Eucharistie du Mardi 31 Juillet 2018 : Mardi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Eucharistie du Mardi 31 Juillet 2018 : Mardi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Ignace de Loyola, Prêtre, Fondateur de la Compagnie de Jésus (1491-1556).

Fête de Saint Germain, Évêque d'Auxerre (c. 378-448).
Fête de la Bienheureuse Sidonie (Cécile Schelingova), Martyre en Slovaquie (+ 1955).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de Jérémie 14,17-22... Psaume 79(78),5a.8.9.11.13ab... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,36-43.
Commentaire de La Lettre à Diognète (v. 200).
Autre commentaire du Catéchisme de l'Église Catholique.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autres commentaires de l’Abbé Iñaki BALLBÉ i Turu (Rubí, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint ignace de loyola 11

Mardi 31 Juillet 2018 : Fête de Saint Ignace de Loyola, Prêtre, Fondateur de la Compagnie de Jésus (1491-1556).
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Saint Ignace de Loyola.

Sculpture saint germain l auxerrois 2

Mardi 31 Juillet 2018 : Fête de Saint Germain, Évêque d'Auxerre (c. 378-448).
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Saint Germain, Évêque d'Auxerre.

Bienheureuse sidonie 2

Mardi 31 Juillet 2018 : Fête de la Bienheureuse Sidonie (Cécile Schelingova), Martyre en Slovaquie (+ 1955).
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Bienheureuse Sidonie (Cécile Schelingova).

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de Jérémie 14,17-22.
Que mes yeux ruissellent de larmes nuit et jour, sans s’arrêter ! Elle est blessée d’une grande blessure, la vierge, la fille de mon peuple, meurtrie d’une plaie profonde.
Si je sors dans la campagne, voici les victimes de l’épée ; si j’entre dans la ville, voici les souffrants de la faim. Même le prophète, même le prêtre parcourent le pays sans comprendre.
As-tu donc rejeté Juda ? Es-tu pris de dégoût pour Sion ? Pourquoi nous frapper sans remède ? Nous attendions la paix, et rien de bon ! Le temps du remède, et voici l’épouvante !
Seigneur, nous connaissons notre révolte, la faute de nos pères : oui, nous avons péché contre toi !
À cause de ton nom, ne méprise pas, n’humilie pas le trône de ta gloire ! Rappelle-toi : ne romps pas ton alliance avec nous !
Parmi les idoles des nations, en est-il qui fassent pleuvoir ? Est-ce le ciel qui nous donnera les pluies ? N’est-ce pas toi, Seigneur notre Dieu ? Nous espérons en toi, car c’est toi qui as fait tout cela.

 

Psaume 79(78),5a.8.9.11.13ab.
Combien de temps, Seigneur, durera ta colère ?
Ne retiens pas contre nous les péchés de nos ancêtres :
que nous vienne bientôt ta tendresse,
car nous sommes à bout de force !

Aide-nous, Dieu notre Sauveur,
pour la gloire de ton nom !
Délivre-nous, efface nos fautes,
pour la cause de ton nom !

Que monte en ta présence la plainte du captif !
Ton bras est fort : épargne ceux qui doivent mourir.
Et nous, ton peuple, le troupeau que tu conduis,
sans fin nous pourrons te rendre grâce.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,36-43.
En ce temps-là, laissant les foules, Jésus vint à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. »
Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ;
le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.
L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.
De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde.
Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume toutes les causes de chute et ceux qui font le mal ;
ils les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »

 

Commentaire du jour.
La Lettre à Diognète (v. 200).
Ch 8 ; SC 33 (trad. Orval rev. ; cf SC p. 71).

La Patience de Dieu

Le Maître et le Créateur de l'univers, Dieu, qui a fait toutes choses et les a disposées avec ordre, s'est montré non seulement plein d'Amour pour les hommes, mais plein de Patience.

Lui, il a toujours été, il est et il restera le même : secourable, bon, doux, véridique — lui seul est bon.
Pourtant lorsqu'il a conçu son dessein d'une grandeur inexprimable, il n'en a fait part qu'à Son Fils unique.
Tant qu'il maintenait dans le mystère et réservait le plan de sa Sagesse, il semblait nous négliger et ne pas se soucier de nous.
Mais quand il a révélé par Son Fils Bien-aimé et manifesté ce qu'il avait préparé depuis le commencement, il nous a offert tout en même temps : participer à ses Bienfaits, voir, et comprendre la largesse de ses Dons.
Qui de nous aurait jamais pu s'y attendre ? Dieu avait donc déjà tout disposé à part Lui avec Son Fils ; mais, jusqu'à ces derniers temps, il nous a permis de nous laisser emporter au gré de nos penchants désordonnés, entraînés par les plaisirs et les passions.
Non qu'il ait pris le moins du monde plaisir à nos péchés ; il tolérait seulement ce temps où sévissait le mal sans y consentir.
Il préparait le règne actuel de la justice.

