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Eucharistie du Dimanche 08 Décembre 2024.
Eucharistie du Dimanche 08 Décembre 2024 : Deuxième Dimanche de l’Avent, Année C.
La Solennité de l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie est repoussée au lendemain Lundi 09 Décembre 2024 (à cause de la préséance du Dimanche).
Fête de Sainte Narcisse de Jésus Martillo Morán, laïque équatorienne (✝ 1869).
Fête de Saint Noël Chabanel, Prêtre de la Compagnie de Jésus et Martyr au Canada (1613-✝ 1649).
Fête des Bienheureux Paul Yun Ji-Chung, laïc et 123 compagnons, Martyrs en Corée († entre 1791 et 1888).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de Baruch 5,1-9… Psaume 126(125),1-2ab.2cd-3.4-5.6… Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 1,4-6.8-11… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3,1-6.
Commentaire d’Origène (v. 185-253), Prêtre et Théologien.
Autre commentaire (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 08 Décembre 2024 : Fête de Sainte Narcisse de Jésus Martillo Morán, laïque équatorienne (✝ 1869).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Narcisse de Jésus Martillo Morán.
Dimanche 08 Décembre 2024 : Fête de Saint Noël Chabanel, Prêtre de la Compagnie de Jésus et Martyr au Canada (1613-✝ 1649).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Noël Chabanel.
Dimanche 08 Décembre 2024 : Fête des Bienheureux Paul Yun Ji-Chung, laïc et 123 compagnons, Martyrs en Corée († entre 1791 et 1888).
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur eux, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Paul Yun Ji-Chung, laïc et 123 compagnons, Martyrs en Corée.
Les Saints du 08 Décembre.
https://www.reflexionchretienne.com/pages/vie-des-saints/decembre/saints-saintes-et-fetes-du-jour-7.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de Baruch 5,1-9.
Jérusalem, quitte ta robe de tristesse et de misère, et revêts la parure de la gloire de Dieu pour toujours,
enveloppe-toi dans le manteau de la justice de Dieu, mets sur ta tête le diadème de la gloire de l’Éternel.
Dieu va déployer ta splendeur partout sous le ciel,
car Dieu, pour toujours, te donnera ces noms : « Paix-de-la-justice » et « Gloire-de-la-piété-envers-Dieu ».
Debout, Jérusalem ! Tiens-toi sur la hauteur, et regarde vers l’orient : vois tes enfants rassemblés du couchant au levant par la parole du Dieu Saint ; ils se réjouissent parce que Dieu se souvient.
Tu les avais vus partir à pied, emmenés par les ennemis, et Dieu te les ramène, portés en triomphe, comme sur un trône royal.
Car Dieu a décidé que les hautes montagnes et les collines éternelles seraient abaissées, et que les vallées seraient comblées : ainsi la terre sera aplanie, afin qu’Israël chemine en sécurité dans la gloire de Dieu.
Sur l’ordre de Dieu, les forêts et les arbres odoriférants donneront à Israël leur ombrage ;
car Dieu conduira Israël dans la joie, à la lumière de sa gloire, avec sa miséricorde et sa justice.
Psaume 126(125),1-2ab.2cd-3.4-5.6.
Quand le Seigneur ramena les captifs à Sion,
nous étions comme en rêve !
Alors notre bouche était pleine de rires,
nous poussions des cris de joie.
Alors on disait parmi les nations :
« Quelles merveilles fait pour eux le Seigneur ! »
Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous :
nous étions en grande fête !
Ramène, Seigneur, nos captifs,
comme les torrents au désert.
Qui sème dans les larmes
moissonne dans la joie.
Il s'en va, il s'en va en pleurant,
il jette la semence ;
il s'en vient, il s'en vient dans la joie,
il rapporte les gerbes.
Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 1,4-6.8-11.
Frères, à tout moment, chaque fois que je prie pour vous tous, c’est avec joie que je le fais,
à cause de votre communion avec moi, dès le premier jour jusqu’à maintenant, pour l’annonce de l’Évangile.
