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Eucharistie du Vendredi 30 Juillet 2021 : Vendredi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).
Eucharistie du Vendredi 30 Juillet 2021 : Vendredi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saint Pierre Chrysologue, Archevêque de Ravenne et Docteur de l'Église (405-451).
Fête de Saint Léopold Mandic, Prêtre Capucin, « l'apôtre du confessionnal » (1866-1942).
Fête de Sainte Marie de Jésus du Saint-Sacrement, Fondatrice des Sœurs Filles du Cœur de Jésus au Mexique (✝ 1959).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre du Lévitique 23,1.4-11.15-16.27.34b-37… Psaume 81(80),3-4.5-6ab.10-11ab… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,54-58.
Commentaire de Saint Maxime le Confesseur (v. 580-662), Moine et Théologien.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Jordi POU i Sabater (Sant Jordi Desvalls, Girona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Vendredi 30 Juillet 2021 : Fête de Saint Pierre Chrysologue, Archevêque de Ravenne et Docteur de l'Église (405-451).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Pierre Chrysologue.
Vendredi 30 Juillet 2021 : Fête de Saint Léopold Mandic, Prêtre Capucin, « l'apôtre du confessionnal » (1866-1942).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Léopold Mandic.
Vendredi 30 Juillet 2021 : Fête de Sainte Marie de Jésus du Saint-Sacrement, Fondatrice des Sœurs Filles du Cœur de Jésus au Mexique (✝ 1959).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Marie de Jésus du Saint-Sacrement.
Les Saints du 30 Juillet.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/juillet/saints-saintes-et-fetes-du-jour-29.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre du Lévitique 23,1.4-11.15-16.27.34b-37.
Le Seigneur parla à Moïse et dit :
Voici les solennités du Seigneur, les assemblées saintes auxquelles vous convoquerez, aux dates fixées, les fils d’Israël.
Le premier mois, le quatorze du mois, au coucher du soleil, ce sera la Pâque en l’honneur du Seigneur.
Le quinzième jour de ce même mois, ce sera la fête des Pains sans levain en l’honneur du Seigneur : pendant sept jours, vous mangerez des pains sans levain.
Le premier jour, vous tiendrez une assemblée sainte et vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage.
Pendant sept jours, vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur. Le septième jour, vous aurez une assemblée sainte et vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage. »
Le Seigneur parla à Moïse et dit :
« Parle aux fils d’Israël. Tu leur diras : Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne, et que vous y ferez la moisson, vous apporterez au prêtre la première gerbe de votre moisson.
Il la présentera au Seigneur en faisant le geste d’élévation pour que vous soyez agréés. C’est le lendemain du sabbat que le prêtre fera cette présentation.
À partir du lendemain du sabbat, jour où vous aurez apporté votre gerbe avec le geste d’élévation, vous compterez sept semaines entières.
Le lendemain du septième sabbat, ce qui fera cinquante jours, vous présenterez au Seigneur une nouvelle offrande.
« C’est le dixième jour du septième mois qui sera le jour du Grand Pardon. Vous tiendrez une assemblée sainte, vous ferez pénitence, et vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur.
« Parle aux fils d’Israël. Tu leur diras : À partir du quinzième jour de ce septième mois, ce sera pendant sept jours la fête des Tentes en l’honneur du Seigneur.
Le premier jour, celui de l’assemblée sainte, vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage.
Pendant sept jours, vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur. Le huitième jour, vous tiendrez une assemblée sainte, vous présenterez de la nourriture offerte pour le Seigneur : ce sera la clôture de la fête. Vous ne ferez aucun travail, aucun ouvrage.
Telles sont les solennités du Seigneur, les assemblées saintes auxquelles vous convoquerez les fils d’Israël, afin de présenter de la nourriture offerte pour le Seigneur, un holocauste et une offrande, un sacrifice et des libations, selon le rite propre à chaque jour,
Psaume 81(80),3-4.5-6ab.10-11ab.
Jouez, musiques, frappez le tambourin,
la harpe et la cithare mélodieuse.
Sonnez du cor pour le mois nouveau,
quand revient le jour de notre fête.
C'est là, pour Israël, une règle,
une ordonnance du Dieu de Jacob ;
Il en fit, pour Joseph, une loi
quand il marcha contre la terre d'Égypte.
« Tu n'auras pas chez toi d'autres dieux,
tu ne serviras aucun dieu étranger.
C'est moi, le Seigneur ton Dieu,
qui t'ai fait monter de la terre d'Égypte ! »
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,54-58.
En ce temps-là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et il enseignait les gens dans leur synagogue, de telle manière qu’ils étaient frappés d’étonnement et disaient : « D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ?
N’est-il pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie, et ses frères : Jacques, Joseph, Simon et Jude ?
Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes chez nous ? Alors, d’où lui vient tout cela ? »
Et ils étaient profondément choqués à son sujet. Jésus leur dit : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays et dans sa propre maison. »
Et il ne fit pas beaucoup de miracles à cet endroit-là, à cause de leur manque de foi.
Commentaire du jour.
Saint Maxime le Confesseur (v. 580-662), Moine et Théologien.
Capita theologica, 1, 8-13; PG 90, 1182 (trad. Orval rev.)
« N'est-il pas le fils du charpentier ? »
Le Verbe, la Parole de Dieu, est né une fois pour toutes selon la chair. Mais, à cause de son amour des hommes, il désire naître sans cesse selon l'esprit pour ceux qui le désirent : il se fait petit enfant et se forme en eux en même temps que les vertus ; il se manifeste dans la mesure où il sait que celui qui le reçoit en est capable.
En agissant ainsi, ce n'est pas par revendication qu'il atténue l'éclat de sa propre grandeur, mais parce qu'il jauge et mesure la capacité de ceux qui désirent le voir.
Ainsi le Verbe de Dieu se révèle toujours à nous de la manière qui nous convient et cependant demeure invisible pour tous, à cause de l'immensité de son Mystère.
C'est pourquoi l'apôtre par excellence, considérant la force de ce mystère, dit avec sagesse : « Jésus-Christ est le même hier et aujourd'hui, et il le sera à jamais » (He 13,8) ; il contemplait ce mystère toujours neuf que l'intelligence n'aura jamais fini de scruter.
Le Christ, qui est Dieu, devient enfant…, Lui qui avait donné à tout ce qui existe de sortir du néant… Dieu devient parfaitement homme, sans rien rejeter de la nature humaine, excepté le péché, qui d'ailleurs n'est pas inhérent à cette nature…
Oui, l'incarnation de Dieu est un grand Mystère et elle demeure un Mystère… La Foi seule peut saisir ce Mystère, elle qui est au fond de tout ce qui dépasse notre compréhension et qui est au-delà de ce que nous pouvons exprimer.
Autre commentaire du jour.
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
N’est-il pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie…
« Jésus alla dans “son” pays » : le possessif témoigne de l’enracinement humain de Notre-Seigneur. Certes, par sa Résurrection il est « l’Homme Nouveau » (Ep 4, 24), en qui « il n’y a plus ni Juif ni païen, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus l’homme et la femme » (Ga 3, 28) ; mais pour nous élever au-dessus de nos particularismes et faire notre unité sans gommer nos diversités, le Verbe a voulu assumer les conditions de notre humanité : il est né au sein d’une race, d’un peuple, d’une famille bien concrète - « sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie, et ses frères (c’est-à-dire ses cousins) : Jacques, Joseph, Simon et Jude ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes chez nous ? »
Il a « planté sa tente parmi nous » (Jn 1, 14) en un lieu précis, sur la terre de Galilée, dans le village de Nazareth, et à une date précise, qui servira de référence pour nos calendriers ultérieurs.
On ne peut dire plus clairement que la Révélation Divine, qui s’accomplit dans l’Incarnation Rédemptrice, s’inscrit au cœur même de notre histoire.
Or c’est cela précisément qui, hier comme aujourd’hui, cause scandale : de quoi Dieu se mêle-t-il ? « Que nous veux-tu, Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous faire souffrir avant le moment fixé ? » (Mt 8, 29).
Je me souviens d’une émission de radio abordant le « problème » des miracles ; l’intervenant Chrétien avait bien du mal à faire entendre sa voix au milieu des opposants.
Le ton est passé insensiblement de l’ironie au mépris, et du mépris à l’hostilité ouverte, cinglante, à la limite de la colère.
Les participants trouvaient choquant d’envisager une intervention de Dieu dans l’histoire, de quelque nature qu’elle soit : ce serait de la part de Dieu une ingérence intolérable et scandaleuse.
Comment les Chrétiens osent-ils suggérer une telle éventualité ?
Heureusement tout le monde sait de nos jours que ce Dieu proposé par la Foi n’est qu’une extériorisation - une projection - de ce que l’homme porte de meilleur en soi.
Pas de danger qu’il intervienne dans l’histoire puisqu’il n’existe pas.
Ce constat permit aux esprits de retrouver leur calme ; mais le débat se déplaça sur un autre terrain : peut-on vraiment tolérer qu’une telle doctrine soit encore diffusée à l’aube du troisième millénaire ?
Le bien commun n’exige-t-il pas que soit dénoncée cette utopie aberrante ? Peut-on laisser dans l’ignorance, dans l’illusion, dans l’aliénation, tant d’hommes et de femmes encore enfermés dans une superstition aussi désuète ?…
D’une interrogation sur les miracles, le débat s’était subtilement transformé en procès du Christianisme.
