Fête de la Divine Miséricorde. Fête le 07 Avril 2024.

Dimanche 07 Avril 2024 : Fête de la Divine Miséricorde.

Fete de la divine misericorde 11

A propos du Dimanche de la Divine Miséricorde : lisez ce qui suit, c’est très important ! Et c’est le moment d’en profiter !

La première Fête de la Divine Miséricorde pour toute l'Église - instituée par le Pape Saint Jean-Paul II le 30 Avril 2000 à l'occasion de la Canonisation de Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska- a été Célébrée le Dimanche 22 Avril 2001.
Elle est depuis Célébrée tous les ans, conformément aux demandes du Seigneur, le premier Dimanche après Pâques

La Fête de la Divine Miséricorde a donc lieu le Dimanche 19 Avril 2020.

Jésus a dit à Sr Faustine (Petit Journal, page 699) : « 
Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs.
En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma Miséricorde ;

Toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et Communiera, recevra le Pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources Divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de Moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...]
La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques.
Le genre humain ne trouvera pas la Paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. »

Le Dimanche de la Divine Miséricorde
Dimanche 19 Avril 2020 - indulgence plénière

Par la Confession, on obtient le Pardon de Dieu mais on n'échappe pas à l'expiation de nos fautes.
Le seul moyen d'en être dispensé, c'est l'indulgence plénière. C'est donc une chose très importante qu'il ne faut pas rater.
La Fête de la Divine Miséricorde est Célébrée tous les ans, conformément aux demandes du Seigneur, le premier Dimanche après Pâques instituée la première fois par le Pape Saint Jean-Paul II le 30 Avril 2000 à l'occasion de la Canonisation de Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska.

Rappelons ce que Jésus disait à Sr Faustine à ce propos : (...)
Toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et communiera, recevra le Pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine.

Pour recevoir l'indulgence plénière associée au Dimanche 28 Avril 2019, il faut :

Se Confesser et Communier. (ci-possible le même jour)
Une Prière à Marie, Mère de Dieu.
Le "Je crois en Dieu."
Une Prière pour le Pape.

Faustina kowalska 96 5

https://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20180408&id=110&fd=1

Deuxième Dimanche de Pâques
Dimanche de la Divine Miséricorde - Dimanche de Saint Thomas

Au terme de l'Octave Pascale - toute la semaine n'est considérée que comme un seul jour Célébrant « la Fête des fêtes » (Saint Augustin) -, le deuxième Dimanche de Pâques inaugure l'Octave de Dimanches qui mène jusqu'à la Pentecôte, comme aussi un jour unique de Fête, un « grand Dimanche » (Saint Athanase) d'allégresse, manifestée par la flamme du cierge Pascal qui brûle près de l'ambon.

Le Dimanche de la Divine Miséricorde a porté de nombreux noms :
* Ce fut le Dimanche in albis (« en blanc ») car, ce jour-là, les Baptisés de Pâques revêtent pour la dernière fois le vêtement blanc de leur naissance nouvelle.
* Ce fut le Dimanche de Quasimodo, du premier mot latin de l'antienne d'ouverture de la Messe : « Comme des enfants nouveau-nés ont soif du lait qui les nourrit, soyez avides du lait pur de la Parole, afin qu'il vous fasse grandir pour le Salut, alléluia ! »
* Et, depuis le 30 avril 2000, le Pape Saint Jean-Paul II a demandé qu'il soit fêté comme le « Dimanche de la Divine Miséricorde », selon la demande faite par le Christ à Sœur Faustine Kowalska, Canonisée ce jour-là :
« Je désire qu'il y ait une Fête de la Miséricorde. Je veux que cette image que tu peindras avec un pinceau, soit solennellement Bénie le premier Dimanche après Pâques, ce Dimanche doit être la Fête de la Miséricorde » (1931).

