Eucharistie du Samedi 21 Décembre 2024 : Semaine avant Noël, le 21 Décembre.
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saint Pierre Canisius, Prêtre s.j. (Jésuite) et Docteur de l'Église, deuxième Apôtre de l’Allemagne (1521-1597).
Fête du Bienheureux Peter Friedhofen, ancien ramoneur, Fondateur des “Frères de la Miséricorde de Marie Auxiliatrice” (1819-† 1860).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Cantique des cantiques 2,8-14... Psaume 33(32),2-3.11-12.20-21... Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1,39-45.
Commentaire de Saint Jean de Damas (v. 675-749), Moine, théologien, Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), Carmélite, Docteur de l'Église.
SERMON DE SAINT AMBROISE SUR L'ÉVANGILE DE LUC « Heureuse, toi qui as cru ».
Autre commentaire de l’Abbé Àngel CALDAS i Bosch (Salt, Girona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta
Hymne, Antienne, Oraison et Parole de Dieu.
Samedi 21 Décembre 2024 : Fête de Saint Pierre Canisius, Prêtre s.j. (Jésuite) et Docteur de l'Église, deuxième Apôtre de l’Allemagne (1521-1597).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Pierre Canisius.
Samedi 21 Décembre 2024 : Fête du Bienheureux Peter Friedhofen, ancien ramoneur, Fondateur des “Frères de la Miséricorde de Marie Auxiliatrice” (1819-† 1860).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Peter Friedhofen.
Les Saints du 21 Décembre.
https://www.reflexionchretienne.com/pages/vie-des-saints/decembre/saints-saintes-et-fetes-du-jour-20.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Cantique des cantiques 2,8-14.
J’entends mon bien-aimé. Voici qu’il arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.
Mon bien-aimé est semblable à une gazelle, à un jeune faon. Voilà qu’il se tient derrière notre mur. Il guette par la fenêtre, il épie par le treillis.
Mon bien-aimé élève la voix, il me dit : « Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, viens-t-en.
Car voilà l’hiver passé, c’en est fini des pluies, elles ont disparu.
Sur notre terre, les fleurs se montrent. La saison vient des gais refrains, le roucoulement de la tourterelle se fait entendre sur notre terre.
Le figuier forme ses premiers fruits et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, viens-t-en.
Ma colombe cachée au creux des rochers, en des retraites escarpées, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce et charmant ton visage. »
Psaume 33(32),2-3.11-12.20-21.
Rendez grâce au Seigneur sur la cithare,
jouez pour lui sur la harpe à dix cordes.
Chantez-lui le cantique nouveau,
de tout votre art soutenez l'ovation.
Le plan du Seigneur demeure pour toujours,
les projets de son cœur subsistent d'âge en âge.
Heureux le peuple dont le Seigneur est le Dieu,
heureuse la nation qu'il s'est choisie pour domaine !
Nous attendons notre vie du Seigneur :
il est pour nous un appui, un bouclier.
La joie de notre cœur vient de lui,
notre confiance est dans son nom très saint.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1,39-45.
En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée.
Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth.
Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint,
et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.
D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ?
Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi.
Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. »
Commentaire du jour.
Saint Jean de Damas (v. 675-749), Moine, théologien, Docteur de l'Église.
1er sermon sur la Dormition (trad. SC 80, p. 101s)
« Comment ai-je ce Bonheur que la mère de Mon Seigneur vienne jusqu'à moi ? »
« Tu es bénie entre les femmes et le fruit de ton sein est béni... » Voici, en effet, que les générations te disent bienheureuse comme tu l'as déclaré (Lc 1,42).
Les filles de Jérusalem, c'est-à-dire de l'Église, t'ont vue et ont proclamé ton Bonheur... Tu es, en effet, le trône royal près duquel se tenaient les anges contemplant leur Maître et Créateur qui y était assis (Dn 7,9).
Tu es devenue l'Éden spirituel, plus sacré et plus divin que l'ancien.
Dans le premier habitait l'Adam terrestre ; en toi, c'est Le Seigneur venu du Ciel (1Co 15,47).
L'arche de Noé t'a préfigurée, elle qui a sauvé le germe de la seconde Création, car tu as enfanté Le Christ, le salut du monde, qui a submergé le péché et apaisé les flots.
D'avance, c'est toi que le buisson ardent a dépeinte, que les tables écrites par Dieu ont dessinée (Ex 31,18), que l'arche de l'alliance a racontée ; c'est toi que l'urne d'or, le candélabre..., et le rameau d'Aaron qui avait fleuri (Nb 17,23) ont manifestement préfigurée...
