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Eucharistie du Dimanche 17 Juillet 2016 : Seizième Dimanche du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Dimanche 17 Juillet 2016 : Seizième Dimanche du Temps Ordinaire.
Fête des 16 Bienheureuses Carmélites de Compiègne, Religieuses martyres de la Révolution française (? 1794).
Fête de Sainte Hedwige 1ère, Reine de Pologne (1374-1399).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de la Genèse 18,1-10a... Psaume 15(14),2-3a.3bc-4ab.4d-5... Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,24-28... Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,38-42.
Commentaire de Saint Bernard (1091-1153), Moine Cistercien et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Antoine-Marie Leduc, o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Bernat GIMENO i Capín (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 17 Juillet 2016 : Fête des 16 Bienheureuses Carmélites de Compiègne, Religieuses martyres de la Révolution française (? 1794).
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur elles, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Les 16 Bienheureuses Carmélites de Compiègne.
Dimanche 17 Juillet 2016 : Fête de Sainte Hedwige 1ère, Reine de Pologne (1374-1399).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Hedwige 1ère, Reine de Pologne.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de la Genèse 18,1-10a.
En ces jours-là, aux chênes de Mambré, le Seigneur apparut à Abraham, qui était assis à l’entrée de la tente. C’était l’heure la plus chaude du jour.
Abraham leva les yeux, et il vit trois hommes qui se tenaient debout près de lui. Dès qu’il les vit, il courut à leur rencontre depuis l’entrée de la tente et se prosterna jusqu’à terre.
Il dit : « Mon seigneur, si j’ai pu trouver grâce à tes yeux, ne passe pas sans t’arrêter près de ton serviteur.
Permettez que l’on vous apporte un peu d’eau, vous vous laverez les pieds, et vous vous étendrez sous cet arbre.
Je vais chercher de quoi manger, et vous reprendrez des forces avant d’aller plus loin, puisque vous êtes passés près de votre serviteur ! » Ils répondirent : « Fais comme tu l’as dit. »
Abraham se hâta d’aller trouver Sara dans sa tente, et il dit : « Prends vite trois grandes mesures de fleur de farine, pétris la pâte et fais des galettes. »
Puis Abraham courut au troupeau, il prit un veau gras et tendre, et le donna à un serviteur, qui se hâta de le préparer.
Il prit du fromage blanc, du lait, le veau que l’on avait apprêté, et les déposa devant eux ; il se tenait debout près d’eux, sous l’arbre, pendant qu’ils mangeaient.
Ils lui demandèrent : « Où est Sara, ta femme ? » Il répondit : « Elle est à l’intérieur de la tente. »
Le voyageur reprit : « Je reviendrai chez toi au temps fixé pour la naissance, et à ce moment-là, Sara, ta femme, aura un fils. »
Psaume 15(14),2-3a.3bc-4ab.4d-5.
Celui qui se conduit parfaitement,
qui agit avec justice
et dit la vérité selon son cœur.
Il met un frein à sa langue.
Il ne fait pas de tort à son frère
et n'outrage pas son prochain.
À ses yeux, le réprouvé est méprisable
mais il honore les fidèles du Seigneur.
Il ne reprend pas sa parole.
Il prête son argent sans intérêt,
n'accepte rien qui nuise à l'innocent.
Qui fait ainsi demeure inébranlable.
Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,24-28.
Frères, maintenant je trouve la joie dans les souffrances que je supporte pour vous ; ce qui reste à souffrir des épreuves du Christ dans ma propre chair, je l’accomplis pour son corps qui est l’Église.
De cette Église, je suis devenu ministre, et la mission que Dieu m’a confiée, c’est de mener à bien pour vous l’annonce de sa parole,
le mystère qui était caché depuis toujours à toutes les générations, mais qui maintenant a été manifesté à ceux qu’il a sanctifiés.
