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- Eucharistie du Samedi 03 Septembre 2016 : Samedi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Samedi 03 Septembre 2016 : Samedi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Samedi 03 Septembre 2016 : Samedi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Grégoire le Grand, Pape et Docteur de l'Église (540-604).
Célébration de la Fête propre pour l'Angleterre (à Malte, Fête le Mercredi après Pâques),
Mémoire obligatoire ce 03 Septembre pour l'Église universelle
Textes propres à la mémoire de Saint Grégoire le Grand :
http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-32951867.html
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 4,6b-15... Psaume 145(144),17-18.19-20.21... Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,1-5.
Commentaire du Catéchisme de l'Église Catholique.
Autre commentaire de Benoît XVI, Pape de 2005 à 2013.
HOMELIE DE SAINT GRÉGOIRE SUR ÉZÉCHIEL.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Austin Chukwuemeka IHEKWEME (Ikenanzizi, Nigeria).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Samedi 03 Septembre 2016 : Fête de Saint Grégoire le Grand, Pape et Docteur de l'Église (540-604).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Grégoire le Grand, Pape.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 4,6b-15.
Frères, apprenez d'Apollon et de moi-même à ne pas aller au-delà de ce qui est écrit, afin qu’aucun de vous n’aille se gonfler d’orgueil en prenant le parti de l’un contre l’autre.
Qui donc t’a mis à part ? As-tu quelque chose sans l’avoir reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te vanter comme si tu ne l’avais pas reçu ?
Vous voilà déjà comblés, vous voilà déjà riches, vous voilà devenus rois sans nous ! Ah ! si seulement vous étiez devenus rois, pour que nous aussi, nous le soyons avec vous !
Mais nous, les Apôtres, il me semble que Dieu nous a exposés en dernier comme en vue d’une mise à mort, car nous sommes donnés en spectacle au monde, aux anges et aux hommes.
Nous, nous sommes fous à cause du Christ, et vous, vous êtes raisonnables dans le Christ ; nous sommes faibles, et vous êtes forts ; vous êtes à l’honneur, et nous, dans le mépris.
Maintenant encore, nous avons faim, nous avons soif, nous sommes dans le dénuement, maltraités, nous n’avons pas de domicile,
nous travaillons péniblement de nos mains. On nous insulte, nous bénissons. On nous persécute, nous le supportons.
On nous calomnie, nous réconfortons. Jusqu’à présent, nous sommes pour ainsi dire l’ordure du monde, le rebut de l’humanité.
Je ne vous écris pas cela pour vous faire honte, mais pour vous reprendre comme mes enfants bien-aimés.
Car, dans le Christ, vous pourriez avoir dix mille guides, vous n’avez pas plusieurs pères : par l’annonce de l’Évangile, c’est moi qui vous ai donné la vie dans le Christ Jésus.
Psaume 145(144),17-18.19-20.21.
Le Seigneur est juste en toutes ses voies,
fidèle en tout ce qu'il fait.
Il est proche de ceux qui l'invoquent,
de tous ceux qui l'invoquent en vérité.
Il répond au désir de ceux qui le craignent ;
il écoute leur cri : il les sauve.
Le Seigneur gardera tous ceux qui l'aiment,
mais il détruira tous les impies.
Que ma bouche proclame
les louanges du Seigneur !
Son nom très saint, que toute chair le bénisse
toujours et à jamais !
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,1-5.
Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs ; ses disciples arrachaient des épis et les mangeaient, après les avoir froissés dans leurs mains.
Quelques pharisiens dirent alors : « Pourquoi faites-vous ce qui n’est pas permis le jour du sabbat ? »
Jésus leur répondit : « N’avez-vous pas lu ce que fit David un jour qu’il eut faim, lui-même et ceux qui l’accompagnaient ?
Il entra dans la maison de Dieu, prit les pains de l’offrande, en mangea et en donna à ceux qui l’accompagnaient, alors que les prêtres seulement ont le droit d’en manger. »
Il leur disait encore : « Le Fils de l’homme est maître du sabbat. »
Commentaire du jour.
