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- Eucharistie du Mercredi 08 Février 2017 : Mercredi de la 5ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).
Eucharistie du Mercredi 08 Février 2017 : Mercredi de la 5ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).
Eucharistie du Mercredi 08 Février 2017 : Mercredi de la 5ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Sainte Joséphine Bakhita, esclave soudanaise puis Religieuse Canossienne (1869-1947).
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saint Jérôme Émilien, Prêtre et Fondateur des « Clercs réguliers de Somasque » (1481-1537).
Fête de la Bienheureuse Speranza di Gesù, Fondatrice des Servantes de l'Amour Miséricordieux et des Fils de l'Amour Miséricordieux (1893-? 1983).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre de la Genèse 2,4b-9.15-17… Psaume 104(103),1-2a.27-28.29bc-30… Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 7,14-23.
Commentaire de Saint Grégoire de Nysse (v. 335-395), Moine et Évêque.
Autre commentaire de Jean Gobeil, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Norbert ESTARRIOL i Seseras (Lleida, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Mercredi 08 Février 2017 : Fête de Sainte Joséphine Bakhita, esclave soudanaise puis Religieuse Canossienne (1869-1947).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Joséphine Bakhita.
Mercredi 08 Février 2017 : Fête de Saint Jérôme Émilien, Prêtre et Fondateur des « Clercs réguliers de Somasque » (1481-1537).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Jérôme Émilien.
Mercredi 08 Février 2017 : Fête de la Bienheureuse Speranza di Gesù, Fondatrice des Servantes de l'Amour Miséricordieux et des Fils de l'Amour Miséricordieux (1893-? 1983).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Speranza di Gesù.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de la Genèse 2,4b-9.15-17.
Lorsque le Seigneur Dieu fit la terre et le ciel,
aucun buisson n’était encore sur la terre, aucune herbe n’avait poussé, parce que le Seigneur Dieu n’avait pas encore fait pleuvoir sur la terre, et il n’y avait pas d’homme pour travailler le sol.
Mais une source montait de la terre et irriguait toute la surface du sol.
Alors le Seigneur Dieu modela l’homme avec la poussière tirée du sol ; il insuffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint un être vivant.
Le Seigneur Dieu planta un jardin en Éden, à l’orient, et y plaça l’homme qu’il avait modelé.
Le Seigneur Dieu fit pousser du sol toutes sortes d’arbres à l’aspect désirable et aux fruits savoureux ; il y avait aussi l’arbre de vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Le Seigneur Dieu prit l’homme et le conduisit dans le jardin d’Éden pour qu’il le travaille et le garde.
Le Seigneur Dieu donna à l’homme cet ordre : « Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin ;
mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas ; car, le jour où tu en mangeras, tu mourras. »
Psaume 104(103),1-2a.27-28.29bc-30.
Bénis le Seigneur, ô mon âme ;
Seigneur mon Dieu, tu es si grand !
Revêtu de magnificence,
tu as pour manteau la lumière !
Tous, ils comptent sur toi
pour recevoir leur nourriture au temps voulu.
Tu donnes : eux, ils ramassent ;
tu ouvres la main : ils sont comblés.
Tu reprends leur souffle, ils expirent
et retournent à leur poussière.
Tu envoies ton souffle : ils sont créés ;
tu renouvelles la face de la terre.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 7,14-23.
En ce temps-là, appelant de nouveau la foule, Jésus lui disait : « Écoutez- moi tous, et comprenez bien.
Rien de ce qui est extérieur à l’homme et qui entre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. »
[…]
Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l’interrogeaient sur cette parabole.
Alors il leur dit : « Êtes-vous donc sans intelligence, vous aussi ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur,
parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments.
Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur.
Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres,
adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure.
Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
Commentaire du jour.
Saint Grégoire de Nysse (v. 335-395), Moine et Évêque.
Homélie 6 sur les Béatitudes ; PG 44, 1269 (trad. bréviaire 12e sam. rev.)
« Dieu, crée pour moi un cœur pur » (Ps 51,12)
Si, par un effort de vie parfaite, tu nettoies les scories de ton cœur, la beauté divine brillera de nouveau en toi.
C'est ce qui arrive avec un morceau de métal, lorsque la meule le débarrasse de sa rouille. Auparavant il était noirci, et maintenant il brille et rayonne au soleil.
De même l'homme intérieur, ce que Le Seigneur appelle « le cœur », lorsqu'on aura enlevé les taches de rouille qui altéraient et détérioraient sa beauté, retrouvera la ressemblance de son modèle (Gn 1,27), et il sera bon.
Car ce qui devient semblable à la Bonté est nécessairement bon...