Car Dieu a bien voulu leur faire connaître en quoi consiste la gloire sans prix de ce mystère parmi toutes les nations : le Christ est parmi vous, lui, l’espérance de la gloire !
Ce Christ, nous l’annonçons : nous avertissons tout homme, nous instruisons chacun en toute sagesse, afin de l’amener à sa perfection dans le Christ.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,38-42.
En ce temps-là, Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut.
Elle avait une sœur appelée Marie qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.
Quant à Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m’aider. »
Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t’agites pour bien des choses.
Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. »
Commentaire du jour.
Saint Bernard (1091-1153), Moine Cistercien et Docteur de l'Église.
3ème Sermon pour l'Assomption (trad. Béguin, Seuil 1953, p. 1002 rev.)
Marthe et Marie
Qui mieux que ceux qui ont la charge d'une communauté méritent qu'on leur applique ces paroles : « Marthe, Marthe, tu te soucies de bien des choses » ?
Qui s'inquiète de beaucoup de choses sinon celui à qui il incombe de s'occuper aussi bien de Marie la Contemplative que de son frère Lazare et d'autres encore ?
Vous reconnaissez Marthe inquiète et accablée de mille soucis : c'est l'apôtre qui a « le souci de toutes les Églises » (2Co 11,28), qui veille à ce que les pasteurs prennent soin de leurs ouailles. « Nul n'est faible que je ne le sois avec lui, dit-il, et nul n'est scandalisé sans que je sois brûlé aussi » (v. 29).
Que Marthe reçoive donc Le Seigneur dans sa maison, puisque c'est à elle qu'est confié la direction du ménage...
Que ceux qui partagent ses tâches reçoivent aussi Le Seigneur, chacun selon son ministère particulier ; qu'ils accueillent Le Christ et qu'ils le servent, qu'ils l'assistent dans ses membres, les malades, les pauvres, les voyageurs et les pèlerins.
Tandis qu'ils assument ces activités, que Marie demeure en repos, qu'elle connaisse « combien le Seigneur est doux » (Ps 33,9).
Qu'elle ait bien soin de se tenir aux pieds de Jésus, le cœur plein d'amour et l'âme en paix, sans le quitter des yeux, attentive à toutes ses paroles, admirant son beau visage et son langage.
« La grâce est répandue sur ses lèvres ; il est plus beau que tous les fils des hommes » (Ps 44,3), plus beau même que les anges dans leur gloire.
Connais ta joie et rends grâce, Marie, toi qui as choisi la meilleure part. Heureux les yeux qui voient ce que tu vois, les oreilles qui méritent d'entendre ce que tu entends ! (Mt 13,16)
Que tu es heureuse surtout d'entendre battre le cœur de Dieu dans ce silence où il est bon pour l'homme d'attendre son Seigneur !
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/16eme-Dimanche-T-O-C.html
Frère Antoine-Marie Leduc, o.c.d. (Carmel).
Marthe et Marie
L’Évangile de ce jour nous présente deux figures bien connues des Chrétiens : Marthe et Marie. Et on les identifie rapidement, en les opposant, aux actifs et aux Contemplatifs.
Marthe serait celle qui sait être efficace, réaliser une tâche utile, tandis que Marie saurait prendre le temps d’écouter Jésus, la Parole de Dieu.
Et selon que nous sommes plus sensibles aux besoins matériels immédiats ou aux biens spirituels, on justifiera l’un et critiquera l’autre.
Si on en reste à cette analyse simple, trop simple, la réflexion de Jésus à Marthe est incompréhensible, voire injuste. « Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas retirée. »
Car selon cette analyse simpliste, alors, Jésus prend parti de l’un contre l’autre, et oublie le repas qu’il sera bien content de manger.
Si la Contemplation est supérieure à l’action, pourrait dire Marthe, alors que Jésus et Marie vivent d’amour et d’eau fraîche !
