Eucharistie du Vendredi 12 Juillet 2024.

Eucharistie du Vendredi 12 Juillet 2024 : Vendredi de la 14ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Fête des Saints Louis Martin et Zélie Martin, née Guérin, parents de Sainte Thérèse de Lisieux (19ème s.).
Fête de Saint Jean Gualbert, Abbé de Vallombreuse (999-1073).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Osée 14,2-10... Psaume 51(50),3-4.8-9.12-13.14.17... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 10,16-23.
Commentaire du Bienheureux Columba Marmion (1858-1923), Abbé.
Autre commentaire de Saint Cyprien (v. 200-258), Évêque de Carthage et Martyr.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Josep LAPLANA OSB Moine de Montserrat (Montserrat, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Famille martin 11

Vendredi 12 Juillet 2024 : Fête des Saints Louis Martin (1823-1894) et Zélie Martin, née Guérin (1831-1877), parents de Sainte Thérèse de Lisieux (19ème s.).
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur eux, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saints Louis Martin et Zélie Martin, née Guérin.

Abbazia santa maria in montesanto statua di san giovanni gualberto

Vendredi 12 Juillet 2024 : Fête de Saint Jean Gualbert, Abbé de Vallombreuse (999-1073).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Jean Gualbert.

Tous les saints 11

Les Saints du 12 Juillet.
https://www.reflexionchretienne.com/pages/vie-des-saints/juillet/saints-saintes-et-fetes-du-jour-11.html

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Osée 14,2-10.
Ainsi parle le Seigneur : Reviens, Israël, au Seigneur ton Dieu ; car tu t’es effondré par suite de tes fautes.
Revenez au Seigneur en lui présentant ces paroles : « Enlève toutes les fautes, et accepte ce qui est bon. Au lieu de taureaux, nous t’offrons en sacrifice les paroles de nos lèvres.
Puisque les Assyriens ne peuvent pas nous sauver, nous ne monterons plus sur des chevaux, et nous ne dirons plus à l’ouvrage de nos mains : “Tu es notre Dieu”, car de toi seul l’orphelin reçoit de la tendresse. »
Voici la réponse du Seigneur : Je les guérirai de leur infidélité, je les aimerai d’un amour gratuit, car ma colère s’est détournée d’Israël.
Je serai pour Israël comme la rosée, il fleurira comme le lis, il étendra ses racines comme les arbres du Liban.
Ses jeunes pousses vont grandir, sa parure sera comme celle de l’olivier, son parfum, comme celui de la forêt du Liban.
Ils reviendront s’asseoir à son ombre, ils feront revivre le froment, ils fleuriront comme la vigne, ils seront renommés comme le vin du Liban.
Éphraïm ! Peux-tu me confondre avec les idoles ? C’est moi qui te réponds et qui te regarde. Je suis comme le cyprès toujours vert, c’est moi qui te donne ton fruit.
Qui donc est assez sage pour comprendre ces choses, assez pénétrant pour les saisir ? Oui, les chemins du Seigneur sont droits : les justes y avancent, mais les pécheurs y trébuchent.

 

Psaume 51(50),3-4.8-9.12-13.14.17.
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.

Mais tu veux au fond de moi la vérité ;
dans le secret, tu m'apprends la sagesse.
Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur ;
lave-moi et je serai blanc, plus que la neige.

Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.

Rends-moi la joie d'être sauvé ;
que l'esprit généreux me soutienne.
Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 10,16-23.
En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres : « Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et candides comme les colombes.
Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues.
Vous serez conduits devant des gouverneurs et des rois à cause de moi : il y aura là un témoignage pour eux et pour les païens.
Quand on vous livrera, ne vous inquiétez pas de savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là.
Car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous.
Le frère livrera son frère à la mort, et le père, son enfant ; les enfants se dresseront contre leurs parents et les feront mettre à mort.
Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé.
Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre. Amen, je vous le dis : vous n’aurez pas fini de passer dans toutes les villes d’Israël quand le Fils de l’homme viendra. »

 

Commentaire du jour.
Bienheureux Columba Marmion (1858-1923), Abbé.
Les « instruments des bonnes œuvres » (Le Christ Idéal du Moine, éd. DDB, 1936 ; p. 189-190.196 ; rev.)

« Celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé » (Mt 10,22)

La persévérance est la vertu qui consomme et couronne toutes les autres. (…) Le moyen qui nous est donné pour que nous puissions compter sur ce don infiniment précieux, le don par excellence, c’est la fidélité quotidienne ; et nous mènerons à bien et à son terme la grande œuvre de toute notre vie, si nous menons à bien et à son terme chacune des œuvres que nous entreprenons pour Dieu : or, c’est là l’objet de la vertu de persévérance.

S. Thomas rattache cette vertu à la vertu de force. Et avec infiniment de raison. Qu’est-ce, en effet, que la force ? C’est une disposition de fermeté qui l’incline l’âme à supporter vaillamment tous les maux, même les pires et les plus continus, plutôt que d’abandonner le bien ; poussée au suprême degré, la force fait endurer le Martyre. (…)

En attendant que brillent à nos regards purifiés les splendeurs de l’éternelle lumière, répétons souvent cette prière de l’Église (…):
« Ô Dieu, qui dans votre Amour restaurez la beauté de l’innocence, attirez vers vous les cœurs de vos serviteurs : que l’ardeur de l’Amour qu’a fait naître en eux Votre Esprit les rende stables dans la Foi et fidèles à pratiquer votre Loi » (Feria IV post Dominic. II Quadrages).

 

Autre commentaire du jour.
Saint Cyprien (v. 200-258), Évêque de Carthage et Martyr.
Les Bienfaits de la patience, 13.16 ; SC 291 (trad. cf SC, p. 213s)

« Comme des brebis au milieu des loups »

Salutaire est le précepte de Notre Seigneur et Maître : « Celui qui aura persévéré jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé. »
Il dit encore : « Si vous demeurez dans ma Parole, vous serez mes vrais disciples, vous connaîtrez la Vérité et la Vérité vous délivrera » (Jn 8,31).
Il faut supporter et persévérer, frères bien aimés. Ainsi, admis à l'espérance de la Vérité et de la Liberté, nous pourrons parvenir à cette Vérité et à cette Liberté, car si nous sommes Chrétiens, c'est l'œuvre de la Foi et de l'Espérance.
Mais pour que l'Espérance et la Foi puissent porter leur fruit, la patience est nécessaire...

Qu'on ne travaille donc pas dans l'impatience, qu'on ne se laisse pas abattre sur le chemin du Royaume, distrait et vaincu par les tentations.
Ne pas jurer, ne pas maudire, ne pas réclamer ce qui nous est enlevé par la force, tendre l'autre joue, pardonner aux frères tous leurs torts, aimer ses ennemis et prier pour ceux qui nous persécutent : comment arriver à faire tout cela si l'on n'est pas ferme dans la patience et la tolérance ?
C'est ce que nous voyons chez Étienne... Il ne demande pas la vengeance, mais le Pardon pour ses meurtriers : « Seigneur, ne leur impute pas leur péché ! » (Ac 7,59)
Ainsi le premier martyr du Christ...n'était pas seulement le prédicateur de la Passion du Seigneur, mais aussi l'imitateur de son extrême douceur.
Quand notre cœur est habité par la patience, il ne peut pas y avoir place pour la colère, la discorde et la rivalité.
La patience du Christ chasse tout cela pour construire dans ce cœur une demeure pacifique où se plaît à habiter le Dieu de Paix.

 

Autre commentaire du jour.
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Quand on vous livrera, ne vous inquiétez pas de savoir ce que vous direz ni comment vous le direz

La sainteté chrétienne consiste bien dans la sequela Christi (« suite du Christ ») dont le martyre constitue l’idéal de perfection en tant que manière la plus parfaite d’imiter Le Christ dans son don d’Amour total pour les hommes.
Le martyre commence par les persécutions subies au Nom du Seigneur. Mais si ces dernières manifestent la perfection du disciple, c’est moins parce qu’elles conduisent à reproduire dans sa chair et dans son âme les souffrances du Christ que parce qu’elles permettent de trouver Dieu c’est-à-dire de trouver Jésus-Christ par qui on trouve Le Père.
Ce n’est pas les persécutions, ni la mort, en tant que telles que le disciple recherche, c’est Jésus-Christ qui est la Vie véritable.

