Eucharistie du Lundi 08 Juillet 2024 : Lundi de la 14ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).
Fête de Saints Aquila et Priscille, Judéo-Chrétiens convertis par Saint Paul à Corinthe (1er s.).
Fête du Bienheureux Eugène III, Pape (165 ème) de 1145 à 1153 (+ 1153).
Fête du Bienheureux Pierre Vigne, Prêtre en ardéchois et Fondateur de la Congrégation du Saint-Sacrement (1670-1740).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Osée 2,16.17b-18.21-22... Psaume 145(144),2-3.4-5.6-7.8-9... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 9,18-26.
Commentaire de Saint Charles de Foucauld (1858-1916), Ermite et Missionnaire au Sahara.
Autre commentaire de Saint Cyrille d'Alexandrie (380-444), Évêque et Docteur de l'Église.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Lundi 08 Juillet 2024 : Fête de Saints Aquila et Priscille, Judéo-Chrétiens convertis par Saint Paul à Corinthe (1er s.).
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Saints Aquila et Priscille.
Lundi 08 Juillet 2024 : Fête du Bienheureux Eugène III, Pape (165 ème) de 1145 à 1153 (+ 1153).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Eugène III, Pape.
Lundi 08 Juillet 2024 : Fête du Bienheureux Pierre Vigne, Prêtre en ardéchois et Fondateur de la Congrégation du Saint-Sacrement (1670-1740).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Pierre Vigne, Prêtre.
Les Saints du 08 Juillet.
https://www.reflexionchretienne.com/pages/vie-des-saints/juillet/saints-saintes-et-fetes-du-jour-7.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre d'Osée 2,16.17b-18.21-22.
Ainsi parle le Seigneur : Mon épouse infidèle, je vais la séduire, je vais l’entraîner jusqu’au désert, et je lui parlerai cœur à cœur.
Là, elle me répondra comme au temps de sa jeunesse, au jour où elle est sortie du pays d’Égypte.
En ce jour-là – oracle du Seigneur –, voici ce qui arrivera : Tu m’appelleras : « Mon époux » et non plus : « Mon Baal » (c’est-à-dire « mon maître »).
Je ferai de toi mon épouse pour toujours, je ferai de toi mon épouse dans la justice et le droit, dans la fidélité et la tendresse ;
je ferai de toi mon épouse dans la loyauté, et tu connaîtras le Seigneur.
Psaume 145(144),2-3.4-5.6-7.8-9.
Chaque jour je te bénirai,
je louerai ton nom toujours et à jamais.
Il est grand, le Seigneur, hautement loué ;
à sa grandeur, il n'est pas de limite.
D'âge en âge, on vantera tes œuvres,
on proclamera tes exploits.
Je redirai le récit de tes merveilles,
ton éclat, ta gloire et ta splendeur.
On dira ta force redoutable ;
je raconterai ta grandeur.
On rappellera tes immenses bontés ;
tous acclameront ta justice.
Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d'amour ;
La bonté du Seigneur est pour tous,
sa tendresse, pour toutes ses œuvres.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 9,18-26.
En ce temps-là, tandis que Jésus parlait aux disciples de Jean le Baptiste, voilà qu’un notable s’approcha. Il se prosternait devant lui en disant : « Ma fille est morte à l’instant ; mais viens lui imposer la main, et elle vivra. »
Jésus se leva et le suivit, ainsi que ses disciples.
Et voici qu’une femme souffrant d’hémorragies depuis douze ans s’approcha par-derrière et toucha la frange de son vêtement.
Car elle se disait en elle-même : « Si je parviens seulement à toucher son vêtement, je serai sauvée. »
Jésus se retourna et, la voyant, lui dit : « Confiance, ma fille ! Ta foi t’a sauvée. » Et, à l’heure même, la femme fut sauvée.
Jésus, arrivé à la maison du notable, vit les joueurs de flûte et la foule qui s’agitait bruyamment. Il dit alors :
« Retirez-vous. La jeune fille n’est pas morte : elle dort. » Mais on se moquait de lui.
Quand la foule fut mise dehors, il entra, lui saisit la main, et la jeune fille se leva.
Et la nouvelle se répandit dans toute la région.
Commentaire du jour.
Saint Charles de Foucauld (1858-1916), Ermite et Missionnaire au Sahara.
Retraite faite à Nazareth 1897 (Œuvres, Seuil 1958, p. 521.)
