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Miracles Eucharistiques de Lanciano, Buenos-Aires et de Ludbreg…
Dimanche 11 Juin 2023 : Fête du Saint-Sacrement. Miracles Eucharistiques de Lanciano, Buenos-Aires et de Ludbreg…
Miracle Eucharistique de Lanciano. Le reliquaire contenant le morceau de chair et les cinq caillots de sang, dans l'église Saint François de Lanciano (Italie).
La chair et le sang miraculeux de Lanciano sont donc tels que si on les avait prélevés le jour même sur un vivant.
Or, dans l'Eucharistie, c'est bien un vivant qui se donne à nous, Jésus, qui avait déclaré :
Jean 6 51
« Moi, Je suis le Pain vivant descendu du Ciel. Si quelqu’un mange de ce Pain, il vivra pour toujours. Et le Pain que je donnerais, c’est ma Chair pour la vie du monde. »
Nous mangeons une chair réelle et nous buvons le sang vivant de l'Homme-Dieu qui ne peut plus mourir.
http://www.christ-roi.net/index.php/Le_miracle_eucharistique_de_Lanciano.
Le miracle Eucharistique de Lanciano
Le miracle Eucharistique de Lanciano est le plus ancien de tous ceux où les saintes Espèces furent changées en chair et en sang : il remonte, en effet, au VIIIe siècle.
Mais par les analyses qui furent faites de ses « reliques » en 1970-71 et en 1973-74, ce prodige est redevenu étonnamment actuel et jamais on n'a vu une simple tradition, qui remonte à douze siècles, confirmée par la science avec une telle netteté.
Lanciano (Le nom ancien de Lanciano fut Anxa, Anxanum ou Ansanum. Ce dernier terme se transforma en Lanzanum, mot qui évoque celui de « lancia », la lance : cette arme figurait dans les armes angevines de la cité, par allusion à sa participation aux croisades et peut-être aussi parce que, selon la tradition, le soldat Longin était originaire de ce pays), petite cité des Abruzzes, est située à 4 km environ de l'autoroute Pescara-Bari qui longe l'Adriatique, un peu au sud de Chieti.
Au 8ème siècle, dans une petite église dédiée à Saint Legonziano - (que l'on a voulu identifier à Saint Longin, le soldat qui transperça le côté et le Cœur du Christ mort en Croix) - un Moine Basilien, qui célébrait la Messe en rite latin, après la Consécration se mit à douter de la présence réelle du Christ sous les saintes Espèces.
C'est alors que, sous les yeux de ce Prêtre, l'hostie se changea en un morceau de chair et le vin Consacré en du sang réel qui se coagula en cinq caillots irréguliers de formes et de grosseurs différentes.
Le miracle fut consigné sur un très ancien parchemin, mais celui-ci, dans la première moitié du XVe siècle, fut volé aux Franciscains par deux Moines Basiliens.
On ne possède aujourd'hui sur le miracle que des textes remontant aux XVIe et XVIIe siècles, c'est-à-dire au moins huit cents ans après l'événement.
Mais une tradition constante garda le souvenir du prodige et surtout les reliques en furent conservées.
Le culte des reliques Eucharistiques
Les Moines Basiliens qui desservaient l'église de San Legonziano quittèrent Lanciano au XIIe siècle ; le Couvent passa ensuite aux Bénédictins, puis, en 1253, aux Franciscains conventuels qui, en 1258, reconstruisirent l'église et la dédièrent à Saint François.
Ces Religieux durent à leur tour quitter les lieux en 1809, lorsque Napoléon Ier supprima les Ordres Religieux. Ils ne réoccupèrent leur antique couvent qu'en Juin 1953.
Quant aux reliques, enfermées dans un reliquaire d'ivoire, elles furent conservées d'abord en l'église Saint-Legontien, puis en celle de Saint-François.
Au moment des incursions turques dans les Abruzzes, un Frère Mineur, du nom de Jean-Antoine de Mastro Renzo, voulut les sauver et, le 1er Août 1566, partit en les emportant.