J’en suis persuadé, celui qui a commencé en vous un si beau travail le continuera jusqu’à son achèvement au jour où viendra le Christ Jésus.
Oui, Dieu est témoin de ma vive affection pour vous tous dans la tendresse du Christ Jésus.
Et, dans ma prière, je demande que votre amour vous fasse progresser de plus en plus dans la pleine connaissance et en toute clairvoyance
pour discerner ce qui est important. Ainsi, serez-vous purs et irréprochables pour le jour du Christ,
comblés du fruit de la justice qui s’obtient par Jésus Christ, pour la gloire et la louange de Dieu.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3,1-6.
L’an quinze du règne de l’empereur Tibère, Ponce Pilate étant gouverneur de la Judée, Hérode étant alors au pouvoir en Galilée, son frère Philippe dans le pays d’Iturée et de Traconitide, Lysanias en Abilène,
les grands prêtres étant Hanne et Caïphe, la parole de Dieu fut adressée dans le désert à Jean, le fils de Zacharie.
Il parcourut toute la région du Jourdain, en proclamant un baptême de conversion pour le pardon des péchés,
comme il est écrit dans le livre des oracles d’Isaïe, le prophète :
« Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers.
Tout ravin sera comblé, toute montagne et toute colline seront abaissées ; les passages tortueux deviendront droits, les chemins rocailleux seront aplanis;
et tout être vivant verra le salut de Dieu. »
Commentaire du jour.
Origène (v. 185-253), Prêtre et Théologien.
Homélies sur St Luc, n°22, 1-3 (trad. SC 87, p. 301 rev. Solesmes)
« Préparez le Chemin du Seigneur »
Il est écrit au sujet de Jean : « Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers ».
Mais la suite concerne uniquement Le Seigneur Notre Sauveur. Car ce n'est pas Jean qui a « comblé toute vallée », mais Le Seigneur Notre Sauveur.
Que chacun considère ce qu'il était avant d'avoir la Foi : il constatera qu'il était une vallée profonde, en pente, plongeant dans les abîmes.
Mais Le Seigneur Jésus est venu et a envoyé L'Esprit-Saint à sa place ; alors « toute vallée a été comblée ».
Elle a été comblée avec les bonnes œuvres et les fruits du Saint-Esprit. La Charité ne laisse pas subsister en toi de vallée et, si tu possèdes la Paix, la Patience et la Bonté, non seulement tu cesseras d'être vallée, mais tu commenceras à devenir montagne de Dieu...
« Toute montagne et toute colline seront abaissées. » Dans ces montagnes et ces collines abaissées, on peut voir les puissances ennemies qui se dressaient contre les hommes. En effet pour que les vallées dont nous parlons soient comblées, les puissances ennemies, montagnes et collines, devront être abaissées.
Mais voyons si la prophétie suivante concernant l'avènement du Christ s'est accomplie. De fait, le texte poursuit : « Et tout ce qui était tortueux deviendra droit ».
Chacun de nous était tortueux — si du moins il s'agit de ce qui était autrefois et non de ce que nous restons encore aujourd'hui — et la venue du Christ qui s'accomplit jusqu'en notre âme a redressé tout ce qui était tortueux...
Prions pour que chaque jour son avènement s'accomplisse en nous et que nous puissions dire : « Je vis, mais ce n'est plus moi, c'est Le Christ qui vit en moi » (Ga 2,20).
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/2eme-Dimanche-de-l-Avent-C.html
(Carmel).
2e Dimanche de l’Avent -C-
Dans cet Évangile, St Luc indique avec un luxe inaccoutumé de précision, le moment exact où la Parole de Dieu se fit entendre à Jean le Baptiste au désert.
Il parle presque en historiens modernes soucieux de rigueur scientifique, et de ce fait son annonce revêt un caractère tout à fait solennel. Il est vrai que ce moment précis était d’une importance capitale, bouleversante même, et il importait donc de le circonscrire correctement dans le temps, dans l’histoire.