« Ta Foi t'a sauvée »
La Foi, c'est ce qui fait que nous croyons du fond de l'âme (...) toutes les vérités que la Religion nous enseigne, le contenu de la Sainte Écriture par conséquent et tous les enseignements de l'Évangile, tout ce qui nous est proposé par l'Église enfin.
Le juste vit vraiment de cette Foi (Rm 1,17), car elle remplace pour lui la plupart des sens de la nature. Elle transforme tellement toutes choses qu'à peine les anciens sens peuvent-ils servir à l'âme ; elle ne perçoit par eux que de trompeuses apparences ; la Foi lui montre les réalités.
L'œil lui montre un pauvre ; la Foi lui montre Jésus (cf Mt 25,40). L'oreille lui fait entendre des injures et des persécutions ; la Foi lui chante : « Réjouissez-vous et jubilez de joie » (cf Mt 5,12).
Le toucher nous fait sentir des coups de pierre reçus ; la Foi nous dit : « Soyez dans une grande Joie d'avoir été jugés dignes de souffrir quelque chose pour le Nom du Christ » (cf Ac 5,41).
Le goût nous fait sentir l'encens ; la Foi nous dit que le véritable encens « sont les prières des saints » (Ap 8,4).
Les sens nous séduisent par les beautés créées ; la Foi pense à la beauté incréée et prend en pitié toutes les créatures qui sont un néant et une poussière à côté de cette beauté-là.
Les sens ont horreur de la douleur ; la Foi la bénit comme la couronne de mariage qui l'unit à son Bien-aimé, comme la marche avec son Époux, la main dans sa main divine.
Les sens se révoltent contre l'injure ; la Foi la bénit : « Bénissez ceux qui vous maudissent » (Lc 6,28) (...); elle la trouve douce car c'est partager le sort de Jésus. (...)
Les sens sont curieux ; la Foi ne veut rien connaître : elle a soif de s'ensevelir et voudrait passer toute sa vie immobile au pied du Tabernacle.
Autre commentaire du jour.
Saint Cyrille d'Alexandrie (380-444), Évêque et Docteur de l'Église.
Commentaire sur l'Évangile de Jean, 4 ; PG 73, 560
« Il entra et saisit la main de la jeune fille »
Dès lors que Le Christ est entré en nous par sa propre chair, nous ressusciterons entièrement ; il est inconcevable, ou plutôt impossible, que la Vie ne fasse pas vivre ceux chez qui elle s'introduit.
Comme on recouvre un tison ardent d'un tas de paille pour garder intacte le germe du feu, de même Notre Seigneur Jésus-Christ cache la Vie en nous par sa propre chair et y met comme une semence d'immortalité qui écarte toute la corruption que nous portons en nous.
Ce n'est donc pas seulement par sa Parole qu'il réalise la résurrection des morts. Pour montrer que son Corps donne la Vie, comme nous l'avons dit, il touche les cadavres et par son corps il donne la vie à ces corps déjà en voie de désintégration.
Si le seul contact de sa chair sacrée rend la vie à ces morts, quel profit ne trouverons-nous pas en son Eucharistie vivifiante quand nous la recevrons ! ...
Il ne suffirait pas que notre âme seulement soit régénérée par L'Esprit pour une Vie nouvelle. Notre corps épais et terrestre aussi devait être sanctifié par sa participation à un corps aussi consistant et de même origine que le nôtre et devait être appelé ainsi à l'incorruptibilité.
Autre commentaire du jour.
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
« Ma fille est morte à l’instant ; mais viens lui imposer la main, et elle vivra. »
La gloire de Jean-Baptiste est d’avoir su reconnaître dans L’Esprit la nouveauté qui surgit avec Jésus.
Lui aussi était Juif, formé à l’école des pharisiens ; comme les hommes pieux de son époque, il attendait un « réveil » spirituel, sous la conduite d’un Envoyé de Dieu.
Mais contrairement aux chefs religieux de Jérusalem, il n’a pas soumis Jésus à l’épreuve de ses précompréhensions ; il s’est effacé inconditionnellement derrière celui qu’il a désigné et dont il a révélé prophétiquement l’identité messianique.
Jean-Baptiste a été une « outre neuve » qui a su conserver le « vin nouveau » (Mt 9, 17), contrairement à la majorité des pharisiens, qui ont préféré le vin ancien.