La Liturgie y résonne encore tout entière de l'alléluia Pascal, cette acclamation de la Liturgie hébraïque qui loue joyeusement le Seigneur et retentit, dans l'Apocalypse, comme le chant des rachetés par le Sang de l'Agneau.
Et toutes les lectures concourent à « raviver dans les cœurs le mystère Pascal » (Prière après la Communion).

Le psaume 117, chanté dans le Grand Hallel de la Pâque juive, est repris comme un chant de victoire et, plus encore, comme un rappel de la mort-Résurrection du Christ :
« La pierre rejetée des bâtisseurs est devenue la tête d'angle...
Voici le jour que fit Le Seigneur : qu'il soit pour nous jour de Fête et de Joie ! » 
(Ps 117 -118-, 22-24) (...)

Mais la Célébration de ce Dimanche est dominée par la figure de l'apôtre Thomas et l'expérience du Ressuscité qu'il connut « huit jours plus tard » (Jean 21, 26).
À travers Thomas, c'est à tous ses disciples que Le Seigneur apporte sa Paix et qu'il demande :
« Cesse d'être incrédule, sois croyant » (Jean 21, 27).
Par-delà l'apôtre Thomas, c'est à nous que s'adresse directement cette Béatitude, la dernière de l'Évangile : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu ! » (Jean 21, 29)

« L'incrédulité de Thomas vient au secours de notre Foi », chante l'hymne de l'Office de la Résurrection.
Ainsi la première lecture, tirée du livre des Actes des Apôtres qui, pendant tout le temps Pascal, relate les débuts de l'Église, décrit la première communauté de Jérusalem, ceux qui déjà sont rassemblés au nom du Seigneur et croient sans l'avoir vu.
Fondés sur la Parole, l'Amour fraternel et l'Eucharistie, ils représentent l'archétype de toute Communauté Chrétienne, la Communion réalisée de tous ceux qui se sont reconnus frères dans le frère aîné et, en Lui, fils d'un même Père.
N'y a-t-il pas déjà là une anticipation du Bonheur Céleste ouvert par la Résurrection du Christ ?

Homélie du Pape Saint Jean Paul II
pour la Canonisation de Sainte Maria Faustyna Kowalska.
(Dimanche 30 Avril 2000)

« Confitemini Domino quoniam bonus, quoniam in saeculum misericordia eius »,
« Rendez grâce au Seigneur, car il est bon, car éternel est son Amour ! » (Ps 118, 1). C'est ce que chante l'Église en l'Octave de Pâques, recueillant presque des lèvres du Christ ces paroles du Psaume ; des lèvres du Christ ressuscité, qui dans le Cénacle, apporte la grande annonce de la Miséricorde Divine et en confie le Ministère aux apôtres : « Paix à vous ! Comme Le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie [...] Recevez L'Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus » (Jn 20, 21-23).
Avant de prononcer ces paroles, Jésus montre ses mains et son côté. C'est-à-dire qu'il montre les blessures de la Passion, en particulier la blessure du cœur, source d'où jaillit la grande vague de Miséricorde qui se déverse sur l'Humanité.
De ce cœur, Sœur Faustyna Kowalska, la Bienheureuse que dorénavant nous appellerons Sainte, verra partir deux faisceaux de lumière qui illuminent le monde. « Les deux rayons, lui expliqua un jour Jésus lui-même, représentent le sang et l'eau » (Journal, Librairie éditrice vaticane, p. 132).

Sang et eau !

