Eucharistie du Mercredi 25 Septembre 2019 : Mercredi de la 25ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).

Eucharistie du Mercredi 25 Septembre 2019 : Mercredi de la 25ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).

Fête de Saint Firmin, Évêque d'Amiens et Martyr (+ 303).
Fête de Saint Nicolas de Flüe, patron de la Suisse (1417-1487).
Fête du Bienheureux Hermann Contract, le Boiteux, o.s.b. (1013-  † 1054).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Esdras 9,5-9… Livre de Tobie 13,2.3-4ab.4cde.7.8ab.8cde… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 9,1-6.
Commentaire de Saint Hilaire (v. 315-367), Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Jordi CASTELLET i Sala (Sant Hipòlit de Voltregà, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

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Mercredi 25 Septembre 2019 : Fête de Saint Firmin, Évêque d'Amiens et Martyr (+ 303).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Firmin, Évêque d'Amiens.

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Mercredi 25 Septembre 2019 : Fête de Saint Nicolas de Flüe, patron de la Suisse (1417-1487).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » en date du 21 Mars, ou sur le lien suivant :
Saint Nicolas de Flüe, patron de la Suisse.

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Mercredi 25 Septembre 2019 : Fête du Bienheureux Hermann Contract, le Boiteux, o.s.b. (1013-  † 1054).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Hermann Contract.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Esdras 9,5-9.
Moi, Esdras, à l’heure de l’offrande du soir, je me relevai de ma prostration ; le vêtement et le manteau déchirés, je tombai à genoux ; les mains tendues vers le Seigneur mon Dieu,
je dis : « Mon Dieu, j’ai trop de honte et de confusion pour lever mon visage vers toi, mon Dieu. Nos fautes sans nombre nous submergent, nos offenses se sont amoncelées jusqu’au ciel.
Depuis les jours de nos pères et aujourd’hui encore, grande est notre offense : c’est à cause de nos fautes que nous avons été livrés, nous, nos rois et nos prêtres, aux mains des rois étrangers, à l’épée, à la captivité, au pillage et à la honte, qui nous accablent encore aujourd’hui.
Or, voici que depuis peu de temps la pitié du Seigneur notre Dieu a laissé subsister pour nous des rescapés et nous a permis de nous fixer en son lieu saint ; ainsi, notre Dieu a fait briller nos yeux, il nous a rendu un peu de vie dans notre servitude.
Car nous sommes asservis ; mais, dans cette servitude, notre Dieu ne nous a pas abandonnés : il nous a concilié la faveur des rois de Perse, il nous a rendu la vie, pour que nous puissions restaurer la Maison de notre Dieu et relever ses ruines, afin d’avoir un abri solide en Juda et à Jérusalem.

 

Livre de Tobie 13,2.3-4ab.4cde.7.8ab.8cde.
C’est lui qui châtie et prend pitié,
qui fait descendre aux profondeurs des enfers
et retire de la grande perdition :
nul n’échappe à sa main.

Rendez-lui grâce, fils d’Israël, à la face des nations
où lui-même vous a dispersés ;
là, il vous a montré sa grandeur :
exaltez-le à la face des vivants.

Car il est notre Seigneur,
lui, notre Dieu, notre Père,
il est Dieu, pour les siècles des siècles !

Regardez ce qu’il a fait pour vous,
rendez-lui grâce à pleine voix !
Bénissez le Seigneur de justice,
exaltez le Roi des siècles !

Et moi, en terre d’exil, je lui rends grâce ;
je montre sa grandeur et sa force
au peuple des pécheurs.

« Revenez, pécheurs,
et vivez devant lui dans la justice.
Qui sait s’il ne vous rendra pas
son amour et sa grâce ! »

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 9,1-6.
En ce temps-là, Jésus rassembla les Douze ; il leur donna pouvoir et autorité sur tous les démons, et de même pour faire des guérisons ;
il les envoya proclamer le règne de Dieu et guérir les malades.
Il leur dit : « Ne prenez rien pour la route, ni bâton, ni sac, ni pain, ni argent ; n’ayez pas chacun une tunique de rechange.
Quand vous serez reçus dans une maison, restez-y ; c’est de là que vous repartirez.
Et si les gens ne vous accueillent pas, sortez de la ville et secouez la poussière de vos pieds : ce sera un témoignage contre eux. »
Ils partirent et ils allaient de village en village, annonçant la Bonne Nouvelle et faisant partout des guérisons.

