Eucharistie du Mercredi 02 Juin 2021 : Mercredi de la 9ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saints Marcellin et Pierre, Martyrs à Rome (✝ 304).
L’Église fait mémoire (facultative en France) de la Fête de Sainte Blandine (vierge), de Saint Pothin (Évêque de Lyon), et de leurs 46 compagnons, Martyrs à Lyon (✝ 177).
Fête du Père Jacques de Jésus (Lucien Bunel), Prêtre du Carmel (1900-1945).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre de Tobie 3,1-11.16-17a… Psaume 25(24),2bc-3.4-5ab.6-7bc.8-9… Évangile de Jésus-Christ selon saint Saint Anastase d'Antioche (?-599), Moine puis Patriarche d'Antioche.
Marc 12,18-27.
Autre commentaire de l’Abbé Federico Elías ALCAMÁN Riffo(Puchuncaví - Valparaíso, Chili).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Mercredi 02 Juin 2021 : Fête de Saints Marcellin et Pierre, Martyrs à Rome (✝ 304).
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Saints Marcellin et Pierre, Martyrs à Rome.
Mercredi 02 Juin 2021 : Fête de Sainte Blandine (vierge), de Saint Pothin (Évêque de Lyon), et de leurs 46 compagnons, Martyrs à Lyon (✝ 177).
Blandine (esclave romaine devenue Chrétienne) est la patronne de la ville de Lyon. Elle est aussi, avec Sainte Marthe de Béthanie, Patronne des servantes.
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Saints Pothin et Blandine, et leurs 46 compagnons, Martyrs à Lyon.
Mercredi 02 Juin 2021 : Fête du Père Jacques de Jésus (Lucien Bunel), Prêtre du Carmel (1900-1945).
En France, sa cause en Béatification est introduite à Rome le 29 Avril 1997.
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Père Jacques de Jésus, Prêtre du Carmel.
Les Saints du 02 Juin.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/juin/saints-saintes-et-fetes-du-jour-9.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de Tobie 3,1-11.16-17a.
En ces jours-là, la mort dans l’âme, moi, Tobith, je gémissais et je pleurais ; puis, au milieu de mes gémissements, je commençai à prier :
« Tu es juste, Seigneur, toutes tes œuvres sont justes, tous tes chemins, miséricorde et vérité ; c’est toi qui juges le monde.
Et maintenant, Seigneur, souviens-toi de moi et regarde : ne me punis pas pour mes péchés, mes égarements, ni pour ceux de mes pères, qui ont péché devant toi
et refusé d’entendre tes commandements. Tu nous as livrés au pillage, à la déportation et à la mort, pour être la fable, la risée, le sarcasme de toutes les nations où tu nous as disséminés.
Et maintenant encore, ils sont vrais les nombreux jugements que tu portes contre moi, pour mes péchés et ceux de mes pères, car nous n’avons pas pratiqué tes commandements ni marché dans la vérité devant toi.
Et maintenant, agis avec moi comme il te plaira, ordonne que mon souffle me soit repris, pour que je disparaisse de la face de la terre et devienne, moi-même, terre. Pour moi, mieux vaut mourir que vivre, car j’ai entendu des insultes mensongères, et je suis accablé de tristesse. Seigneur, ordonne que je sois délivré de cette adversité, laisse-moi partir au séjour éternel, et ne détourne pas de moi ta face, Seigneur. Car, pour moi, mieux vaut mourir que connaître tant d’adversité à longueur de vie. Ainsi, je n’aurai plus à entendre de telles insultes. »
Or ce jour-là, Sarra, la fille de Ragouël d’Ecbatane en Médie, se fit, elle aussi, insulter par une jeune servante de son père :
elle avait été mariée sept fois, et Asmodée, le pire des démons, tuait les maris avant qu’ils ne se soient approchés d’elle. Donc, la servante dit à Sarra : « C’est toi qui as tué tes maris ! En voilà déjà sept à qui tu as été donnée en mariage, et d’aucun d’entre eux tu n’as porté le nom.