Car en ce moment précis, Dieu, l’Éternel, allait s’insérer dans le temps, Celui qui est sans commencement et sans fin, allait se couler dans notre histoire, il consentait à être mesuré par le temps, à avoir, comme chacun de nous, un passé et un avenir, une naissance, une jeunesse, une maturité, une mort.
Ce moment, d’une extrême importance, allait changer le cours du temps.
Avant Jésus, le temps avançait et convergeait vers Lui. Depuis le passage de Jésus, le temps, tout en continuant de progresser, reste, pour ainsi dire, adossé à Jésus.
En effet, depuis 2000 ans des générations de Chrétiens s’appuient sur Lui, font mémoire de Lui, répètent les paroles et les gestes de Jésus.
Mais nous ne restons pas seulement fixer sur le passé, notre regard se porte aussi sur l’avenir. Car il n’y a pas seulement le souvenir de Jésus, passant autrefois, il y a aussi la promesse du retour en Gloire de Jésus.
De sorte que l’Église se trouve comme doublement marquée et aspirée entre le souvenir de Jésus devenu autrefois et l’attente de Jésus au revenant bientôt.
Dans cette tension entre le passé et l’avenir, le temps a aussi changé de qualité. En Jésus, naissant et évoluant sur cette Terre à une date précise il y a 20 siècles, c’est notre temps des hommes qui a été comme ensemencés par l’éternité de Dieu.
Les instants qui se succèdent depuis Jésus ne ressemblent plus aux instants qui étaient avant Jésus.
Désormais chaque instant qui passe possède une dimension nouvelle, au cœur de chaque instant, reçu de la main de Dieu, se cache un possible Avent, un avènement de Jésus.
À chaque instant, nous sommes appelés à une rencontre.
La Terre n’a pas changé, mais elle est désormais pleine de Dieu, les jours n’ont pas changé de visage, et cependant le jour au jour et la nuit à la nuit se redise les merveilles de Dieu.
Pour cela, il nous faut ouvrir notre regard de Foi pour recevoir à chaque instant de la main de Dieu la dimension d’éternité qui marque désormais la Création.
Jean-Baptiste l’annonçait après le prophète Baruch, les monts élevés seront abaissés, les combes et les vallées seront nivelées, les chemins tortueux seront rendus droits. Et Dieu guidera de nouveau son peuple, au milieu des fêtes, à la lumière de sa Gloire, avec sa sainteté et sa Miséricorde.
Un jour, quand nos yeux souffriront de cette façon, capable de percevoir la délicatesse de Dieu, nous serons tout étonnés et nous dirons : vraiment, Dieu était tout proche de nous, à chaque instant, et nous ne l’apercevions pas. Notre histoire était une histoire sainte, écrit avec le cœur et le doigt de Dieu, et nous ne le savions pas.
L’Avent liturgique nous revient chaque année pour nous rappeler l’inlassable densité du temps, c’est-à-dire que chaque instant est un avènement de Jésus, un Avent.
Depuis son incarnation, et son œuvre de Rédemption, le temps est devenu le temps de Jésus. Et nous sommes invités à attendre la pleine réalisation des promesses, à désirer intensément cette réalisation.
Non pas qu’il est disparu de notre horizon, parce qu’il est toujours là, mais parce que nous risquons de dévaloriser l’instant présent, d’oublier que désormais l’instant présent et la plénitude du temps.
La plénitude du temps car c’est un temps plein de sa Grâce et de sa Miséricorde. L’Avent Liturgique est un temps sacré, où chaque instant s’ouvre comme naturellement sur l’éternité, où Jésus ne cesse de nous advenir. « Ainsi, dans la droiture, vous marcherez sans trébucher vers le jour du Christ ; et vous aurez en plénitude la justice obtenue grâce à Jésus-Christ, pour la gloire et la louange de Dieu. »
Il en est de même, d’une façon particulière, pour chacune de nos liturgies où il nous est donné de Célébrer en même temps le Jésus de l’histoire, les yeux tournés vers le passé, et le Jésus de la Gloire, le cœur ouvert vers l’avenir.