Et, à plusieurs reprises, Jésus nous invite à une Charité active, notamment quand il nous prévient : « Ce n’est pas en me disant : Seigneur, Seigneur, qu’on entrera dans le Royaume des Cieux, mais c’est en faisant la volonté de Mon Père qui est dans les Cieux. » (Mt 7,21)
Si Jésus se permet de reprendre Marthe, ce n’est pas parce qu’elle agit, mais parce qu’elle s’agite. « Marthe, Marthe, tu te soucies et tu t’agites pour beaucoup de choses. » Agir et s’agiter, ce n’est pas la même chose.
Comme ne rien faire, ce n’est pas forcément prier et encore moins être un Contemplatif. Car dans toute vie, une seule chose est nécessaire, comme le précise Jésus et c’est parce que Marie, contrairement à Marthe, sait mettre en œuvre cet unique nécessaire que Le Seigneur la loue.
Quelle est donc cette chose unique et nécessaire ? En négatif, Marthe nous aide à le comprendre.
Que nous dit l’Évangile de l’attitude de Marthe : elle est absorbée par les multiples tâches du service, elle s’agite et se soucie, et enfin elle proteste contre sa sœur.
Reprenons brièvement ces attitudes.
Tout d’abord elle est absorbée par les tâches, c’est-à-dire que son regard se limite à ce qu’il y a à faire. Entièrement préoccupée par l’organisation, elle oublie pourquoi elle sert, pour qui elle rend service.
La valeur de nos actions tient pour une grande part à ce “pour quoi, pour qui”. Plus que l’ambition ou la réussite, l’Amour n’est-il pas le motif le plus puissant de nos actions ? Si notre regard se fixe sur la matérialité de nos œuvres, si nous perdons le sens, la finalité de notre travail, de nos services, alors on risque fort d’être submergé par l’ampleur de nos devoirs, ou découragé par l’incessant recommencement.
En oubliant la raison de son service, ici l’Amour de Jésus, Marthe s’agite plus qu’elle n’agit. Et ainsi, Marthe proteste : Ce n’est pas juste, il n’y a que moi qui travaille ! Elle perd ainsi le jugement juste sur ceux qui l’entourent.
La discorde s’installe entre ceux qui devraient être unis. En perdant le sens de son service, elle perd aussi la Joie et la Paix intérieure.
Entre s’agiter et rouspéter, ou écouter paisiblement la Parole de Dieu, la meilleure part est facilement discernable. Il ne s’agit pas dans cet Évangile de décrire la figure du Chrétien actif et celle du Contemplatif, en les opposant, mais de nous mettre en garde contre la perte du sens qui nous fait perdre pied.
Car si être un Chrétien actif, c’est s’agiter et rouspéter, est-ce vraiment être charitable ? Si nos services et notre travail ne trouvent pas un sens positif dans l’Amour, ils deviennent un esclavage dont il faut se libérer.
En oubliant que notre travail, nos services prennent place et sens dans une dynamique de vie qui tend, pour nous Chrétiens, à la perfection de la Charité, on en vient à se perdre, à se dissoudre dans un matérialisme insensé.
Pour le Chrétien, toute sa vie tend à exprimer l’Amour de Dieu qui est la Vie en plénitude.
Dès lors on comprend que prière et action ne s’opposent que si l’un et l’autre se vivent dans leur médiocrité.
C’est-à-dire si la prière se définit comme une simple inactivité, et l’action comme une simple agitation.
Mais si la prière et l’action se vivent comme une mise en œuvre et un apprentissage de la Charité, alors elles deviennent toutes deux une manière unique et unifiée d’être à Dieu et d’être au monde.
On croit comprendre aisément comment l’action est mise en œuvre de la Charité, mais c’est, me semble-t-il, souvent de manière superficielle.
On pense que dès que je rends service à quelqu’un ou lui dit une parole aimable, alors je suis charitable.
Et ainsi, on s’imagine que la perfection de la Charité consiste à multiplier au maximum les actes, et l’on s’accusera de tout ce qu’on n’a pas pu faire.
