- Accueil
- Archives Eucharisties
- ANNÉE 2016
- AVRIL 2016
- Eucharistie du Mardi 26 Avril 2016 : Mardi de la 5ème semaine du Temps Pascal.
Eucharistie du Mardi 26 Avril 2016 : Mardi de la 5ème semaine du Temps Pascal.
Eucharistie du Mardi 26 Avril 2016 : Mardi de la 5ème semaine du Temps Pascal.
L’Église fait mémoire (facultative au Canada) de la Fête de Notre-Dame du Bon Conseil (25 Avril 1467).
Fête de Saint Jean-Baptiste Piamarta (Giovanni Battista Piamarta), Prêtre et Fondateur de la Congrégation de la Sainte Famille de Nazareth (? 1913).
Fête de Saint Ráfael Arnáiz Barón, Cistercien-Trappiste (1911-1938).
Fête du Père Albert Peyriguère (1883-1959).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre des Actes des Apôtres 14,19-28... Psaume 145(144),10-11.12-13ab.21... Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 14,27-31a.
Commentaire de Saint Colomban (563-615), Moine, Fondateur de Monastères.
Autre commentaire de Jean Gobeil, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Enric CASES i Martín (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Mardi 26 Avril 2016 : Fête de Notre-Dame du Bon Conseil (25 Avril 1467).
Mémoire facultative pour le Canada.
Pour en découvrir davantage sur cette Fête, aller dans le menu déroulant à « Les Fêtes Catholiques » ou sur le lien suivant :
Fête de Notre-Dame du Bon Conseil.
Mardi 26 Avril 2016 : Fête de Saint Jean-Baptiste Piamarta (Giovanni Battista Piamarta), Prêtre et Fondateur de la Congrégation de la Sainte Famille de Nazareth (? 1913).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Jean-Baptiste Piamarta (Giovanni Battista Piamarta).
Mardi 26 Avril 2016 : Fête de Saint Ráfael Arnáiz Barón, Cistercien-Trappiste (1911-1938).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Ráfael Arnáiz Barón, Cistercien-Trappiste.
Mardi 26 Avril 2016 : Fête du Père Albert Peyriguère (1883-1959).
Il n’est ni Canonisé, ni Béatifié, mais c’est une très belle vie, sainte et évangélique, sur les traces de Saint Charles de Foucauld.
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Père Albert Peyriguère.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre des Actes des Apôtres 14,19-28.
En ces jours-là, comme Paul et Barnabé se trouvaient à Lystres, des Juifs arrivèrent d’Antioche de Pisidie et d’Iconium ; ils se rallièrent les foules, ils lapidèrent Paul et le traînèrent hors de la ville, pensant qu’il était mort.
Mais, quand les disciples firent cercle autour de lui, il se releva et rentra dans la ville. Le lendemain, avec Barnabé, il partit pour Derbé.
Ils annoncèrent la Bonne Nouvelle à cette cité et firent bon nombre de disciples. Puis ils retournèrent à Lystres, à Iconium et à Antioche de Pisidie ;
ils affermissaient le courage des disciples ; ils les exhortaient à persévérer dans la foi, en disant : « Il nous faut passer par bien des épreuves pour entrer dans le royaume de Dieu. »
Ils désignèrent des Anciens pour chacune de leurs Églises et, après avoir prié et jeûné, ils confièrent au Seigneur ces hommes qui avaient mis leur foi en lui.
Ils traversèrent la Pisidie et se rendirent en Pamphylie.
Après avoir annoncé la Parole aux gens de Pergé, ils descendirent au port d’Attalia,
et s’embarquèrent pour Antioche de Syrie, d’où ils étaient partis ; c’est là qu’ils avaient été remis à la grâce de Dieu pour l’œuvre qu’ils avaient accomplie.
Une fois arrivés, ayant réuni l’Église, ils rapportèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux, et comment il avait ouvert aux nations la porte de la foi.
Ils passèrent alors un certain temps avec les disciples.
Psaume 145(144),10-11.12-13ab.21.
Que tes œuvres, Seigneur, te rendent grâce
et que tes fidèles te bénissent !
Ils diront la gloire de ton règne,
ils parleront de tes exploits.
Ils annonceront aux hommes tes exploits,
la gloire et l'éclat de ton règne :
ton règne, un règne éternel,
ton empire, pour les âges des âges.
Que ma bouche proclame
les louanges du Seigneur !
Son nom très saint, que toute chair le bénisse
toujours et à jamais !
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 14,27-31a.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Que votre cœur ne soit pas bouleversé ni effrayé.