Pas tous cependant : la péricope de ce jour nous présente l’admirable démarche de conversion d’un chef de synagogue, qui n’hésite pas à se prosterner devant Jésus pour lui demander d’intervenir en faveur de son enfant.
Mais ce qu’il demande n’est pas une simple guérison, ni même une délivrance : il supplie le Maître de ramener à la vie sa fille qui vient de mourir.
Sa démarche procède d’une profonde confiance en Jésus, dont il a entendu les enseignements et dont il a pu constater les œuvres de Compassion et de Miséricorde.
Ce chef de la synagogue a ouvert son cœur à l’inattendu, l’imprévu de Dieu ; il reconnaît dans le Rabbi de Nazareth sinon le Maître de la vie, au moins un de ses Envoyés plénipotentiaires. « “Viens lui imposer les mains et elle vivra”, car Toi qui as le pouvoir de réconcilier les hommes avec Dieu en leur pardonnant leurs péchés, comment n’aurais-tu pas le pouvoir de nous arracher à la mort physique, qui est une conséquence du péché ? »
« Jésus se leva et se mit à le suivre » ; et voici que sur le chemin qui conduit à la maison du chef de la synagogue, une femme pose elle aussi un geste qui témoigne de sa profonde Foi.
Ce n’est pas un thaumaturge qu’elle approche - car ceux-ci exigeaient de pouvoir faire leurs passes ostensiblement, de préférence en présence de grandes foules - mais un homme de Dieu : elle cherche à toucher la frange de l’écharpe de prière que porte Jésus, conformément à la tradition pharisienne.
Notre Seigneur ne s’y trompe pas : de même qu’il a répondu sans attendre à la requête du chef de la synagogue, il s’adresse personnellement à la femme pour la confirmer dans sa démarche de confiance.
La Foi n’est décidément pas l’adhésion à une idéologie, aussi sublime fût-elle ; la Foi qui sauve est adhésion à la personne du Sauveur.
Voilà pourquoi Jésus peut dire que « la jeune fille n’est pas morte » : par la Foi de son père, elle est a été établie dans un lien vital avec le Prince de la Vie.
Notre-Seigneur ne pose aucun geste, il ne prononce aucune prière, mais se contente de lui saisir la main comme le Fiancé saisit celle de son Élue pour l’introduire dans sa demeure.
Croire c’est toucher Jésus personnellement par notre confiance, et le laisser accomplir notre Salut par l’effusion de son Amour vivifiant.
« Seigneur donne-moi de me souvenir à chaque instant que tu es descendu dans ma mort pour me faire vivre de ta Vie.
Ne permets pas que je rende vaine ta Croix par mon manque de Foi. Je veux ouvrir tout grand mon cœur à ta grâce et te laisser accomplir en moi ton œuvre d’Amour.
Je pourrai alors “te Bénir chaque jour pour ton immense Bonté, Toi Le Seigneur de Tendresse et de pitié” (Ps 114) qui “sauves et délivres ceux qui connaissent ton Nom” (Ps 90) ».
Père Joseph-Marie.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_127
Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
«Ta Foi t'a sauvée»
Aujourd'hui, la liturgie de la Parole nous invite à admirer deux magnifiques manifestations de Foi.
Si magnifiques qu'elles méritèrent d'émouvoir le Cœur de Jésus-Christ et de provoquer sa réponse immédiate. Le Seigneur ne se laisse pas gagner en générosité!
«Ma fille est morte à l'instant; mais viens lui imposer la main, et elle vivra» (Mt 9,18). Nous pourrions presque dire qu'une Foi ferme “oblige” Dieu.
Ce genre d'obligation est particulièrement de Son goût.
L'autre témoignage de Foi dans l'Évangile d'aujourd'hui est aussi impressionnant. «Si je parviens seulement à toucher son vêtement, je serai sauvée» (Mt 9,22).
L'on pourrait même dire que Dieu se laisse “manipuler” de bon gré par notre bonne Foi. Ce qu'il n'admet pas, c'est que nous le tentions par manque de Foi.
Ce fut le cas de Zacharie, qui demanda une preuve à l'archange Gabriel: «Zacharie dit à l'ange: ‘A quoi connaîtrai-je cela?’» (Lc 1,18).