Catéchisme de l'Église Catholique.
§ 2168-2173 - Copyright © Libreria Editrice Vaticana
« Le Fils de l'Homme est maître du sabbat »
Le troisième Commandement du Décalogue rappelle la sainteté du sabbat : « Le septième jour est un sabbat ; un repos complet consacré au Seigneur » (Ex 31,15 ; cf. 20,8).
L'Écriture fait à ce propos mémoire de la Création : « Car en six jours Le Seigneur a fait le Ciel et la Terre, la mer et tout ce qui s'y trouve, mais il s'est reposé le septième jour.
Voilà pourquoi Le Seigneur a béni le jour du sabbat, il l'a sanctifié » (Ex 20,11).
L'Écriture révèle encore dans le jour du Seigneur un mémorial de la libération d'Israël de la servitude en Égypte : « Tu te souviendras que tu as été esclave au pays d'Égypte et que Le Seigneur Ton Dieu t'en a fait sortir à main forte et à bras étendu.
Voilà pourquoi Le Seigneur Ton Dieu te commande de pratiquer le jour du sabbat » (Dt 5,15).
Dieu a confié à Israël le sabbat pour qu'il le garde en signe de l'alliance infrangible. Le sabbat est pour Le Seigneur, saintement réservé à la louange de Dieu, de son œuvre de Création et de ses actions salvifiques en faveur d'Israël...
L'Évangile rapporte de nombreux incidents où Jésus est accusé de violer la loi du sabbat. Mais jamais Jésus ne manque à la sainteté de ce jour.
Il en donne avec autorité l'interprétation authentique : « Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le sabbat » (Mc 2,27).
Avec Compassion, Le Christ s'autorise « le jour du sabbat, de faire du bien plutôt que le mal, de sauver une vie plutôt que de la tuer » (Mc 3,4).
Le sabbat est le jour du Seigneur des miséricordes et de l'honneur de Dieu. « Le Fils de l'homme est maître du sabbat. »
Commentaire du jour.
Benoît XVI, Pape de 2005 à 2013.
Homélie, Célébration Eucharistique, 20ème Journée Mondiale de la Jeunesse, 21/08/05 (trad. DC 2343, p. 909).
Rendre Le Christ maître de notre sabbat
L'Eucharistie fait partie du Dimanche. Au matin de Pâques, les femmes en premier, puis les disciples, ont eu la grâce de voir Le Seigneur.
Depuis lors, ils ont su que désormais le premier jour de la semaine, le Dimanche, serait son jour à Lui, le jour du Christ.
Le jour du commencement de la Création devenait le jour du renouvellement de la Création. Création et Rédemption vont ensemble.
C'est pour cela que le Dimanche est tellement important. Il est beau qu'aujourd'hui, dans de nombreuses cultures, le Dimanche soit un jour libre ou, qu'avec le Samedi, il constitue même ce qu'on appelle le « week-end » libre. Ce temps libre, toutefois, demeure vide si Dieu n'y est pas présent.
Chers amis ! Quelquefois, dans un premier temps, il peut s'avérer plutôt mal commode de devoir prévoir aussi la Messe dans le programme du Dimanche.
Mais si vous en prenez l'engagement, vous constaterez aussi que c'est précisément ce qui donne le juste centre au temps libre.
Ne vous laissez pas dissuader de participer à l'Eucharistie du Dimanche et aidez aussi les autres à la découvrir.
Parce que la Joie dont nous avons besoin se dégage d'elle, nous devons assurément apprendre à en comprendre toujours plus la profondeur, nous devons apprendre à l'aimer.
Engageons-nous en ce sens, cela en vaut la peine !
Découvrons la profonde richesse de la liturgie de l'Église et sa vraie grandeur : nous ne faisons pas la Fête pour nous, mais c'est au contraire le Dieu vivant Lui-même qui prépare une Fête pour nous.