Mais alors comment comprendre cette phrase de St Paul dans son hymne à la Charité : « Quand je distribuerais tous mes biens en aumônes, quand je livrerais mon corps aux flammes, si je n’ai pas la Charité, cela ne me sert de rien. »
Comme Marthe, on peut faire tout cela sans avoir la Charité. Car du point de vu de la Foi, une œuvre charitable prend tout son poids et sa valeur quand elle n’est pas simplement œuvre de la volonté humaine, mais collaboration de notre liberté à l’œuvre de Dieu.
Le monde, comme notre vie, chacune de nos actions ne trouvent leur valeur et leur sens les plus profonds que lorsqu’ils trouvent en l’Amour trinitaire leur source et leur accomplissement.
Ainsi Jésus nous dit : « Je suis la vigne ; vous, les sarments. Celui qui demeure en Moi, et Moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de Moi vous ne pouvez rien faire.
Si quelqu’un ne demeure pas en Moi, il est jeté dehors comme le sarment et il se dessèche ; on les ramasse et on les jette au feu et ils brûlent. » (Jn 15, 5-6)
La véritable action Chrétienne de Charité est une union intime avec Jésus, on ne peut donc pas l’opposer à la Prière.
D’ailleurs la prière est elle-même une œuvre, un travail où l’on apprend à aimer. Il me semble que pour durer dans la prière personnelle et entrer dans une relation profonde avec Le Seigneur, mieux vaut aborder ce temps comme un lieu où je donne plutôt qu’un lieu où je reçois, un lieu de ressourcement.
Nous apprenons à donner le temps sans espoir de pouvoir le reprendre, nous apprenons à renouveler une attention amoureuse qui semble se perdre dans le silence, nous accueillons ce qui nous est donné sans pouvoir saisir celui que nous désirons.
La prière qui participe au mouvement de la vie trinitaire de don et d’accueil, comme école de pauvreté et d’humilité, est certainement la meilleure école pour une vie évangélique et fraternelle.
Lorsqu’à la fin d’un enseignement sur la prière, une personne vient me dire : « Vous savez, Père, moi je suis plutôt Marthe que Marie », je crains que cette personne, oubliant l’Amour, n’ait pas compris ce qu’étaient ni la véritable prière ni la véritable action chrétienne.
Prier comme servir, c’est aimer, à l’oublier, on se laisse submerger, on s’agite, on proteste, et on abandonne l’un comme l’autre. Amen !
Fr. Antoine-Marie Leduc, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_144
Abbé Bernat GIMENO i Capín (Barcelona, Espagne).
«Une seule [chose] est nécessaire»
Aujourd'hui, nous voyons un Jésus aussi bien divin qu'humain: Il est épuisé du voyage et, en Béthanie, il se laisse accueillir par la famille qu'Il aime tant. Et il va en profiter pour nous apprendre ce qui est “le plus important”.
D'habitude, dans l'attitude de ces deux sœurs on voit reflétées les deus façons de vivre la vocation chrétienne: la vie active et la vie Contemplative.
Marie, «se tenant assise aux pieds du Seigneur»; Marthe, accaparée par les multiples choses et occupations du service, toujours contente, mais fatiguée (cf. Lc 10,39-40,42).
«Marthe, Marthe», lui dit Jésus, «tu t'inquiètes et tu t'agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire, que tu te reposes, et même plus important, que tu te reposes à mon côté, en me regardant et en m'écoutant».
Deux modèles de Vie Chrétienne que nous devons coordonner et intégrer: vivre la Vie de Marthe aussi bien que celle de Marie.
Nous devons être attentifs à la Parole du Seigneur, et vigilants, car le bruit et le trafic du quotidien —fréquemment— nous cache la présence de Dieu.