J'allais omettre l'échelle de Jacob. Comme Jacob a vu le Ciel réuni à la Terre par les extrémités de l'échelle, et par elle les anges descendre et monter, et celui qui est réellement le fort et l'invincible engager avec lui une lutte symbolique, ainsi toi-même tu es devenue la médiatrice et l'échelle par laquelle Dieu est descendu vers nous et a pris sur lui la faiblesse de notre substance, l'embrassant et se l'unissant étroitement.
Commentaire du jour.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), Carmélite, Docteur de l'Église.
Poésie « Pourquoi je t'aime, ô Marie », strophes 4-7 (OC, Cerf DDB 1992, p. 751)
« Le Puissant fit pour moi des merveilles » (Lc 1,49)
Oh ! Je t'aime, Marie, te disant la servante
Du Dieu que tu ravis par ton humilité (Lc 1,38)
Cette vertu cachée te rend toute-puissante
Elle attire en ton cœur la Sainte Trinité
Alors l'Esprit d'Amour te couvrant de son ombre (Lc 1,35)
Le Fils égal au Père en toi s'est incarné
De ses frères pécheurs bien grand sera le nombre
Puisqu'on doit l'appeler : Jésus, ton premier-né ! (Lc 2,7)
Ô Mère bien-aimée, malgré ma petitesse
Comme toi je possède en moi le Tout-Puissant
Mais je ne tremble pas en voyant ma faiblesse :
Le trésor de la mère appartient à l'enfant
Et je suis ton enfant, ô ma Mère chérie.
Tes vertus, ton Amour, ne sont-ils pas à moi ?
Aussi lorsqu'en mon cœur descend la blanche hostie
Jésus, ton Doux Agneau, croit reposer en toi !
Tu me le fais sentir, ce n'est pas impossible
De marcher sur tes pas, ô Reine des élus.
L'étroit chemin du Ciel, tu l'as rendu visible
En pratiquant toujours les plus humbles vertus.
Auprès de toi, Marie, j'aime à rester petite,
Des grandeurs d'ici-bas je vois la vanité,
Chez Sainte Élisabeth, recevant ta visite,
J'apprends à pratiquer l'ardente Charité.
Là j'écoute ravie, douce Reine des anges,
Le cantique sacré qui jaillit de ton cœur (Lc 1,46s)
Tu m'apprends à chanter les divines louanges
À me glorifier en Jésus mon Sauveur.
Tes paroles d'Amour sont de mystiques roses
Qui doivent embaumer les siècles à venir.
En toi le Tout-Puissant a fait de grandes choses
Je veux les méditer, afin de l'en bénir.
SERMON DE SAINT AMBROISE
SUR L'ÉVANGILE DE LUC
« Heureuse, toi qui as cru »
Lorsque l'Ange annonce à Marie le mystère de sa maternité virginale, il lui apprend, pour éclairer sa Foi par un exemple, qu'une femme âgée et stérile a conçu, ce qui fait comprendre que Dieu peut accomplir tout ce qu'il a décidé.
Dès que Marie l'eut appris, elle partit vers la montagne de Judée. Ce n'était de sa part ni incrédulité en la prophétie, ni incertitude sur cette annonce, ni doute sur l'exemple proposé. Elle partait dans l'allégresse de son désir, pour l'accomplissement d'un service, avec l'empressement de sa joie.
Elle qui était maintenant remplie de Dieu, où pouvait-elle se rendre avec empressement, sinon vers les hauteurs ? La grâce du Saint-Esprit ne connaît pas les hésitations ni les retards. L'arrivée de Marie et la présence du Seigneur manifestent aussitôt leurs bienfaits, car, au moment même où Élisabeth entendit la salutation de Marie, l'enfant tressaillit en elle, et elle fut remplie de L'Esprit-Saint.
Remarquez les nuances et l'exactitude de chaque mot. Élisabeth fut la première à entendre la parole, mais Jean fut le premier à ressentir la Grâce : la mère a entendu selon l'ordre naturel des choses, l'enfant a tressailli en raison du mystère ; elle a constaté l'arrivée de Marie, lui, celle du Seigneur ; la femme, l'arrivée de la femme, l'enfant, celle de l'enfant ; les deux femmes échangent des paroles de grâce, les deux enfants agissent au-dedans d'elles et commencent à réaliser le mystère de la piété en y faisant progresser leurs mères ; enfin, par un double miracle, les deux mères prophétisent sous l'inspiration de leur enfant.
