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- Eucharistie du Vendredi 17 Avril 2020 : L’Église Célèbre la Solennité du Vendredi dans l’Octave de Pâques.
Eucharistie du Vendredi 17 Avril 2020 : L’Église Célèbre la Solennité du Vendredi dans l’Octave de Pâques.
Eucharistie du Vendredi 17 Avril 2020 : L’Église Célèbre la Solennité du Vendredi dans l’Octave de Pâques.
Fête de Sainte Kateri Tekakwitha, Indienne du continent nord-américain. Première Sainte amérindienne (1656-1680).
Fête de la Bse Claire (Chiara) Gambacorti, Dominicaine (1362-1420).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre des Actes des Apôtres 4,1-12... Psaume 118(117),1-2.4.22-24.25-27a... Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 21,1-14.
Commentaire de Saint John Henry Newman (1801-1890), Cardinal, théologien, Fondateur de l'Oratoire en Angleterre.
Autre commentaire de Saint Grégoire de Narek (v. 944-v. 1010), Moine et poète arménien.
Autre commentaire de Saint Maxime de Turin (?-v. 420), Évêque.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Joaquim MONRÓS i Guitart (Tarragona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Vendredi 17 Avril 2020 : Fête de Sainte Kateri Tekakwitha, Indienne du continent nord-américain. Première Sainte amérindienne (1656-1680).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Kateri Tekakwitha.
Vendredi 17 Avril 2020 : Fête de la Bse Claire (Chiara) Gambacorti, Dominicaine (1362-1420).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bse Claire (Chiara) Gambacorti.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre des Actes des Apôtres 4,1-12.
En ces jours-là, après la guérison de l’infirme, comme Pierre et Jean parlaient encore au peuple, les prêtres survinrent, avec le commandant du Temple et les sadducéens ;
ils étaient excédés de les voir enseigner le peuple et annoncer, en la personne de Jésus, la résurrection d’entre les morts.
Ils les firent arrêter et placer sous bonne garde jusqu’au lendemain, puisque c’était déjà le soir.
Or, beaucoup de ceux qui avaient entendu la Parole devinrent croyants ; à ne compter que les hommes, il y en avait environ cinq mille.
Le lendemain se réunirent à Jérusalem les chefs du peuple, les anciens et les scribes.
Il y avait là Hanne le grand prêtre, Caïphe, Jean, Alexandre, et tous ceux qui appartenaient aux familles de grands prêtres.
Ils firent amener Pierre et Jean au milieu d’eux et les questionnèrent : « Par quelle puissance, par le nom de qui, avez-vous fait cette guérison ? »
Alors Pierre, rempli de l’Esprit Saint, leur déclara : « Chefs du peuple et anciens,
nous sommes interrogés aujourd’hui pour avoir fait du bien à un infirme, et l’on nous demande comment cet homme a été sauvé.
Sachez-le donc, vous tous, ainsi que tout le peuple d’Israël : c’est par le nom de Jésus le Nazaréen, lui que vous avez crucifié mais que Dieu a ressuscité d’entre les morts, c’est par lui que cet homme se trouve là, devant vous, bien portant.
Ce Jésus est la pierre méprisée de vous, les bâtisseurs, mais devenue la pierre d’angle.
En nul autre que lui, il n’y a de salut, car, sous le ciel, aucun autre nom n’est donné aux hommes, qui puisse nous sauver. »
Psaume 118(117),1-2.4.22-24.25-27a.
Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !
Éternel est son amour !
Oui, que le dise Israël :
Éternel est son amour !
Qu'ils le disent, ceux qui craignent le Seigneur :
Éternel est son amour !
La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs
est devenue la pierre d'angle :
c'est là l'œuvre du Seigneur,
la merveille devant nos yeux.
Voici le jour que fit le Seigneur,
qu'il soit pour nous jour de fête et de joie !
Donne, Seigneur, donne le salut !
Donne, Seigneur, donne la victoire !
Béni soit au nom du Seigneur celui qui vient !
De la maison du Seigneur, nous vous bénissons !
Dieu, le Seigneur, nous illumine.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 21,1-14.