HOMELIE DE SAINT GRÉGOIRE SUR ÉZÉCHIEL.
Fils d'homme, je fais de toi un guetteur pour la maison d'Israël.
Il faut noter que Le Seigneur désigne comme un « guetteur » celui qu'il envoie prêcher. Le guetteur se tient toujours sur la hauteur pour voir de loin tout ce qui va venir.
Et tout homme qui reçoit le poste de guetteur doit se tenir sur la hauteur par sa vie, afin de pouvoir rendre service par sa vigilance.
Combien il m'est cruel de dire ces paroles ! Car en parlant, je me frappe moi-même : je ne pratique pas la prédication comme je le devrais ; et lorsque cette prédication est suffisante, ma vie ne concorde pas avec ma parole.
Je ne nie pas ma culpabilité, je vois ma torpeur et ma négligence. Peut-être que de reconnaître ma faute m'obtiendra le pardon auprès du Juge Miséricordieux ?
Sans doute, quand j'étais au Monastère, j'étais capable de retenir ma langue des paroles inutiles et de garder presque continuellement mon esprit attentif à la Prière.
Mais, après avoir endossé le fardeau de la charge pastorale, mon esprit ne peut plus se recueillir assidûment, parce qu'il est divisé par quantité de soucis.
En effet, je suis obligé d'examiner les affaires tantôt des Églises, tantôt des Monastères, et souvent de juger la vie et les actes des personnes privées ; tantôt de m'occuper longuement de certains problèmes civiques, tantôt de gémir devant l'assaut meurtrier des barbares et de redouter les loups qui menacent le troupeau que Dieu m'a confié.
Tantôt je suis contraint de prendre des mesures pour que les secours ne manquent pas à ceux-là mêmes qui sont tenus par la règle Monastique ; tantôt je dois supporter avec patience certains pillards, et tantôt m'opposer à eux pour sauvegarder la Charité.
Lorsque l'esprit est amené à se disperser et à se déchirer par le souci d'affaires si nombreuses et si importantes, comment peut-il rentrer en lui-même afin de se recueillir entièrement pour la prédication, et ne pas renoncer au Ministère de la Parole ?
Mais, parce que les obligations de ma charge m'obligent souvent à rencontrer des hommes du monde, il m'arrive de relâcher la discipline de ma langue.
Car, si je maintiens constamment une sévérité rigoureuse, je sais que je mets en fuite les plus faibles, et je ne les attirerai jamais comme je le voudrais.
C'est pourquoi il m'arrive souvent d'écouter leurs paroles inutiles. Mais parce que je suis faible, moi aussi, je me laisse quelque peu entraîner aux discours inutiles, et je me mets à parler volontiers sur des sujets que j'avais d'abord écoutés de mauvais gré : et là où cela m'ennuyait de manquer au silence, je trouve plaisir à m'étendre.
Quel « guetteur » suis-je donc, qui ne me tiens pas posté sur la montagne de l'efficacité, mais plutôt gisant dans la vallée de la faiblesse ?
Mais le créateur et Rédempteur du genre humain est assez puissant pour me donner, malgré mon indignité, et la noblesse de la vie et l'efficacité de la prédication, car c'est pour son Amour que je me consacre totalement à sa Parole.
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4315.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Il leur disait encore : « Le Fils de l’Homme est maître du sabbat. »
Il nous fait en prendre conscience : dire que « Le Fils de l’Homme est maître du sabbat », ébranle l’univers juif.
Le sabbat n’a de sens que parce qu’il rappelle le lien entre Dieu et l’homme. Le sabbat est une invitation à l’imitation.
En Gn 1, Dieu s’arrête ; il convient donc que l’homme s’arrête aussi. Cette simple sentence nous entraîne donc bien au-delà du champ de blé où elle prend forme.
Elle nous fait franchir les frontières. Elle nous entraîne au cœur du lien entre Le Fils de l’Homme et le Créateur. Au sein du foyer où se noue la distinction entre le sabbat de l’homme et le sabbat de Dieu.
