie des richesses créent l'enchevêtrement, noient les plantes semées par Dieu et les empêchent de former l'épi.
Voici maintenant les champs pleins de cailloux. Combien il y en a en Israël ! Ce sont ceux qui appartiennent aux "fils des lois" comme l'a dit très justement mon frère Jude.
Il ne s'y trouve pas la Pierre unique du Témoignage, il n'y a pas la Pierre de la Loi. Il y a la pierraille des petites, pauvres lois humaines créées par les hommes.
Tant et tant qui, par leur poids, ont fait une carapace même à la Pierre de la Loi. C'est une ruine qui empêche tout enracinement de la semence.
La racine n'est plus nourrie. Il n'y a plus de terre, plus de sucs nourriciers. L'eau fait pourrir parce qu'elle stagne sur les pavés des sillons. Le soleil échauffe les sillons et brûle les petites plantes.
Ce sont les esprits de ceux qui ont remplacé par des doctrines humaines compliquées la simple doctrine de Dieu.
Ils reçoivent, et même avec joie, ma parole. Sur le coup, elle les ébranle et les séduit. Mais ensuite...
Il faudrait de l'héroïsme pour piocher jusqu'à débarrasser le champ, l'âme et l'esprit de toute la pierraille des rhéteurs. Alors la semence s'enracinerait et formerait une forte touffe. Autrement... elle ne donne rien. Il suffit de la crainte de représailles humaines. Il suffit d'une réflexion : "Mais, après cela ? Que me feront-ils, les puissants ?" et la pauvre semence languit sans nourriture.
Il suffit que toute la pierraille s'agite avec le son vain des cent et cent préceptes qui se sont substitués au Précepte et voilà que l'homme périt avec la semence qu’il a reçue... Israël est rempli de ces hommes.
Ceci explique comment le chemin vers Dieu va en sens inverse de celui de la puissance humaine.
Enfin, pour finir, les champs pleins de sentiers, poussiéreux, dénudés. Ce sont ceux des mondains, des égoïstes.
Leur confort est leur loi, la jouissance est leur but. Ne pas se fatiguer, sommeiller, rire, manger...L'esprit du monde est roi chez eux. La poussière de la mondanité couvre le terrain qui devient stérile.
Les oiseaux, qui symbolisent la dissipation, se précipitent sur les mille sentiers qu'on a ouverts pour rendre la vie plus facile.
L'esprit du monde, c'est-à-dire du Malin, dévore et détruit toute semence qui tombe sur ce terrain ouvert à toutes les sensualités et à toutes les légèretés.
Aussi, fils de Dieu, protégez vous-mêmes contre vous-mêmes. Surveillez-vous attentivement contre toutes les tentations.
Être tenté n'est pas un mal. C'est par la lutte que l'athlète prépare la victoire. Mais le mal c'est d'être vaincus faute d'entraînement et d'attention.
Je sais que tout sert à la tentation. Je sais que la défense énerve. Je sais que la lutte épuise. Mais, allons, pensez à ce que vous procurent ces choses.
Et voudriez-vous pour une heure de plaisir, de n'importe quelle espèce, perdre une éternité de paix ?
Que vous laisse le plaisir de la chair, de l'or et de la pensée ? Rien. Qu'acquérez-vous en les repoussant ? Tout.
Dieu ne vous fait pas violence dans votre pensée ni non plus dans votre sanctification. Vous êtes libres.
Mais Il vous rend la force. Il vous délivre de la domination de Satan. A vous de reprendre le joug infernal, ou de mettre à votre âme des ailes d'ange.
Tout dépend de vous pour me prendre comme frère pour que je vous guide et vous nourrisse d'une nourriture immortelle.
Des richesses, comme on peut le voir, nous en avons. Il suffit juste d’aller les rechercher en nous et de les faire fructifier, de les faire se développer et non pas de les enfuir et de se lamenter soit que nous n’en n’avons pas suffisamment, soit que nous n’avons pas celle que nous voudrions.
Nous leur permettons de se développer, par la prière en louant Dieu, en L’adorant et en Le remerciant pour ce qu’Il nous a donné.
Nous leur permettons de se développer, par La confiance en Dieu, en reconnaissant humblement et sincèrement que nous ne sommes rien sans Lui.
Nous leur permettons de se développer en demandant au Seigneur d’intervenir constamment dans tout ce qui fait notre vie, nos rencontres, notre travail, notre foyer, notre famille, etc. …
Nous leur permettons de se développer lorsque nous refusons tout compromis avec ce qui est mal, en cherchant à ne faire, ne penser et ne dire que le bien, par notre exemple, notre conduite, nos paroles et nos actes.