La pensée s'envole vers le témoignage de l'évangéliste Jean, qui, lorsqu'un soldat sur le Calvaire frappa de sa lance le côté du Christ, en vit sortir « du sang et de l'eau » (cf. Jn 19, 34).
Et si le Sang évoque le Sacrifice de la Croix et le Don Eucharistique, l'Eau, dans la symbolique de Jean, rappelle non seulement le Baptême, mais également le Don de L'Esprit Saint (cf. Jn 3, 5 ; 4, 14 ; 7, 37-39).
À travers le Cœur du Christ Crucifié, la Miséricorde Divine atteint les hommes : « Ma Fille, dis que je suis l'Amour et la Miséricorde en personne », demandera Jésus à Sœur Faustyna (Journal, 374).
Cette Miséricorde, Le Christ la diffuse sur l'Humanité à travers l'envoi de L'Esprit qui, dans la Trinité, est la Personne-Amour.
Et la Miséricorde n'est-elle pas le « second nom » de l'Amour (cf. Dives in misericordia, n. 7), saisi dans son aspect le plus profond et le plus tendre, dans son aptitude à se charger de chaque besoin, en particulier dans son immense capacité de Pardon ?
Aujourd'hui, ma Joie est véritablement grande de proposer à toute l'Église, qui est presque un Don de Dieu pour notre temps, la vie et le témoignage de Sœur Faustyna Kowalska.
La Divine Providence a voulu que la vie de cette humble fille de la Pologne soit totalement liée à l'histoire du vingtième siècle, le siècle que nous venons de quitter.
C'est, en effet, entre la Première et la Seconde Guerre mondiale que Le Christ lui a confié son message de Miséricorde.
Ceux qui se souviennent, qui furent témoins et qui prirent part aux événements de ces années et des atroces souffrances qui en découlèrent pour des millions d'hommes, savent bien combien le message de la Miséricorde était nécessaire.
Jésus dit à Sœur Faustyna : « L'Humanité n'aura de Paix que lorsqu'elle s'adressera avec confiance à la Divine Miséricorde » (Journal, p. 132).
À travers l'œuvre de la religieuse polonaise, ce message s'est lié à jamais au vingtième siècle, dernier du second millénaire et pont vers le troisième millénaire.
Il ne s'agit pas d'un message nouveau, mais on peut le considérer comme un don d'illumination particulière, qui nous aide à revivre plus intensément l'Évangile de Pâques, pour l'offrir comme un rayon de lumière aux hommes et aux femmes de notre temps.

Que nous apporteront les années qui s'ouvrent à nous ?

Quel sera l'avenir de l'homme sur la Terre ? Nous ne pouvons pas le savoir. Il est toutefois certain qu'à côté de nouveaux progrès ne manqueront pas, malheureusement, les expériences douloureuses.
Mais la lumière de la Miséricorde Divine, que Le Seigneur a presque voulu remettre au monde à travers le charisme de Sœur Faustyna, illuminera le chemin des hommes du troisième millénaire.
Comme les Apôtres autrefois, il est toutefois nécessaire que l'humanité d'aujourd'hui accueille elle aussi dans le cénacle de l'histoire Le Christ Ressuscité, qui montre les blessures de sa Crucifixion et répète : Paix à vous !
Il faut que l'humanité se laisse atteindre et imprégner par L'Esprit que Le Christ Ressuscité lui donne. C'est L'Esprit qui guérit les blessures du cœur, abat les barrières qui nous éloignent de Dieu et qui nous divisent entre nous, restitue la Joie de l'Amour du Père et celle de l'unité fraternelle.

Il est alors important que nous recevions entièrement le message qui provient de la Parole de Dieu en ce deuxième Dimanche de Pâques, qui dorénavant, dans toute l'Église, prendra le nom de « Dimanche de la Miséricorde Divine ».

Dans les diverses lectures, la Liturgie semble désigner le chemin de la Miséricorde qui, tandis qu'elle reconstruit le rapport de chacun avec Dieu, suscite également parmi les hommes de nouveaux rapports de solidarité fraternelle.
Le Christ nous a enseigné que l'homme non seulement reçoit et expérimente la Miséricorde de Dieu, mais aussi qu'il est appelé à  faire Miséricorde aux autres : « Bienheureux les Miséricordieux, car ils obtiendront Miséricorde (Mt 5, 7) » (Dives in misericordia, n. 14).
Il nous a ensuite indiqué les multiples voies de la Miséricorde, qui ne Pardonne pas seulement les péchés, mais répond également à toutes les nécessités de l'homme.
Jésus s'incline sur toute forme de pauvreté humaine, matérielle et spirituelle. Son message de Miséricorde continue de nous atteindre à travers le geste de ses mains tendues vers l'homme qui souffre.
C'est ainsi que l'a vu et l'a annoncé aux hommes de tous les continents Sœur Faustyna, qui, cachée dans son couvent de ?agiewniki, à Cracovie, a fait de son existence un chant à la Miséricorde : Misericordias Domini in aeternum cantabo.