Durant cette période, nos propres œuvres nous montraient indignes de la Vie ; nous en devenons dignes maintenant par l'effet de la Bonté de Dieu.
Nous nous sommes montrés incapables d'accéder par nous-mêmes au Royaume de Dieu ; c'est sa Puissance qui nous en rend capables maintenant...
Dieu ne nous a pas haïs, ni repoussés, il n'a pas tenu rancune, mais il a patienté longtemps.

 

Commentaire du jour.
Catéchisme de l'Église Catholique.
§ 823 – 827

« Je crois en l'Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique »

« L'Église est sainte : aux yeux de la Foi, l'Église...est indéfectiblement sainte. En effet Le Christ, Fils de Dieu qui, avec Le Père et L'Esprit, est proclamé « seul saint », a aimé l'Église comme son épouse, il s'est livré pour elle afin de la sanctifier, il se l'est unie comme son Corps et l'a comblée du Don de L'Esprit-Saint pour la Gloire de Dieu. »
L'Église est donc « le peuple saint de Dieu », et ses membres sont appelés « saints » (Lumen gentium, 39,12 ; 1Co 6,1)...
Par Le Christ et en Lui l'Église devient aussi sanctifiante... C'est en elle que « nous acquérons la sainteté par la Grâce de Dieu »...
En ses membres, la sainteté parfaite est encore à acquérir...

« Tandis que Le Christ Saint, innocent, sans tache, venu uniquement pour expier les péchés du peuple, n'a pas connu le péché, l'Église, elle, qui renferme des pécheurs dans son propre sein, est donc à la fois sainte et appelée à se purifier, et poursuit constamment son effort de pénitence et de renouvellement. » (LG 42)
Tous les membres de l'Église, ses ministres y compris, doivent se reconnaître pécheurs. En tous, l'ivraie du péché se trouve encore mêlée au bon grain de l'Évangile jusqu'à la fin des temps.

L'Église rassemble donc des pécheurs saisis par le Salut du Christ mais toujours en voie de sanctification : « L'Église est sainte tout en comprenant en son sein des pécheurs, parce qu'elle n'a elle-même d'autre vie que celle de la Grâce.
C'est en vivant de sa vie que ses membres se sanctifient ; c'est en se soustrayant à sa vie qu'ils tombent dans les péchés et les désordres qui empêchent le rayonnement de sa sainteté.
C'est pourquoi elle souffre et fait pénitence pour ces fautes, dont elle a le pouvoir de guérir ses enfants par le Sang du Christ et le Don de L'Esprit Saint. »

 

Autre commentaire du jour.
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

« Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. »

Dans l’Évangile de ce jour, Jésus nous donne Lui-même l’interprétation de la parabole du bon grain et de l’ivraie qu’il avait laissée à notre méditation quelques versets plus haut.
Dans le récit parabolique, Jésus s’exprimait ainsi : « Il en est du Royaume des Cieux comme d’un homme qui a semé du bon grain dans son champ. Or, son ennemi est venu, il a semé à son tour l’ivraie, au beau milieu du blé et il s’en est allé ».
Là où le Royaume est à l’œuvre, le démon pointe son nez et entre en action. N’oublions pas qu’il y a deux manières de faire le jeu du démon : trop en parler si bien qu’on ne pense plus qu’à lui en oubliant que Dieu est le centre de notre vie mais aussi croire qu’il n’existe pas, qu’il n’agit pas, si bien qu’on lui laisse les mains libres pour semer l’ivraie dans notre champ : « pendant que les gens dormaient ».

La parabole nous montre que le démon entre en action à deux niveaux. Tout d’abord, directement. Il sème de l’ivraie au milieu du bon grain et crée la confusion entre ce qui est bon et ce qui est mauvais.
Face à cela, les directives de Jésus sont claires : « Laissez-les pousser ensemble, de peur qu’en enlevant l’ivraie vous n’arrachiez le bon grain ».
D’une part, l’ivraie est tellement imbriquée dans le bon grain, qu’en voulant enlever l’un, nous arracherions l’autre.
D’autre part, le bon grain et l’ivraie en herbe se ressemblent tellement que nous risquerions de nous méprendre en croyant arracher de l’ivraie alors qu’il s’agit de bon grain.