Vous avez entendu ce que je vous ai dit : Je m’en vais, et je reviens vers vous. Si vous m’aimiez, vous seriez dans la joie puisque je pars vers le Père, car le Père est plus grand que moi.
Je vous ai dit ces choses maintenant, avant qu’elles n’arrivent ; ainsi, lorsqu’elles arriveront, vous croirez.
Désormais, je ne parlerai plus beaucoup avec vous, car il vient, le prince du monde. Certes, sur moi il n’a aucune prise,
mais il faut que le monde sache que j’aime le Père, et que je fais comme le Père me l’a commandé. »
Commentaire du jour.
Saint Colomban (563-615), Moine, Fondateur de Monastères.
Instruction 11, 1-4 ; PL 80, 250-252 (trad. Orval)
« C'est ma Paix que je vous donne »
Moïse a écrit dans la Loi : « Dieu fit l'homme à son image et à sa ressemblance » (Gn 1,26)... À nous donc de refléter pour Notre Dieu, pour Notre Père, l'image de sa sainteté... Ne soyons pas les peintres d'une image étrangère...
Et pour que nous n'introduisions pas en nous l'image de l'orgueil, laissons Le Christ peindre en nous son image. Il l'a peinte lorsqu'il a dit : « Je vous donne ma Paix, je vous laisse ma Paix ».
Mais à quoi nous sert-il de savoir que cette Paix est bonne, si nous ne veillons pas sur elle ? Ce qui est très bon est habituellement très fragile ; et les biens précieux réclament de plus grands soins et une garde plus vigilante.
Très fragile est la Paix qui peut être perdue par une parole légère ou une petite blessure faite à un frère.
Or, rien ne plaît davantage aux hommes que de parler hors de propos et de s'occuper de ce qui ne les regarde pas, de proférer de vains discours et de critiquer les absents.
Dès lors, que ceux qui ne peuvent pas dire : « Le Seigneur m'a donné la langue d'un disciple pour que je sache réconforter par la parole celui qui est abattu » (Is 50,4), que ceux-là se taisent ou, s'ils disent un mot, que ce soit un mot de paix...
« La plénitude de la loi, c'est l'Amour » (Rm 13,8). Que daigne nous l'inspirer notre bon Seigneur et Sauveur Jésus Christ, l'auteur de la Paix et le Dieu de l'Amour.
Autre commentaire du jour.
http://villaloyola.com/fr/node/25
Jean Gobeil, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
Je vous laisse la Paix, je vous donne ma Paix
Jésus laisse la Paix. Il donne sa Paix. Ce n’est pas celle du monde, ajoute Jésus. Paix, Shalom, a servi et sert encore de salutation. Elle sert aussi d’adieu.
Comme salutation, elle comporte un souhait comme dans la version arabe, salamalec, Paix à toi.
Elle peut représenter une absence de guerre et une sécurité matérielle mais elle a plus d’importance que cela.
Elle un aspect positif; l’idée de quelque chose de complet. Elle représente l’existence de quelqu’un qui est en harmonie avec la nature, avec lui-même et avec Dieu. Il n’est donc pas surprenant qu’elle soit une caractéristique de l’Alliance: comme elle, la Paix est un don de Dieu.
La Paix est quelque chose qui accompagne le Règne de Dieu, ce que Isaïe voyait comme le but de l’histoire du Salut quand il disait:
Qu’ils sont beaux, sur les montagnes, les pieds du messager qui annonce la Paix, du messager de bonnes nouvelles qui annonce le Salut, qui dit à Sion: “Ton Dieu règne.” (Isaïe 52,7)
La Paix est l’état de Salut qu’apporte le Règne de Dieu.
C’est un don qui sera réalisé complètement quand le Règne de Dieu sera manifesté à la fin des temps.
Mais avec la présence du Christ, cette Paix commence à se manifester: les anges annoncent la Paix.
Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et sur la Terre Paix aux hommes, objets de sa complaisance. (Luc 2,14)
Jésus est la source et la réalité de la Paix: Je vous laisse la Paix; c’est ma Paix que je vous donne. (Jean 14,27)
Cette Paix ne doit pas être affectée par la perspective de son départ, c’est-à-dire par la Passion et par la victoire apparente du mal. C’est pourquoi Jésus ajoute: Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’effraie. (Jean14,27d)
C’est la Paix qu’il a laissée aux Chrétiens:
Que la Paix du Christ règne dans vos cœurs: tel est bien le terme de l’appel qui vous a rassemblés dans un même Corps. (Colossiens 3,15)
Je pars vers Le Père car Le Père est plus grand que Moi.
L’interprétation commune est que Le Père, en tant que l’envoyeur, est plus grand que l’envoyé qui, lui, a dû laisser sa Gloire pour prendre la nature humaine.
