Eucharistie du Samedi 22 Août 2020 : Samedi de la 20ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de la Très Sainte Vierge Marie, Reine.
Fête de Saint Philippe Benizi, Religieux Servite de Marie o.s.m. († 1285).
Fête de Saint Symphorien d'Autun, Martyr (3ème s.).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Ézéchiel 43,1-7a... Psaume 85(84),9ab.10.11-12.13-14... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 23,1-12.
Commentaire de L'Imitation de Jésus Christ, traité spirituel du 15e siècle
Autre commentaire de Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), Prêtre à Antioche puis Évêque de Constantinople, Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Samedi 22 Août 2020 : Fête de la Très Sainte Vierge Marie, Reine.
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Sainte Vierge Marie, Reine.
Samedi 22 Août 2020 : Fête de Saint Philippe Benizi, Religieux Servite de Marie o.s.m. († 1285).
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Saint Philippe Benizi.
Samedi 22 Août 2020 : Fête de Saint Symphorien d'Autun, Martyr (3ème s.).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Symphorien d'Autun.
Les Saints du 22 Août.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/aout/liste-des-saints-et-bienheureux-fetes-par-l-eglise-catholique-le-22-aout-n-y-sont-pas-encore-ceux-beatifies-ou-canonises-recemment.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre d'Ézéchiel 43,1-7a.
L’homme me conduisit vers la porte, celle qui fait face à l’orient ;
et voici que la gloire du Dieu d’Israël arrivait de l’orient. Le bruit qu’elle faisait ressemblait au bruit des grandes eaux, et la terre resplendissait de cette gloire.
Cette vision ressemblait à celle que j’avais eue lorsque le Seigneur était venu détruire la ville ; elle ressemblait aussi à la vision que j’avais eue quand j’étais au bord du fleuve Kebar. Alors je tombai face contre terre.
La gloire du Seigneur entra dans la Maison par la porte qui fait face à l’orient.
L’esprit m’enleva et me transporta dans la cour intérieure : voici que la gloire du Seigneur remplissait la Maison.
Et j’entendis une voix qui venait de la Maison, tandis que l’homme se tenait près de moi.
Cette voix me disait : « Fils d’homme, c’est ici le lieu de mon trône, le lieu sur lequel je pose les pieds, et là je demeurerai au milieu des fils d’Israël, pour toujours. La maison d’Israël ne rendra plus impur mon saint nom ; ni elle, ni ses rois avec leurs débauches, ni les cadavres de ses rois avec leurs tombes.
Psaume 85(84),9ab.10.11-12.13-14.
J'écoute : que dira le Seigneur Dieu ?
Ce qu'il dit, c'est la paix pour son peuple et ses fidèles.
Son salut est proche de ceux qui le craignent,
et la gloire habitera notre terre.
Amour et vérité se rencontrent,
justice et paix s'embrassent ;
la vérité germera de la terre
et du ciel se penchera la justice.
Le Seigneur donnera ses bienfaits,
et notre terre donnera son fruit.
La justice marchera devant lui,
et ses pas traceront le chemin.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 23,1-12.
En ce temps-là, Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples,
et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse.
Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas.
Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt.
Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens : ils élargissent leurs phylactères et rallongent leurs franges ;
ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues
et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi.
Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères.
Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux.
Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ.
Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.
Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé. »
Commentaire du jour.
L'Imitation de Jésus Christ, traité spirituel du 15e siècle
Livre 2, ch. 2 (trad. cf. bréviaire 3e mar. Avent)
« Le plus grand parmi vous sera votre serviteur »
Peu importe de savoir qui est avec toi ou contre toi ; prends plutôt soin que Dieu soit avec toi en tout ce que tu fais.
Garde ta conscience pure, et Dieu te défendra. Celui que Dieu voudra aider, aucune trahison ne pourra lui faire du mal.
Si tu sais te taire et demeurer patient, sans aucun doute tu recevras l'assistance du Seigneur.
C'est Lui qui connaît le moment et la manière de te délivrer, et voilà pourquoi tu dois t'abandonner à Lui.
C'est de Dieu que vient le secours, la délivrance de toute humiliation.
Il est souvent très avantageux, pour nous garder dans une plus grande humilité, que les autres connaissent et critiquent nos manquements.