Mais le démon peut aussi intervenir d’une façon moins directe en induisant dans notre cœur l’illusion de croire que nous pouvons par nous-mêmes discerner de façon définitive ce qui est bon de ce qui est mauvais.
Nous nous instaurons alors juges de nos frères et de nous-mêmes, juges de la moisson c’est-à-dire de l’œuvre de Dieu dans les cœurs, autrement dit juges de Dieu puisqu’entre Dieu et son œuvre c’est tout un.

Cela ne signifie pas pour autant qu’il faille relativiser la distinction entre le bien et le mal. En effet, l’ivraie n’est pas du bon grain, et le bon grain ne saurait se confondre avec l’ivraie.
Le bien et le mal s’impose à tous dans les mêmes termes et avec la même exigence et ne sont relatifs en rien aux conditions subjectives de chacun.

En fait, le piège est de prétendre juger du bien et du mal de façon définitive et clôturante à un instant donné en enfermant l’autre ou soi-même dans sa faute et en excluant toute possibilité de changer.
L’impasse est alors faite sur la Miséricorde Divine qui agit dans la durée et ne réduit jamais quelqu’un aux actes qu’il a posés à un moment donné de sa vie.

La Divine Patience est sans conteste un des aspects les plus déconcertants de la Miséricorde. Le Seigneur croit en nous, il espère en nous et nous aime non pas malgré notre malice et notre aveuglement, mais à cause d’eux, c'est-à-dire en proportion de notre misère.

Certes, l’ivraie n’entrera pas dans le Royaume, mais ce n’est qu’à la moisson, c’est-à-dire quand le bon grain sera définitivement à l’abri, qu’elle sera arrachée et brûlée.
Car ce n’est qu’au terme d’une vie qu’on peut en faire le bilan et encore : pas à la lumière de nos critères humains (ce ne sont pas les serviteurs qui moissonnent mais les Anges de Dieu), mais à la lumière de ce que L’Esprit seul peut révéler, lui qui connaît le fond des cœurs.

Laissons donc le temps et la grâce faire leur œuvre. La graine du Royaume, minuscule aux yeux des hommes, à vrai dire à peine perceptible – qu’y a-t-il donc de changé depuis la venue du Christ ? – cette graine pousse dans le secret des cœurs.
Mystérieusement, le levain du Royaume se diffuse dans la pâte humaine et la travaille au plus profond. Même si nous ne percevons pas de changement spectaculaire, il fait pourtant insensiblement lever la pâte.
Voilà le lieu de notre combat : la Foi en l’action cachée du Royaume dans la durée. Ne laissons pas ici sommeiller notre Foi.
Pendant ce sommeil risquerait fort bien d’intervenir le Malin. Notre manière de contribuer à l’avènement du Royaume c’est précisément de rester vigilants dans cette Foi.

« Seigneur, en attendant que tu reviennes pour faire toi-même la moisson, augmente notre Foi et notre Espérance en ta Miséricorde à l’œuvre dans les cœurs pour promouvoir la croissance du bon grain et être jugés digne d’être intégrés dans le Pain Eucharistique du Royaume qui est ton Corps. »
Frère Élie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_155
Abbé Iñaki BALLBÉ i Turu (Rubí, Barcelona, Espagne).

«Explique-nous clairement la parabole de l'ivraie dans le champ»

Aujourd'hui, à travers la parabole de l'ivraie et du bon grain, l'Église nous invite à méditer sur le bien et le mal.
Le bien et le mal qui existe dans notre cœur; le bien et le mal que nous voyons dans les autres, et celui que nous voyons dans le monde.

«Explique-nous clairement la parabole» (Mt 13,36), ses disciples demandent-ils à Jésus. Et nous, aujourd'hui, nous pouvons prendre la résolution de prendre soin de notre prière personnelle, de notre relation quotidienne avec Dieu. —Seigneur, pouvons-nous lui dire, explique-moi pourquoi je n'avance pas suffisamment dans ma Vie intérieure. Explique-moi comment je peux t'être plus fidèle, comment je peux te trouver dans mon travail, ou à travers de cette circonstance que je ne comprends pas, ou que je ne veux pas comprendre. Comment puis-je devenir un apôtre qualifié.
La prière consiste à demander «des explications» à Dieu. Comment est ma prière? Est-elle sincère? Est-elle constante? Est-elle pleine de confiance?