Pourquoi nous fouetter, sous prétexte que tes maris sont morts ? Va les rejoindre : puissions-nous ne jamais voir de toi un fils ni une fille ! »
Ce jour-là, Sarra, la mort dans l’âme, se mit à pleurer. Et elle monta dans la chambre haute de la maison de son père avec l’intention de se pendre. Mais, à la réflexion, elle se dit : « Eh bien, non ! On irait insulter mon père et lui dire : “Tu n’avais qu’une fille, une fille très aimée, et elle s’est pendue à cause de ses malheurs !” Je ferais ainsi descendre mon vieux père plein de tristesse au séjour des morts. Mieux vaut pour moi ne pas me pendre, mais supplier le Seigneur de me faire mourir, pour que je n’aie plus à entendre de telles insultes à longueur de vie. »
À l’instant même, elle étendit les mains vers la fenêtre et fit cette prière : « Béni sois-tu, Dieu de miséricorde ; béni soit ton nom pour les siècles ; que toutes tes œuvres te bénissent à jamais !
À cet instant précis, la prière de l’un et de l’autre fut portée en présence de la gloire de Dieu où elle fut entendue.
Et Raphaël fut envoyé pour les guérir tous deux : à Tobith pour enlever le voile blanchâtre qui couvrait ses yeux afin que, de ses yeux, il voie la lumière de Dieu, et à Sarra, fille de Ragouël, pour la donner en mariage à Tobie, fils de Tobith, et expulser d’elle Asmodée, le pire des démons ; en effet c’est à Tobie que revenait le droit de l’épouser plutôt qu’à tous ses prétendants.
Psaume 25(24),2bc-3.4-5ab.6-7bc.8-9.
Je m'appuie sur toi : épargne-moi la honte ;
ne laisse pas triompher mon ennemi.
Pour qui espère en toi, pas de honte,
mais honte et déception pour qui trahit.
Seigneur, enseigne-moi tes voies,
fais-moi connaître ta route.
Dirige-moi par ta vérité, enseigne-moi,
car tu es le Dieu qui me sauve.
Rappelle-toi, Seigneur, ta tendresse,
ton amour qui est de toujours.
Dans ton amour, ne m'oublie pas.
en raison de ta bonté, Seigneur.
Il est droit, il est bon, le Seigneur,
lui qui montre aux pécheurs le chemin.
Sa justice dirige les humbles,
il enseigne aux humbles son chemin.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 12,18-27.
En ce temps-là, des sadducéens – ceux qui affirment qu’il n’y a pas de résurrection – vinrent trouver Jésus. Ils l’interrogeaient :
« Maître, Moïse nous a prescrit : ‘Si un homme a un frère qui meurt en laissant une femme, mais aucun enfant, il doit épouser la veuve pour susciter une descendance à son frère.’
Il y avait sept frères ; le premier se maria, et mourut sans laisser de descendance.
Le deuxième épousa la veuve, et mourut sans laisser de descendance. Le troisième pareillement.
Et aucun des sept ne laissa de descendance. Et en dernier, après eux tous, la femme mourut aussi.
À la résurrection, quand ils ressusciteront, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse, puisque les sept l’ont eue pour épouse ? »
Jésus leur dit : « N’êtes-vous pas en train de vous égarer, en méconnaissant les Écritures et la puissance de Dieu ?
Lorsqu’on ressuscite d’entre les morts, on ne prend ni femme ni mari, mais on est comme les anges dans les cieux.
Et sur le fait que les morts ressuscitent, n’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse, au récit du buisson ardent, comment Dieu lui a dit : ‘Moi, je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ?’
Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Vous vous égarez complètement. »
Commentaire du jour.
Saint Anastase d'Antioche (?-599), Moine puis Patriarche d'Antioche.
Homélie 5, sur la Résurrection ; PG 89, 1358 (trad. bréviaire rev.)
« Il n'est pas Le Dieu des morts, mais des vivants »
« Le Christ a connu la mort, puis la vie, pour devenir Le Seigneur et des morts et des vivants » (Rm 14,9) ; « Dieu n'est pas le Dieu des morts, il est le Dieu des vivants ».
Puisque Le Seigneur des morts est vivant, les morts ne sont plus des morts mais des vivants ; la Vie règne en eux, pour qu'ils vivent et ne craignent plus la mort, de même que « Le Christ, ressuscité des morts, ne meurt plus » (Rm 6,9).
Ressuscités et libérés de la corruption, ils ne verront plus la mort ; ils participeront à la Résurrection du Christ, comme Lui-même a eu part à leur mort.
En effet, s'il est venu sur terre, jusqu'alors prison éternelle, c'est pour « briser les portes de bronze et fracasser les verrous de fer » (Is 45,2), pour tirer notre vie de la corruption en l'attirant à Lui, et nous donner la Liberté à la place de l'esclavage.
Si ce Plan de Salut n'est pas encore pleinement réalisé, car les hommes meurent toujours et leurs corps sont désagrégés par la mort, cela ne doit pas être un motif d'incroyance.