Jean a tressailli, la mère a été comblée. La mère n'a pas été comblée avant son fils, mais, comme le fils était comblé de L'Esprit-Saint, il en a aussi comblé sa mère.
Jean a exulté, et l'esprit de Marie a exulté, lui aussi. L'exultation de Jean comble Élisabeth ; cependant, pour Marie, on ne nous dit pas que son esprit exulte parce qu'il est comblé, car celui qu'on ne peut comprendre agissait en sa mère d'une manière qu'on ne peut comprendre. Élisabeth est comblée après avoir conçu, Marie, avant d'avoir conçu. Heureuse, lui dit Élisabeth, toi qui as cru.
Heureux, vous aussi qui avez entendu et qui avez cru ; car toute âme qui croit conçoit et engendre le Verbe et le reconnaît à ses œuvres.
Que l'âme de Marie soit en chacun de vous, pour qu'elle exalte Le Seigneur ; que l'esprit de Marie soit en chacun de vous, pour qu'il exulte en Dieu.
S'il n'y a, selon la chair, qu'une seule mère du Christ, tous engendrent Le Christ selon la Foi. Car toute âme reçoit le Verbe de Dieu, pourvu qu'elle soit irréprochable et préservée des vices en gardant la chasteté dans une pureté intégrale.
Toute âme qui peut vivre ainsi exalte Le Seigneur, comme l'âme de Marie a exalté Le Seigneur, et comme son esprit a exulté en Dieu Son Sauveur.
En effet, Le Seigneur est exalté, comme vous l'avez lu ailleurs : Exaltez Le Seigneur avec moi. Certes, la parole humaine ne peut faire grandir Le Seigneur, mais c'est en nous qu'il est exalté ; en effet, Le Christ est l'image de Dieu.
Par conséquent, si l'âme agit de façon juste et religieuse, elle exalte cette image de Dieu, à la ressemblance de qui elle a été créée ; et par conséquent, en exaltant cette image, elle s'élève par une certaine participation à sa sublimité.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/I_34
Abbé Àngel CALDAS i Bosch (Salt, Girona, Espagne).
«Heureuse celle qui a cru»
Aujourd'hui, le texte de l'Évangile correspond au 2ème mystère joyeux: «La visitation de Marie à sa cousine Élisabeth».
Il s'agit d'un vrai mystère! Une explosion de Joie profonde comme jamais l'histoire ne nous l'avait jamais raconté auparavant!
La Joie de Marie qui vient de devenir mère, par la grâce et l'action de L'Esprit-Saint! Le mot “gaudium” exprime une Joie profonde, intime qui ne se dévoile pas à l'extérieur.
Pourtant, les montagnes de Judée se sont remplies de Joie. Marie exulte comme une mère qui vient d'apprendre qu'elle attend un enfant… et quel Enfant!
Un fils pèlerin, avant même la naissance, qui se rend par des sentiers rocheux à Ain Karen, enveloppé dans le cœur et les bras de Marie.
Joie dans l'âme et le visage d'Élisabeth, et l'enfant qui tressaille d'allégresse dans son ventre. Les paroles même de la cousine de Marie se transmettront dans les âges: «Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni» (Lc 1,42).
La prière du rosaire comme source de Joie, est une des nouvelles perspectives dévoilées par Jean Paul II dans sa lettre apostolique "Le rosaire de la Vierge Marie".
L'allégresse est inséparable de la Foi. «Comment ai-je ce bonheur que la mère de Mon Seigneur vienne jusqu'à moi?» (Lc 1,43).
La Joie de Dieu et de Marie s'est dispersée dans le monde. Pour la laisser passer, il suffit de nous ouvrir par la Foi à l'action constante de Dieu dans notre vie, devenir pèlerins avec l'Enfant, avec Celle qui a cru, et se tenir à la main forte et amoureuse de Saint Joseph.
Par les chemins de la terre, par les routes, sentiers ou chemins boueux, un Chrétien porte en lui, toujours, deux dimensions de la Foi: l'union avec Dieu et le service aux autres.
Le tout bien rassemblé: avec une unité de vie qui empêche qu'il ait une solution de continuité entre une chose et l'autre.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2024-12-21/tu-es-benie-entre-toutes-les-femmes
HYMNE : LA PAIX DE DIEU N’EST PAS UN CRI
La paix de Dieu n’est pas un cri
Lancé des quatre vents de l’univers.
La paix, c’est Dieu risquant sa vie,
Enfant des hommes, la nuit de Noël.
L’amour de Dieu n’est pas un mot
Berçant nos rêves de vivre là-haut.