La Canonisation de Sœur Faustyna revêt une éloquence particulière.

À travers cet acte, j'entends transmettre aujourd'hui ce message au nouveau millénaire. Je le transmets à tous les hommes afin qu'ils apprennent à connaître toujours mieux le véritable visage de Dieu et le véritable visage de leurs frères.
L'Amour de Dieu et l'Amour des frères sont en effet indissociables, comme nous l'a rappelé la première Épître de Jean :
« Nous reconnaissons que nous aimons les enfants de Dieu à ce que nous aimons Dieu et que nous pratiquons ses commandements » (5, 2).
L'Apôtre nous rappelle ici à la vérité de l'Amour, nous montrant dans l'observance des Commandements la mesure et le critère.
Il n'est pas facile, en effet, d'aimer d'un Amour profond, fait de don authentique de soi. Cet Amour ne s'apprend qu'à l'école de Dieu, à la chaleur de sa Charité.
En fixant le regard sur Lui, en nous syntonisant sur son cœur de Père, nous devenons capables de regarder nos frères avec des yeux nouveaux, dans une attitude de gratuité et de partage, de générosité et de Pardon.
Tout cela est la Miséricorde ! Dans la mesure où l'humanité saura apprendre le secret de ce regard Miséricordieux, la description idéale de la première lecture se révèle être une perspective réalisable :
« La multitude des croyants n'avait qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait sien ce qui lui appartenait, mais entre eux tout était commun » (Ac 4, 32).
Ici, la Miséricorde du cœur est devenue également un style de rapports, un projet de communauté, un partage de biens. Ici ont fleuri les « œuvres de Miséricorde » spirituelles et corporelles.
Ici, la Miséricorde est devenue une façon concrète d'être le « prochain » des frères les plus indigents.

Sœur Faustyna Kowalska a écrit dans son journal.

« J'éprouve une douleur atroce, lorsque j'observe les souffrances du prochain. Toutes les souffrances du prochain se répercutent dans mon cœur ; je porte dans mon cœur leurs angoisses, de sorte qu'elles m'anéantissent également physiquement. Je voudrais que toutes les douleurs retombent sur moi, pour soulager mon prochain » (Journal, p. 365).
Voilà à quel point de partage conduit l'Amour lorsqu'il se mesure à l'Amour de Dieu ! C'est de cet Amour que l'Humanité d'aujourd'hui doit s'inspirer pour affronter la crise de sens, les défis des besoins les plus divers, en particulier l'exigence de sauvegarder la dignité de chaque personne humaine.
Le message de la Divine Miséricorde est ainsi, de façon implicite, également un message sur la valeur de chaque homme.
Chaque personne est précieuse aux yeux de Dieu, Le Christ a donné sa vie pour chacun, Le Père fait don à tous de son Esprit et offre l'accès à son intimité.

Ce message réconfortant s'adresse en particulier à celui qui, touché par une épreuve particulièrement dure ou écrasé par le poids des péchés commis, a perdu toute confiance dans la vie et est tenté de céder au désespoir.
C'est à lui que se présente le visage doux du Christ, c'est sur lui qu'arrivent ces rayons qui partent de son cœur et qui illuminent, réchauffent, indiquent le chemin et diffusent l'Espérance.
Combien d'âmes a déjà réconforté l'invocation : « Jésus, j'ai confiance en Toi », que la Providence a suggérée à Sœur Faustyna !
Cet acte simple d'abandon à Jésus dissipe les nuages les plus épais et fait pénétrer un rayon de lumière dans la vie de chacun.

Misericordia Domini in aeternum cantabo (Ps 88 [89], 2).