Déjà nous avons reçu les premiers fruits de ce qui nous est promis, en la personne de celui qui est notre premier-né (...) : « Avec Lui, il nous a ressuscités ; avec Lui, il nous a fait régner aux Cieux, dans Le Christ Jésus » (Ep 2,6).
Nous atteindrons à la pleine réalisation de cette promesse lorsque viendra le temps fixé par Le Père, lorsque nous dépouillerons l'enfance et serons parvenus « à l'état d'homme parfait » (Ep 4,13).
Car Le Père éternel a voulu que le don qu'il nous a fait demeure ferme. (...) L'apôtre Paul l'a déclaré, car il le savait bien, cela arrivera à tout le genre humain, par Le Christ, qui « transformera nos pauvres corps à l'image de son Corps Glorieux » (Ph 3,21). (...)
Le Corps Glorieux du Christ n'est pas différent du corps « semé dans la faiblesse, sans valeur » (1Co 15,43) ; c'est le même corps changé en Gloire.
Et ce que Le Christ a réalisé en amenant au Père sa propre humanité, premier exemplaire de notre nature, il le fera pour toute l'humanité selon sa promesse : « Quand j'aurai été élevé de terre, j'attirerai à Moi tous les hommes » (Jn 12,32).
Autre commentaire de ce jour.
https://evangeli.net/evangile/jour/2021-06-02
Abbé Federico Elías ALCAMÁN Riffo(Puchuncaví - Valparaíso, Chili).
«Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants»
Aujourd'hui, la Sainte Eglise, par le biais de la Parole du Christ, nous met face à la réalité de la Résurrection ainsi qu'aux propriétés des corps ressuscités.
En effet, l'Évangile nous raconte la rencontre de Jésus avec les saducéens, qui ne croyaient pas à la Résurrection et qui en évoquant l'hypothèse d'un fait très recherché, lui exposent un problème concernant la résurrection des morts.
Ils font allusion à une femme veuve sept fois de suite, et lui demandent «de qui sera-t-elle l'épouse, puisque les sept l'ont eue pour femme?» (Mc 12,23). Ils cherchent ainsi à mettre Jésus et sa doctrine dans l'embarras. Mais le Seigneur rejette cette notion en leur disant que «Lorsqu'on ressuscite d'entre les morts, on ne se marie pas, mais on est comme les anges dans les Cieux» (Mc 12,25).
Et saisissant l'occasion Jésus confirme l'existence de la Résurrection en leur citant les paroles de Dieu à Moïse dans le récit du buisson ardent: «Moi, je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, le Dieu de Jacob», et ajoute «Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants» (Mc 12,26-27).
Là Jésus leur reproche leur erreur, car ils ne comprennent ni les écritures ni la puissance divine, en effet, cette vérité avait été révélée dans l'ancien testament: les anciens Isaïe, la mère des Macabées, Job et les autres anciens l'avaient déjà enseignée.
Saint Augustin décrivait ainsi la Vie d'éternelle et amoureuse communion: «Là-bas tu ne seras ni limité ni réduit car tu posséderas tout, tu auras tout et ton prochain aura tout également, car toi et lui ne serez qu'un, et ce tout unique aura aussi Celui à qui vous appartenez tous les deux».
Nous, loin de douter de la Parole des écritures et de la puissance miséricordieuse de Dieu, nous adhérons à cette Vérité d'Espérance avec tous nos esprits et nos cœurs, nous sommes heureux de ne pas rester frustrés par notre soif de Vie entière et éternelle, de dont nous sommes assurés en Dieu Lui-même, dans sa Gloire et dans sa Joie.
Face à cette invitation divine il ne nous reste qu'à faire accroître notre désir de voir Dieu, et espérer vivement d'être avec Lui pour régner avec Lui éternellement.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2021-06-02/Vous-meconnaissez-les-Ecritures-et-la-puissance-de-Dieu
HYMNE : Ô TOI, L'AU-DELÀ DE TOUT
Ô toi, l'au-delà de tout,
n'est-ce pas là tout ce qu'on peut chanter de toi ?
Quelle hymne te dira, quel langage ?
Aucun mot ne t'exprime.
À quoi l'esprit s'attachera-t-il ?
Tu dépasses toute intelligence.
Seul, tu es indicible,
car tout ce qui se dit est sorti de toi.
Seul, tu es inconnaissable,
car tout ce qui se pense est sorti de toi.
