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- Eucharistie du Jeudi 28 Janvier 2016 : Jeudi de la 3ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Jeudi 28 Janvier 2016 : Jeudi de la 3ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Jeudi 28 Janvier 2016 : Jeudi de la 3ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Thomas d'Aquin, Prêtre Dominicain, Docteur de l'Église (1225-1274).
Fête de Saint Joseph Freinademetz, Prêtre de la Société du Verbe Divin, Missionnaire en Chine (1852-1908).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Deuxième livre de Samuel 7,18-19.24-29… Psaume 132(131),1-2.3a.4a.5.11.12.13-14… Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 4,21-25.
Commentaire de Saint Ignace d'Antioche (?-v. 110), Évêque et martyr.
CONFÉRENCE DE SAINT THOMAS D'AQUIN À SES ÉTUDIANTS SUR LE CREDO.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Àngel CALDAS i Bosch (Salt, Girona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Jeudi 28 Janvier 2016 : Fête de Saint Thomas d'Aquin, Prêtre Dominicain, Docteur de l'Église (1225-1274).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Thomas d'Aquin.
Jeudi 28 Janvier 2016 : Fête de Saint Joseph Freinademetz, Prêtre de la Société du Verbe Divin, Missionnaire en Chine (1852-1908).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Joseph Freinademetz.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Deuxième livre de Samuel 7,18-19.24-29.
Lorsque le prophète Nathan eut transmis à David les promesses de Dieu, le roi David vint s’asseoir en présence du Seigneur. Il dit : « Qui suis-je donc, Seigneur, et qu’est-ce que ma maison, pour que tu m’aies conduit jusqu’ici ?
Mais cela ne te paraît pas encore suffisant, Seigneur, et tu adresses une parole à la maison de ton serviteur pour un avenir lointain. Est-ce là, Seigneur Dieu, la destinée de l’homme ?
Pour toi, tu as établi à jamais ton peuple Israël, et toi, Seigneur, tu es devenu son Dieu.
Maintenant donc, Seigneur Dieu, la parole que tu as dite au sujet de ton serviteur et de sa maison, tiens-la pour toujours, et agis selon ce que tu as dit.
Que ton nom soit exalté pour toujours ! Que l’on dise : “Le Seigneur de l’univers est le Dieu d’Israël”, et la maison de ton serviteur David sera stable en ta présence.
Oui, c’est toi, Seigneur de l’univers, Dieu d’Israël, qui as fait cette révélation à ton serviteur : “Je te bâtirai une maison.” C’est pourquoi ton serviteur ose t’adresser cette prière :
Seigneur, c’est toi qui es Dieu, tes paroles sont vérité, et tu as fait cette magnifique promesse à ton serviteur.
Daigne bénir la maison de ton serviteur, afin qu’elle soit pour toujours en ta présence. Car toi, Seigneur Dieu, tu as parlé, et par ta bénédiction la maison de ton serviteur sera bénie pour toujours. »
Psaume 132(131),1-2.3a.4a.5.11.12.13-14.
Souviens-toi, Seigneur, de David
et de sa grande soumission
quand il fit au Seigneur un serment,
une promesse au Puissant de Jacob :
« Jamais je n'entrerai sous ma tente,
j'interdirai tout sommeil à mes yeux
avant d'avoir trouvé un lieu pour le Seigneur,
une demeure pour le Puissant de Jacob. »
Le Seigneur l'a juré à David,
et jamais il ne reprendra sa parole :
« C'est un homme issu de toi
que je placerai sur ton trône.
« Si tes fils gardent mon alliance,
les volontés que je leur fais connaître,
leurs fils, eux aussi, à tout jamais,
siègeront sur le trône dressé pour toi. »
Car le Seigneur a fait choix de Sion ;
elle est le séjour qu'il désire :
« Voilà mon repos à tout jamais,
c'est le séjour que j'avais désiré. »
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 4,21-25.
En ce temps-là, Jésus disait à la foule : « Est-ce que la lampe vient pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ? N’est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ?
Car rien n’est caché, sinon pour être manifesté ; rien n’a été gardé secret, sinon pour venir à la clarté.
Si quelqu’un a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Il leur disait encore : « Faites attention à ce que vous entendez ! La mesure que vous utilisez sera utilisée aussi pour vous, et il vous sera donné encore plus.
Car celui qui a, on lui donnera ; celui qui n’a pas, on lui enlèvera même ce qu’il a. »
Commentaire du jour.
Saint Ignace d'Antioche (?-v. 110), Évêque et martyr.