 

Commentaire du jour.
Saint Hilaire (v. 315-367), Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église.
Commentaire sur le psaume 65, §19-20 ; CSEL 22, 261 (trad. Solesmes, Lectionnaire, t. 3, p. 873)

« Ils allaient de village en village, annonçant la Bonne Nouvelle »

Quelle est « la parole de louange » (Ps 65,8) qu'il faut faire entendre ? Celle-ci assurément : « Il a donné la vie à l'âme » des croyants (v.9) ; car Dieu a accordé la constance et la persévérance dans la profession de la Foi à la prédication des apôtres et à la confession des Martyrs, et la prédication du Royaume des Cieux a parcouru la Terre en tous sens comme par des pas.
En effet « leur message s'est répandu sur toute la Terre » (Ps 18,5). Et ailleurs, Le Saint-Esprit proclame la gloire de cette course spirituelle : « Comme ils sont beaux, les pas de ceux qui annoncent la bonne nouvelle, de ceux qui annoncent la paix » (Is 52,7).
C'est donc cette parole de louange de Dieu qu'il faut faire entendre par la proclamation, selon le témoignage du psalmiste : « Il a donné la vie à mon âme et n'a pas laissé chanceler mes pas » (LXX).
En effet, les apôtres ne se sont pas laissés détourner de la course de leur prédication par les terreurs des menaces humaines, et la fermeté de leurs pas solidement posés ne s'est pas laissée écarter du chemin de la Foi...

Pourtant, après avoir dit : « Il n'a pas laissé chanceler mes pas », le psalmiste ajoute : « Ô Dieu, tu nous as éprouvés, tu nous as épurés par le feu comme on épure l'argent » (v.10). Cette parole, commencée au singulier, se rapporte donc à plusieurs. Car unique est L'Esprit et une la Foi des croyants, selon ce qui est dit dans les Actes des Apôtres : « Les croyants n'avaient qu'une seule âme et un seul cœur » (Ac 4,32)...

Mais que signifie cette comparaison : « Ils ont été épurés au feu, comme on épure l'argent » ? A mon sens, si on épure l'argent, c'est uniquement pour en séparer les scories qui adhèrent à la matière encore brute...
C'est pourquoi, quand Dieu met à l'épreuve ceux qui croient en Lui, ce n'est pas qu'il ignore leur Foi, mais parce que « la persévérance produit la valeur » comme le dit l'apôtre Paul (Rm 5,4). Dieu les soumet à l'épreuve, non pour les connaître, mais pour les amener à la consommation de la vertu.
Ainsi, purifiés par le feu et dégagés de tout alliage avec les vices de la chair, ils pourront resplendir de l'éclat d'une innocence qui a fourni ses preuves.

 

Autre commentaire du jour.
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Ne prenez rien pour la route, ni bâton, ni sac, ni pain, ni argent ; n’ayez pas chacun une tunique de rechange

Dans la finale de la longue section consacrée, depuis le verset 14 du chapitre 4, à la prédication en Galilée, Luc va s’attacher tout particulièrement aux liens qui relient Jésus à ses apôtres.
Dans notre péricope, nous voyons Jésus convoquer et envoyer les douze proclamer le Royaume de Dieu et faire des guérisons. On est frappé dans cet Évangile par l’impression de légèreté, de liberté qui s’en dégage : « N’emportez rien pour la route, ni bâton, ni sac, ni pain, ni argent ; n’ayez pas chacun une tunique de rechange ».
L’apôtre part, désencombré de tout souci matériel, de tout attachement autre que celui qui le relie à son Seigneur.
C’est le seul lien qu’il garde mais un lien qui loin de le paralyser, le pousse au contraire en avant parce qu’il lui donne l’assurance de pouvoir compter sur son Maître à chaque instant.

La pauvreté de l’apôtre interpelle. Elle interroge sur ce qui le fait vivre et lui donne cette joie, ce dynamisme et cette force. Elle annonce une richesse qui dépasse les biens de ce monde : la vie du Royaume de Dieu.
Condition de celui qui annonce le Royaume, elle se révèle ainsi condition d’accès au Royaume.

Condition d’accès au Royaume, la pauvreté l’est en tant qu’elle libère le cœur et l’esprit pour permettre d’entrer dans la dynamique de l’Amour et du partage.
Car, de quoi vit-on dans le Royaume si ce n’est de la Charité !
A côté d’une pauvreté matérielle subie et négative, sans cesse à combattre, il existe une pauvreté matérielle positive qui, une fois choisie, libère, élève et rend disponible pour les réalités du Royaume.

