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Eucharistie du Dimanche 21 Août 2016 : Vingt et unième Dimanche du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Dimanche 21 Août 2016 : Vingt et unième Dimanche du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Pie X, Pape (257ème) de 1903 à 1914, Giuseppe Merchiore Sarto (1835-1914).
(Mais la Célébration du vingt et unième Dimanche du Temps Ordinaire a la préséance sur la mémoire de Saint Pie X, Pape).
Fête du Bienheureux Ladislas Findysz, Prêtre polonais et martyr (1907-1964).
Fête de la Bienheureuse Victoire Rasoamanarivo, laïque malgache (? 1894).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre d'Isaïe 66,18-21... Psaume 117(116),1.2... Lettre aux Hébreux 12,5-7.11-13... Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 13,22-30.
Commentaire de Saint Césaire d'Arles (470-543), Moine et Évêque.
CONSTITUTION APOSTOLIQUE « DIVINO AFFLATU » DE SAINT PIE X (1911).
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Pedro IGLESIAS Martínez (Rubí, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 21 Août 2016 : Fête de Saint Pie X, Pape (257ème) de 1903 à 1914, Giuseppe Merchiore Sarto (1835-1914).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Pie X, Pape.
Dimanche 21 Août 2016 : Fête du Bienheureux Ladislas Findysz, Prêtre polonais et martyr (1907-1964).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Ladislas Findysz.
Dimanche 21 Août 2016 : Fête de la Bienheureuse Victoire Rasoamanarivo, laïque malgache (? 1894).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Victoire Rasoamanarivo.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre d'Isaïe 66,18-21.
Avec leurs actions et leurs pensées. Moi, je viens rassembler toutes les nations, de toute langue. Elles viendront et verront ma gloire :
je mettrai chez elles un signe ! Et, du milieu d’elles, j’enverrai des rescapés vers les nations, vers Tarsis, Pouth et Loud, Mèshek, Rosh, Toubal et Yavane, vers les îles lointaines qui n’ont rien entendu de ma renommée, qui n’ont pas vu ma gloire ; ma gloire, ces rescapés l’annonceront parmi les nations.
Et, de toutes les nations, ils ramèneront tous vos frères, en offrande au Seigneur, sur des chevaux et des chariots, en litière, à dos de mulets et de dromadaires, jusqu’à ma montagne sainte, à Jérusalem, – dit le Seigneur. On les portera comme l’offrande qu’apportent les fils d’Israël, dans des vases purs, à la Maison du Seigneur.
Je prendrai même des prêtres et des lévites parmi eux, – dit le Seigneur.
Psaume 117(116),1.2.
Louez le Seigneur, tous les peuples ;
fêtez-le, tous les pays !
Son amour envers nous s'est montré le plus fort ;
éternelle est la fidélité du Seigneur !
Lettre aux Hébreux 12,5-7.11-13.
Frères, vous avez oublié cette parole de réconfort, qui vous est adressée comme à des fils : ‘Mon fils, ne néglige pas les leçons du Seigneur, ne te décourage pas quand il te fait des reproches.
Quand le Seigneur aime quelqu’un, il lui donne de bonnes leçons ; il corrige tous ceux qu’il accueille comme ses fils.’
Ce que vous endurez est une leçon. Dieu se comporte envers vous comme envers des fils ; et quel est le fils auquel son père ne donne pas des leçons ?
Quand on vient de recevoir une leçon, on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse. Mais plus tard, quand on s’est repris grâce à la leçon, celle-ci produit un fruit de paix et de justice.
C’est pourquoi, redressez les mains inertes et les genoux qui fléchissent,
et rendez droits pour vos pieds les sentiers tortueux. Ainsi, celui qui boite ne se fera pas d’entorse ; bien plus, il sera guéri.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 13,22-30.
Tandis qu’il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant.
Quelqu’un lui demanda : « Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit :
« Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n’y parviendront pas.
Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : “Seigneur, ouvre-nous”, il vous répondra : “Je ne sais pas d’où vous êtes.”
Alors vous vous mettrez à dire : “Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.”
Il vous répondra : “Je ne sais pas d’où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l’injustice.”
Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors.
Alors on viendra de l’orient et de l’occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu.
Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. »
Commentaire du jour.
Saint Césaire d'Arles (470-543), Moine et Évêque.
Sermon 7 ; CCL 103, 37s (trad. SC 175, p. 341s rev.)
« Jésus passait par les villes et les villages en enseignant »
Faites bien attention, frères très chers : les saintes Écritures nous ont été transmises pour ainsi dire comme des lettres venues de notre patrie.
Notre patrie, en effet, c'est le paradis ; nos parents, ce sont les patriarches, les prophètes, les apôtres et les martyrs ; nos concitoyens, les anges ; notre roi, Le Christ.