À la voix de la Très sainte Vierge Marie, la « Mère de la Miséricorde », à la voix de cette nouvelle sainte, qui dans la Jérusalem Céleste chante la Miséricorde avec tous les amis de Dieu, nous unissons nous aussi, Église en pèlerinage, notre voix.
Et toi, Faustyna, don de Dieu à notre temps, don de la terre de Pologne à toute l'Église, obtiens-nous de percevoir la profondeur de la Miséricorde Divine, aide-nous à en faire l'expérience vivante et à en témoigner à nos frères.
Que ton message de lumière et d'espérance se diffuse dans le monde entier, pousse les pécheurs à la conversion, dissipe les rivalités et les haines, incite les hommes et les nations à la pratique de la fraternité.
Aujourd'hui, en tournant le regard avec toi vers le visage du Christ ressuscité, nous faisons nôtre ta Prière d'abandon confiant et nous disons avec une ferme espérance :

« Jésus, j'ai confiance en Toi ! »

226701 1349579915081 1698864233 599566 8278645 n 1En approfondissement de cette Fête, très liée à la vie de Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska, car on y retrouve toutes les Révélations et demande de Jésus (Le Sacrement de Réconciliation, celui de la Communion, le Chapelet, la Neuvaine et les Prières de la Divine Miséricorde), je vous invite à la découvrir sur le lien suivant :
Fête de Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska (1905-1938).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska.

 

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http://www.hommage-a-la-misericorde-divine.com/.

Hommage à la Miséricorde Divine

(Pour voir le site en entier, l'image, la Neuvaine, les Prières, la préparation à cette Fête, la Célébration, etc..., ouvrir les liens ci-dessus).

Occupant la première place parmi toutes les formes du culte de la Miséricorde Divine révélées à Soeur Faustine
La Fête de la Miséricorde Divine doit être célébrée le premier dimanche après Pâques (le dimanche dit "in albis"), conformément à
un vœu exprimé par Le Seigneur Jésus à Sœur Faustine :

"Je désire que le premier Dimanche après Pâques soit la Fête de la Miséricorde" (299).

La date du premier Dimanche après Pâques, choisie par Le Christ Lui-même, a un sens théologique profond. Ce Dimanche qui termine 
l'Octave de la Résurrection montre le rapport étroit qui existe entre le Mystère Pascal de la Rédemption et le Mystère de la 
Miséricorde Divine. 
En effet, la liturgie même de la Fête loue Dieu riche en Miséricorde. 
Car la Passion, la mort et la Résurrection du Christ sont la révélation éminente de l'Amour Miséricordieux de Dieu. 
L'oeuvre de la Rédemption porte ses fruits et s'opère dans les Sacrements de l'Eglise dont parle la liturgie de la Fête de la Miséricorde. 
Le Baptème, le Sacrement de la Réconciliation, l'Eucharistie, sont des sources intarissables de la Miséricorde Divine vers lesquelles la Sainte Eglise conduit  toutes les générations 
sur toute la Terre. C'est pourquoi la Liturgie de ce Dimanche est le point culminant d'adoration de Dieu dans le Mystère de la 
Miséricorde. 

La Fête de la Miséricorde doit être non seulement un jour où l'on honore Dieu dans ce Mystère, mais aussi un jour de grâces pour 
tous et surtout pour les pauvres pécheurs. Le Seigneur Jésus a attaché à cette Fête de grandes promesses. La plus importante est 
intimement liée à la Sainte Communion reçue ce jour-là (après une confession valide). Elle consiste à obtenir une rémission plénière des
fautes et des peines. Cette grâce égale uniquement celle que nous recevons au sacrement du Saint Baptême.

La grandeur de cette Fête réside aussi dans le fait suivant : tous, même ceux qui se sont convertis à l'occasion de cette Fête, peuvent 
implorer et obtenir toutes les grâces, à condition que leurs demandes soient conformes à la volonté Divine.

Date de dernière mise à jour : 07/04/2024

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