En ce temps-là, Jésus se manifesta encore aux disciples sur le bord de la mer de Tibériade, et voici comment.
Il y avait là, ensemble, Simon-Pierre, avec Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), Nathanaël, de Cana de Galilée, les fils de Zébédée, et deux autres de ses disciples.
Simon-Pierre leur dit : « Je m’en vais à la pêche. » Ils lui répondent : « Nous aussi, nous allons avec toi. » Ils partirent et montèrent dans la barque ; or, cette nuit-là, ils ne prirent rien.
Au lever du jour, Jésus se tenait sur le rivage, mais les disciples ne savaient pas que c’était lui.
Jésus leur dit : « Les enfants, auriez-vous quelque chose à manger ? » Ils lui répondirent : « Non. »
Il leur dit : « Jetez le filet à droite de la barque, et vous trouverez. » Ils jetèrent donc le filet, et cette fois ils n’arrivaient pas à le tirer, tellement il y avait de poissons.
Alors, le disciple que Jésus aimait dit à Pierre : « C’est le Seigneur ! » Quand Simon-Pierre entendit que c’était le Seigneur, il passa un vêtement, car il n’avait rien sur lui, et il se jeta à l’eau.
Les autres disciples arrivèrent en barque, traînant le filet plein de poissons ; la terre n’était qu’à une centaine de mètres.
Une fois descendus à terre, ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise avec du poisson posé dessus, et du pain.
Jésus leur dit : « Apportez donc de ces poissons que vous venez de prendre. »
Simon-Pierre remonta et tira jusqu’à terre le filet plein de gros poissons : il y en avait cent cinquante-trois. Et, malgré cette quantité, le filet ne s’était pas déchiré.
Jésus leur dit alors : « Venez manger. » Aucun des disciples n’osait lui demander : « Qui es-tu ? » Ils savaient que c’était le Seigneur.
Jésus s’approche ; il prend le pain et le leur donne ; et de même pour le poisson.
C’était la troisième fois que Jésus ressuscité d’entre les morts se manifestait à ses disciples.
Commentaire du jour.
Saint John Henry Newman (1801-1890), Cardinal, théologien, Fondateur de l'Oratoire en Angleterre.
PPS vol. 8, n°2 (trad. Saleilles, 1906, p. 97-98 rev)
« C'est Le Seigneur ! »
Nous sommes lents à nous rendre compte de cette grande et sublime vérité que Le Christ marche encore, en quelque sorte, au milieu de nous, et de sa main, de son regard ou de sa voix, nous fait signe de le suivre.
Nous ne comprenons pas que cet appel du Christ est une chose qui se réalise tous les jours, aujourd'hui comme autrefois.
Nous en sommes à croire que c'était bon au temps des apôtres, mais aujourd'hui nous n'y croyons plus à notre égard, nous ne sommes pas attentifs à le rechercher à notre sujet.
Nous n'avons plus des yeux pour voir le Maître — bien différents en cela de l'apôtre bien-aimé qui a reconnu Le Christ, même quand tous les autres disciples ne le reconnaissaient pas.
Il était là, cependant, debout sur le rivage ; c'était après sa Résurrection, quand il ordonnait de jeter le filet dans la mer ; c'est alors que le disciple que Jésus aimait dit à Pierre : « C'est Le Seigneur ! »
Ce que je veux dire, c'est que les hommes qui mènent une vie de croyant aperçoivent de temps en temps des vérités qu'ils n'avaient pas encore vues, ou sur lesquelles leur attention n'avait jamais été appelée.
Et tout d'un coup, elles se dressent devant eux comme un appel irrésistible. Or, il s'agit de vérités qui engagent notre devoir, qui prennent la valeur de préceptes, et qui demandent l'obéissance.
C'est de cette façon, ou par d'autres encore, que Le Christ nous appelle maintenant. Il n'y a rien de miraculeux ou d'extraordinaire dans cette façon de faire.
Il agit par l'intermédiaire de nos facultés naturelles et au moyen des circonstances mêmes de la vie.
Commentaire du jour.
Saint Grégoire de Narek (v. 944-v. 1010), Moine et poète arménien.