Et ainsi celui qui a le cœur pur devient heureux (Mt 5,8) parce que, en redécouvrant sa pureté, il découvre, à travers cette image, son origine.
Ceux qui voient le soleil dans un miroir, même s'ils ne fixent pas le Ciel, voient le soleil dans la lumière du miroir aussi bien que s'ils regardaient directement le disque solaire.
De même vous, qui êtes trop faibles pour saisir la lumière, si vous vous tournez vers la grâce de l'image placée en vous dès le commencement, vous trouvez en vous-mêmes ce que vous recherchez.
En effet, la pureté, la paix de l'âme, l'éloignement de tout mal, voilà la divinité. Si tu possèdes tout cela, tu possèdes certainement Dieu.
Si ton cœur est dégagé de toute inconduite, libre de toute passion, pur de toute souillure, tu es heureux, car ton regard est clair.
Autre commentaire du jour.
http://villaloyola.com/fr/node/27
Jean Gobeil, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments.
Une tradition veut que Marc ait été l’interprète de Pierre. Ainsi, quand il arrête le récit pour souligner clairement que Jésus déclarait purs tous les aliments, il reflète un problème des premiers Chrétiens qui avait affecté Pierre sérieusement.
Quand celui-ci avait baptisé Corneille, un centurion romain, il avait dû justifier sa conduite devant la communauté de Jérusalem parce qu’il était allé manger chez un païen.
Pierre avait alors rapporté la vision qu’il avait eue dans laquelle Dieu lui disait de ne pas déclarer impures des choses qu’il avait créées.
On avait alors accepté cela mais seulement à titre d’exception, semble-t-il, et non pas comme une norme puisque le problème avait resurgi à Antioche lorsqu’on avait commencé à admettre des grecs dans la communauté.
Des gens venus de Jérusalem avaient réclamé qu’ils soient circoncis. Paul et Barnabé avaient dû aller défendre la liberté des convertis au Concile de Jérusalem qui avait tranché en leur faveur.
Dans l’Épître aux Galates, Paul se vante d’avoir blâmé Pierre qui était maintenant rendu à Antioche et qui mangeait avec les Judéo-chrétiens plutôt qu’avec les grecs convertis.
Comme Paul ne mentionne pas le résultat de cette remontrance, il semble bien qu’il n’a pas gagné le point.
On pense d’ailleurs que c’est à cause de Pierre que l’Église d’Antioche n’a pas éclaté en deux Églises distinctes.
Un autre point qui fait penser aux souvenirs de Pierre est la façon dont sont décrits les disciples comme ici.
Ainsi, vous aussi, vous êtes incapables de comprendre? Ne voyez-vous pas... C’est Jésus qui parle aux disciples.
Ils sont lents à comprendre et Jésus leur reproche leur manque de Foi; plus respectueux, les autres Évangiles parleront de leur peu de Foi.
On comprend que Pierre n’avait aucune raison de se vanter ou de vanter les disciples. Mais ce point intéressait Marc qui s’adressait à une communauté qui avait des difficultés et qui vivait probablement une persécution à Rome.
Ce pouvait être un encouragement sérieux pour eux que même les disciples qui vivaient avec Jésus avaient eu des difficultés. ...
Ce point reste valide pour tous les temps de l’Église.
Jean Gobeil, s.j.
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4107.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Le Seigneur Dieu fit pousser du sol toutes sortes d’arbres à l’aspect désirable et aux fruits savoureux
Le Seigneur plaça l’homme dans un jardin. « Le Seigneur Dieu fit pousser du sol toute sorte d'arbres à l'aspect attirant et aux fruits savoureux ».
Cette vérité fondamentale est souvent oubliée. On garde en mémoire une sorte de supplice de tantale, sans toujours se rendre compte qu’il aurait été inventé par un Dieu sadique : l’homme aurait été placé dans un jardin plein de promesses, mais avec la défense d’en jouir.
Pourquoi faut-il que nous n’écoutions que le serpent ?
Dieu a placé l’homme dans un jardin luxuriant, il a paré ce jardin de toutes sortes d’arbres produisant toutes sortes de fruits ; Dieu a fait cela pour le bonheur de l’homme.
Il n’y a d’abord aucun interdit : « Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin » dit le Seigneur.
Rien n’est plus simple. Il s’agit d’ailleurs du premier de tous les Commandements que Dieu fait à l’homme.
Mais il reste que cet acte de manger, exprimant notre relation à Dieu et au don qu’il nous fait, ne peut être pratiqué n’importe comment.
Par ailleurs, puisque manger du fruit de ces arbres est un commandement divin, cela répond à un besoin vital pour nous.
En lui demandant de manger, Dieu révèle à l’homme qu’il a faim et lui enseigne ce qui comble cette faim : accueillir le don de Dieu.