Mais après avoir marché toute la nuit, il se retrouva le lendemain matin aux portes mêmes de Lanciano.
Il comprit alors que lui et ses compagnons devaient y demeurer pour garder les reliques.
Celles-ci, une fois passé le danger, furent placées sur un autel digne d'elles, à droite de l'unique nef de l'église conventuelle.
Elles étaient encloses en un vase de cristal, déposé lui-même dans une armoire de bois fermée par quatre clés.
En 1920, elles furent placées en arrière du nouvel Autel majeur. Depuis 1923 la « Chair » est exposée dans le soleil d'un Ostensoir, tandis que les caillots de Sang desséché sont contenus dans une sorte de Calice de cristal dans le pied de cet Ostensoir.
Avant celle de 1970, plusieurs reconnaissances de ces reliques avaient eu lieu, en 1574, 1637, 1770 et 1886.
Lors de celle de 1574, l'Archevêque Rodriguez constata que le poids total des cinq caillots de Sang équivalait au poids de chacun d'eux.
Ce fait extraordinaire ne fut pas vérifié ultérieurement. Le poids actuel de l'ensemble des caillots est de 16,505 g et celui de chacun d'eux est de 8 g, 2,45 g, 2,85 g, 2,05 g, 1,15 g ; il faut y ajouter 5 mg de poussière de sang.
Divers documents attestent à partir du XVIe siècle, la vénération rendue aux « reliques » et l'habitude que l'on avait de les porter en procession lors des nécessités graves et urgentes.
L'examen scientifique
Premier examen
En Novembre 1970, sur les instances de l'Archevêque de Lanciano, Mgr Perantoni, et du ministre provincial des conventuels des Abruzzes, et avec l'autorisation de Rome, les Franciscains de Lanciano décidèrent de faire procéder à un examen scientifique de ces « reliques » qui dataient de près de douze siècles.
L'entreprise était osée assurément mais ni la Foi Catholique (qui ici n'était pas en jeu), ni une tradition historique certaine, n'ont rien à redouter de la science, chacune de ces disciplines restant néanmoins dans son domaine propre.
L'entreprise fut confiée au docteur Odoardo Linoli, chef de service à l'hôpital d'Arezzo et professeur d'anatomie, d'histologie, de chimie et de microscopie clinique, aidé du professeur Ruggero Bertelli de l'Université de Sienne.
Le Dr Linoli effectua des prélèvements sur les saintes reliques le 18 novembre 1970, puis il fit les analyses en laboratoire.
Le 4 mars 1971, le professeur produisit un compte-rendu détaillé des diverses études qu'il avait effectuées. Nous en tirons les conclusions essentielles :
- La « chair miraculeuse » est vraiment de la chair, constituée de tissu musculaire strié du myocarde.
- Le « sang miraculeux » est du sang véritable : l'analyse chromatographique le démontre avec une certitude absolue et indiscutable.
- L'étude immunologique manifeste que la chair et le sang sont bien de nature humaine et l'épreuve immunohématologique permet d'affirmer en toute objectivité et certitude que l'un et l'autre appartiennent au même groupe sanguin AB. Cette identité du groupe sanguin peut indiquer l'appartenance de la chair et du sang à la même personne, la possibilité demeurant néanmoins d'une appartenance à deux individus différents de même groupe sanguin.
- Les protéines contenues dans le sang sont normalement réparties, dans un pourcentage identique à celui du schéma séro-protéique du sang frais normal.
- Aucune section histologique n'a révélé la trace d'infiltrations de sels ou de substances conservatrices utilisées dans l'antiquité aux fins de momification. Certes, la conservation les protéines et des minéraux observée dans la chair et le sang de Lanciano n'est ni impossible, ni exceptionnelle : des analyses répétées ont permis de trouver des protéines dans des momies égyptiennes de 4 et 5 000 ans. Mais il convient de souligner que le cas d'un corps momifié grâce aux procédés connus est bien différent de celui d'un fragment de myocarde laissé à l'état naturel pendant des siècles, exposé à l'action d'agents physiques atmosphériques et biochimiques.