La page d’Évangile de ce jour nous amène à nous interroger. Notre attitude de Chrétien ne saurait susciter aucune réaction.
Attention aux lieux où l’on observe le plein consensus. Attention aux lieux où l’on s’applaudit les uns les autres, où l’on s’entoure de privilèges.
Le Chrétien qui se veut véritable disciple du Christ ne saurait s’accommoder de cela. Certes, parfois l’on aspire à un peu de repos.
Mais il s’agit de nous rappeler que le véritable repos, nous ne le trouverons qu’en Dieu seul. Le moyen le plus sûr de le trouver ? Passer avec Lui par la Croix pour ressusciter avec Lui à la Vie éternelle.

Au cœur même des souffrances subies à cause de Lui, Notre Seigneur ne nous abandonne pas : « Quand on vous livrera, ne vous tourmentez pas pour savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là. Car ce n'est pas vous qui parlerez, c'est L'Esprit de Votre Père qui parlera en vous » (Cf. Évangile).

Fort de cette Parole du Seigneur, nous pouvons réentendre cette invitation d’Issac de Ninive : « Même s’ils te persécutent, toi, ne persécute pas. Même s’ils te crucifient, toi, ne crucifie pas. Même s’ils t’offensent, toi, n’offense pas. Même s’ils te calomnient, toi, ne calomnie pas. »

« Esprit de force et d’Amour, assiste-nous pour faire de nous des témoins authentiques de l’Évangile, de véritables disciples du Christ qui n’hésitent pas, dans la Charité, à payer de leur personne là où leur témoignage de Chrétiens l’exige. ».
Frère Élie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_131
Abbé Josep LAPLANA OSB Moine de Montserrat (Montserrat, Barcelona, Espagne).

«Vous serez détestés de tous à cause de mon Nom»

Aujourd'hui, l'Évangile souligne les difficultés et les contradictions que le Chrétien devra subir à cause du Christ et de son Évangile, et comment il devra résister et persévérer jusqu’au bout.
Jésus nous a promis: «Je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde» (Mt 28,20); mais Il n'a pas promis aux siens un chemin facile, tout au contraire, Il leur a dit: «Vous serez détestés de tous à cause de mon Nom» (Mt 10,22).

L'Église et le monde sont deux réalités difficiles à concilier. Le monde, que l'Église doit convertir à Jésus-Christ, n'est pas une réalité neutre, comme s'il s'agissait d'une cire vierge qui n'attend que le sceau qui lui donne forme.
Il n'en irait ainsi que s'il n'y avait pas eu une histoire de péché entre la création de l'homme et sa rédemption.
Le monde, comme structure éloignée de Dieu, obéit à un autre seigneur, que l'Évangile de Saint Jean désigne comme “le prince de ce monde”, l'ennemi de l'âme, auquel le Chrétien, le jour de son Baptême, a fait serment de désobéir, de le planter là pour n'appartenir qu'au Seigneur et à l'Église qui l'a engendré en Jésus-Christ.

Mais le Baptisé continue de vivre dans ce monde et non un autre, il ne renonce pas à en être le citoyen, ni ne lui refuse son honnête apport pour son soutien et son amélioration; les devoirs civiques sont aussi des devoirs chrétiens; payer ses impôts est un devoir de justice pour le Chrétien.
Jésus a dit que ses disciples sont dans le monde, mais qu'ils ne sont pas du monde (cf. Jn 17,14-15). Nous n'appartenons pas au monde de façon inconditionnelle, nous n'appartenons complètement qu'à Jésus-Christ et à l'Église, véritable patrie spirituelle, qui se trouve ici-bas mais traverse les barrières de l'espace et du temps pour nous conduire jusqu'à la patrie définitive du Ciel.

Cette double citoyenneté heurte inéluctablement les forces de péché et de domination qui meuvent les rouages mondains.
Repassant l'histoire de l'Église, Newman disait que «la persécution est la marque de l'Église, peut-être la plus durable de toutes».

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2024-07-12/quand-on-vous-persecutera-fuyez

 

HYMNE : RETOURNEZ-VOUS, VOICI L'ESPRIT

Retournez-vous, voici l'Esprit
Du Seigneur, au vent de la nuit,
Qui passe au monde ;
Accueillez-le, ne craignez rien ;
A la croisée de vos chemins,
Laissez-vous couvrir de son ombre.

N'alliez-vous pas vous desséchant
Dans vos lois de chair et de sang,
A perte d'être ?
Hébergez-le, vous renaîtrez,
Car Dieu travaille au plus secret :
Sa lumière luit aux ténèbres.

Ouvrez la fente de vos cœurs,
Et voyez celle du Seigneur,
L'arbre de vie ;
Rapprochez-les, restez greffés,
Buvez la sève désormais
Dont la plaie du Christ est remplie.