En effet, ce poème du livre de la Genèse ne nous parle pas d’arbres, de fruits ou pomme ; le don de Dieu ne se constitue pas d’objets à prendre ou à compter.
Ce poème exprime une façon d’être, la nature d’une relation. Vivre dans l’éden c’est vivre dans un esprit filial pur et spontané.
La faim qui tenaille tout être humain est le désir profond de vivre en fils de Dieu auprès de Dieu.
C’est pourquoi on ne peut s’y prendre n’importe comment. C’est pourquoi seul Dieu peut nous l’enseigner : il est Notre Père.
Ainsi n’avons-nous pas accès à la connaissance du bien et du mal. Il ne s’agit pas de retrancher une partie du don, comme si Dieu reprenait d’une main ce qu’il a donné de l’autre. Il ne s’agit pas de condamner la légitime soif de connaître, au contraire : le monde est à explorer.
Il s’agit de respecter ce qui appartient en propre au Père. Lui seul peut discerner le bien et le mal.
C’est d’abord une question de confiance : Notre Dieu n’est-il pas le bon Dieu ? Ne pas faire confiance à ce Dieu qui est bon, est renoncer à notre vie filiale, cela est donc choisir la mort.
C’est aussi une question de réalisme. Même aujourd’hui, l’homme n’a pas idée du mal. S’il savait, ne serait-ce qu’un peu, la noirceur abjecte du mal, il mourrait à l’idée d’en être complice.
Que veut dire décider du bien et du mal si on ne connaît pas le mal ? Cela veut dire choisir la mort.
Seigneur tu nous supplies à maintes reprises : « choisis donc la Vie ! ». Donne-nous de reconnaître que Toi seul sait ce qui est bon pour nous, restaure en nous la confiance qui fait de nous tes enfants.
Fais-nous la grâce de nous abandonner à ton Amour, fais que nous demeurions comme ce morceau de glaise pris de la terre du jardin des délices, constamment abandonnés entre tes mains, prêts à recevoir ce baiser par lequel tu donnes Vie à l’homme.
Garde-nous émerveillés et reconnaissants envers Toi comme au premier matin de l’humanité, quand le premier homme ouvrit les yeux et découvrit ton visage contre le sien.
Frère Dominique
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_48
Abbé Norbert ESTARRIOL i Seseras (Lleida, Espagne).
Rien de ce qui est extérieur à l'homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur
Aujourd'hui, Jésus nous enseigne que tout ce que Dieu a fait est bon. C'est plutôt nos intentions tordues qui peuvent rendre impur tout ce que nous faisons.
Pour cela Jésus nous dit: «Rien de ce qui est extérieur à l'homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l'homme, voilà ce qui rend l'homme impur» (Mc 7,15).
L'expérience d'offenser Dieu est une réalité. Et avec beaucoup d'aise le Chrétien découvre l'empreinte profonde du mal et voit un monde réduit en esclavage à cause du péché.
La mission que Jésus nous donne est de nettoyer —à l'aide de sa grâce— toutes les impuretés introduites dans le monde par les mauvaises intentions des hommes.
Le Seigneur nous demande que toute notre activité humaine soit bien faite: il attend que nous mettions de l'intensité, de l'ordre, de la science, de l'habileté, de la recherche de la perfection, en ne cherchant que le rétablissement du plan créateur de Dieu, qui a fait tout bon pour que l'homme en profite:
«Pureté d'intention —Tu l'auras toujours si tu ne cherches, toujours et en tout, qu'à plaire à Dieu» (Saint Josémarie).
La seule chose qui peut faire échouer le plan de Dieu c'est notre volonté, et il faut veiller à ce que cela n'arrive pas.
Parfois se mêlent la vanité, l'amour propre, les découragements par manque de Foi, l'impatience d'atteindre les résultats attendus, etc.
C'est pour cela que Saint Grégoire le Grand nous mettait en garde en disant: «Combien sot, en effet, est le voyageur qui, remarquant d’agréables prairies sur son chemin, oublie d’aller où il voulait».
Il convient, donc, d'être attentif en offrant nos actes, il faut garder la présence de Dieu en soi et observer souvent la filiation Divine, de façon à ce que notre journée —avec nos prières et notre travail— prenne de la force et qu'elle commence avec Le Seigneur, et que tout ce que nous avons commencé en Lui puisse arriver à sa fin.
Nous pouvons accomplir des grandes choses, si nous nous rendons compte que chacun de nos actes humains est un acte Co-rédempteur à partir du moment où il est uni aux actes du Christ.