Quand un homme apprend l'humilité de ses manquements, il lui est facile d'apaiser les autres, et il gagne facilement ceux qui s'irritent contre lui.
Autre commentaire du jour.
Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), Prêtre à Antioche puis Évêque de Constantinople, Docteur de l'Église.
Sur l'incompréhensibilité de Dieu, 5, 6-7 ; PG 48, 745 (trad. Orval rev.)
« Qui s'élèvera sera abaissé, qui s'abaissera sera élevé »
Si on est vraiment pécheur, il n'y a pas d'humilité à l'avouer. L'humilité commence lorsque quelqu'un qui sait qu'il a fait beaucoup de grandes choses n'en tire pas une haute idée de lui-même.
L'humilité existe lorsque, tout en étant semblable à Paul au point de pouvoir dire : « Ma conscience ne me reproche rien », on ajoute aussitôt, comme lui : « Mais je ne suis pas justifié pour autant » (1Co 4,4), ou encore : « Le Christ Jésus est venu sauver les pécheurs, dont je suis le premier » (1Tm 1,15).
Voilà en quoi consiste l'humilité : en dépit de la grandeur de nos actes, nous abaisser nous-mêmes en esprit.
Dieu, cependant, à cause de son Amour inexprimable des hommes, n'accueille et ne reçoit pas seulement ceux qui s'abaissent devant lui de cette manière, mais aussi ceux qui avouent franchement leurs fautes ; il se montre favorable et bienveillant envers ceux qui sont en de telles dispositions.
Pour que tu apprennes combien il est bon de ne pas avoir une haute idée de soi-même, représente-toi deux chars.
Attelle à l'un la vertu et l'orgueil, à l'autre le péché et l'humilité. Tu verras l'attelage du péché devancer celui de la vertu, non certes par sa propre puissance, mais par la force de l'humilité qui l'accompagne, et tu verras l'autre dépassé non à cause de la faiblesse de la vertu, mais à cause du poids et de l'énormité de l'orgueil.
Autre commentaire du jour.
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens
Dans cet Évangile, Jésus met en garde contre les scribes et les pharisiens. Mais que leur reproche-t-il exactement ? Jésus ne leur conteste pas leur fonction d’enseignants de la Loi ; au contraire, Le Seigneur recommande de faire « tout » ce qu’ils disent. Ils sont donc de bons instructeurs.
Mais le problème semble être dans la différence entre ce qu’ils enseignent aux autres de faire et ce qu’ils font eux-mêmes. « Ils lient de puissants fardeaux et les mettent sur les épaules des gens ».
Ils ont bien conscience des actions que la vie spirituelle requiert, mais ils ne se sentent pas concernés par ces obligations : « eux-mêmes se refusent à remuer le bout du doigt ».
La première interprétation revient donc à opposer le dire et le faire. Les scribes ne font pas ce qu’ils disent de faire.
Mais il nous faut dépasser cette première évaluation : les scribes en effet ne font pas rien, la suite des remontrances de Jésus le montre. Ils aiment les observances et les pratiques rituelles. Or, elles sont nombreuses et difficile à mettre en pratique !
Les reproches de Jésus ne portent donc pas sur une opposition entre le dire et le faire (ici, entre le dire et le non-faire), mais sur une dissociation entre le dire et le faire.
Leur parole n’est pas habitée et leurs enseignements multiplient les prescriptions jusqu’à les rendre complètement impraticables.
Les pratiques sont devenues un en-soi qui n’est plus soutenu par un désir de la Vie à recevoir et à donner.
La Loi telle que la voient les scribes n’est plus au service de la Vie. « Toutes leurs actions, ils les font pour se donner en spectacle ».
La dissociation est là. Même si les actions sont impeccables et les enseignements irréprochables, l’intention ne l’est pas.
Le regard des hommes sur eux, le « qu’en-dira-t-on », est la référence de leur agir ; ils cherchent même à attirer le regard par leurs vêtements.
En un mot, ils cherchent à construire d’eux-mêmes une image sociale. La pointe de la critique de Jésus est là.
Il ne leur reproche pas d’être aux premières places : il n’est pas dit qu’ils exigent ces places, mais qu’ils les aiment.
La jouissance qu’ils tirent de l’idéalisation de leur image fait qu’ils ne s’adressent plus à leurs frères mais à l’image qu’ils ont d’eux-mêmes.