Quand Adam a péché, nous avons été pour ainsi dire jetés dans l'exil de ce monde. Mais parce que notre roi est fidèle et miséricordieux plus qu'on ne peut le penser ou le dire, il a daigné nous envoyer, par l'intermédiaire des patriarches et des prophètes, les saintes Écritures, comme des lettres d'invitation par lesquelles il nous invitait dans notre éternelle et première patrie...
En raison de son ineffable bonté, il nous a invités à régner avec Lui.
Dans ces conditions, quelle idée se font d'eux-mêmes les serviteurs qui...ne daignent pas lire les lettres qui nous invitent à la béatitude du Royaume ? ... « Celui qui ignore sera ignoré » (1Co 14,38).
Certainement, celui qui néglige de chercher Dieu dans ce monde par la lecture des textes sacrés, Dieu à son tour refusera de l'admettre dans la béatitude éternelle.
Il doit craindre qu'on ne lui ferme les portes, qu'on ne le laisse dehors avec les vierges folles (Mt 25,10) et qu'il ne mérite d'entendre : « Je ne sais pas qui vous êtes ; je ne vous connais pas ; écartez-vous de moi, vous tous qui faites le mal »...
Celui qui veut être écouté favorablement de Dieu doit commencer par écouter Dieu. Comment aurait-il le front de vouloir que Dieu l'écoute favorablement, s'il en fait si peu de cas qu'il néglige de lire ses préceptes ?
CONSTITUTION APOSTOLIQUE « DIVINO AFFLATU » DE SAINT PIE X (1911)
Les psaumes recueillis dans la Bible ont été composés sous l'inspiration Divine. Certes, dès les débuts de l'Église, ils ont merveilleusement contribué à nourrir la piété des fidèles, qui offraient à Dieu, en toute circonstance, un sacrifice de louange, c'est-à-dire l'acte de Foi qui sortait de leurs lèvres en l'honneur de son Nom.
Mais il est certain aussi que, selon un usage déjà reçu sous la Loi ancienne, ils ont tenu une place éminente dans la liturgie proprement dite et dans l'Office Divin.
Telle est l'origine de ce que Saint Basile appelle « la voix de l'Église », cette psalmodie définie par notre prédécesseur Urbain VIII comme « la fille de cette louange qui se chante sans relâche devant le trône de Dieu et de l'Agneau ».
Et, selon Saint Athanase, elle enseigne aux hommes, surtout lorsqu'ils sont consacrés au culte Divin, « comment ils doivent louer Dieu et quelles paroles il leur faut employer pour le célébrer. »
Voici, sur ce sujet une belle parole de Saint Augustin : « Pour que l'homme puisse adresser à Dieu une digne louange, Dieu s'est loué Lui-même ; et parce qu'il a bien voulu se louer, l'homme sait quelle louange il doit lui adresser. »
Les psaumes possèdent en outre une étonnante efficacité pour éveiller dans les cœurs le désir de toutes les vertus.
« Certes, toute la Sainte Écriture, de l'Ancien comme du Nouveau Testament, est inspirée par Dieu et utile pour l'enseignement, ainsi qu'il est écrit ; néanmoins le livre des Psaumes, comme un paradis contenant tous les fruits des autres livres, propose ses chants et ajoute ses propres fruits aux autres dans la psalmodie. »
Ces paroles sont encore de Saint Athanase, qui ajoute très justement: « Je pense que, pour celui qui chante les psaumes, ils sont comparables à un miroir où il peut se contempler lui-même ainsi que les mouvements de son âme, et psalmodier dans ces dispositions. »
C'est pourquoi Saint Augustin parle ainsi dans ses Confessions : « Combien j'ai pleuré, en chantant tes hymnes et tes cantiques, tant j'étais remué par les douces mélodies que chantait ton Église !
Ces chants pénétraient dans mes oreilles, la vérité s'infiltrait dans mon cœur que la ferveur transportait, mes larmes coulaient, et cela me faisait du bien.»
En effet, peut-on être insensible à tous ces passages des psaumes où sont proclamées si hautement l'immense Majesté de Dieu, sa toute-puissance, sa justice, sa bonté, sa clémence inexprimables, et ses autres grandeurs infinies ?
Peut-on ne pas répondre par des sentiments semblables, à ces actions de grâce pour les bienfaits reçus de Dieu, à ces Prières humbles et confiantes pour ce que l'on attend, ou à ces cris d'une âme qui se repent de ses péchés ?
Peut-on ne pas être embrasé d'Amour par cette image du Christ Rédempteur esquissée avec persévérance ? Car Saint Augustin « entendait dans tous les psaumes la voix du Christ soit qu'elle chante ou qu'elle gémisse, qu'elle se réjouisse dans l'espérance ou qu'elle soupire dans la situation présente. »
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/21eme-Dimanche-T-O-Luc-13-22-30.html
Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d. (Carmel).