Nous faisons en mémoire de Lui, nous écoutons sa Parole, nous revivons les gestes qu’il a posés, dans le cours de cette histoire qui attend son accomplissement.
Chacune de nos liturgies nous libère d’une certaine manière du temps qui passe en nous rendant présent à l’éternité de Dieu à l’œuvre aujourd’hui, le présent accueille l’éternité, mais c’est aussi l’éternité qui accueille notre présent.
Avec Jésus au milieu de nous, nous nous tenons déjà devant le trône de l’agneau, avec Lui en rendant grâce, louant Dieu et intercédant pour tous les hommes d’aujourd’hui.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/I_12
Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
«Préparez le Chemin du Seigneur, aplanissez sa Route»
Aujourd'hui par la bouche de Jean-Baptiste, l’Évangile nous pousse à préparer le chemin vers Le Seigneur Jésus.
Mais, devons-nous ouvrir une voie à Dieu? N’est-ce pas moi, plutôt, qui a besoin d’être secouru par Dieu? Bien entendu, nous ne pouvons rien faire sans Lui, mais en même temps, Lui, il veut avoir besoin de nous : «Aplanissez sa route» (Lc 3,4).
Comment est-ce possible? Car l’Amour ne s’impose pas; on peut, en tout cas, le proposer: «Lui qui t’a créé sans toi, ne te sauvera pas sans toi» (Saint Augustin).
Jésus est sur le point d’arriver sur Terre, et nous le retrouverons comme un petit enfant, «sans défense» allongé dans une crèche: si petit qu’il ne pourra pas escalader les murs de l'orgueil de mon cœur, ni émerger au-dessus des vagues de ma sensualité.
Si on reprend les paroles de Benoit XVI, «la Foi chrétienne nous offre précisément le réconfort que Dieu est si grand qu’il peut se faire petit».
Mais, j’insiste, si petit que si nous ne nous rendons pas petits nous-mêmes, nous ne le verrons même pas passer, ou nous pourrions (comme Hérode) en arriver à avoir peur de Lui.
Ainsi donc, nous devons diriger nos cœurs de façon à «discerner ce qui est le plus important. Ainsi, dans la droiture, vous marcherez sans trébucher vers le jour du Christ» (Flp 1,10).
«Aplanissez sa route». Cette requête n’est pas nouvelle. Cela fait beaucoup de siècles — au temps du prophète Baruch— que Yahvé-Dieu le demandait à Israël.
Nous pouvons le remarquer dans la 1ère lecture d’aujourd’hui: «Car Dieu a décidé que les hautes montagnes et les collines éternelles seraient abaissées, et que les vallées seraient comblées: ainsi la Terre sera aplanie, afin qu'Israël chemine en sécurité dans la Gloire de Dieu». (Bar 5,7).
De la même manière que Le Seigneur a fait revenir les captifs de Sion, si nous mettons de côté les obstacles (collines de l'orgueil, vallées de la tiédeur…), nous chanterons avec des larmes aux yeux: «Quelles merveilles Le Seigneur fit pour nous: nous étions en grande fête!» (Ps 125,3).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2021-12-05/tout-etre-vivant-verra-le-salut-de-dieu
HYMNE : Ô VIENS, JÉSUS, Ô VIENS, EMMANUEL
Ô viens, Jésus, ô viens, Emmanuel,
Nous dévoiler le monde fraternel
Où ton amour, plus fort que la mort,
Nous régénère au sein d’un même corps.
R/ Chantez, chantez, il vient à notre appel
combler nos cœurs, Emmanuel.