Rien de nouveau sous le soleil ; Saint Maxime connaissait bien le cœur de l’homme lorsqu’il définissait le péché comme la volonté de conduire sa vie « sans Dieu, malgré Dieu, voire contre Dieu ».
Au scandale d’une ingérence divine dans l’histoire des hommes, qui aliène leur liberté et menace leur autonomie, s’ajoute celui des conditions de cette intervention inopinée : un Dieu qui se fait homme, et qui après une brève carrière de prédicateur itinérant, termine lamentablement sur une croix !
Non vraiment, le Christianisme n’est pas crédible. Il est même urgent d’effacer de la mémoire collective de l’humanité cette proposition religieuse doloriste et culpabilisante qui n’a que trop assombri l’existence des générations précédentes. « Dieu est mort » (Nietzsche), place au règne de l’homme !
« “Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison”. Et il ne fit pas beaucoup de miracles à cet endroit-là à cause de leur manque de Foi. »
Aujourd’hui comme hier, « le langage de la Croix est folie pour ceux qui vont vers leur perte, mais pour ceux qui vont vers leur Salut, pour nous, il est puissance de Dieu.
Car la folie de Dieu est plus sage que l’homme, et la faiblesse de Dieu est plus forte que l’homme » (1 Co 1, 18.25).
« Seigneur Jésus ne permets pas que les vains discours de notre monde nous ébranlent dans notre Foi. Ouvre nos yeux, que nous puissions reconnaitre dans le mystère de ton Incarnation Rédemptrice, la révélation de ton infinie Miséricorde pour notre pauvre humanité.
Donne-nous l’audace de proclamer ta seigneurie et de confesser ta Divinité, malgré les sarcasmes ; et accorde-nous d’être toujours prêts à nous expliquer, avec douceur et respect, devant tous ceux qui nous demandent de rendre compte de l’Espérance qui est en nous” (1 P 3, 15-16). »
Père Joseph-Marie
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_158
Abbé Jordi POU i Sabater (Sant Jordi Desvalls, Girona, Espagne).
«Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison»
Aujourd'hui, comme hier, il nous est difficile de parler de Dieu à ceux qui nous connaissent depuis toujours.
Dans le cas de Jésus, Saint Jean Chrysostome, disait: «Les gens de Nazareth l'admirent, mais cette admiration au lieu de leur inspirer la Foi, leur inspire la jalousie, c'est comme s'ils se disaient ‘pourquoi Lui et pas moi?’».
Jésus connaissait bien ceux qui au lieu de l'écouter se scandalisaient de ses paroles. C'était des parents, des amis, des voisins qui lui étaient chers, mais c'est justement à eux qu'Il ne réussira pas à faire entendre son message de Salut.
Nous, qui ne pouvons pas faire de miracles et qui n'avons pas la sainteté de Jésus, nous ne susciterons pas la jalousie (même si parfois cela peut arriver quand nous nous efforçons réellement de vivre en Chrétien).
Mais quoi qu'il en soit, comme à Jésus, il nous arrivera souvent que ceux que nous aimons et qui nous sont chers ne nous écoutent pas.
Dans ces circonstances, nous devons nous rappeler que ceux qui ont toujours été très proches de nous voient davantage nos défauts que nos vertus et qu'ils peuvent se dire: —Toi qui faisais ça ou qui fait ça, tu n'as rien à m'apprendre.
Prêcher ou parler de Dieu aux gens de notre entourage ou de notre famille est difficile mais nécessaire.
Il faut dire, tout de même, que lorsque Jésus rentre chez lui, la renommée de ses paroles et de ses miracles le précèdent.
Peut-être que nous aussi nous devrions établir une certaine réputation de sainteté en dehors (et à l'intérieur) de nos maisons avant de prêcher à nos proches.
Sain Jean Chrysostome ajoute ce commentaire: «Je t'en prie, regarde l'amabilité du Maître: il ne les punit pas parce qu'ils ne l'écoutent pas, mais au contraire il leur dit avec douceur: ‘Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison’ (Mt 13,57)».
Il est évident que Jésus s'en alla de là très triste, mais Il continu à prier pour que son message de Salut parvienne à ceux de son village.
Et nous, nous devrons également prier pour que le message de Jésus parvienne à ceux qui nous sont chers, mais qui ne veulent pas nous écouter.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2021-07-30/Ils-etaient-profondement-choques-a-son-sujet
HYMNE : DIEU CACHÉ
Dieu caché,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce fruit nouveau-né
Dans la nuit qui t'engendre à la terre ;
Tu dis seulement
Le nom d'un enfant :
Le lieu où tu enfouis ta semence.
R/Explique-toi par ce lieu-dit :
Que l'Esprit parle à notre esprit
Dans le silence !