L’amour, c’est Dieu rené des eaux,
Nouvelle eau vive jaillie au désert.
Le jour de Dieu n’est pas un jour,
Instant d’histoire, moment sans retour.
Le jour de Dieu, c’est Dieu toujours,
Durée vivante, sans nuit, sans sommeil.
R/ Ô viens, ô viens, Emmanuel !
Ô viens sauver le monde !
HYMNE : Ô VIENS, JÉSUS, Ô VIENS, EMMANUEL
Ô viens, Jésus, ô viens, Emmanuel,
Nous dévoiler le monde fraternel
Où ton amour, plus fort que la mort,
Nous régénère au sein d’un même corps.
R/ Chantez, chantez, il vient à notre appel
combler nos cœurs, Emmanuel.
Ô viens, Berger que Dieu nous a promis,
Entends au loin ton peuple qui gémit ;
Dans la violence il vit son exil,
De ses souffrances quand renaîtra-t-il ?
Ô viens, Jésus, et dans la chair blessée,
Fleuris pour nous, racine de Jessé ;
Près de l’eau vive, l’arbre planté
Soulève jusqu’à Dieu le monde entier.
Ô viens, Jésus, tracer notre chemin,
Visite-nous, Étoile du matin,
Du fond de nos regards fais monter
L’éclat soudain du jour d’éternité.
HYMNE : ES-TU CELUI QUI DOIT VENIR
Es-tu celui qui doit venir
visiter nos prisons,
libérer nos mains,
éclairer nos visages
d’un bonheur sans déclin ?
Tu es l’Autre que nous attendons,
Jésus, notre semblable,
tu es le plus proche voisin,
l’Emmanuel dans nos prisons.
Es-tu celui qui doit venir
traverser notre nuit,
libérer nos yeux
et donner aux aveugles
un soleil sans déclin ?
Tu es l’Autre que nous attendons,
Jésus, notre lumière,
tu es notre unique matin,
l’Emmanuel dans notre nuit.
Es-tu celui qui doit venir
nous tracer le chemin,
libérer nos pas,
relancer notre marche
à ton rythme divin ?
Tu es l’Autre que nous attendons,
Jésus, guide fidèle,
tu es le témoin de nos pas,
l’Emmanuel sur nos chemins.
Es-tu celui qui doit venir
ébranler nos silences,
libérer nos voix,
accorder nos paroles
à ton Verbe divin ?
Tu es l’Autre que nous attendons,
Jésus, Verbe et réponse,
tu es notre unique chanson,
l’Emmanuel dans nos silences.
Es-tu celui qui doit venir
féconder nos déserts,
libérer nos cœurs,
éveiller nos semences
par les eaux du Jourdain ?
Tu es l’Autre que nous attendons,
Jésus, Source d’eau vive,
tu es le printemps pour le grain,
l’Emmanuel dans nos déserts.
Es-tu celui qui doit venir
et qui vient chaque jour
libérer nos vies,
ranimer notre souffle
au passage du tien ?
Tu es l’Autre que nous attendons,
Jésus, Sève du monde,
tu es le Vivant qui revient,
l’Emmanuel, Dieu-avec-nous.
Antienne du 21 Décembre.
V – 21 décembre
O ORIENS, splendor lucis aeternae et sol iustitiae:
veni et illumina sedentem in tenebris et umbra mortis.
Ô Astre montant (Zacharie 3, 8; Jérémie 23, 5), splendeur de la lumière éternelle (Sagesse 7, 26) et soleil de justice (Malachie 3, 20): viens éclairer ceux qui se trouvent dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort (Isaïe 9, 1; Luc 1, 79).
Oraison du matin (Office des Laudes).
Écoute avec bonté, Seigneur, la prière de ton peuple qui se réjouit de la venue de Ton Fils en notre chair ; puissions-nous obtenir le Bonheur de la Vie éternelle quand il viendra dans sa Gloire.
Lui qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.
Parole de Dieu : (Is 7 14b-15)... (Office des Laudes).
Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils, et on l’appellera Emmanuel, (c’est-à-dire : Dieu avec nous). De crème et de miel il se nourrira, et il saura rejeter le mal et choisir le bien.
Parole de Dieu : 51 Th 5, 23-24°… (Office des Vêpres).
Que le Dieu de la Paix Lui-même vous sanctifie tout entiers, et qu’il garde parfaits et sans reproche votre esprit, votre âme et votre corps, pour la venue de Notre Seigneur Jésus-Christ. Il est fidèle, le Dieu qui vous appelle : tout cela, il l’accomplira.