Le professeur Linoli écarte, de même, l'hypothèse d'un faux opéré dans les siècles passés : « En effet, dit-il, à supposer que l'on ait prélevé le cœur d'un cadavre, j'affirme que seule une main experte en dissection anatomique aurait pu obtenir une "tranche" uniforme d'un viscère creux (comme on peut encore l'entrevoir sur la "chair") et tangentielle à la surface de ce viscère, comme donne à penser le cours prévalamment longitudinal des faisceaux de fibres musculaires, visible en plusieurs points dans les préparations histologiques.
De plus, si le sang avait été prélevé sur un cadavre, il se serait rapidement altéré, par déliquescence ou putréfaction. »
Nouvel examen scientifique
La relation du professeur Linoli fut publiée dans Quaderni Sclavo in Diagnostica, 1971, fasc. 3 (Grafiche Meini, Siena) et suscita un grand intérêt dans le monde scientifique.
Aussi en 1973, le Conseil supérieur de l'organisation mondiale de la Santé, O.M.S./O.N.U., nomma une commission scientifique pour vérifier, par des expériences de contrôle, les conclusions du clinicien italien.
Les travaux durèrent quinze mois pour un total de cinq cents examens. Les recherches furent les mêmes que celles qu'avait effectuées le Dr Linoli, avec d'autres complémentaires.
La conclusion de toutes les réactions et de toutes les recherches confirmèrent ce qui avait été déclaré et publié en Italie.
De façon précise, il fut affirmé que les fragments prélevés à Lanciano ne pouvaient être assimilés à des tissus momifiés.
Leur conservation depuis près de douze siècles en des reliquaires de verre et en l'absence de substances conservatrices, antiseptiques, antifermentatives et momisubstances conservatrices, antiseptiques, antifermentatives et momifiantes, n'est pas scientifiquement explicable : en effet, les vases qui les renferment n'empêchent pas l'accès de l'air et de la lumière, ni l'entrée de parasites d'ordre végétal ou animal, véhiculés d'habitude par l'air atmosphérique.
Quant à la nature du fragment de chair, la commission déclare sans hésitation qu'il s'agit d'un tissu vivant en tant qu'il répond rapidement à toutes les réactions cliniques propres aux organismes vivants.
Un tel diagnostic, on le constate, confirme pleinement les conclusions du professeur Linoli. Et il n'est pas moins surprenant de voir comment un miracle italien du haut moyen âge a intéressé à ce point l'O.M.S. et les Nations Unies !
Mais - et c'est une autre surprise - l'extrait-résumé des travaux scientifiques de la commission médicale de l'O.M.S./O.N.U., publié en décembre 1976 à New York et à Genève, déclare en sa conclusion que la science, consciente de ses limites, s'arrête devant l'impossibilité de donner une explication.
Le dernier paragraphe n'est certes pas une déclaration de Foi religieuse, mais c'est, du moins, l'apologie de l'humilité que doit posséder celui qui s'adonne à la recherche scientifique.
Le savant, à un certain point de ses investigations, doit se souvenir qu'il n'est rien de plus qu'un homme sur la planète terre.
Deux remarques d'ordre spirituel
La chair et le sang miraculeux de Lanciano sont donc tels que si on les avait prélevés le jour même sur un vivant.
Or, dans l'Eucharistie, c'est bien un vivant qui se donne à nous, Jésus, le ressuscité de Pâques, qui avait déclaré : « Je suis le Pain vivant descendu du Ciel et ce que je donne, c'est ma Chair pour la vie du monde. »
Lorsque nous Communions, nous mangeons vraiment, de manière Sacramentelle, une Chair réelle, animée et glorieuse, et nous buvons le Sang vivant de l'Homme-Dieu qui, sorti du tombeau, ne peut plus mourir.