Le Livre de prières, n°66 (trad. SC 78, p. 411 rev.)
« Au lever du jour, Jésus était là, sur le rivage »
Dieu miséricordieux, très compatissant, ami des hommes (Sg 1,6)..., lorsque tu parles, rien n'est impossible, même ce qui paraît impossible à notre esprit : c'est Toi qui donnes un fruit savoureux en échange des dures épines de cette vie...
Seigneur Christ, souffle de nos narines (Lm 4,20) et splendeur de notre beauté..., lumière et donateur de la lumière, tu ne prends pas plaisir au mal, tu ne veux la perdition de personne, tu ne souhaites jamais la mort (Ez 18,32).
Tu n'es pas agité par le trouble, ni assujetti à la colère ; tu n'es pas intermittent en ton amour, ni changeant en ta compassion ; tu ne varies jamais dans ta bonté.
Tu ne tournes pas le dos, tu ne détournes pas la face, mais tu es totalement lumière et volonté de Salut.
Quand tu veux pardonner, tu le peux ; quand tu veux guérir, tu es puissant ; quand tu veux vivifier, tu en es capable ; quand tu veux accorder ta grâce, tu es généreux ; quand tu veux rendre à la santé, tu es habile...
Quand tu veux rénover tu es Créateur ; quand tu veux ressusciter, tu es Dieu... Quand, avant même que nous le demandions, tu veux étendre la main, tu ne manques de rien...
Si tu veux m'affermir, moi qui suis ébranlé, tu es rocher ; si tu veux me donner à boire, à moi l'assoiffé, tu es source ; si tu veux révéler ce qui est caché, tu es lumière...
Toi qui pour mon Salut as combattu avec force..., tu as pris sur ton corps innocent toute la souffrance des châtiments que nous avions mérités, afin que, en devenant exemple, tu manifestes en acte la Compassion que tu nous portes.
Commentaire du jour.
Saint Maxime de Turin (?-v. 420), Évêque.
CC Sermon 53, sur le Ps 117 Homélie sur le Ps 14 (trad. coll. Icthus, vol. 10, p. 256)
« Au lever du jour, Jésus était là sur le rivage »
Ce jour qu'a fait Le Seigneur (Ps 117,24) pénètre tout ; il contient tout, il embrasse tout, Ciel, Terre et Enfer ! ...
Et quel est ce jour du Ciel sinon Le Christ, dont parle le prophète : « Le jour au jour énonce le récit » (Ps 18,3).
Oui, ce jour est Le Fils à qui Le Père, qui est aussi la Lumière du jour, énonce le secret de sa Divinité. C'est Lui, ce jour qui dit par la voix du Sage : « J'ai créé un jour qui se lèvera à jamais dans le Ciel » (Si 24,32)...
Ainsi la Lumière du Christ luit à jamais, elle rayonne, elle flamboie, et les ténèbres du péché ne peuvent l'étreindre. « La Lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas retenue » (Jn 1,5).
À la Résurrection du Christ, tous les éléments sont glorifiés ; je suis sûr que le soleil a brillé ce jour-là d'un plus vif éclat.
Ne devait-il pas entrer dans la Joie de la Résurrection, lui qui s'était attristé à la mort du Christ ? (Mt 27,45)...
Comme un serviteur fidèle, il s'est obscurci pour accompagner Le Christ dans la tombe ; aujourd'hui, il doit resplendir pour saluer la Résurrection...
Frères, réjouissons-nous en ce saint Jour ; que nul, au souvenir de son péché, ne se dérobe à la Joie commune ! Que personne ne désespère du Pardon.
Une faveur immense l'attend. Si Le Seigneur, sur la Croix, a eu pitié d'un bandit..., de quels bienfaits la Gloire de sa Résurrection ne nous comblera-t-elle pas ?
Autre commentaire du jour.
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise avec du poisson posé dessus, et du pain.
En ce temps Pascal, la figure du Christ ressuscité est une nouvelle fois mise devant nos yeux. Dans le passage d’Évangile de ce jour, elle peut être mise en rapport avec le thème de la mission tant dans son contenu que dans les conditions qu’elle requière pour pouvoir porter du fruit.