Nous leur permettons de se développer lorsque nous choisissons l’amour, la compassion, la miséricorde, l’humilité et le don de soi, plutôt que la haine, la dureté de cœur, la rancœur, l’orgueil et l’égoïsme.
Nous leur permettons de se développer lorsque nous choisissons de témoigner de notre Foi, de notre Amour pour Dieu et à travers Lui, pour notre prochain, quel qu’il soit (notre conjoint, nos enfants, notre famille, notre voisin, le pauvre que nous rencontrons, le malade prés de chez nous, ….) plutôt que d’enterrer notre Foi et ne gardant notre Amour que pour ceux qui pourront nous le rendre, voir au centuple !!!
J’aimerais reprendre, par mon propre témoignage, deux exemples :
1/ La timidité :
Comme je l’ai dit, ci-dessus, il est très difficile à quelqu’un de timide, de très timide, de parler en public...et encore moins de parler longuement.
Voulant vivre ma Foi, je suis rentré dans des groupes de prières du Renouveau Charismatique au moment où ce mouvement arrivait en France (dans les années 1972)...mais en restant bien dans mon coin, au milieu des personnes de ces groupes de prières.
J’ai pu aussi approfondir ma Foi, par des retraites sur La Vie intérieure, faites par un Saint Prêtre (Le Père Caffarel).
Mais je me disais toujours...que je profitais...mais je ne donnais jamais.
J’ai alors décidé de donner et de témoigner de ma Foi, en m’exprimant dans les groupes (très peu...mais je n’en n’étais pas capable de plus), et en participant à l’organisation de retraites de catéchisme pour les petits.
Arrivant en 1976 dans le nord, j’ai cherché un groupe de prière du Renouveau Charismatique. J’y ai trouvé quelques personnes (un prêtre, une dame d’un certain âge et une jeune femme de mon âge) qui s’occupaient du groupe de prière de la ville, ainsi que d’activité au sein de la paroisse.
Nous avons tous les quatre fait un engagement religieux, en nous consacrant au Seigneur, puis nous avons décidé de vivre en communauté de vie, mettant tous nos revenus en commun, nous partageant les différentes tâches et nous retrouvant plusieurs fois chaque jour pour des temps de prière et pour la messe (je résume très vite cette période, pour en arriver au sujet).
Là, le responsable de notre communauté (notre Berger qui était Prêtre) m’a demandé de faire les enseignements pour la préparation à l’Effusion de l’Esprit, pour, dans le groupe de prière (une centaine de personnes environ), ceux qui voulaient se préparer à celle-ci.
Moi, incapable de parler (ni en pensée ni en parole) pendant 3 heures sur un sujet, alors que 10 secondes suffisent...alors, faire un enseignement, et en plus, devant un publique !!!
Pourtant, par obéissance (sans m’y attarder, je souligne là, la très grande importance de l’obéissance, liée à la confiance en Dieu, à la confiance aux Dons de Dieu, à la confiance en soi, liée au désir de répondre amoureusement à l’Amour de Dieu), j’ai accepté.
C’est vrai que je connaissais le sujet, mais j’aurais pu en parler pendant moins d’une minute pour tout dire...sans parler que cela se faisait sur une série d’enseignements !!!
Pourtant, lorsque j’ai commencé à parler, tout devenait clair dans ma pensée, et l’enseignement (puis les autres) furent limpides et toucha le cœur des personnes présentes.
J’ai eu ensuite la volonté de continuer (je souligne là aussi l’importance de la volonté), et à chaque fois, tous les enseignements me venaient au fur et à mesure que je parlais, et touchaient les cœurs des personnes présentes.
Je tiens à préciser que je ne faisais jamais un enseignement, sans avoir d’abord passé un long moment en prière et en adoration pour offrir à Dieu l’enseignement qui m’était demandé de faire (je souligne là l’importance de la prière pour toute chose et de l’adoration).
Je n’oublierais pas les activités que notre communauté avait au sein de la paroisse (je désire souligner l’importance de faire parti de l’Eglise, de l’aimer et de faire partager à l’église locale les dons que Dieu nous donne) et où je participais aux services de la messe, je faisais les lectures, je donnais la communion, j’allais visiter les personnes âgées et je leur portais aussi la communion...tout en me préparant au diaconat.
Par la suite, notre communauté de vie a grandie (Myriam qui était venue au groupe de prière pour demander à se préparer à l’Effusion de l’Esprit, a suivit mes enseignements…a reçue l’Effusion de l’Esprit...puis s’est mariée avec moi !!!).