Au soir de la Genèse, à la fin du sixième jour, Dieu s’arrête au terme d’un accomplissement, au seuil d’un achèvement.
Mais quel homme pourrait en faire autant ? Qui d’entre nous peut s’arrêter et dire qu’il a fini ? L’imitation à laquelle est invité l’homme est donc une continuité d’arrêts et de reprises. Toujours arrêter son œuvre, toujours répéter le sabbat.
Le sabbat de l’homme est donc une contrainte, un empêchement de continuer. Il brise l’élan vers l’avenir. Il est une blessure dans l’essor de la vie.
On peut se replier sur une blessure. On peut s’imaginer l’aimer. Et parce que tout le monde sait qu’aucune action humaine ne sera jamais assez parfaite pour se confondre avec l’action de Dieu, chacun peut confondre repos de Dieu et immobilité. Chacun peut se complaire dans l’inaction.
Tel n’est pas le sabbat. Le sabbat oppose conquérir et habiter. Il rassemble, sous le toit du père. Ce jour-là l’esclave est traité comme un fils, et le fils est ramené dans la maison de son père.
Là encore un danger peut être tapi. Le fils peut se venger, à son insu, d’être retenu dans son dynamisme vital. Il peut ne pas voir la purification du désir lié à son œuvre dont il bénéficie grâce au sabbat. Il peut ne pas comprendre que le sabbat est une brèche dans la tour de Babel.
Comme il a repoussé l’inaction, le fils peut alors refuser d’être identifié à la vétusté du père. Mais ce serait oublier que le père et le fils sont soumis à la même obligation.
Celui qui rassemble est Le Père des Cieux. Devant Lui tous sont égaux. L’esclave retrouve la liberté du fils, le fils est revêtu de l’autorité du père.
Ainsi le sabbat édifie la maison du père et convoque la mémoire. Le sabbat purifie l’élan du désir et construit l’avenir. Le sabbat est pur présent.
En cela, il amène le Messie. Il fait franchir la distance entre l’homme et Dieu.
Le vrai sabbat est donc le terme de l’Exode, le vrai sabbat est la fin des temps.
C’est pourquoi Jésus dit-il que seul Le Fils de l’Homme en est le maître. Et nous en Lui, quand chaque Samedi soir nous nous arrêtons pour sanctifier le jour du Seigneur, pour accueillir sa présence au présent, pour vivre de son Salut, maintenant.
Frère Dominique.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_204
Abbé Austin Chukwuemeka IHEKWEME (Ikenanzizi, Nigeria).
«Le Fils de l'Homme est maître du sabbat»
Aujourd'hui, face à l'accusation des pharisiens, Jésus explique le sens correct du repos sabbatique, en prenant un exemple dans l'Ancien Testament (cf. Dt 23,26): «N'avez-vous pas lu ce que fit David (…), [qui] prit les pains de l'offrande, en mangea, et en donna à ses compagnons?» (Lc 6,3-4).
La conduite de David anticipa la doctrine que Le Christ enseigne dans ce passage. Dans l'Ancien Testament, Dieu avait déjà établi un ordre dans les préceptes de la Loi, pour que ceux de rang inférieur cèdent le pas aux principaux.
L'on s'explique ainsi qu'un précepte cérémoniel comme celui que nous commentons soit écarté lorsqu'il entre en conflit avec un précepte de la loi naturelle. Le précepte du sabbat n'est pas supérieur aux nécessités élémentaires de la subsistance.
Dans ce passage, Le Christ enseigne quel est le sens de l'institution divine du sabbat: Dieu l'avait établi pour le bien de l'homme, pour qu'il puisse se reposer et se dédier dans la paix et la joie au culte Divin.
L'interprétation des pharisiens avait fait de ce jour une occasion d'angoisse et de préoccupation de par la foule des prescriptions et des prohibitions.