Parce que la Vie et la force d'un Chrétien seulement peuvent demeurer fermes et grandir si elles restent unies à la vrai vigne, d'où viennent la Vie, l'Amour et l'envie de continuer en avant... sans regarder en arrière.
À la plupart de nous, Dieu nous a appelés à demeurer comme “Marthe”. Mais il ne faut pas oublier que Le Seigneur veut que nous soyons chaque fois plus comme “Marie”: Jésus-Christ nous a aussi appelés à “choisir la meilleure part” et à ne pas laisser personne nous l'enlever.
Il nous rappelle que le plus important n'est pas ce que nous puissions faire, mais la Parole de Dieu qui éclaire nos vies, et, ainsi, par L'Esprit-Saint nos œuvres demeurent imprégnées de son Amour.
Nous reposer sur Le Seigneur est seulement possible si nous jouissons de sa présence réelle dans l'Eucharistie.
La prière devant le tabernacle! C'est bien le plus grand trésor que, nous les Chrétiens, nous avons. Rappelons-nous le titre de la dernière encyclique de Jean Paul II: L'Église vit de l'Eucharistie.
Le Seigneur a beaucoup de choses à nous dire, beaucoup plus que celles que nous pensons. Cherchons, donc, quelques moments de silence et de paix pour rencontrer Jésus et, avec Lui, nous retrouver en nous-mêmes.
Jésus-Christ nous invite à adopter une option: celle de choisir «la meilleure part» (Lc 10,42).
Hymne : Peuples, criez de joie
Peuples, criez de joie
Et bondissez d’allégresse :
Le Père envoie son Fils
Manifester sa tendresse ;
Ouvrons les yeux :
Il est l’image de Dieu
Pour que chacun le connaisse.
Loué soit notre Dieu,
Source et Parole fécondes :
Ses mains ont tout créé
Pour que nos cœurs lui répondent ;
Par Jésus Christ,
Il donne l’être et la vie :
En nous sa vie surabonde.
Loué soit notre Dieu
Qui ensemence la terre
D’un peuple où son Esprit
Est plus puissant que la guerre ;
En Jésus Christ,
La vigne porte du fruit
Quand tous les hommes sont frères.
Loué soit notre Dieu
Dont la splendeur se révèle
Quand nous buvons le vin
Pour une terre nouvelle ;
Par Jésus Christ,
Le monde passe aujourd’hui
Vers une gloire éternelle.
Peuples, battez des mains
Et proclamez votre fête :
Le Père accueille en lui
Ceux que son Verbe rachète ;
Dans l’Esprit Saint
Par qui vous n’êtes plus qu’un,
Que votre joie soit parfaite !
Oraison du matin (Office des Laudes).
Sois favorable à tes fidèles, Seigneur, et multiplie les dons de ta Grâce : entretiens en eux la Foi, l'Espérance et la Charité, pour qu'ils soient toujours attentifs à garder tes Commandements.
Parole de Dieu : (2 Tm 2, 8.11-13)... (Office des Laudes).
Souviens-toi de Jésus Christ, le descendant de David : il est ressuscité d’entre les morts. Voici une parole sûre : si nous sommes morts avec Lui, avec Lui nous vivrons.
Si nous supportons l’épreuve, avec Lui nous régnerons.
Si nous le rejetons, Lui aussi nous rejettera. Si nous sommes infidèles, Lui, il restera fidèle, car il ne peut se rejeter Lui-même.
Parole de Dieu : (He 12, 22-24)... (Office des Vêpres).
Vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la cité du Dieu vivant, la Jérusalem Céleste, vers des milliers d’anges en fête, et vers l’assemblée des premiers-nés dont les noms sont inscrits dans les Cieux.
Vous êtes venus vers Dieu, le juge de tous les hommes, et vers les âmes des justes arrivés à la perfection.
Vous êtes venus vers Jésus, le médiateur d’une Alliance nouvelle, et vers son Sang répandu sur les hommes, son Sang qui parle plus fort que celui d’Abel.
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