L'archange ne recula pas d'un poil: «Moi je suis Gabriel, qui me tiens devant Dieu (…). Et voici que tu vas être réduit au silence et sans pouvoir parler jusqu'au jour où ces choses arriveront, parce que tu n'as pas cru à mes paroles, lesquelles s'accompliront en leur temps» (Lc 1,19-20). Et c'est ce qu'il advint.
C'est Lui-même qui veut “s'obliger” et “se lier” par notre Foi: «Et Moi je vous dis: demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l'on vous ouvrira» (Lc 11,9). Il est Notre Père et ne veut rien refuser de ce qui convient à ses enfants.
Mais il faut lui manifester nos demandes avec simplicité; la confiance et le naturel avec Dieu exigent de Le fréquenter.
Pour se confier en quelqu'un nous devons le connaître; et pour le connaître, il faut le fréquenter.
De la sorte, «la Foi fait jaillir la prière, et la prière, dès qu'elle jaillit, atteint la fermeté de la Foi» (Saint Augustin).
N'oublions pas la louange que mérita Sainte Marie: «Heureuse celle qui a cru à l'accomplissement des choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur!» (Lc 1,45).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2024-07-08/viens-lui-imposer-la-main-et-elle-vivra
HYMNE : ESPRIT DE DIEU, TRÈS PUR AMOUR
Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
Le temps nous tient, la chair nous dure,
Esprit de feu, très pur Amour !
Cœur du Très-Haut, soleil du Christ,
Console-nous du grand hiver ;
Transforme avec nous l’univers,
Vigne de grâce, Hôte infini !
Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
La soif nous tient, la mort nous dure,
Esprit de vie, très pur Amour !
Notre âme attend, notre âme a faim,
Sage conseil, ô Vérité,
De voir dans la pleine clarté
Le fruit parfait de tes desseins !
Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
Destin nous tient, douleur nous dure,
Esprit de paix, très pur Amour !
Unique Amour, fais-nous ta proie,
Plie notre orgueil, panse nos plaies ;
De ta vigueur viens nous brûler,
Souffle de Dieu, Flamme de joie !
Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
La chair nous tient, le temps nous dure,
Esprit du ciel, très pur Amour !
HYMNE : UN JOUR NOUVEAU COMMENCE
Un jour nouveau commence,
Un jour reçu de toi,
Père,
Nous l’avons remis d’avance
En tes mains tel qu’il sera.
Émerveillés ensemble,
Émerveillés de toi,
Père,
Nous n’avons pour seule offrande
Que l’accueil de ton amour.
Marqués du goût de vivre,
Du goût de vivre en toi,
Père,
Nous n’avons pas d’autres vivres
Que la faim du pain rompu.
Comment chanter ta grâce,
Comment chanter pour toi,
Père,
Si nos cœurs ne veulent battre
De l’espoir du Corps entier ?
Le jour nouveau se lève
Le jour connu de toi,
Père ;
Que ton Fils dans l’homme achève
La victoire de la croix !
HYMNE : FRAPPE À MA PORTE
Frappe à ma porte,
Toi qui viens me déranger.
Frappe à ma porte,
Tu viens me ressusciter.
R/ Je ne sais ni le jour ni l’heure,
Mais je sais que c’est toi, Seigneur.
Frappe à ma porte
Tout le vent de ton Esprit.
Frappe à ma porte
Le cri de tous mes frères.
Frappe à ma porte
Le cri de tes affamés.
Frappe à ma porte
La chaîne du prisonnier.
Frappe à ma porte,
Toi, la misère du monde.
Frappe à ma porte
Le Dieu de toute ma joie.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui nous as fait parvenir au début de ce jour, sauve-nous aujourd’hui par ta puissance : que nos cœurs ne s’abandonnent pas au péché mais que, par nos pensées, nos paroles et nos actes, nous cherchions la Justice du Royaume.
Parole de Dieu : (Jr 15, 16)… (Office des Laudes).
Quand je rencontrais tes paroles, Seigneur, je les dévorais ; elles faisaient ma joie, les délices de mon cœur, parce que ton Nom a été invoqué sur moi, Seigneur, Dieu de l’univers.
Parole de Dieu : (1 Th 2, 13)… (Office des Vêpres).
Voici pourquoi nous ne cessons de rendre grâce à Dieu. Quand vous avez reçu de notre bouche la Parole de Dieu, vous l’avez accueillie pour ce qu’elle est réellement : non pas une parole d’hommes, mais la Parole de Dieu qui est à l’œuvre en vous, les croyants.