D'autre part, la chair de Lanciano est un tissu du cœur. Or, celui-ci symbolise, plus que toute autre partie du Corps du Christ, l'Amour que ce dernier nous témoigne.
Certes, en communiant, c'est le Corps tout entier du Seigneur que nous recevons sous les saintes Espèces, mais c'est d'abord son Cœur qui se donne à nous dans le « Sacrement de son Amour ».
Se réalise alors pour chacun de nous la parole de saint Jean : « Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu'à la fin », jusqu'à sa mort sur la Croix assurément, mais surtout jusqu'à se donner à eux en nourriture, leur communiquant ainsi le bénéfice de sa mort Rédemptrice et de sa Vie Glorieuse.
Le miracle de Lanciano, attesté historiquement par une longue tradition, authentiqué par la science elle-même, a, plus encore, une portée spirituelle et Mystique : il nous fait saisir que Le Christ est bien vivant et que son Cœur passionnément nous aime.
Quel adjuvant par conséquent pour notre Foi qu'un tel prodige ! Et comme il nous porte à rendre grâces à Celui qui nous a aimés le premier et jusqu'à nous donner sa Chair et son Sang en nourriture et en breuvage !
Commentaire personnel.
En repensant à ce miracle où une hostie et du vin deviennent, de manière visible et réelle, chair et sang humains, au moment de la Consécration lors de L’Eucharistie par un Prêtre doutant de la véracité de cette transformation, je ne peux m’empêcher de me dire qu’outre l’énormité de ce miracle, en enlevant le voile qui nous empêche de voir cette transformation, confortant ce que prétend L’Église Catholique :
1/ Ce sont bien une chair (d’un tissu du cœur) et du sang humain (groupe AB), vivant, en bonne santé (schéma d’un sang humain frais normal), et sans trace de conservateur.
2/ Si on prend un morceau de chair vivante (comme, par exemple, un doigt coupé par accident…cas de notre fils Emmanuel quand il était petit), il faut vite mettre cette chair dans de la glace et opérer très rapidement, car sinon les tissus meurt et l’opération devient impossible.
Alors qu’une chair morte est altérée et putréfiée très rapidement, une chair vivante, hors du corps meurt très rapidement...
3/ Un être humain (puisqu’il s’agit de tissus d’un cœur humain et de sang humain) ne vit au maximum que guère plus de 100 ans, voir 120 ans pour les plus vieux…et avec un corps et des tissus (et un sang) qui vieilli, attrape des maladies plus ou moins graves.
Alors comment expliquer que des tissus d’un cœur humain et du sang frais normal reste intact et toujours vivant et en parfaite santé après 12 siècles !!!
4/ Ce ne peut s’expliquer que par le fait que c’est les parties d’un corps d’un homme immortel, ou dont les composants de son corps sont capables de rester en parfaite santé pendant plus de 12 siècles.
5/ Alors, si nous sommes honnête, ne peut-on pas croire que ce sont La Chair et Le Sang de Dieu, qui est immortel et toujours vivant aujourd’hui (sinon, s’il était mort ou n’existait pas, cette chair et ce sang se putréfieraient), confortant ainsi les paroles de Jésus, Notre Dieu, qui dit que Sa Chair est une véritable nourriture et Son Sang est une véritable boisson.
Je voudrais compléter ce que j’ai écris en première partie, par une remarque qui peut me sembler évidente, mais qui, méditée en profondeur, peut être source d’un Bonheur infini pour rendre Gloire à Dieu d’une telle merveille.
Nous venons de voir par le miracle de Lanciano que l’hostie devient vraiment Corps du Christ, et le vin devient vraiment Sang du Christ lors de la Consécration par le Prêtre.
Lorsque nous consommons l’Hostie Consacrée, c’est une Chair (avec son Sang) qui est en parfaite santé éternellement qui pénètre en nous, celle de Notre Dieu et met en nous Sa Force, Son Amour et Sa Présence (à condition de ne pas être en état de péché au moment où nous communions, mais d’avoir été regretter nos péchés dans Le Sacrement de Réconciliation, auparavant).