Ainsi pour notre mariage, nous avions environ une dizaine de prêtres (je ne sais plus le nombre exacte...et l’évêque n’ayant pu venir étant en déplacement) pour présider la cérémonie, toute l’école d’optique dont une élève à pris les photos, les pauvres, les personnes âgées et les délinquants de la paroisse, ainsi que l’ensemble des paroissiens habituels, un pauvre accueillit à la communauté qui nous a joué de l’orgue puis nous nous sommes retrouvé pour un repas tout simple le soir, à plus de 120 à table regroupant ces personnes avec un orchestre fait par mes collègues de l’école d’optique.
Notre communauté est partie évangéliser dans les villes et sur les plages du midi, et nous sommes parti deux par deux à la rencontre des passants pour leur parler de Dieu.
Là aussi, j’en faisais parti, évangélisant ceux que je rencontrais.
Par la suite, je suis encore parti, avec une sœur de la communauté, faire des enseignements dans d’autres communautés, à travers La France.
Moi, le timide, j’avais reçu de Dieu le Don d’Enseignement, et si je n’avais pas eu la volonté de vivre et faire partager ma Foi, si je n’avais pas obéi à mon Berger en me réfugiant derrière ma timidité réelle, si je n’avais pas prié dans un total abandon et une totale adoration en Dieu, si je n’avais pas eu confiance ni en Dieu, ni en moi...
Je n’aurais jamais fait d’enseignements, ni de témoignages, ni d’évangélisation...et j’aurais enfoui sous terre le talent que Dieu m’avait donné….
Et je ne serais pas là à écrire ces différentes réflexions !!!!
2/ Etre un exemple pour les autres :
Dans le second livre des Maccabées (6 18-31), il est question d’un scribe très âgé et très pieux. Pour éviter le martyr, on lui propose de faire semblant de manger des aliments impurs, alors qu’il se serait fait servir des aliments purs. Il refuse pour ne pas entraîner d’autres personnes dans le péché, même, si en réalité il n’aurait rien mangé d’impur.
2 Maccabées 6 18-31.
Eléazar, un des premiers docteurs de la Loi, homme déjà avancé en âge et du plus noble extérieur, était contraint, tandis qu’on lui ouvrait la bouche de force, de manger de la chair de porc.
Mais lui, préférant une port glorieuse à une existence infâme, marchait volontairement au supplice de la roue, non sans avoir craché sa bouchée, comme le doivent faire ceux qui ont le courage de rejeter ce à quoi il n’est pas permis de goûter par amour de la vie.
Ceux qui présidaient à ce repas rituel interdit par la loi, le prirent à part, car cet homme était pour eux une vieille connaissance.
Ils s’engagèrent à faire apporter des viandes dont il est permis de faire usage, et qu’il aurait lui-même préparées.
Il n’avait qu’à feindre de manger des chairs de la victime, comme le roi l’avait ordonné, afin qu’en agissant de la sorte, il fut préservé de la mort et profitât de cette humanité due à la vieille amitié qui les liait.
Mais lui, prenant une noble résolution, digne de son âge, de l’autorité de sa vieillesse et de ses vénérables cheveux blanchis dans le labeur, digne d’une conduite parfaite depuis l’enfance, et surtout de la sainte législation établie par Dieu même, fit une réponse en conséquence, disant qu’on l’envoyât sans tarder au séjour des morts :
A notre âge, ajouta-t-il, il ne convient pas de feindre, de peur que nombres de jeunes, persuadés qu’Eléazar aurait embrassé à 90 ans, les mœurs des étrangers, ne s’égarent eux aussi, à cause de moi et de ma dissimulation, et ceci pour un tout petit reste de vie.
J’attirerais ainsi sur ma vieillesse souillure et déshonneur, et quand j’échapperais pour le présent au châtiment des hommes, je n’éviterais pas, vivant ou mort, les mains du Tout-Puissant.
C’est pourquoi, si je quitte maintenant la vie avec courage, je me montrerais digne de ma vieillesse, ayant laissé aux jeunes le noble exemple d’une belle mort, volontaire et généreuse, pour les vénérables et Saintes Lois.
Ayant ainsi parlé, il alla tout droit au supplice de la roue, mais ceux qui le conduisaient changèrent en malveillance, la bienveillance qu’ils avaient eue pour lui un peu auparavant, à cause du discours qu’il venait de tenir et qui, à leur point de vue, était de la folie. ….
Cela m’a marqué sur l’importance du témoignage que nous donnons autour de nous. Soyons toujours droit et juste et ne donnons jamais l’apparence de faire ce qui peut paraître mal, car même si nous ne le faisons pas, d’autre pourrait penser que nous le faisons et tomber à cause de nous.