Et son Esprit brise les joints
Avec l'arbre mort du jardin
De sève humaine ;
Ne manquez pas ici le bond
Des derniers temps de création
Où l'amour de Dieu nous entraîne.

Ne rompez pas vos nouveaux liens :
Vous croîtrez avec l'Esprit Saint
Jusqu'à cette heure
Du Fils de l'homme éblouissant
Par tous les hommes de son sang
Qui l'auront choisi pour demeure.

 

HYMNE : QUI DONC EST DIEU POUR SE LIVRER PERDANT

Qui donc est Dieu pour se livrer perdant 
aux mains de l’homme ?
Qui donc est Dieu, qui pleure notre mal 
comme une mère ?

R/Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi ?

Qui donc est Dieu, qui tire de sa mort 
notre naissance ?
Qui donc est Dieu pour nous ouvrir sa joie 
et son royaume ? 

Qui donc est Dieu pour nous donner son Fils 
né de la femme ?
Qui donc est Dieu qui veut à tous ses fils 
donner sa mère ? 

Qui donc est Dieu pour être notre Pain 
à chaque cène ?
Qui donc est Dieu pour appeler nos corps 
jusqu’en sa gloire ? 

Qui donc est Dieu ? L’Amour est-il son nom 
et son visage ?
Qui donc est Dieu qui fait de nous ses fils
à son image ?

 

HYMNE : REGARDE OÙ NOUS RISQUONS D’ALLER

Regarde où nous risquons d’aller 
Tournant le dos 
À la cité 
De ta souffrance ! 
Ta Pâque est lente aux yeux de chair 
De tes bourreaux : 
Explique-nous le livre ouvert 
À coups de lance.

Comment marcherions-nous vers toi 
Quand il est tard, 
Si tu ne vas 
Où vont nos routes ? 
Ne manque pas aux pèlerins 
Mais viens t’asseoir : 
La nappe est mise pour le pain 
Et pour la coupe. 

Comment te saurons-nous vivant 
Et l’un de nous, 
Si tu ne prends 
Ces simples choses ? 
Partage-nous ton corps brisé 
Pour que le jour 
Se lève au fond des cœurs troublés 
Où tu reposes. 

Ce jour que nous sentons lever,
Nous le voyons
Dans la clarté
De ton visage :
Ne laisse pas le vent de nuit
Ni les démons
Éteindre en nous le feu qui luit
Sur ton passage. 

Remets entre nos mains tendues
À te chercher
L’Esprit reçu
De ta patience :
Éclaire aussi l’envers du cœur
Où le péché
Revêt d’un masque de laideur
Ta ressemblance.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, tu nous fais maintenant la grâce de ta Louange. Accorde-nous de pouvoir te chanter avec tous les Saints, éternellement.

 

Parole de Dieu : (Ep 2, 13-16)... (Office des Laudes).
Maintenant, dans Le Christ Jésus, vous qui étiez loin, vous êtes devenus proches par le Sang du Christ.
C’est Lui, Le Christ, qui est notre Paix : des deux, Israël et les païens, il a fait un seul peuple ; par sa chair crucifiée, il a fait tomber ce qui les séparait, le mur de la haine, en supprimant les prescriptions juridiques de la loi de Moïse.
Il voulait ainsi rassembler les uns et les autres en faisant la paix, et créer en Lui un seul Homme nouveau.
Les uns comme les autres, réunis en un seul corps, Il voulait les réconcilier avec Dieu par la Croix : en sa personne, il a tué la haine.

 

Parole de Dieu : (1 Co 2, 7-10a)... (Office des Vêpres).
Nous proclamons la Sagesse du mystère de Dieu, Sagesse tenue cachée, prévue par Lui dès avant les siècles, pour nous donner la gloire.
Aucun de ceux qui dominent ce monde ne l’a connue, car, s’ils l’avaient connue, ils n’auraient jamais crucifié Le Seigneur de Gloire.
Mais ce que nous proclamons, c’est, comme dit l’Écriture, ce que personne n’avait vu de ses yeux ni entendu de ses oreilles, ce que le cœur de l’homme n’avait pas imaginé, ce qui avait été préparé pour ceux qui aiment Dieu. Et c’est à nous que Dieu, par L’Esprit, a révélé cette Sagesse.

Date de dernière mise à jour : 12/07/2024

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