Eucharistie du Vendredi 19 Juillet 2024.

Eucharistie du Vendredi 19 Juillet 2024 : Vendredi de la 15ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Fête du Vénérable Jacques Sevin, Prêtre Jésuite, Fondateur des Scouts de France et des Sœurs de la Sainte Croix de Jérusalem (✝ 1951).
Fête de Sainte Macrine la Jeune, Fille aînée d'une étonnante famille de Saints ! (+ 379).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Isaïe 38,1-6.21-22.7-8... Livre d'Isaïe 38,10.11.12abcd.16-17a... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 12,1-8.
Commentaire de Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Josep RIBOT i Margarit (Tarragona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Le pere a chantilly 11

Vendredi 19 Juillet 2024 : Fête du Vénérable Jacques Sevin, Prêtre Jésuite, Fondateur des Scouts de France et des Sœurs de la Sainte Croix de Jérusalem ( 1951).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Vénérable Jacques Sevin.

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Vendredi 19 Juillet 2024 : Fête de Sainte Macrine la Jeune, Fille aînée d'une étonnante famille de Saints ! (+ 379).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Macrine la Jeune.

Tous les saints 11

Les Saints du 19 Juillet.
https://www.reflexionchretienne.com/pages/vie-des-saints/juillet/saints-saintes-et-fetes-du-jour-18.html

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Isaïe 38,1-6.21-22.7-8.
En ces jours-là, le roi Ézékias souffrait d’une maladie mortelle. Le prophète Isaïe, fils d’Amots, vint lui dire : « Ainsi parle le Seigneur : Prends des dispositions pour ta maison, car tu vas mourir, tu ne guériras pas. »
Ézékias se tourna vers le mur et fit cette prière au Seigneur :
« Ah ! Seigneur, souviens-toi ! J’ai marché en ta présence, dans la loyauté et d’un cœur sans partage, et j’ai fait ce qui est bien à tes yeux. » Puis le roi Ézékias fondit en larmes.
La parole du Seigneur fut adressée à Isaïe :
« Va dire à Ézékias : Ainsi parle le Seigneur, Dieu de David ton ancêtre : J’ai entendu ta prière, j’ai vu tes larmes. Je vais ajouter quinze années à ta vie.
Je te délivrerai, toi et cette ville, de la main du roi d’Assour, je protégerai cette ville.
Puis Isaïe dit : « Qu’on apporte un gâteau de figues ; qu’on l’applique sur l’ulcère, et le roi vivra. »
Ézékias dit : « À quel signe reconnaîtrai-je que je pourrai monter à la Maison du Seigneur ? »
Voici le signe que le Seigneur te donne pour montrer qu’il accomplira sa promesse :
Je vais faire reculer de dix degrés l’ombre qui est déjà descendue sur le cadran solaire d’Acaz. » Et le soleil remonta sur le cadran les dix degrés qu’il avait déjà descendus.

 

Livre d'Isaïe 38,10.11.12abcd.16-17a.
Je disais : Au milieu de mes jours,
je m’en vais ;
j’ai ma place entre les morts
pour la fin de mes années.

Je disais : Je ne verrai pas le Seigneur
sur la terre des vivants,
plus un visage d’homme
parmi les habitants du monde !

Ma demeure m’est enlevée, arrachée,
comme une tente de berger.
Tel un tisserand, j’ai dévidé ma vie :
le fil est tranché.

« Le Seigneur est auprès d’eux : ils vivront !
Tout ce qui vit en eux vit de son esprit ! »
Oui, tu me guériras, tu me feras vivre :
voici que mon amertume se change en paix.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 12,1-8.
En ce temps-là, un jour de sabbat, Jésus vint à passer à travers les champs de blé ; ses disciples eurent faim et ils se mirent à arracher des épis et à les manger.
Voyant cela, les pharisiens lui dirent : « Voilà que tes disciples font ce qu’il n’est pas permis de faire le jour du sabbat ! »
Mais il leur dit : « N’avez-vous pas lu ce que fit David, quand il eut faim, lui et ceux qui l’accompagnaient ?
Il entra dans la maison de Dieu, et ils mangèrent les pains de l’offrande ; or, ni lui ni les autres n’avaient le droit d’en manger, mais seulement les prêtres.
Ou bien encore, n’avez-vous pas lu dans la Loi que le jour du sabbat, les prêtres, dans le Temple, manquent au repos du sabbat sans commettre de faute ?
Or, je vous le dis : il y a ici plus grand que le Temple.
Si vous aviez compris ce que signifie : Je veux la miséricorde, non le sacrifice,
vous n’auriez pas condamné ceux qui n’ont pas commis de faute. En effet, le Fils de l’homme est maître du sabbat. »