Et la péricope évangélique de ce jour souligne particulièrement le lien qui existe entre la mission et l’Eucharistie.
Les apôtres après avoir rempli leur filet de poissons, sont invités par Jésus à partager le Pain de sa présence.
Dans le geste de Jésus sur le bord du lac, qui prend le pain et le donne à ses disciples, nous pouvons lire une allusion claire à l’Eucharistie.
La présence du poisson est aussi à considérer de ce point de vue.
Les Pères de l’Église, tel Augustin, y ont toujours vu la figure du Christ : « Le poisson cuit, c’est Le Christ qui a souffert et il est le Pain qui est descendu du Ciel. »
Dans l’iconographie primitive, pains et poisson n’ont pas manqué non plus de désigner le repas Eucharistique.
Le Concile Vatican II affirme que l’Eucharistie est « la source et le sommet de toute évangélisation » (Presbyterorum Ordinis, 5).
Elle est l’horizon et le but de toute la proclamation de l’Évangile du Christ.
Autrement dit, l’évangélisation n’a pas d’autre but que d’amener à la rencontre du Christ mort et ressuscité, lequel se donne pleinement pour notre Salut dans le Sacrement de son Corps et de son Sang.
« Seigneur très bon, accomplis en nous l’échange que nous attendons de cette offrande Pascale que nous te présentons au cours de l’Eucharistie de ce jour.
Transfigure en Amour du Ciel l’Amour que nous portons au monde à travers nos divers engagements missionnaires » (Cf. Prière sur les offrandes de la Messe du jour).
Frère Élie.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/III_09
Abbé Joaquim MONRÓS i Guitart (Tarragona, Espagne).
«C'était la troisième fois que Jésus ressuscité d'entre les morts se manifestait à ses disciples»
Aujourd'hui pour la troisième fois depuis sa Résurrection, Jésus se manifeste aux disciples. Pierre est retourné à son travail de pêcheur et les autres l'ont accompagné.
S'il était pêcheur avant de se joindre à Jésus, il est normal qu'il continue après, alors que certains s'étonnent que, pour suivre Le Christ, l'on ne soit pas tenu d’abandonner un travail honnête.
Cette nuit-là, ils ne prirent rien! Et quand au lever du jour, Jésus apparaît, ils ne le reconnaissent que lorsqu'il leur demande quelque chose à manger.
Quand ils répondent qu'ils n'ont rien, Il leur indique où ils doivent jeter le filet. Et bien que les pêcheurs soient au courant de tout, et qu'ils aient travaillé sans résultat toute la nuit, ils obéissent.
«Pouvoir de l'obéissance! —Le lac de Génésareth, a refusé ses poissons aux filets de Pierre. Toute la nuit en vain. —Maintenant, obéissant, il remet le filet à l'eau et voici qu'ils prennent (...) une grande quantité de poissons. —Crois-moi: le miracle se reproduit chaque jour» (Saint Josemaría).
L'Évangéliste nous raconte qu'il y avait «cent cinquante-trois gros poissons» (cf. Jn 21:11) mais que, malgré cette quantité, le filet ne se rompit pas. Ce sont des détails à prendre en considération; la Rédemption s'est faite avec une obéissance responsable, au beau milieu des tâches quotidiennes.
Tous savaient «que c'était Le Seigneur. Jésus s'approche, prend le pain et le leur donne» (Jn 21:12-13). Ainsi que les poissons.
Que ce soit la nourriture spirituelle ou la matérielle, elle ne nous manquera pas si nous obéissons.
Il l'apprend à ses disciples les plus proches et nous le redit par l'entremise de Saint Jean Paul II: «Au début du nouveau millénaire (…) dans notre cœur résonnent à nouveau les paroles par lesquelles Jésus, (…) invita l'Apôtre à «avancer au large» pour pêcher: «Duc in altum» (Lc 5:4).
Pierre et ses premiers compagnons firent confiance à la Parole du Christ et jetèrent leurs filets. «Et l'ayant fait, ils capturèrent une grande multitude de poissons» (Lc 5,6). Cette Parole résonne aujourd'hui pour nous.