Hymne : O toi, l'au-delà de tout
O toi, l'au-delà de tout,
n'est-ce pas là tout ce qu'on peut chanter de toi ?
Quelle hymne te dira, quel langage ?
Aucun mot ne t'exprime.
A quoi l'esprit s'attachera-t-il ?
Tu dépasses toute intelligence.
Seul, tu es indicible,
car tout ce qui se dit est sorti de toi.
Seul, tu es inconnaissable,
car tout ce qui se pense est sorti de toi.
Tous les êtres,
ceux qui parlent et ceux qui sont muets,
te proclament.
Tous les êtres,
ceux qui pensent et ceux qui n'ont point la pensée,
te rendent hommage.
Le désir universel,
l'universel gémissement tend vers toi.
Tout ce qui est te prie,
et vers toi tout être qui pense ton univers
fait monter une hymne de silence.
Tout ce qui demeure, demeure par toi ;
par toi subsiste l'universel mouvement.
De tous les êtres tu es la fin ;
tu es tout être, et tu n'en es aucun.
Tu n'es pas un seul être,
tu n'es pas leur ensemble.
Tu as tous les noms, et comment te nommerai-je,
toi le seul qu'on ne peut nommer?
Quel esprit céleste pourra pénétrer les nuées
qui couvrent le ciel même?
Prends pitié,
Ô toi, l'au-delà de tout,
n'est-ce pas tout ce qu'on peut chanter de toi?
Hymne : Ô Fils unique, Jésus Christ
Ô Fils unique, Jésus Christ,
Nous contemplons en ton visage
La gloire dont tu resplendis
Auprès de Dieu avant les siècles.
Les tiens ne t’ont pas reconnu,
Et les ténèbres te repoussent ;
Mais donne à ceux qui t’ont reçu
De partager ta plénitude.
Toi qui habites parmi nous,
Ô Verbe plein de toute grâce,
Enseigne-nous la vérité,
Transforme-nous en ton image.
À toi, la gloire, ô Père saint,
À toi, la gloire, ô Fils unique,
Avec l’Esprit consolateur,
Dès maintenant et pour les siècles.
Hymne : À la mesure sans mesure
À la mesure sans mesure
De ton immensité,
Tu nous manques, Seigneur.
Dans le tréfonds de notre cœur
Ta place reste marquée
Comme un grand vide, une blessure.
À l’infini de ta présence
Le monde est allusion,
Car tes mains l’ont formé.
Mais il gémit, en exilé,
Et crie sa désolation
De n’éprouver que ton silence.
Dans le tourment de ton absence,
C’est toi déjà, Seigneur,
Qui nous as rencontrés.
Tu n’es jamais un étranger,
Mais l’hôte plus intérieur
Qui se révèle en transparence.
Cachés au creux de ton mystère,
Nous te reconnaissons
Sans jamais te saisir.
Le pauvre seul peut t’accueillir,
D’un cœur brûlé d’attention,
Les yeux tournés vers ta lumière.
Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Sainte Joséphine Bakhita.
« O Dieu, Père de Miséricorde, qui nous as donné Sainte Joséphine Bakhita cette sœur universelle, modèle évangélique de Foi simple et de Charité, donne à nous aussi la volonté de grandir et d’aimer selon l’Évangile.
Exauce-nous les Prières de toutes les personnes qui invoquent son intercession. Donne-nous la grâce d’un cœur miséricordieux comme le sien, cœur capable de pardonner même à ceux qui nous ont fait du mal, cœur capable de vaincre le mal avec la puissante force du bien. »
Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Saint Jérôme Émilien.
Père très miséricordieux, tu as voulu que Saint Jérôme Émilien soit le père et le protecteur des orphelins ; à sa prière, accorde-nous de garder toujours cet esprit d’adoption dans lequel tu nous appelles tes fils, puisque nous le sommes vraiment.
Parole de Dieu : (Tb 4,15a.16a.18a.19a.c)… (Office des Laudes).
Ce que tu n’aimes pas, ne le fais à personne. Donne de ton pain à celui qui a faim et des vêtements à ceux qui sont nus.
Prends conseil de toute personne avisée. En toute occasion, Bénis Le Seigneur Ton Dieu et demande-lui de rendre droits tes chemins.
Garde en mémoire ces instructions et qu’elles ne s’effacent pas de ton cœur.
Parole de Dieu : (Jc 1, 22.25)… (Office des Vêpres).
Mettez la Parole en application, ne vous contentez pas de l’écouter : ce serait vous faire illusion.
Au contraire, l’homme qui se penche sur la loi parfaite, celle de la Liberté, et qui s’y tient, celui qui ne l’écoute pas pour l’oublier mais l’applique dans ses actes, heureux sera-t-il d’agir ainsi.
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