 

Commentaire du jour.
Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Les Confessions, Livre 13, ch. 35-38

« Le Fils de l'Homme est maître du sabbat »

Seigneur Dieu, Toi qui nous as comblés de tout, donne-nous la Paix (Is 26,12), la paix du repos, la paix du sabbat, le sabbat qui n'a pas de soir.
Car cet ordre si beau des choses que tu as créées et qui sont « très bonnes » (Gn 1,31) passera lorsqu'il aura atteint le terme de sa destinée.
Oui, elles ont eu leur matin, elles auront leur soir. Mais le septième jour n'a pas de soir, pas de couchant, puisque tu l'as sanctifié pour qu'il dure toujours.

Au terme de tes œuvres « très bonnes », que tu as faites pourtant dans le repos, tu t'es reposé le septième jour ; c'est pour nous dire par ton livre qu'au terme de nos œuvres, qui sont très bonnes parce que c'est Toi qui nous les as données (Is 26,12), nous aussi nous nous reposerons en Toi au sabbat de la Vie éternelle.
Alors tu te reposeras en nous tout comme aujourd'hui tu agis en nous ; ainsi ce repos que nous goûterons sera le tien, tout comme les œuvres que nous faisons sont tiennes.

Toi, Seigneur, tu es à l'œuvre toujours et tu es toujours en repos... Pour nous, vient un moment où nous sommes poussés à agir pour le bien, après que notre cœur l'a conçu de Ton Esprit, tandis qu'avant nous étions poussés à faire le mal quand nous t'abandonnions.
Toi, Dieu uniquement bon, jamais tu n'as cessé de faire le bien.

Quelques-unes de nos œuvres sont bonnes, par ta grâce il est vrai, mais elles ne sont pas éternelles ; après elles, nous espérons nous reposer dans ton ineffable sanctification. Mais Toi, bien qui n'as besoin d'aucun autre bien, tu es toujours en repos, parce que ton repos, c'est Toi-même.

Qui parmi les hommes pourra donner l'intelligence de tout cela à l'homme ? Quel ange la donnera aux anges ? Quel ange à l'homme ?
C'est à toi qu'il faut la demander, en toi qu'il faut la rechercher, à ta porte qu'il faut frapper. Et ainsi, oui, ainsi on recevra, ainsi on trouvera, ainsi la porte s'ouvrira (Mt 7,8).

 

Autre commentaire du jour.
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Or, je vous le dis : il y a ici plus grand que le Temple.

« En ce temps-là » : le caractère très vague de cette référence temporelle veut signifier que la leçon à tirer de cette péricope est « de tous les temps ».
L’événement a probablement été rapporté par les apôtres dans le contexte de leur catéchèse pour illustrer la liberté nouvelle à laquelle nous introduit Jésus, en particulier en matière de prescriptions religieuses.
Les pharisiens accusent les disciples de moissonner un jour de sabbat. Pour quelques épis arrachés, l’interprétation est pour le moins excessive ; elle trahit soit de la malveillance, soit une conception légaliste de la Torah.

Par deux exemples, Jésus tente de faire comprendre à ses interlocuteurs, que toute transgression de la lettre ne conduit pas automatiquement au péché.
Si David a pu manger les pains de l’offrande réservés aux prêtres sans commettre de faute, c’est donc que la sauvegarde de la vie est une valeur supérieure à la stricte observance formelle des prescriptions légales.
Peut-être même dans ce cas précis, David a-t-il été plus fidèle à la Loi en la transgressant qu’il ne l’eût été en l’observant scrupuleusement ?
Les préceptes du Seigneur de la Vie ne sauraient aller à l’encontre du maintien, de la promotion, de l’épanouissement de ce don primordial.

Profitant de la perplexité de ses interlocuteurs qui ne peuvent contredire le bien-fondé de son argumentation, Jésus leur montre comment leur lecture fondamentaliste les met également en opposition avec une pratique courante dans le temple de Jérusalem.
Si personne ne s’offusque de voir les prêtres transgresser le repos du sabbat, n’est-ce pas parce que leur activité ce jour-là rejoint davantage la finalité du sabbat que le repos prescrit ?

Dans les deux cas cités, la Charité - envers le prochain comme envers Dieu - prime sur l’observance.
Il y a donc des situations où une interprétation trop littérale des préceptes trahirait l’intention de Dieu formulée dans sa Parole ; auquel cas, l’obéissance à l’esprit de la Loi exige de transgresser la lettre.