Lettre aux Ephésiens, § 13-15 (trad. coll. Icthus, vol. 2, p. 80)
« Rien n'a été gardé secret, sinon pour venir au grand jour »
Ayez soin de tenir des réunions plus fréquentes, pour offrir à Dieu votre Eucharistie — votre action de grâce — et vos louanges. Car, en vous assemblant souvent, vous anéantissez les forces de Satan, et sa pernicieuse puissance se dissipe devant l'unanimité de votre Foi.
Quoi de meilleur que la Paix, cette Paix qui désarme tous nos ennemis spirituels et charnels ?
Vous n'ignorez aucune de ces vérités, si vous avez pour Jésus Christ une Foi et une Charité parfaites. Ces deux vertus sont le principe et la fin de la Vie : la Foi en est le principe, la Charité en est la perfection ; l'union des deux, c'est Dieu même ; toutes les autres vertus leur font cortège pour conduire l'homme à la perfection.
La profession de la Foi est incompatible avec le péché, et la Charité avec la haine. « C'est aux fruits qu'on reconnaît l'arbre » (Mt 12,33) : de même c'est à leurs œuvres qu'on reconnaîtra ceux qui font profession d'appartenir au Christ.
Car en ce moment il ne s'agit pas pour nous de faire simplement profession de la Foi, mais de la mettre effectivement en pratique avec persévérance jusqu'à la fin.
Mieux vaut être Chrétien sans le dire que de le dire sans l'être. C'est très bien d'enseigner, à condition de pratiquer ce qu'on enseigne.
Nous n'avons donc qu'un seul maître (Mt 23,8), celui qui « a dit, et tout a été fait » (Ps 32,9). Mêmes les œuvres qu'il a accomplies en silence sont dignes du Père.
Celui qui comprend véritablement la Parole de Jésus, celui-là peut entendre son silence même ; c'est alors qu'il sera parfait : il agira par sa Parole, et se manifestera par son silence.
Rien n'échappe au Seigneur ; nos secrets mêmes sont dans sa main.
Faisons donc toutes nos actions avec la pensée qu'il habite en nous ; nous serons ainsi ses temples, et Lui-même sera Notre Dieu résidant en nous.
CONFÉRENCE DE SAINT THOMAS D'AQUIN À SES ÉTUDIANTS SUR LE CREDO.
Quelle nécessité y avait-il à ce que le Fils de Dieu souffrît pour nous ? Une grande nécessité, que l'on peut résumer en deux points : nécessité de remède à l'égard de nos péchés, nécessité d'exemple pour notre conduite.
Pour ce qui est du remède contre tous les maux que nous inflige le péché, nous trouvons un remède grâce à la Passion du Christ.
Mais son utilité n'est pas moindre à l'égard de l'exemple. Car la Passion du Christ nous fournit un modèle valable pour toute notre vie.
En effet, celui qui veut mener la vie parfaite n'a rien d'autre à faire qu'à mépriser ce que le Christ a méprisé sur la Croix et à désirer ce que le Christ a désiré. Car aucun exemple de vertu n'est absent de la Croix.
Si tu cherches un exemple de Charité: Il n'y a pas de plus grand Amour que de donner sa vie pour ses amis.
C'est ce que le Christ a fait sur la Croix. Et par conséquent, s'il a donné sa vie pour nous, il ne doit pas être trop dur de supporter n'importe quel mal pour Lui.
Si tu cherches la Patience, c'est sur la Croix qu'on la trouve au maximum. En effet la Patience est grande pour deux motifs : ou bien lorsqu'on souffre patiemment de grands maux, ou bien lorsqu'on souffre des maux qu'on aurait pu éviter, et que l'on n'évite pas.
Or le Christ a souffert de grands maux sur la Croix, et avec Patience, puisque couvert d'insultes il ne menaçait pas ; comme une brebis conduite à l'abattoir, il n'ouvrait pas la bouche.
Elle est donc grande, la Patience du Christ sur la Croix : Par la patience, courons au combat qui nous est proposé, les yeux fixés sur Jésus, qui est à l'origine et au terme de la Foi. Renonçant à la Joie qui lui était proposée, il a enduré, sans avoir de honte, l'humiliation de la Croix.
Si tu cherches un exemple d'Humilité, regarde le Crucifié. Car un Dieu a voulu être jugé sous Ponce Pilate, et mourir.
Si tu cherches un exemple d'Obéissance, tu n'as qu'à suivre celui qui s'est fait obéissant au Père jusqu'à la mort : De même que la faute commise par un seul, c'est-à-dire Adam, a rendu tous les hommes pécheurs, de même tous deviendront justes par l'Obéissance d'un seul.