Ô viens, Berger que Dieu nous a promis,
Entends au loin ton peuple qui gémit ;
Dans la violence il vit son exil,
De ses souffrances quand renaîtra-t-il ?
Ô viens, Jésus, et dans la chair blessée,
Fleuris pour nous, racine de Jessé ;
Près de l’eau vive, l’arbre planté
Soulève jusqu’à Dieu le monde entier.
Ô viens, Jésus, tracer notre chemin,
Visite-nous, Étoile du matin,
Du fond de nos regards fais monter
L’éclat soudain du jour d’éternité.
HYMNE : DIEU EST À L’ŒUVRE EN CET ÂGE
Dieu est à l’œuvre en cet âge,
Ces temps sont les derniers.
Dieu est à l’œuvre en cet âge,
Son Jour va se lever !
Ne doutons pas du Jour qui vient,
La nuit touche à sa fin.
Et l’Éclat du Seigneur remplira l’univers
Mieux que l’eau ne couvre les mers !
Quelle est la tâche des hommes
Que Dieu vient rassembler,
Afin de bâtir le Royaume
Du prince de la Paix ?
Que peut-on faire pour hâter
Ce jour tant espéré
Où l’Éclat du Seigneur remplira l’univers
Mieux que l’eau ne couvre les mers ?
Pour que ce jour ne nous perde,
Ce jour comme un voleur,
Ne dormons pas aux ténèbres,
Veillons dans le Seigneur.
Comme l’éclair part du Levant
Et va jusqu’au Couchant,
Il viendra dans sa gloire au-dessus des nuées,
Le Seigneur qui est Dieu d’amour.
Que notre marche s’éclaire
Au signe de Jésus !
Lui seul peut sauver notre terre
Où l’homme n’aime plus.
Il faut défendre l’exploité,
Ouvrir au prisonnier,
Et l’Éclat du Seigneur remplira l’univers
Mieux que l’eau ne couvre les mers !
Dieu est amour pour son peuple,
Il aime pardonner.
Dieu est amour pour son peuple,
Il veut sa liberté.
Ne doutons pas du jour qui vient,
La nuit touche à sa fin.
Déchirons notre cœur, revenons au Seigneur,
Car il est le Dieu qui revient.
HYMNE : DEBOUT ! LE SEIGNEUR VIENT !
Debout ! Le Seigneur vient !
Une voix prophétique
A surgi du désert.
Un désir, une attente
Ont mûri nos esprits.
Préparons-nous !
Debout ! Le Seigneur vient !
La parole s’infiltre,
Elle ébranle nos cœurs.
Et voici le Royaume,
Il s’approche, il est là.
Réveillons-nous !
Debout ! Le Seigneur vient !
L’espérance nouvelle
Entre à flots dans nos vies.
Son mystère féconde
Un silence de foi.
Purifions-nous !
Debout ! Le Seigneur vient !
Bienheureux les convives
Au festin de l’amour.
Dieu lui-même s’invite
Et nous verse la joie.
Rassemblons-nous !
Le Seigneur vient !
Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur tout-puissant et miséricordieux, ne laisse pas le souci de nos tâches présentes entraver notre marche à la rencontre de Ton Fils ; mais éveille en nous cette intelligence du cœur qui nous prépare à l’accueillir et nous fait entrer dans sa propre Vie.
Lui qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.
Parole de Dieu : (Rm 13, 11-12)… (Office des Laudes).
C’est le moment, l’heure est venue de sortir de votre sommeil. Car le Salut est plus près de nous maintenant qu’à l’époque où nous sommes devenus croyants. La nuit est bientôt finie, le jour est tout proche.
Rejetons les activités des ténèbres, revêtons-nous pour le combat de la Lumière.
Parole de Dieu : (Ph 4, 4-5)… (Office des Vêpres).
Soyez toujours dans la Joie du Seigneur ; laissez-moi vous le redire : soyez dans la Joie. Que votre sérénité soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche.
Date de dernière mise à jour : 08/12/2024
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