Notre-Seigneur conclut par un argument « a fortiori ». Les deux exemples cités se déroulent l’un dans « la maison de Dieu », l’autre dans « le Temple », c’est-à-dire en présence du Très-Haut, dans sa proximité immédiate, sous son regard.
En précisant « il y a ici plus grand que le Temple », Jésus fait allusion au mystère de l’incarnation : sa très sainte humanité est désormais le véritable Temple, le sanctuaire non fait de mains d’hommes qui abrite le Verbe de Dieu.

Citant l’auteur juif Jacob Neusner (A Rabbi talks with Jesus), Benoît XVI écrit dans son récent ouvrage Jésus de Nazareth : « Jésus et ses disciples peuvent faire ce qu’ils font le jour du sabbat parce qu’ils ont pris la place des prêtres dans le Temple : le sanctuaire est déplacé. Il est désormais constitué par le cercle du Maître et de ses disciples » (p. 130).

« Si vous aviez compris ce que veut dire cette parole : “c’est la Miséricorde que je désire et non les sacrifices”, vous n’auriez pas condamné ceux qui n’ont commis aucune faute ».
Qui est le Juste condamné sans avoir commis la moindre faute sinon Jésus Lui-même ?

S’il a été offert en sacrifice, c’est parce que la connaissance du vrai Dieu, ami de la Vie, « tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de fidélité » (Ex 34, 6), s’était perdue suite au péché.
Coupés de la source divine de la Charité, les hommes se sont servis des préceptes de la Loi pour condamner le Juste.
Ils ont oublié que dans les Écritures, l’« Accusateur » est toujours et exclusivement le démon. Hélas, combien de fois ne faisons-nous pas de même, invoquant les prescriptions divines pour accuser, voire condamner notre prochain, alors que Jésus Lui-même déclarait : « Je ne suis pas venu pour juger le monde mais pour le sauver » (Jn 12, 47) ?

« Viens Esprit-Saint, ouvre les yeux de notre cœur, purifie-nous du levain de l’hypocrisie religieuse ; ne permets pas que nous soyons les ennemis de Jésus-Christ en accusant ses frères au nom de sa Parole ; mais que celle-ci soit pour eux comme pour nous “une lampe sur nos pas, une lumière sur notre route”. »
Père Joseph-Marie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_140
Abbé Josep RIBOT i Margarit (Tarragona, Espagne).

«C'est la Miséricorde que je désire, et non les sacrifices»

Aujourd'hui, Le Seigneur se rapproche du semis de ta vie, pour cueillir les fruits de sainteté. Trouvera-t-Il quand Il viendra de la Charité, de l'Amour pour Dieu et pour autrui? Jésus, qui corrige la casuistique méticuleuse des rabbis, celle qui rendait insupportable la loi du repos sabbatique: devra-t-il te rappeler qu'Il est seulement intéressé à ton cœur, à ta capacité d'aimer?

«Voilà que tes disciples font ce qu'il n'est pas permis de faire le jour du sabbat!» (Mt 12,2). Et ils l'ont dit convaincus, ce qui est incroyable! Comment interdire de faire toujours le bien? Il y a quelque chose qui te rappelle qu'il n'existe aucune motivation t'excusant de ne pas vouloir aider l'autre.

La véritable charité consisterait à respecter les exigences de la Justice, en évitant l'arbitraire ou le caprice personnel, mais en empêchant la rigidité qui tue l'esprit de la loi de Dieu, qui n'est qu'une invitation continuelle à aimer, à se donner aux autres.

«C'est la Miséricorde que je désire, et non les sacrifices» (Mt 12,7). Répète ces paroles maintes fois, afin de les graver dans ton cœur: Dieu, riche en Miséricorde, nous veut miséricordieux.

«Que ce Dieu est prochain de celui qui confesse sa Miséricorde! Oui; Dieu n'est pas loin de ceux qui sont contrits de cœur» (Saint Augustin). Et que tu es loin de Dieu quand tu permets que ton cœur s'endurcisse comme la pierre!

Jésus-Christ accusa les pharisiens de condamner les innocents. Une grave accusation. Et toi? T'intéresses-tu vraiment aux choses de ton prochain? Les juges-tu avec affection, avec sympathie, comme celui qui juge un ami ou un frère? Essaie de ne pas perdre le nord de ta vie.

Demande à la Vierge de te faire miséricordieux, que tu saches pardonner.
Sois bienveillant. Et si tu découvres dans ta vie quelque détail qui puisse contraster avec cette disposition de fond, maintenant c'est un bon moment pour rectifier, tout en formulant quelque propos efficace.