Jésus-Christ nous invite à fixer le regard vers le Ciel, notre maison pour l'éternité. Souvent, nous vivons envahis par la presse, et presque jamais prenons le temps de penser qu'un jour —loin ou pas, nous ne le savons pas— nous devrons rendre compte à Dieu de notre Vie, de comment nous avons fait fructifier les qualités qu'il nous a données.
Et Le Seigneur nous dit qu'à la fin du monde, il y a aura un triage. Nous devons gagner le Ciel sur la Terre, dans le quotidien, sans attendre des situations qui n'arriveront peut-être jamais.

Nous devons vivre l'ordinaire et ce qui ne semble avoir aucune transcendance de façon héroïque. Vivre en pensant à l'éternité et aider les autres à penser de cette façon : paradoxalement, «l'homme qui doit mourir tente d'échapper à la mort; et l'homme qui doit vivre éternellement ne tente pas d'échapper au pécher» (Saint Julien de Toledo).

Nous récolterons ce que nous avons semé. Il faut lutter pour donner aujourd'hui 100%. Et que lorsque Dieu nous appelle en sa présence nous puissions lui présenter les mains pleines: d'actes de Foi, d'Espérance, d'Amour.
Qui se concrétisent dans de petites choses, dans de petites batailles qui, vécues dans le quotidien, nous font plus Chrétiens, plus saints, plus humains.

 

HYMNE : AU SEUL COMBAT

Au seul combat
contre soi,
ton cœur nous prépare,
Ignace de Loyola,
pour la plus grande gloire
du Dieu Fort
qui triomphe de la mort.

R/ Prêts,
pour les œuvres de lumière,
prêts, 
sur toute la terre
pour l'annonce du salut,
nous aurons le visage
de ton courage
jusqu'au retour de Jésus.

Tu nous conduis,
dans la nuit
de l'intime espace
et dans le temps reconstruit,
à contempler la face
du Dieu Bon
qui propose le pardon.

Tu fais grandir
le désir
de l'âme en alerte,
l'espérance de servir,
toute faiblesse offerte,
le Dieu Saint
qui travaille avec les siens.

 

HYMNE : SOLEIL LEVANT

Soleil levant
Sur ceux qui gisent dans la mort,
Tu es venu
pour que voient ceux qui ne voient pas,
Et tu guéris l’aveugle-né.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Lumière sur le monde ;
Que nous chantions pour ton retour :

R/ Béni soit au nom du Seigneur
Celui qui vient sauver son peuple !

Agneau pascal,
Agneau qui sauves de l’exil,
Tu es venu
racheter les brebis perdues,
Et tu payas le prix du sang.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Berger des sources vives ;
Que nous chantions pour ton retour :

R/ Béni soit au nom du Seigneur
Celui qui vient sauver son peuple !

 

HYMNE : SANS FIN, SEIGNEUR, DIEU NOTRE PÈRE

Sans fin, Seigneur, Dieu notre Père,
Sans fin, Seigneur, nous te louerons :
La terre exulte d’allégresse ;
Béni sois-tu, Dieu des vivants ! 

L’oiseau reçoit sa nourriture, 
La fleur se pare de beauté ; 
Tu aimes toute créature, 
Tu sais le prix de nos années. 

Sans fin, ton Verbe en nos paroles, 
Sans fin, Seigneur, te chantera ; 
L’amour s’éveille en nos cœurs d’hommes 
Au nom du Fils, ton bien-aimé. 

Tu es, Seigneur, notre lumière, 
Toi seul nous sauves de la mort ; 
Ton Fils offert à tous les peuples 
Est pour chacun le Pain vivant. 

Heureux les hommes qui t’adorent, 
Le monde ouvert à ton amour ; 
L’Esprit déjà te nomme Père : 
Un jour, Seigneur, nous te verrons.

 

Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Saint Ignace de Loyola.
Pour ta plus grande Gloire, Seigneur, tu as suscité dans ton Église Saint Ignace de Loyola : permets qu'avec son aide et à son exemple, après avoir combattu sur la Terre, nous partagions sa victoire dans le Ciel.

 

Parole de Dieu : (Rm 13, 11b.12 13a)… (Office des Laudes).
C’est le moment, l’heure est venue de sortir de votre sommeil. La nuit est bientôt finie, le jour est tout proche.
Rejetons les activités des ténèbres, revêtons-nous pour le combat de la Lumière. Conduisons-nous honnêtement, comme on le fait en plein jour.

 

Parole de Dieu : (1 Jn 3, 1a.2)… (Office des Vêpres).
Voyez comme il est grand, l’Amour dont Le Père nous a comblés : il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu, – et nous le sommes –.
Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons ne paraît pas encore clairement.
Nous le savons : lorsque Le Fils de Dieu paraîtra, nous serons semblables à Lui parce que nous le verrons tel qu’il est.

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