Nous voyons ainsi que la dénonciation de Jésus n’est pas une vaine polémique, ni une protestation d’ordre moral. La parole devrait permettre de distinguer chacun pour entrer dans une relation constructive, mais les scribes la pervertissent en un jeu de masques qui se répondent.
C’est dans ce contexte que Jésus donne des recommandations à ses disciples. Jésus ne veut pas leur parler du respect des observances (il l’a dit dès le début : il faut « tout » faire), il veut alerter ses disciples sur la nécessaire qualité que doivent avoir les relations entre eux.
Il leur demande ainsi de ne se faire appeler ni « rabbi », ni « père », ni « docteur ». Non pas que ces titres soient interdits, mais qu’il ne faut jamais perdre de vue qu’il n’y a sur la Terre que des frères, des fils, des disciples.
La référence unique pour tous est l’Autre, le Tout-Autre. Il est certain que chacun a sa place (Jésus n’a pas retiré aux scribes leur autorité pour enseigner) ; mais il ne faut pas perdre de vue que la balance qui évalue ces relations est simple : « le plus grand se fera le serviteur de tous ».
Seigneur, nous accueillons ton enseignement avec reconnaissance. Fais-nous sortir des illusions de ce monde, qui tentent de réduire les personnes à une image idéalisée de leur fonction dans la société.
Donne-nous ton Esprit de Vérité ; en lui, nous vivrons des relations fraternelles fondées sur la présence de l’Autre, du Tout-Autre, notre Père des Cieux.
C’est de Lui que nous recevons la Vie, le mouvement et l’être, c’est Lui qui nous adresse la Parole qui fonde notre identité et nous fait entrer dans un dialogue d’Amour. Alors nous connaîtrons la joie d’être des fils, la joie d’être des frères.
Frère Dominique.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_186
Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
«Qui s'élèvera sera abaissé, qui s'abaissera sera élevé»
Aujourd'hui, Jésus nous renvoie à nouveau un appel à l'humilité, une invitation à nous mettre à notre vraie place: «Ne vous faites pas donner le titre de “Rabbi” (…). Ne donnez à personne sur terre le nom de “père” (…). Ne vous faites pas non plus appeler “maîtres”» (Mt 23,8-10). Avant de nous approprier des titres de grandeur, commençons plutôt par remercier Dieu pour tout ce que nous avons et que nous avons reçu de sa part.
Comme le dit Saint Paul «As-tu quelque chose sans l'avoir reçu ? Et si tu as tout reçu, pourquoi t'enorgueillir comme si tu ne l'avais pas reçu?» (1Co 4,7).
Donc quand nous avons une bonne conscience parce que nous avons bien agi, nous ferions mieux de nous dire: «Nous sommes des serviteurs quelconques: nous n'avons fait que notre devoir» (Lc 17,10).
L'homme moderne est atteint d'une amnésie déplorable: nous vivons et nous agissons comme si nous étions les auteurs de la vie, les créateurs du monde.
D'une manière contrastante, Aristote est une source d'admiration, qui d'après sa théologie naturelle ignorait le concept de “création” (notion qui à l'époque, n'était connue que par révélation divine) et pourtant pour lui, il était clair que notre monde procédait d'une divinité (la Cause “non causée”).
Jean-Paul II nous appelle à avoir toujours présent dans notre esprit la dette que nous avons acquise envers Dieu: «Il faut que l'homme rende honneur à son Créateur en faisant offrande, par une action de grâce et de louange, tout ce qu'il a reçu de Lui.
L'homme ne peut pas oublier le sens de cette dette, dont lui seul, parmi toutes les réalités terrestres, peut la reconnaître».
D'autant plus que, si nous réfléchissons à la Vie surnaturelle, notre collaboration (car Dieu ne fera rien sans notre autorisation ou sans effort de notre part) consiste à ne pas perturber le travail du Saint-Esprit:
Laissez Dieu agir!, car la sainteté nous ne la fabriquons pas nous-mêmes. C'est Lui, qui est Rabbi, Père et Maître, qui nous la donne.