Il apparaît dès lors cohérent que celui qui annonce le Royaume de l’Amour de Dieu vive une pauvreté effective et choisie.
Jésus ne nous l’a-t-il pas lui-même montré, lui qui s’est fait proche des pauvres pour les enrichir de sa pauvreté !
Toute sa vie, de la Crèche à la Croix, a été marquée par le dépouillement. C’est bien par sa pauvreté et son abaissement volontaire qu’il nous a ouvert les portes du Royaume et du Salut. Saint Paul l’a bien compris lorsque dans son Épître aux habitants de Philippe il les invite à imiter le dépouillement du Seigneur Jésus Lui-même : « Comportez-vous ainsi entre vous, comme on le fait en Jésus-Christ : Lui qui est de condition Divine n'a pas considéré comme une proie à saisir d'être l'égal de Dieu.
Mais il s'est dépouillé, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes, et, reconnu à son aspect comme un homme, il s'est abaissé, devenant obéissant jusqu'à la mort, à la mort sur une Croix.
C'est pourquoi Dieu l'a souverainement élevé et lui a conféré le Nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au Nom de Jésus tout genou fléchisse, dans les Cieux, sur la Terre et sous la Terre, et que toute langue confesse que Le Seigneur, c'est Jésus-Christ, à la Gloire de Dieu Le Père. » (Ph 2, 5-9)

Nous voyons combien la pauvreté que Jésus nous invite à saisir, sans l’exclure pour autant, est bien plus qu’un simple renoncement aux biens matériels. Elle est une marche à sa suite, Lui auquel nous sommes appelés à nous identifier pour nous faire les relais de son Amour auprès de nos frères en humanité.

C’est appel à choisir d’être pauvre avec Le Christ ne cessera jamais de résonner dans le cœur de tout Chrétien et de l’Église tout entière parce qu’il relève de l’essence missionnaire et apostolique de celle-ci.
C’est bien ce qu’exprime le Concile Vatican II lorsqu’il nous dit : « La mission de l’Église continue et développe au cours de l’histoire la mission du Christ Lui-même, qui fut envoyé pour annoncer aux pauvres la bonne nouvelle ; c’est donc par la même route qu’a suivie Le Christ Lui-même que, sous la poussée de L’Esprit du Christ, l’Église doit marcher, c’est-à-dire par la route de la pauvreté, de l’obéissance, du service et de l’immolation de soi jusqu’à la mort, dont il est sorti victorieux par sa Résurrection.
Car c’est ainsi dans l’Espérance qu’ont marché tous les apôtres, qui ont achevé par leurs multiples tribulations et souffrances ce qui manque à la Passion du Christ au profit de son Corps qui est l’Église (Col 1, 24)… » (Ad Gentes 5)

« Seigneur, fais-nous la grâce de devenir à la suite de tes apôtres de véritables disciples de ton Amour et de ta Miséricorde. Conduis-nous sur le chemin du dessaisissement de nous-mêmes pour que nous rendions un témoignage de toi toujours plus authentique. »
Frère Élie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_228
Abbé Jordi CASTELLET i Sala (Sant Hipòlit de Voltregà, Barcelona, Espagne).

«Jésus, ayant assemblé les douze, leur donna force et pouvoir sur tous les démons, avec la puissance de guérir les maladies»

Aujourd'hui, nous vivons dans une époque où de nouvelles maladies mentales atteignent une portée insoupçonnée, comme jamais on ne l'avait vu dans le cours de l'histoire.
Le rythme de vie actuel qui augmente le niveau de stress, la course pour acheter et faire croire qu'on possède plus que ce que possède le voisin, le tout arrosé d'une forte dose d'individualisme, construit une personne isolée du reste des mortels.
Cette solitude à laquelle nous sommes obligés, par convenances sociales, par la pression au travail, par certaines conventions qui rendent esclaves, font que plusieurs tombent dans la dépression, la névrose, l'hystérie, la schizophrénie ou autres déséquilibres qui marquent profondément le futur de ces personnes.

«Jésus, ayant assemblé les douze, leur donna force et pouvoir sur tous les démons, avec la puissance de guérir les maladies» (Lc 9,1). Ce sont ces maux, que nous pouvons identifier dans l'Évangile comme des maladies mentales.

La rencontre avec Le Christ, une personne complète et réalisée, apporte un équilibre et une paix qui peut tranquilliser les esprits et permettre à la personne de se rencontrer de nouveau avec elle-même, lui apportant clarté et lumière dans sa vie, bien pour instruire et enseigner, éduquer les jeunes et les personnes âgées, et remettre les personnes sur le droit chemin de la vie.

Les Apôtres «allèrent de village en village, annonçant la bonne nouvelle» (Lc 9,6). C'est aussi notre mission: vivre et méditer l'Évangile, la Parole de Jésus, afin de la laisser faire son œuvre en nous. Ainsi, peu à peu, nous pourrons retrouver le chemin à suivre et la liberté à réaliser. Comme l'a écrit Jean-Paul II, «la paix doit se réaliser à travers la Vérité (…); elle doit se faire dans la liberté».