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2024-07-19/le-fils-de-lhomme-est-maitre-du-sabbat

 

HYMNE : DIEU CACHÉ

Dieu caché, 
Tu n'as plus d'autre Parole 
Que ce fruit nouveau-né
Dans la nuit qui t'engendre à la terre ;
Tu dis seulement 
Le nom d'un enfant : 
Le lieu où tu enfouis ta semence.

R/Explique-toi par ce lieu-dit : 
Que l'Esprit parle à notre esprit 
Dans le silence !

Dieu livré, 
Tu n'as plus d'autre Parole 
Que ce corps partagé
Dans le pain qui te porte à nos lèvres ;
Tu dis seulement : 
La coupe du sang 
Versé pour la nouvelle confiance. R/

Dieu blessé, 
Tu n'as plus d'autre Parole 
Que cet homme humilié
Sur le bois qui t'expose au calvaire !
Tu dis seulement : 
L'appel déchirant 
D'un Dieu qui apprendrait la souffrance. R/

Dieu vaincu, 
Tu n'as plus d'autre Parole 
Que ces corps décharnés
Où la soif a tari la prière ;
Tu dis seulement : 
Je suis l'innocent,
A qui tous les bourreaux font violence. R/

Dieu sans voix, 
Tu n'as plus d'autre Parole 
Que ce signe levé,
Edifié sur ta pierre angulaire !
Tu dis seulement : 
Mon peuple est vivant, 
Debout, il signifie ma présence. R/

Dieu secret, 
Tu n'as plus d'autre Parole 
Que ce livre scellé
D'où l'Agneau fait jaillir ta lumière.
Tu dis seulement 
Ces mots fulgurants : 
Je viens! J'étonnerai vos patiences ! 

R/Explique-toi par ce lieu-dit : 
Que l'Esprit parle à notre esprit 
Dans le silence !

 

HYMNE : PUISQU’IL EST AVEC NOUS

Puisqu’il est avec nous
Tant que dure cet âge,
N’attendons pas la fin des jours
Pour le trouver...
Ouvrons les yeux,
Cherchons sa trace et son visage,
Découvrons-le qui est caché
Au cœur du monde comme un feu !

Puisqu’il est avec nous
Pour ce temps de violence,
Ne rêvons pas qu’il est partout
Sauf où l’on meurt...
Pressons le pas,
Tournons vers lui notre patience,
Allons à l’homme des douleurs
Qui nous fait signe sur la croix !

Puisqu’il est avec nous
Dans nos jours de faiblesse,
N’espérons pas tenir debout
Sans l’appeler...
Tendons la main,
Crions vers lui notre détresse ;
Reconnaissons sur le chemin
Celui qui brûle nos péchés !

Puisqu’il est avec nous
Comme à l’aube de Pâques,
Ne manquons pas le rendez-vous
Du sang versé…
Prenons le pain,
Buvons la coupe du passage :
Accueillons-le qui s’est donné
En nous aimant jusqu’à la fin !

 

HYMNE : LE SOIR PEUT REVENIR

R/Le soir peut revenir
Et la nuit,
Si Jésus nous redit
De quel Esprit nous sommes.

Vienne Jésus pour dissiper
Le brouillard et les doutes :
Sa parole donnée
Est soleil sans déclin. 

Vienne Jésus pour surmonter
La fatigue des jours :
Il est l’eau de la source
Et le pain de la vie.

Vienne Jésus pour dominer
La frayeur du naufrage :
N’est-il pas le seul Maître
Du navire et des flots ? 

Vienne Jésus pour consoler
De la mort implacable,
En frère premier-né
Relevé du tombeau ! 

R/Le soir peut revenir
Et la nuit,
Si Jésus nous redit
L’Amour qui nous fait vivre

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, Père très saint, tu as voulu que Ton propre Fils soit la rançon de notre Salut ; accorde-nous de vivre avec Lui si bien que notre communion à ses souffrances nous fasse ressentir les effets de sa Résurrection.
Lui qui règne avec Toi et le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.

 

Parole de Dieu : (2 Co 12, 9b-10)... (Office des Laudes).
Je n’hésiterai pas à mettre mon orgueil dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi.
C’est pourquoi j’accepte de grand cœur pour Le Christ les faiblesses, les insultes, les contraintes, les persécutions et les situations angoissantes.
Car, lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort.

 

Parole de Dieu : (Jc 1, 2-4)... (Office des Vêpres).
Quand vous butez sur toute sorte d’épreuves, pensez que c’est une grande Joie. Car l’épreuve, qui vérifie la qualité de votre Foi, produit en vous la persévérance, et la persévérance doit vous amener à une conduite parfaite ; ainsi vous serez vraiment parfaits, il ne vous manquera rien.

Date de dernière mise à jour : 19/07/2024

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