En tout cas, si nous croyons que nous sommes grands ou que nous avons quelque mérite, faisons de notre mieux et mettons-le au service des autres: «Le plus grand parmi vous sera votre serviteur» (Mt 21,11).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2020-08-22/Ils-disent-et-ne-font-pas
HYMNE : FEMME VOULUE PAR DIEU
Femme voulue par Dieu
Comme une œuvre parfaite
En qui reposerait
Le don de son Amour,
Tu exultes de joie
Aux promesses de vie :
Les pauvres en ton enfant
Seront peuple de prêtres,
Fils du Très-Haut.
Femme comblée par Dieu
De sagesse et de grâce
Pour être parmi nous
Reflet de sa bonté,
Tu révèles Celui
Qui étanche la soif :
Le Christ a fait pour toi
Couler en abondance
Un vin nouveau.
Femme guidée par Dieu
Au désert de l'épreuve
Où manque à notre espoir
La force d'un appui,
Tu nous vois chancelants
Sous le poids de la croix :
Ta foi inébranlée
Soutient notre faiblesse
Et nous conduit.
Femme donnée par Dieu
À l'Église naissante
Qui brûle d'accueillir
Le souffle de l'Esprit,
Ton silence nous offre
Un espace de paix :
En toi nous écoutons
La source qui murmure
Au fond des cœurs.
Femme vêtue par Dieu
D'un manteau de lumière,
Quand l'ombre de la mort
S'étend sur l'univers,
Tu éclaires la voie
Du Royaume des cieux :
Servante du Seigneur,
Tu règnes dans la gloire
Avec ton Fils.
HYMNE : NUÉE DE FEU
Sur ceux qui marchent dans la nuit,
Tu es venu
pour montrer le chemin vers Dieu,
Et ton calvaire ouvrit le ciel.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Présence de ton Père ;
Que nous chantions pour ton retour :
R/ Béni soit au nom du Seigneur,
Celui qui vient sauver son peuple.
Royal époux
Promis aux noces de la croix,
Tu es venu
réjouir les enfants de Dieu,
Et tu changeas notre eau en vin.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Tendresse pour la terre ;
Que nous chantions pour ton retour : R/
Ô Fils de Dieu
Sur qui repose l’Esprit-Saint,
Tu es venu
comme un feu qui consume tout,
Et l’univers s’embrase en toi.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Demeure de la Gloire ;
Que nous chantions pour ton retour : R/
HYMNE : IL VIENDRA
Il viendra,
Un soir
Où nul ne l’attend plus,
Peut-être.
Appelé par son nom,
Quelqu’un tressaillira.
Au cœur sans mémoire,
Qu’un temps soit accordé
Pour qu’il se souvienne !
Il viendra,
Un soir
Pareil à celui-ci,
Peut-être.
À l’orient, devant lui,
Le ciel s’embrasera.
Au pauvre, allez dire
Que tout s’accomplira
Selon la promesse.
Il viendra,
Un soir
Où rôde le malheur,
Peut-être.
Ce soir-là, sur nos peurs,
L’amour l’emportera.
Criez à tous les hommes
Que rien n’est compromis
De leur espérance.
Il viendra ;
Un soir
Sera le dernier soir
Du monde.
Un silence d’abord,
Et l’hymne éclatera.
Un chant de louange
Sera le premier mot
Dans l’aube nouvelle.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui as voulu que la Mère de Ton Fils soit notre Mère et notre Reine, fais que, soutenus par son intercession, nous obtenions dans le Ciel la Gloire promise à tes enfants.
Parole de Dieu : (2 P 3, 13-14)... (Office des Laudes).
Ce que nous attendons, selon la promesse du Seigneur, c’est un Ciel nouveau et une Terre nouvelle où résidera la Justice.
Dans l’attente de ce jour, frères bien-aimés, faites donc tout pour que Le Christ vous trouve nets et irréprochables, dans la Paix.
Parole de Dieu : (Rm 11, 33-36)... (Office des Vêpres).
Quelle profondeur dans la richesse, la sagesse et la science de Dieu ! Ses décisions sont insondables, ses chemins sont impénétrables !
Qui a connu la pensée du Seigneur ? Qui a été son conseiller ? Qui lui a donné en premier et mériterait de recevoir en retour ?
Car tout est de Lui, et par Lui, et pour Lui. À Lui la Gloire pour l’éternité ! Amen.