Si donc Dieu existe et est vivant, et que chaque fois que le Prêtre Consacre le pain et le vin, ils deviennent Le Corps et Le Sang de Jésus, Notre Dieu, nourriture qui est source de Vie éternelle en nous (comme le montre cette chair et ce sang toujours vivants après 12 siècles), alors nous devons Le croire quand Jésus promet à tous ceux qui croient en Lui et font Sa Volonté, d’hériter de Son Royaume pour un Bonheur infini et éternel.
Jésus leur répondit: "En vérité je vous le dit,
celui qui mange ma Chair et boit mon Sang,
possède la Vie éternelle, et Moi, je le
ressusciterai au dernier jour.
Celui qui mange ce Pain vivra éternellement."
(Jean 6, 53-59)
Complément détaillé sur l’historique de ce miracle.
http://www.michaeljournal.org/juvdm/enseignements/lanciano/page.01-fr.html
Le Miracle Eucharistique de Lanciano
Le plus connu des miracles Eucharistique est, sans doute, celui de Lanciano, petite ville, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique. Ce miracle eût lieu au début du 7ème siècle.
Voici donc ce remarquable récit : "Un Moine Basilien, sage sur les choses du monde mais moins sur les choses de la Foi, passait par un moment difficile dans sa perception de la réelle présence de Notre Seigneur Jésus-Christ dans l’Eucharistie.
Il priait constamment pour le soulagement de ses doutes; celui-ci effectivement doutait et se trouvait consumé d’effroi de perdre un jour sa vocation.
Son martyre était très pénible et il souffrait quotidiennement de la routine de son Sacerdoce. La Grâce Divine ne l'abandonna pas, car Dieu Le Père, dans sa Miséricorde infinie, le sortit des ténèbres avec la même Grâce accordée à l'apôtre Saint-Thomas.
Finalement un matin, pendant la Célébration de la Messe, sujet à une grande attaque de doutes, il commença la Consécration devant les habitants d’un village voisin.
Soudainement après la Consécration du Pain et du Vin, ce qu’il vit sur l’autel le fit trembler des mains.
Il resta interdit, le dos tourné aux fidèles, pendant un moment qui sembla aux paroissiens une éternité, puis, doucement il se tourna vers eux et leur dit : "O témoins heureux à qui le Dieu Béni, pour contredire mon incrédulité, a voulu se révéler Lui-Même dans ce béni Sacrement et Se rendre visible à nos yeux. Venez voir Notre Dieu si près de nous. Voici la Chair et le Sang de Jésus-Christ, notre Bien-Aimé."
En effet, l’Hostie s’était transformée en Chair et le Vin en Sang ! Les fidèles, ayant témoigné du miracle, commencèrent à pleurer, en demandant pardon, et en suppliant Miséricorde. Certains se frappèrent la poitrine, en confessant leurs péchés et en se déclarant indignes de témoigner de ce miracle, d’autres encore s’agenouillèrent en respect et en remerciement pour le cadeau que Dieu leur avait offert.
Ce jour même, la rumeur du miracle parcourut tout le village comme un feu embrase une forêt et, tout aussi vite, les villages voisins jusqu’au Saint-Siège même."
Certes, "le don" de Lanciano était adressé au bon Moine italien, au peuple du petit village et aux hommes de ce temps, mais aussi aux hommes de toutes les nations du monde et de toutes générations à venir, car ce qui est le plus remarquable, est la continuité même de ce miracle, un miracle qui demeura visible pour tous pendant une période de plus de 1297 ans, sans, toutefois, le moindre usage d’un quelconque produit de conservation ou substance chimique permettant à la Chair et au Sang de rester frais, car oui, la Sainte Hostie, transformée en Chair, et le Vin transformé en Sang, sont demeurés, pendant plus de douze siècles, parfaitement intacts.