Jésus déclare son Amour pour Le Père. C’est ce qui justifie son acceptation de la Passion en toute liberté et non à cause d’un pouvoir supérieur du prince de ce monde.
Jésus avait déjà déclaré que personne ne pouvait lui enlever sa liberté: Le Père m’aime parce que je donne ma Vie pour la reprendre. Personne ne me l’enlève mais je la donne de moi-même. (Jean 10,17-18)
La Passion est donc le retour au Père, le retour à la Gloire qu’il avait laissée pour prendre la nature humaine. Jésus déclare que les disciples devraient se réjouir de ce qu’il retourne à l’Amour du Père.
Jean Gobeil, s.j.
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,ferie.du.temps.pascal,3161.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Je vous donne ma Paix ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne.
Les disciples sont aux abois : ils pressentent la fin tragique de leur Maître et craignent de subir le même sort. Que leur restera-t-il lorsque celui en qui ils ont mis leur espoir leur aura été enlevé ?
Devinant cette interrogation angoissée, Jésus leur répond : « "C’est la Paix que je vous laisse" ; certes vous ne m’aurez plus physiquement à vos côtés ; et pourtant vous trouverez la Paix. Non pas la sérénité d’une vie comblée qui s’écoule sans problème, mais la Paix profonde qui comble le cœur, dans la certitude que rien ne peut vous séparer de l’Amour de Dieu.
Cette Paix est mienne en tant que Fils unique ; mais je vous la donne en partage pour qu’à votre tour vous puissiez la communiquer en mon Nom, à ce monde qui en a tant besoin. »
Ce qui dans notre vie nous apporte la Paix, n’est-ce pas de nous savoir en communion avec une personne aux yeux de laquelle nous avons du prix, et qui a du prix à nos yeux ?
Au cœur des épreuves, n’est-ce pas l’amitié fidèle qui nous donne la force de « tenir » ?
Or nous croyons, parce que Jésus nous l’affirme et que sa Parole est Vérité, que nous ne sommes pas orphelins : « Je reviendrai vers vous ; vous me verrez vivant, et vous vivrez aussi » (Jn 14, 18-19).
Certes cette présence active de Jésus à nos côtés est à discerner, car c’est dans la discrétion de L’Esprit qu’il « revient vers nous » : « Le vent souffle où il veut : tu entends le bruit qu’il fait, mais tu ne sais pas d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né du souffle de L’Esprit » (Jn 3, 8).
La Paix qui naît de la certitude de la présence permanente du Christ à nos côtés, nous introduit dans une liberté nouvelle : dans la liberté des fils.
Car cette Paix que Jésus nous donne est un autre nom pour L’Esprit Saint, qui nous conduit par le juste chemin, celui que Notre-Seigneur a ouvert devant nous en retournant vers Le Père.
« Comme tout ce qui est très bon, cette Paix est fragile ; et les biens précieux réclament de plus grands soins et une garde plus vigilante.
Très fragile est la Paix qui peut être perdue par une parole légère ou une petite blessure faite à un frère » (Saint Colomban).
Veillons-donc à ne pas nous laisser voler notre héritage par notre négligence, par nos indélicatesses, ou par notre éparpillement dans une vie superficielle, emportée au gré des tourbillons de l’opinion dominante.
Sachons veiller auprès de la petite flamme de la Vie nouvelle que L’Esprit a allumée dans notre cœur, et préservons notre Paix intérieure par une Vie conforme à l’Évangile.
Même les épreuves ne devraient pas nous troubler, puisque nous savons maintenant qu’elles font partie de l’itinéraire qui conduit de cette Terre où règne encore le Prince du vieux monde, vers la maison du Père où Jésus est allé nous préparer une place, pour que nous y demeurions avec Lui pour toujours (Jn 14, 2-3).
La Foi nous donne d’affirmer que Dieu a ressuscité Jésus d’entre les morts et en a fait Le Seigneur universel ; quant à l’Espérance, elle nous permet d’avancer résolument vers l’avenir, sûrs que dans la Résurrection de Son Fils, Dieu nous a déjà donné part à sa victoire sur la mort.
« Et l’Espérance ne trompe pas puisque l’Amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par L’Esprit Saint qui nous a été donné » (Rm 5, 5).
« Devant les épreuves de nos vies, tu nous redis Seigneur : "Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés. Le prince de ce monde n’a sur vous aucune prise car vous avez été marqués du sceau de L’Esprit.
Réjouissez-vous plutôt à la pensée de me rejoindre bientôt auprès du Père, pour avoir part à la Paix à laquelle il vous a destinés dès les origines". »
Père Joseph-Marie.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/III_41
Abbé Enric CASES i Martín (Barcelona, Espagne).