Dieu livré,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce corps partagé
Dans le pain qui te porte à nos lèvres ;
Tu dis seulement :
La coupe du sang
Versé pour la nouvelle confiance. R/
Dieu blessé,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que cet homme humilié
Sur le bois qui t'expose au calvaire !
Tu dis seulement :
L'appel déchirant
D'un Dieu qui apprendrait la souffrance. R/
Dieu vaincu,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ces corps décharnés
Où la soif a tari la prière ;
Tu dis seulement :
Je suis l'innocent,
A qui tous les bourreaux font violence. R/
Dieu sans voix,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce signe levé,
Edifié sur ta pierre angulaire !
Tu dis seulement :
Mon peuple est vivant,
Debout, il signifie ma présence. R/
Dieu secret,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce livre scellé
D'où l'Agneau fait jaillir ta lumière.
Tu dis seulement
Ces mots fulgurants :
Je viens! J'étonnerai vos patiences !
R/Explique-toi par ce lieu-dit :
Que l'Esprit parle à notre esprit
Dans le silence !
HYMNE : PUISQU’IL EST AVEC NOUS
Puisqu’il est avec nous
Tant que dure cet âge,
N’attendons pas la fin des jours
Pour le trouver...
Ouvrons les yeux,
Cherchons sa trace et son visage,
Découvrons-le qui est caché
Au cœur du monde comme un feu !
Puisqu’il est avec nous
Pour ce temps de violence,
Ne rêvons pas qu’il est partout
Sauf où l’on meurt...
Pressons le pas,
Tournons vers lui notre patience,
Allons à l’homme des douleurs
Qui nous fait signe sur la croix !
Puisqu’il est avec nous
Dans nos jours de faiblesse,
N’espérons pas tenir debout
Sans l’appeler...
Tendons la main,
Crions vers lui notre détresse ;
Reconnaissons sur le chemin
Celui qui brûle nos péchés !
Puisqu’il est avec nous
Comme à l’aube de Pâques,
Ne manquons pas le rendez-vous
Du sang versé…
Prenons le pain,
Buvons la coupe du passage :
Accueillons-le qui s’est donné
En nous aimant jusqu’à la fin !
HYMNE : LE SOIR PEUT REVENIR
R/Le soir peut revenir
Et la nuit,
Si Jésus nous redit
De quel Esprit nous sommes.
Vienne Jésus pour dissiper
Le brouillard et les doutes :
Sa parole donnée
Est soleil sans déclin.
Vienne Jésus pour surmonter
La fatigue des jours :
Il est l’eau de la source
Et le pain de la vie.
Vienne Jésus pour dominer
La frayeur du naufrage :
N’est-il pas le seul Maître
Du navire et des flots ?
Vienne Jésus pour consoler
De la mort implacable,
En frère premier-né
Relevé du tombeau !
R/Le soir peut revenir
Et la nuit,
Si Jésus nous redit
L’Amour qui nous fait vivre
Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Saint Pierre Chrysologue.
Dieu qui a fait de Saint Pierre Chrysologue un grand prédicateur de ton Verbe incarné, par son intercession, accorde-nous ta Grâce : ouvre nos cœurs à l’intelligence des mystères du Salut et donne-nous d’en témoigner par toute notre Vie.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, tu demandes à Ton Église d'être le lieu où l'Évangile est annoncé en contradiction avec l'esprit du monde.
Donne à tes enfants assez de Foi pour ne pas déserter mais témoigner de Toi devant les hommes en prenant appui sur ta Parole.
Par Jésus-Christ, Ton Fils, Notre Seigneur et Notre Dieu, qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.
Parole de Dieu : (Ep 4, 29-32)… (Office des Laudes).
Aucune parole mauvaise ne doit sortir de votre bouche ; mais, s’il y en a besoin, dites une parole bonne et constructive, bienveillante pour ceux qui vous écoutent.
En vue du jour de votre délivrance, vous avez reçu en vous la marque du Saint-Esprit de Dieu : ne le contristez pas.
Faites disparaître de votre vie tout ce qui est amertume, emportement, colère, éclats de voix ou insultes, ainsi que toute espèce de méchanceté.
Soyez entre vous pleins de générosité et de tendresse. Pardonnez-vous les uns aux autres, comme Dieu vous a pardonné dans Le Christ.
Parole de Dieu : (Rm 15, 1-3)… (Office des Vêpres).
C’est un devoir pour nous, les forts, de porter l’infirmité des faibles et de ne pas rechercher ce qui nous plaît.
Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain, en vue du bien, pour édifier.
Le Christ, en effet, n’a pas recherché ce qui lui plaisait mais, comme il est écrit : « Les insultes de tes insulteurs sont tombées sur moi. »
Date de dernière mise à jour : 29/07/2021
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