Le sang est réel. Il est composé de cinq caillots
inégaux, mais chacun d'eux pèse exactement
le poids des cinq caillots pris ensembles,
soit 15,85 grammes.
En 1970, 1971 et plus tard en 1981, une investigation scientifique fut encouragée par l’Église Catholique.
L’illustre professeur et docteur Odoardo Linoli, professeur d’Anatomie, d’Histologie Pathologique, de Chimie et de Microscopie Clinique et médecin en chef de l'ensemble des hôpitaux d'Arezzo, commença une longue série d’analyses et de tests afin de déterminer l’exacte nature du dit miracle.
Il fut assisté par le docteur Ruggero Bertelli, professeur émérite du département d'anatomie de l'Université de Sienne.
Les investigations furent toutes menées avec des procédures de haute gamme technologique dont les observations furent largement confirmées par une série de photographies prises au microscope.
Les analyses, une fois terminées, permirent les conclusions suivantes:
1. Le sang du miracle Eucharistique est du vrai sang et la chair, de la vraie chair.
2. La chair est constituée de tissus du muscle cardiaque. La manière dont cette tranche de chair a été obtenue par dissection dans le myocarde suppose une habileté exceptionnelle de la part du "Praticien".
3. Le type sanguin est le même dans la chair et dans les globules de sang, AB.
(Note : Type sanguin identique à celui trouvé par le Professeur Baima Bollone sur le Saint Suaire de Turin).
Plusieurs minéraux ont été trouvés dans le sang: chlorites, phosphores, magnésium, potassium, sodium et calcium.
Il fut trouvé des protéines dans les mêmes proportions normales qui sont trouvées dans les sero-protéiques de sang courant.
4. Le diagramme de ce sang correspond à celui d'un sang humain qui aurait été prélevé sur un corps humain dans la même journée.
Le sang est réel. Il est composé de cinq caillots inégaux, mais chacun d'eux pèse exactement le poids des cinq caillots pris ensembles, soit 15,85 grammes.
5. Aucunes traces de matières ou d'agents de conservations ne furent détectées dans la chair ou le sang.
La Chair apparut autour de l'Hostie.
Au cours des siècles, l'Hostie est disparue, ne laissant que la
Chair, identifiée par des scientifiques comme du
tissu provenant du muscle cardiaque.
Il ne s'y trouve aucune trace d'agents de conservation tels
qu'utilisés pour momifier.
La préservation de la Chair et du Sang, qui furent exposés dans leur état naturel, sans le moindre moyen de quelconque forme de préservation, pendant douze siècles à l’action d’agents atmosphériques et biologiques, constituent un extraordinaire phénomène, scientifiquement inexplicable, et que tous les résultats d’analyse constituent une violation absolue des lois de la physique.
Le témoignage scientifique confirme ce que nous croyons par la Foi et ce que l'Église Catholique nous enseigne depuis 2000 ans, faisant ainsi écho aux paroles de Jésus-Christ:
"En vérité je vous le dit, celui qui mange ma Chair et boit mon Sang, possède la Vie éternelle, et Moi, je le ressusciterai au dernier jour. Celui qui mange ce Pain vivra éternellement." (Jean 6, 53-59)
Miracle Eucharistique à Buenos Aires
Comment expliquer que sur la photo ci-dessus, l’on peut voir distinctement 2 Hosties, alors que les faits témoignés parlent d’une seule Hostie ???
En fait, il y a eu deux miracles Eucharistiques à Buenos-Aires, à 3 jours d’écart, le 15 et le 18 Août 1996.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Miracle_eucharistique
Avant d’approfondir le deuxième miracle Eucharistique qui a eu lieu le 18 Août 1996, il y en a eu un autre, le 15 Août 1996, soit trois jours auparavant, toujours à Buenos-Aires, donc sous le Ministère de Mgr Bergoglio, alors Évêque à Buenos-Aires.
Il est donc tout-à-fait probable que les 2 Hosties ont été mises ensemble dans le même Ciboire avec de l’eau, puis placé dans un Tabernacle, les photos officielles ayant été prises le 06 Septembre 1996.