Si tu cherches un exemple de mépris pour les biens terrestres, tu n'as qu'à suivre celui qui est le Roi des rois et Le Seigneur des seigneurs, en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance ; sur la Croix, il est nu, tourné en dérision, couvert de crachats, frappé, couronné d'épines, enfin abreuvé de fiel et de vinaigre.
Ne sois donc pas attaché aux vêtements et aux richesses, car ils se sont partagé mes habits ; ni aux honneurs, car j'ai subi les moqueries et les coups ; ni aux dignités car, tressant une couronne d'épines, ils l'ont enfoncée sur ma tête ; ni aux plaisirs car, dans ma soif, ils m'ont abreuvé de vinaigre.
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4461.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Est-ce que la lampe vient pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ?
L’image est simple, la question facile. Profitons-en ! Évidemment, la lampe n’est pas faite pour être mise sous le boisseau ni sous le lit ; elle est faite pour être accrochée au plafond, posée sur un meuble haut, et, de-là, illuminer toute la pièce.
Remarquons que cette leçon de choses s’adresse aux disciples, au cercle large des Douze et de ceux qui ont choisi de suivre Jésus.
Elle a bien sûr un sens spirituel plus large que la logique domestique. L’image est belle, par exemple, est pour illustrer le combat spirituel. Nous peinons dans notre combat contre la tentation en oubliant souvent que le combat est difficile tant que nous sommes complices avec notre ennemi.
La lumière, qui n’a aucun point commun avec les ténèbres, remporte une victoire instantanée sur elles. Dès que la lampe est allumée, il ne fait plus sombre.
Pour peu, bien entendu, que l’on mettre la lampe en situation d’illuminer la pièce. Jésus ne pose jamais de question en vain.
En nous rappelant cette vérité simple, il cherche certainement à nous rappeler que la lumière de notre Baptême n’a pas place sous le lit des idéologies ni sous le boisseau des pressions sociales.
Être Chrétien est plus qu’un engagement, c’est un devoir pour que la Lumière éclaire le monde où nous vivons.
Cette question si simple contient en outre un détail étrange : « est-ce que la lampe vient », demande Jésus. Or, une lampe ne vient pas, elle est amenée.
Jésus, lui, vient parmi nous. Il est la lumière du monde. Voilà curieusement imagé le mystère de l’Incarnation.
Jésus humblement comparé à un objet de notre quotidien, lui, la source de la Lumière sur notre quotidien.
Il est vrai que parmi ses contemporains, beaucoup l’ont vu et peu l’ont reconnu. Il est vrai que dans nos quotidiens, nous manquons par aveuglement beaucoup de rendez-vous avec Lui.
De là les avertissements qui suivent. Être parmi les disciples n’est pas une garantie. « Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu’il entende ».
L’enseignement donné par Dieu est donné à tous et pour tous. Il n’est pas fait pour être tenu secret.
Mais l’avoir reçu n’est pas une garantie de Salut car tout dépend de la qualité de l’écoute, tout dépend de l’attitude intérieure de celui qui écoute.
Les exemples sont nombreux dans l’Évangile. Hérode entend parler de Jésus mais le confond avec le Baptiste ; la femme souffrant de pertes de sang entend l’enseignement de Jésus et reçoit le Salut.
Jésus met donc en garde ses disciples, dans la même inspiration que la parabole du semeur. Il ne suffit pas d’être disciple, il faut surtout être une terre fertile et accueillante au don de Dieu.
« Faites attention à ce que vous entendez ! » insiste Jésus. Nous devons donc nous laisser ébranler par cette image de la lampe.
Elle s’adresse bien à nous et il nous faut absolument éviter de regarder les disciples d’un peu haut, nous qui avons la connaissance et l’expérience du Christ ressuscité, contrairement aux disciples qui écoutaient Jésus ce jour-là.
Eux en effet avaient à découvrir un Dieu paradoxal, l’infini qui se faisait connaître par le visage fini de Jésus, le maître de la Vie qui se laissait emporter par la mort.
Mais notre expérience n’est pas différente ! La Résurrection n’enlève pas le poids de la mort dans nos vies, sa victoire définitive n’atténue pas les combats que nous avons encore à mener. Notre Dieu se fait toujours connaître à ses disciples par une voie qui les déconcerte, qui les dérange.
Il nous faut donc être grandement vigilants à ce qu’il nous enseigne jour après jour.