Que ce soit Jésus-Christ Lui-même, qui nous appelle à la Foi et au Bonheur éternel, qui nous remplit de son Espérance et de son Amour, Celui qui nous a donné une Vie nouvelle et un futur inépuisable.

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://us3.campaign-archive.com/?e=078dfcefda&u=bbaf519c73482457368060b5b&id=b2636b6f59

 

HYMNE : O TOI, L'AU-DELÀ DE TOUT

O toi, l'au-delà de tout, 
n'est-ce pas là tout ce qu'on peut chanter de toi ? 
Quelle hymne te dira, quel langage ? 
Aucun mot ne t'exprime. 
A quoi l'esprit s'attachera-t-il ? 
Tu dépasses toute intelligence. 
Seul, tu es indicible, 
car tout ce qui se dit est sorti de toi. 
Seul, tu es inconnaissable, 
car tout ce qui se pense est sorti de toi. 
Tous les êtres, 
ceux qui parlent et ceux qui sont muets, 
te proclament.
Tous les êtres, 
ceux qui pensent et ceux qui n'ont point la pensée, 
te rendent hommage.
Le désir universel, 
l'universel gémissement tend vers toi.
Tout ce qui est te prie, 
et vers toi tout être qui pense ton univers 
fait monter une hymne de silence.
Tout ce qui demeure, demeure par toi ; 
par toi subsiste l'universel mouvement.
De tous les êtres tu es la fin ; 
tu es tout être, et tu n'en es aucun.
Tu n'es pas un seul être, 
tu n'es pas leur ensemble.
Tu as tous les noms, et comment te nommerai-je, 
toi le seul qu'on ne peut nommer?
Quel esprit céleste pourra pénétrer les nuées 
qui couvrent le ciel même?
Prends pitié, 
Ô toi, l'au-delà de tout, 
n'est-ce pas tout ce qu'on peut chanter de toi?

 

HYMNE : Ô FILS UNIQUE, JÉSUS CHRIST

Ô Fils unique, Jésus Christ, 
Nous contemplons en ton visage 
La gloire dont tu resplendis 
Auprès de Dieu avant les siècles. 

Les tiens ne t’ont pas reconnu, 
Et les ténèbres te repoussent ; 
Mais donne à ceux qui t’ont reçu 
De partager ta plénitude. 

Toi qui habites parmi nous,
Ô Verbe plein de toute grâce, 
Enseigne nous la vérité, 
Transforme-nous en ton image. 

À toi la gloire, ô Père saint, 
À toi, la gloire, ô Fils unique, 
Avec l’Esprit consolateur, 
Dès maintenant et pour les siècles. Amen.

 

HYMNE : À LA MESURE SANS MESURE

À la mesure sans mesure
De ton immensité,
Tu nous manques, Seigneur.
Dans le tréfonds de notre cœur
Ta place reste marquée
Comme un grand vide, une blessure.

À l’infini de ta présence
Le monde est allusion,
Car tes mains l’ont formé.
Mais il gémit, en exilé,
Et crie sa désolation
De n’éprouver que ton silence.

Dans le tourment de ton absence,
C’est toi déjà, Seigneur,
Qui nous as rencontrés.
Tu n’es jamais un étranger,
Mais l’hôte plus intérieur
Qui se révèle en transparence.

Cachés au creux de ton mystère,
Nous te reconnaissons
Sans jamais te saisir.
Le pauvre seul peut t’accueillir,
D’un cœur brûlé d’attention,
Les yeux tournés vers ta lumière.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui nous as sauvés, exauce-nous ; transforme-nous en disciples de la Lumière et en artisan de la Vérité ; puisque en naissant de Toi nous sommes devenus des fils de Lumière, fais que nous sachions te rendre témoignage devant les hommes.
Par Jésus-Christ, Ton Fils, Notre Seigneur et Notre Dieu, qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.

 

Parole de Dieu : (Tb 4,15a.16a.18a.19a.c)… (Office des Laudes).
Ce que tu n’aimes pas, ne le fais à personne. Donne de ton pain à celui qui a faim et des vêtements à ceux qui sont nus. Prends conseil de toute personne avisée.
En toute occasion, Bénis Le Seigneur Ton Dieu et demande-Lui de rendre droits tes chemins. Garde en mémoire ces instructions et qu’elles ne s’effacent pas de ton cœur.

 

Parole de Dieu : (Jc 1, 22.25)… (Office des Vêpres).
Mettez la Parole en application, ne vous contentez pas de l’écouter : ce serait vous faire illusion.
Au contraire, l’homme qui se penche sur la loi parfaite, celle de la liberté, et qui s’y tient, celui qui ne l’écoute pas pour l’oublier mais l’applique dans ses actes, heureux sera-t-il d’agir ainsi.

Date de dernière mise à jour : 25/09/2019

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