Tous les êtres,
ceux qui parlent et ceux qui sont muets,
te proclament.
Tous les êtres,
ceux qui pensent et ceux qui n'ont point la pensée,
te rendent hommage.
Le désir universel,
l'universel gémissement tend vers toi.
Tout ce qui est te prie,
et vers toi tout être qui pense ton univers
fait monter une hymne de silence.
Tout ce qui demeure, demeure par toi ;
par toi subsiste l'universel mouvement.
De tous les êtres tu es la fin ;
tu es tout être, et tu n'en es aucun.
Tu n'es pas un seul être,
tu n'es pas leur ensemble.
Tu as tous les noms, et comment te nommerai-je,
toi le seul qu'on ne peut nommer?
Quel esprit céleste pourra pénétrer les nuées
qui couvrent le ciel même ?
Prends pitié,
Ô toi, l'au-delà de tout,
n'est-ce pas tout ce qu'on peut chanter de toi ?
HYMNE : Ô FILS UNIQUE, JÉSUS CHRIST
Ô Fils unique, Jésus Christ,
Nous contemplons en ton visage
La gloire dont tu resplendis
Auprès de Dieu avant les siècles.
Les tiens ne t’ont pas reconnu,
Et les ténèbres te repoussent ;
Mais donne à ceux qui t’ont reçu
De partager ta plénitude.
Toi qui habites parmi nous,
Ô Verbe plein de toute grâce,
Enseigne-nous la vérité,
Transforme-nous en ton image.
À toi la gloire, ô Père saint,
À toi, la gloire, ô Fils unique,
Avec l’Esprit consolateur,
Dès maintenant et pour les siècles. Amen.
HYMNE : À LA MESURE SANS MESURE
À la mesure sans mesure
De ton immensité,
Tu nous manques, Seigneur.
Dans le tréfonds de notre cœur
Ta place reste marquée
Comme un grand vide, une blessure.
À l’infini de ta présence
Le monde est allusion,
Car tes mains l’ont formé.
Mais il gémit, en exilé,
Et crie sa désolation
De n’éprouver que ton silence.
Dans le tourment de ton absence,
C’est toi déjà, Seigneur,
Qui nous as rencontrés.
Tu n’es jamais un étranger,
Mais l’hôte plus intérieur
Qui se révèle en transparence.
Cachés au creux de ton mystère,
Nous te reconnaissons
Sans jamais te saisir.
Le pauvre seul peut t’accueillir,
D’un cœur brûlé d’attention,
Les yeux tournés vers ta lumière.
Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Saints Marcellin et Pierre, Martyrs.
Du glorieux témoignage que t’ont rendu, Seigneur, tes saints Martyrs Marcellin et Pierre, tu fais notre rempart et notre protection ; que leur exemple nous entraîne et que leur prière nous réconforte.
Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre Saints Pothin, Blandine et leurs compagnons, Martyrs.
Tu as donné, Seigneur, à ceux qui furent les prémices de la Foi en notre pays, Saint Pothin, Sainte Blandine et leurs compagnons, d’affirmer jusqu’à la mort leur Joie d’être Chrétiens ; rends-nous dignes de toujours mieux te connaître, afin qu’à leur exemple, le bien que nous ferons témoigne de la puissance de ton Amour.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui nous as sauvés, exauce-nous ; transforme-nous en disciples de la Lumière et en artisans de la Vérité ; puisque en naissant de Toi nous sommes devenus des fils de Lumière, fais que nous sachions te rendre témoignage devant les hommes.
Par Jésus-Christ, Ton Fils, Notre Seigneur et Notre Dieu, qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.
Parole de Dieu : (Tb 4,15a.16a.18a.19a.c)… (Office des Laudes).
Ce que tu n’aimes pas, ne le fais à personne. Donne de ton pain à celui qui a faim et des vêtements à ceux qui sont nus. Prends conseil de toute personne avisée.
En toute occasion, Bénis Le Seigneur Ton Dieu et demande-lui de rendre droits tes chemins. Garde en mémoire ces instructions et qu’elles ne s’effacent pas de ton cœur.
Parole de Dieu : (Jc 1, 22.25)… (Office des Vêpres).
Mettez la Parole en application, ne vous contentez pas de l’écouter : ce serait vous faire illusion.
Au contraire, l’homme qui se penche sur la loi parfaite, celle de la Liberté, et qui s’y tient, celui qui ne l’écoute pas pour l’oublier mais l’applique dans ses actes, heureux sera-t-il d’agir ainsi.