En accueillant docilement sa Parole, nous comprendrons la Joie et la douceur de ce qu’il nous annonce : « celui qui a, recevra encore », celui qui a reçu la Vie du ressuscité par son Baptême, recevra encore la Joie de Pâques, la Joie parfaite que donne la Vie dans la plénitude de L’Esprit.
Frère Dominique.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_31
Abbé Àngel CALDAS i Bosch (Salt, Girona, Espagne).
«Est-ce que la lampe vient pour être mise sous le boisseau ou sous le lit?»
Aujourd'hui, Jésus nous explique le secret du Royaume. Il utilise même une certaine ironie afin de nous montrer que l'énergie interne de la Parole de Dieu -la même que la sienne, la force qui doit se répandre à travers le monde, est comme une lumière, et que l'on ne peut pas la mettre «sous le boisseau ou sous le lit» (Mc 4,21).
Est-ce que nous pouvons imaginer quelle serait la stupidité humaine de mettre une bougie allumée sous le lit?
Chrétiens avec la lumière éteinte ou avec une lumière allumée et avec interdiction d'éclairer!
C'est ce qui arrive quand nous ne mettons pas toutes nos connaissances et notre amour au service de la Foi.
C'est tellement contre nature de se replier égoïstement sur soi en réduisant notre vie au domaine de nos intérêts personnels!
Vivre sous le lit! Absurdement et tragiquement immobiles: "absents" de l'esprit.
L'Évangile -au contraire- est une sainte extase d'amour passionné qui a besoin de s'exprimer, qui a besoin de "se révéler", qui porte en soi une exigence propre de croissance personnelle, de maturité intérieure, et de services aux autres.
«Si tu dis: Assez!, Tu meurs», nous dit Saint Augustin.
Et Saint Joseph-Marie nous dit: «Seigneur: Faites que j'aie un poids et une mesure pour tout sauf pour l'Amour!».
«‘Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende!’. Il leur disait également: ‘Faites attention à ce que vous entendez!’ (Mc 4,23-24).
Mais qu'est-ce que cela veut dire entendre?
Voilà la grande question que nous devons nous poser. C'est l'acte sincère envers Dieu qui exige de savoir réellement ce que nous voulons faire.
Et pour le savoir il faut savoir écouter: il faut être attentif aux suggestions de Dieu. Il faut entamer le dialogue avec Lui.
Et la conversation met fin aux "mathématiques de la mesure": «La mesure dont vous vous servez servira aussi pour vous, et vous en aurez encore plus. Car celui qui a recevra encore; mais celui qui n'a rien se fera enlever même ce qu'il a» (Mc 4,24-25).
Les intérêts accumulés par Dieu Notre Seigneur, sont imprévisibles et extraordinaires. Voilà la manière d'inciter notre générosité.
Hymne : Tu es venu, Seigneur
Tu es venu, Seigneur,
Dans notre nuit,
Tourner vers l’aube nos chemins ;
Le tien pourtant reste caché,
L’Esprit seul nous découvre
Ton passage.
Pour nous mener au jour,
Tu as pris corps
Dans l’ombre humaine où tu descends.
Beaucoup voudraient voir et saisir :
Sauront-ils reconnaître
Ta lumière ?
Nous leur disons : « Voyez
Le grain qui meurt !
Aucun regard ne l’aperçoit ;
Mais notre cœur peut deviner ;
Dans le pain du partage
Sa présence. »
Puis nous portons vers toi,
Comme un appel,
L’espoir des hommes d’aujourd’hui.
Mûris le temps, hâte le Jour,
Et que lève sur terre
Ton Royaume !
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui as fait de Saint Thomas d'Aquin un modèle admirable par sa recherche d'une vie sainte et son amour de la science sacrée, accorde-nous de comprendre ses enseignements et de suivre ses exemples.
Parole de Dieu : (1 P 4, 10-11)… (Office des Laudes).
Ce que chacun de vous a reçu comme don de la grâce, mettez-le au service des autres, comme de bons gérants de la grâce de Dieu sous toutes ses formes : si quelqu’un a le don de parler, qu’il dise la parole de Dieu ; s’il a le don du service, qu’il s’en acquitte avec la force que Dieu communique.
Ainsi, en toute chose, Dieu recevra sa Gloire par Jésus Christ.
Parole de Dieu : (1 P 3, 8-9)… (Office des Vêpres).
Que tout le monde vive parfaitement uni, plein de sympathie, d’amour fraternel, de tendresse, de simplicité.
Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’insulte pour l’insulte ; au contraire, appelez sur les autres la Bénédiction puisque, par vocation, vous devez recevoir en héritage les Bénédictions de Dieu.
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