Avec une obéissance, comme celle de Marie, nous demandons au Seigneur de continuer d'octroyer à toute l'Église des fruits d'apostolat.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2020-04-17/Les-enfants-auriez-vous-quelque-chose-a-manger
HYMNE : LUMIÈRE AUX NUITS DE MORT
R/Lumière aux nuits de mort,
feu de Pâque aujourd'hui,
allume un chant d'espoir,
Dieu de Pâque dans nos vies.
Fini le temps du Golgotha,
fini le cri du Fils de l'homme,
finie la croix,
sinon pour l'homme
que nous sommes.
Où donc est ta victoire,
Jésus ressuscité ?
Fini le temps du Serviteur,
fini le soir du Fils de l'homme,
finie la peur,
sinon pour l'homme
que nous sommes.
Où donc est ta victoire,
Jésus ressuscité ?
Premier réveil au Dieu de vie,
premier matin du Fils de l'homme,
premier réveil
aussi pour l'homme
que nous sommes.
Où donc est ta victoire,
ô mort du Premier-Né ?
Encore le temps des Golgotha,
encore la soif au cœur de l'homme,
immense croix
du Fils de l'homme
que nous sommes.
Où donc est ta victoire,
ô mort du Premier-Né ?
Viendra le temps de nos soleils,
viendra ton jour, ô Fils de l'homme,
en toi réveil
de tout cet homme
que nous sommes.
Ton Souffle est notre Pâque,
Jésus ressuscité !
HYMNE : LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS
Louange à toi, Seigneur Jésus !
L'humble chemin de ta venue
guide nos pas jusqu'au salut.
R/ Alléluia, alléluia ! alléluia !
La mort n'a pu garder sa proie,
l'enfer vaincu s'ouvre à ta voix,
l'amour triomphe par la croix.
Voici la tombe descellée,
et ses témoins, pour l'annoncer,
sont envoyés au monde entier.
Tu es vivant, gloire à ton nom !
Hâte le temps où nous pourrons
vivre sans fin dans ta maison.
HYMNE : LE SEIGNEUR VIT ! PLUS DE LARMES,
Le Seigneur vit ! Plus de larmes,
plus de plaintes, plus de peurs !
Ni la mort, ni le sépulcre,
de lui n'ont été vainqueurs !
Il n'est pas entre les morts,
celui qui pour toujours vivra !
Jésus vit, et la nouvelle
par le monde s'en ira !
Si le Christ ne ressuscite,
vaine alors est notre foi !
Mais il tient cette promesse :
Vous vivrez tous comme moi !
Par Adam nous vient la mort.
La vie, Jésus nous l'a donnée !
Plus de peur ! C'est la victoire
du Seigneur ressuscité !
La mort tient de notre faute,
du péché, son aiguillon.
N'ayez crainte, Jésus donne
et la vie et le pardon.
Rendons grâces ! Dieu le Père
nous veut en sécurité.
En Jésus, si l'homme espère,
il vivra l'éternité !
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu éternel et tout-puissant, tu as offert aux hommes le Sacrement de Pâques pour les rétablir dans ton Alliance ; accorde-nous d’exprimer par toute notre Vie ce Mystère que nous Célébrons dans la Foi.
Parole de Dieu : (Ac 5, 30-32)... (Office des Laudes).
Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus, que vous aviez exécuté en le pendant au bois du supplice. C’est Lui que Dieu, par sa puissance, a élevé en faisant de Lui le Chef, le Sauveur, pour apporter à Israël la conversion et le Pardon des péchés.
Quant à nous, nous sommes les témoins de tout cela, avec L’Esprit-Saint, que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent.
Parole de Dieu : (He 5, 8-10)... (Office des Vêpres).
Bien qu’il soit Le Fils, Le Christ a pourtant appris l’Obéissance par les Souffrances de sa Passion ; et, ainsi conduit à sa perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la cause du Salut éternel.
Car Dieu l’a proclamé Grand-Prêtre selon le Sacerdoce de Melkisédek.
Date de dernière mise à jour : 17/04/2020
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