Le sabbat avait été établi non seulement pour que l'homme se reposât, mais aussi pour qu'il rendît gloire à Dieu: c'est là le sens authentique de l'expression «le sabbat a été fait pour l'homme» (Mc 2,27).
De plus, quand Il se déclare “maître du sabbat” (cf. Lc 6,5), Jésus manifeste ouvertement qu'Il est ce même Dieu qui a donné ce précepte au peuple d'Israël, affirmant ainsi sa Divinité et son pouvoir universel.
Aussi peut-Il établir d'autres lois, tout comme Yahvé dans l'Ancien Testament. Jésus peut bien se dire “maître du sabbat”, car Il est Dieu.
Demandons son aide à la Vierge pour croire et comprendre que le sabbat appartient à Dieu et qu'il est une manière —adaptée à la nature humaine— de rendre gloire et honneur au Tout-Puissant.
Comme l'a écrit Saint Jean-Paul II, «le repos est une chose “sacrée”» et une occasion de «prendre conscience que tout est œuvre de Dieu».
Hymne : Comment es-tu foyer de feu
Comment es-tu foyer de feu
et fraîcheur de la fontaine,
une brûlure, une douceur
qui rend saines nos souillures ?
Comment fais-tu de l'homme un dieu,
de la nuit une lumière,
et des abîmes de la mort
tires-tu la vie nouvelle?
Comment la nuit vient-elle au jour ?
Peux-tu vaincre les ténèbres,
porter ta flamme jusqu'au cœur
et changer le fond de l'être ?
Comment n'es-tu qu'un avec nous,
nous rends-tu fils de Dieu même ?
Comment nous brûles-tu d'amour
et nous blesses-tu sans glaive ?
Comment peux-tu nous supporter,
rester lent à la colère,
et de l'ailleurs où tu te tiens
voir ici nos moindres gestes ?
Comment de si haut et de si loin
ton regard suit-il nos actes ?
Ton serviteur attend la paix,
le courage dans les larmes !
Hymne : Nuée de feu
Nuée de feu
Sur ceux qui marchent dans la nuit,
Tu es venu
pour montrer le chemin vers Dieu,
Et ton calvaire ouvrit le ciel.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Présence de ton Père ;
Que nous chantions pour ton retour :
R/ Béni soit au nom du Seigneur,
Celui qui vient sauver son peuple.
Royal époux
Promis aux noces de la croix,
Tu es venu
réjouir les enfants de Dieu,
Et tu changeas notre eau en vin.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Tendresse pour la terre ;
Que nous chantions pour ton retour : R/
Ô Fils de Dieu
Sur qui repose l’Esprit-Saint,
Tu es venu
comme un feu qui consume tout,
Et l’univers s’embrase en toi.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Demeure de la Gloire ;
Que nous chantions pour ton retour : R/
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui prend soin de ton peuple et le gouvernes avec Amour, écoute la Prière du Pape Saint Grégoire ; accorde ton Esprit de Sagesse aux hommes chargés de conduire l'Église ; que les progrès de ton peuple saint fassent la Joie éternelle de ses pasteurs.
Parole de Dieu : (Rm 12, 14-16a)... (Office des Laudes).
Bénissez ceux qui vous persécutent ; souhaitez-leur du bien, et non pas du mal. Soyez joyeux avec ceux qui sont dans la joie, pleurez avec ceux qui pleurent.
Soyez bien d’accord entre vous ; n’ayez pas le goût des grandeurs, mais laissez-vous attirer par ce qui est simple.
Parole de Dieu : (He 13, 20-21)... (Office des Vêpres).
Que le Dieu de la Paix, lui qui a fait remonter d’entre les morts le Berger des brebis, Pasteur par excellence, grâce au Sang de l’Alliance éternelle, Notre Seigneur Jésus, que ce Dieu vous munisse de tout ce qui est bon pour accomplir sa Volonté, qu’il réalise en nous ce qui plaît à ses yeux par Jésus Christ, à qui appartient la Gloire pour les siècles des siècles. Amen.
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