Ainsi, me vient à l’esprit, alors que j’étais adolescent dans une école tenue par des frères maristes (que je ne me permettrais à aucun moment de juger, sûrement de saintes personnes, faisant ce qu’ils pouvaient), j’avais un rendez-vous avec le frère directeur, et il a abordé avec moi le sujet de la sexualité (à la demande de ma mère, sûrement très dépassé...en dehors que les bébés naissent dans les choux !!!).
Moi, j’étais totalement innocent, étant amoureux (dans le secret de mon cœur, mais sans jamais ne l’avoir avoué à d’autres personnes que mes parents), mais sans rien connaître des filles (intimement), ni savoir comment elles étaient physiquement (nue).
Ce frère, ne m’a à aucun moment cru, et était persuadé que j’avais déjà embrassé cette fille, voir couché avec elle, lu des revues X, etc…
Il m’en a tellement parlé, sans me croire, que suite à cette entrevue, je me suis mis à aller acheter des revues tel que LUI, PLAY-BOY, etc..., me mettant à penser que c’était dans la norme...ce qui ne me serait jamais venu à l’esprit, sans qu’un frère religieux me fasse croire que tout le monde faisait cela ou vivait comme cela (c’était juste une parenthèse).
Cela pour dire qu’il faut toujours faire très attention à l’exemple et au témoignage que nous donnons, et à ne pas prêter des intentions mauvaises aux autres, intentions qu’ils n’ont sans doute pas.
Je voudrais terminer en redisant qu’il faut toujours donner la première place à Dieu, qu’il faut l’aimer d’un total amour et avec une totale adoration.
Je voudrais terminer en redisant ce que l’évangile de dimanche dernier sur « Le Bon Berger » nous dit : Jésus est La porte qui nous conduit à Son Royaume, Jésus est Le Berger qui nous aime et nous conduit, Jésus est La Voix qui nous guide.
Je voudrais terminer en redisant ce que l’évangile de dimanche prochain nous dit : Jésus est Le Chemin, La Vérité et La Vie. Jésus est Le Chemin qui nous conduit vers Le Père. Jésus est Le Chemin qui nous conduit vers Le Royaume de Dieu.
Jésus nous dit : « Dans la maison de Mon Père, beaucoup peuvent trouver leur demeure...Je pars vous préparer une Place...Là où Je suis, vous serez aussi...» ...promesse de Son Royaume ...aux âmes de bonne volonté ayant choisies Jésus pour Chemin.
La Très Sainte Vierge Marie est notre Maman qui est à notre écoute pour recevoir toutes nos souffrances et nos difficultés, comme une Sainte Maman sait le faire avec ses enfants.
L’Eglise est Le Chemin vers Le Royaume de Dieu, par Ses Enseignements, par Sa Tradition, par Sa Parole et par Sa Vie qui nous est donnée dans l’Eucharistie...Jésus en est La Tête et Le corps.
Aussi je voudrais faire partager cette prière d’abandon, d’offrande et d’adoration qui termine mes moments de prières :
Seigneur Mon Dieu, je t’aime, je te béni et je t’adore.
Sainte Vierge Marie, Saint Joseph, je vous aime, je vous béni et j’adore votre Fils, Notre Seigneur et Notre Dieu.
Sainte Anne et Saints Joachim, Saints parents de Saint Joseph, je vous aime, je vous béni et j’adore votre Petit-Fils, Notre Seigneur Jésus, Christ Vainqueur et Sauveur, Christ Ressuscité et Vivant, Christ Notre Rédempteur.(Par ce passage, je souligne, l’importance de la famille pour moi)
Saint Pierre, Saint Etienne, Saint François d’Assise, Saint Bernard, Saint Antoine, Saint Jean L’Evangéliste, Sainte Marie-Magdeleine, Saint Simon Le Zélote, Saint Jean-Baptiste et Saint Paul, tous les Saints Apôtres et tous les Saints, Saint Michel, Saint Raphaël, Saint Gabriel et tous les Saints Anges et Archanges, je vous aime, je vous béni, et j’adore Notre Seigneur et Notre DIEU, qui est Père, Fils et Esprit et qui vit et règne pour les siècles des siècle, car à Lui sont Le Règne, La Puissance et La Gloire pour l’Eternité.
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
P.S. : N’hésitez pas à transmettre toutes ces différentes réflexions, si elles ont touchées votre cœur, à ceux que vous aimez comme à ceux auquel vous pensez qui pourraient être touché dans leur âme par l’une ou l’autre de ces différentes réflexions.
Si Dieu peut semer au travers de ce que j’ai ressenti devoir écrire, c’est Lui qui en sera glorifié, et peut-être certain prendront la route qui conduit au Bonheur éternel au lieu de continuer un chemin où ils s’égarent peut-être.
Je terminerais demain ce cycle par une réflexion sur « Le Royaume de Dieu ».
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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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