«C'est ma Paix que je vous donne; ce n'est pas à la manière du monde que je vous la donne»
Aujourd'hui, Jésus nous parle indirectement de la Croix: il nous laisse sa Paix, mais au prix de son douloureux départ de ce monde.
Aujourd'hui nous pouvons lire ses paroles dites avant le Sacrifice de la Croix et écrites après sa Résurrection.
Sur la Croix, par sa mort il a vaincu la mort et la peur. Il ne nous donne pas la Paix «à la manière du monde» (cf. Jn 14,27), mais Il le fait en passant par la douleur et l'humiliation: Il a ainsi prouvé son Amour Miséricordieux pour l'être humain.
Dans la vie des hommes la souffrance est inévitable depuis le jour où le pêché est entré dans le monde.
Parfois c'est la douleur physique; d'autres fois, la douleur morale; d'autres fois encore, il s'agit d'une douleur spirituelle..., et tôt ou tard, nous devons tous mourir.
Mais Dieu, dans son Amour infini, nous a donné le moyen d'avoir la Paix au beau milieu de la douleur: Il a accepté de “s'en aller” de ce monde par un “départ” souffrant et enveloppé de sérénité.
Pourquoi l'a-t-Il voulu ainsi? Parce que, de cette façon, la douleur humaine —unie à celle du Christ— devient un sacrifice qui nous sauve du mal et du pêché.
«Sur la Croix du Christ (...), toute souffrance humaine a aussi été rachetée» (Jean Paul II). Jésus-Christ souffre avec sérénité parce que son acte de coûteuse obéissance, par lequel, Il s'offre volontairement pour notre Salut, plait au Père céleste.
Un auteur inconnu du Deuxième Siècle attribue au Christ les paroles suivantes: «Regarde sur mon visage les crachats que j'ai reçus pour toi afin de te replacer dans l'antique paradis. Regarde sur mes joues la trace des soufflets que j'ai subis pour rétablir en mon image ta beauté détruite. Regarde sur mon dos la trace de la flagellation que j'ai reçue afin de te décharger du fardeau de tes péchés qui avait été imposé sur ton dos.
Regarde mes mains qui ont été solidement clouées au bois à cause de toi qui autrefois as mal étendu tes mains vers le bois…».
Hymne : Comme nous allions rêvant Dieu
Comme nous allions rêvant Dieu,
Une voix venue du grand creux
Des fonds de l'Homme
Nous a surpris : Veillez ici,
Veillez et priez cette nuit
Qui entre toutes vous est bonne.
C'était au secret de nos cœurs,
Au tombeau vide du Seigneur,
La voix de l'Ange !
Elle ajouta : Que cherchez-vous ?
Le corps du Seigneur est chez vous,
Restez ses hommes de confiance !
Devant le caveau grand ouvert,
Retour du Seigneur des enfers,
Chantez son hymne !
Ce lieu profond, il est à Dieu !
Nul ne le sonde avec des yeux
Qui ne sont pas faits pour l'abîme.
Le Seigneur vous a précédés
Dans la mort qui vous obsédait,
Vos morts futures ;
Allez donc sans crainte à la vie !
Jésus vous a déjà ravi
Dans sa Passion vos sépultures.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui nous recrées pour la Vie éternelle dans la Résurrection du Christ, fortifie la Foi et l’Espérance de ton peuple : ne laisse pas le doute entamer notre confiance en la promesse que Toi-même nous as faite.
Parole de Dieu : (Ac 13, 30-33)... (Office des Laudes).
Dieu a ressuscité Jésus d’entre les morts. Il est apparu pendant plusieurs jours à ceux qui étaient montés avec lui de Galilée à Jérusalem, et qui sont maintenant ses témoins devant le peuple.
Et nous, nous vous annonçons cette Bonne Nouvelle : la promesse que Dieu avait faite à nos pères, il l’a entièrement accomplie pour nous, leurs enfants, en ressuscitant Jésus ; c’est ce qui est écrit au psaume deuxième : Tu es Mon Fils, aujourd’hui je t’ai engendré.
Parole de Dieu : (1 P 2, 4-5)... (Office des Vêpres).
Approchez-vous du Seigneur : il est la Pierre vivante, que les hommes ont éliminée mais que Dieu a choisie parce qu’il en connaît la valeur.
Vous aussi, soyez des pierres vivantes qui servent à construire le Temple spirituel, et vous serez le Sacerdoce saint, présentant des offrandes spirituelles que Dieu pourra accepter à cause du Christ-Jésus.
Ajouter un commentaire