Concernant le 1er miracle Eucharistique ayant eu le 15 Août 1996 :
À Buenos-Aires, le 15 Août 1996, un laïc de la paroisse Santa Maria laissa tomber une hostie sur le sol en distribuant la communion.
Le Prêtre plaça ensuite cette Hostie dans un petit récipient d'eau afin de la dissoudre.
Quelques jours après, le Prêtre constata que l'hostie ne s'était pas dissoute mais avait grossi et était couverte de taches semblant être du sang ; elle finit par prendre l'apparence d'un morceau de chair.
Un échantillon de la substance sanglante fut envoyé par la suite au laboratoire de Buenos-Aires qui affirma qu'il s'agit d'un morceau d'un cœur humain, comportant des globules rouges et blancs, palpitant, comme le ferait un cœur humain vivant.
Un autre miracle Eucharistique fut rapporté à Buenos Aires le 18 Août 1996 (voir lien ci-dessous).
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/06/miracle-eucharistique-%C3%A0-buenos-aires.html.
Lu ici (via) :
« En 1996, lorsque le Pape François était Évêque auxiliaire du Cardinal Quarracino à Buenos Aires, un miracle Eucharistique notoire eut lieu.
C’est le Pape actuel qui demanda lui-même à ce qu’il soit photographié et qui examina ce fait. Les résultats sont stupéfiants.
Le 18 août 1996, à 19h, le Père Alejandro Pezet célébrait la Messe dans l’église qui se trouve dans le centre commercial de la ville.
Alors qu’il finissait de donner la Sainte Communion, une femme vint lui dire qu’elle avait trouvé une hostie dont on s’était débarrassé au fond de l’église.
En allant à l’endroit indiqué, le P. Alejandro vit l’hostie souillée. Comme il ne pouvait pas la consommer, il la plaça dans un petit récipient d’eau qu’il rangea dans le tabernacle de la chapelle du Saint Sacrement.
Le lundi 26 août, ouvrant le Tabernacle, il vit à sa grande stupéfaction que l’Hostie était devenue une substance sanglante.
Il en informa Mgr Jorge Bergoglio qui donna des instructions afin que l’Hostie soit photographiée de façon professionnelle.
Les photos, prises le 6 Septembre, montrent clairement que l’Hostie, qui était devenue un fragment de chair sanglante, avait beaucoup grossi en taille.
Cette photo a été prise en 1996 à la demande de l'actuel Pape François.
Pendant plusieurs années l’Hostie demeura dans le tabernacle, toute l’affaire étant gardée secrète. Comme l’Hostie ne souffrait d’aucune décomposition visible, Mgr Bergoglio décida de la faire analyser scientifiquement.
Le 5 octobre 1999, en la présence des représentants de Mgr Bergoglio devenu archevêque, le Dr Castanon préleva un échantillon du fragment sanglant et l’envoya à New York pour analyse.
Comme il ne voulait pas influencer les résultats de l’examen, il décida de cacher à l’équipe de scientifiques l’origine de l’échantillon.
L’un de ces scientifiques était le réputé cardiologue et pathologiste médico-légal, le Dr Frederic Zugiba.
Il détermina que la substance analysée était de la véritable chair et du vrai sang contenant de l’ADN humain. Il déclara que :
« la matière analysée est un fragment du muscle du cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves.
Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. On doit se rappeler que le ventricule gauche du cœur agit comme une pompe qui envoie le sang à travers tout le corps.
Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs.
Ceci indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant. Ils ont besoin d’un organisme vivant pour les maintenir.
Donc, leur présence indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé.
Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique d’autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »
Deux Australiens, le journaliste Mike Willesee et le juriste Ron Tesoriero, furent les témoins de ces tests.
Connaissant l’origine de l’échantillon, ils étaient sidérés par la déclaration du Dr Zugiba. Mike Willesee demanda au scientifique combien de temps les globules blancs auraient pu rester vivants s’ils provenaient de tissus humains conservés dans de l’eau.
Le Dr Zugiba lui répondit qu’ils auraient cessé d’exister au bout de quelques minutes.
Le journaliste révéla alors au docteur que la substance d’où provenait l’échantillon avait d’abord été conservée dans de l’eau ordinaire pendant un mois et qu’ensuite, pendant trois ans, elle avait été conservée dans un récipient d’eau déminéralisée, et c’est seulement après ce temps qu’un échantillon avait été prélevé pour analyse.
Le Dr Zugiba était très embarrassé pour prendre ce fait en considération. Il déclara qu’il n’y avait aucun moyen d’expliquer ce fait scientifiquement.
Aussi le Dr Zugiba demanda-t-il :
« Vous devez m’expliquer une chose : si cet échantillon provient d’une personne morte, alors comment se peut-il que pendant que je l’examinais, les cellules de l’échantillon étaient en mouvement et pulsaient ? Si ce cœur provient de quelqu’un qui est mort en 1996, comment peut-il être toujours en vie ? »
Alors seulement Mike Willesee révéla au Dr Zugiba que l’échantillon analysé provenait d’une Hostie consacrée (du pain blanc sans levain) qui s’était mystérieusement transformée en de la chair humaine sanglante.
Ahuri par cette information, le Dr Zugiba répondit :
« Comment et pourquoi une Hostie consacrée peut changer son caractère et devenir de la chair et du sang humains vivants, cela restera un inexplicable mystère pour la science – un mystère totalement au-delà de sa compétence. »
Ensuite le Dr Ricardo Castanon Gomez prit des dispositions pour que les rapports du laboratoire établis à la suite du miracle de Buenos Aires soient comparés à ceux élaborés après le miracle de Lanciano, encore une fois sans révéler l’origine des échantillons de test
Les experts qui procédèrent à cette comparaison conclurent que les deux rapports des laboratoires avaient analysé des échantillons de tests provenant de la même personne.
Ils signalèrent encore que les deux échantillons révélaient un sang de type « AB » positif.
Ce sang porte les caractéristiques d’un homme qui est né et qui a vécu au Moyen Orient.
Seule la Foi dans l’extraordinaire action de Dieu donne la réponse raisonnable ! Dieu veut que nous soyons conscients qu’Il est vraiment présent dans le mystère de l’Eucharistie.
Le miracle Eucharistique de Buenos Aires est un signe extraordinaire attesté par la science.
A travers lui Jésus désire réveiller en nous une Foi vivante en Sa Présence Réelle dans l’Eucharistie, réelle et non pas symbolique.
C’est seulement avec les yeux de la Foi et non pas avec nos yeux humains, que nous Le voyons sous l’apparence du pain et du vin Consacrés.
Dans l’Eucharistie Jésus nous voit et nous aime et désire nous sauver. »
Autre miracle Eucharistique : Miracle de Ludbreg.
Voir les détails et l’historique sur le lien suivant :
http://www.therealpresence.org/eucharst/mir/french_pdf/MIRACLE-FR-ludbreg.pdf
À Ludbreg en l’an 1411, pendant la Messe, un prêtre douta de la présence réelle du Corps et du Sang du Christ dans les espèces eucharistiques consacrées.
Le vin se transforma en Sang après la Consécration.
Aujourd’hui encore la Relique du Sang du Miracle attire des milliers de fidèles et chaque année, au début du mois de septembre, pendant une semaine entière, l’on célèbre la « Sveta Nedilja-Saint Dimanche » en l’honneur du Miracle advenu en 1411.
Liens sur les nombreux miracles Eucharistiques dans le monde.
http://www.therealpresence.org/eucharst/mir/french_mir.htm.
Date de dernière mise à jour : 11/06/2023
Commentaires
-
1 Roger AUBERT Le 25/09/2020
J'aurais de nombreux documents à vous envoyer sur tous les sujets, mais particulièrement inédits sur le Saint-Suaire
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