« Ouvre-nous ! »
« Seigneur, est-ce le petit nombre qui sera sauvé ? » Voilà bien le genre de questions auxquelles Jésus ne répondait jamais directement : les dates, les délais, les nombres, tout cela, à ses yeux, n’était que vaine curiosité.
On lui demande une sécurité ; il répond par une exigence. On lui demande : « Y aura-t-il beaucoup de sauvés ? » ; il répond calmement : « Tâche d’être de ceux-là ! Rien n’est fait d’avance : il faut entrer, donc vouloir entrer, et la porte est étroite ».
La porte étroite, c’est peut-être le portillon qu’on laissait ouvert un moment quand déjà les grandes portes de la ville étaient fermées pour la nuit ou en temps de trouble.
Dans ce cas, c’est une porte de Miséricorde pour les retardataires et pour ceux qui se sont laissé surprendre au dehors par la fermeture qu’ils auraient dû prévoir.
Mais de toute façon, qu’il s’agisse d’une porte malcommode pour une foule ou d’un portillon commode parce qu’il reste ouvert, il faut toujours saisir l’occasion et entrer à temps dans la ville.
Pour les auditeurs de Jésus, sa parabole a dû être limpide. Ils ont sans doute compris que Jésus les pressait de venir à la Foi : "Hâtez-vous d’entrer par la porte que je vous offre, sinon d’autres entreront avant vous, des croyants venus du levant et du couchant, du nord et du midi, qui seront, par leur Foi, plus que vous fils d’Abraham, plus que vous de la race des prophètes.
Pour nous les paroles de Jésus sur la porte étroite et la porte fermée cachent une part de mystère.
Comme toutes les paraboles de Jésus, elles nous suggèrent un programme de réflexion, jamais achevé, jamais clos ; et parmi les différentes manières de les comprendre, il nous faut choisir celle qui est la plus consonante avec l’ensemble de sa pensée.
Jésus ne voulait sûrement pas évoquer des hommes qui se bousculent pour forcer un portillon, comme s’il disait : « Puisque la porte est étroite, joue des coudes, toi aussi, dans la foule, et tu auras tes chances. »
Jamais en effet Jésus n’a enseigné qu’il fallait évincer des frères pour entrer dans le Règne de Dieu ; jamais Jésus n’a voulu dire : « Les places sont rares, et elles reviendront au plus fort ou au plus malin. »
Il a pu vouloir dire : « La porte n’est pas large, et il faut s’y présenter à temps. »
Mais il semble que Jésus insiste ici moins sur l’étroitesse de la porte que sur l’urgence de s’y engager : « La porte est étroite, certes, mais ce n’est pas grave : on peut toujours passer avec un minimum d’effort ; faites vite, cependant, car la porte un jour sera fermée. »
Là nous rejoignons de nombreuses paraboles et de nombreuses affirmations de Jésus sur la venue imprévisible de la fin, fin de la présence de Jésus sur Terre, fin du monde, ou mort de chaque homme.
Et Jésus d’expliquer sa pensée par la parabole du maître de maison.
Une chose est claire : la porte se refermera ; l’histoire du monde sera close un jour, et chaque humain, pour son compte, tournera un jour la dernière page de sa vie.
Cela, le Seigneur ne l’oublie pas, et il ne veut pas que nous l’oubliions. Il est doux, miséricordieux, mais son Amour est fort et nous ramène sans cesse devant le sérieux de la vie.
Jésus sauveur sait trop bien que nous ne serons jamais vraiment heureux tant que nous n’irons pas jusqu’au bout de notre loyauté et de notre réponse.
Quand le moment viendra où nos lenteurs n’auront plus cours, nous aurons beau frapper, crier : « Seigneur, ouvre-nous ! », nous aurons beau dire : « Enfin, Seigneur … j’étais de tes amis ! »
Jésus nous répondra : « Mes vrais amis sont déjà entrés. »
Message qui ignore les demi-mesures ! Rien ne ressemblerait moins à Jésus de Nazareth que l’image d’un maître un peu fade, d’un prophète du laisser-aller, excusant tout et ne demandant rien ; car Jésus jusqu’au bout a été passionné de la Gloire du Père et passionné du Salut des hommes, c’est-à-dire de leur vraie Joie.
Mais il ne faudrait pas isoler cette parole de Jésus sur la porte fermée de l’ensemble de sa prédication, qui à la fois renforce ses exigences et les restitue dans un projet d’amour.
Ce même Jésus qui nous parle sans ambages de la porte qui se referme est le même qui disait : « Je suis la porte des brebis. Qui entrera par Moi sera sauvé ; il entrera et sortira, et trouvera pâture. Moi je suis venu pour que les brebis aient la Vie, et qu’elles l’aient en abondance. »
Aussi longtemps qu’il s’agit du bercail et tant qu’il est question d’entrer et de sortir, et donc d’user de notre liberté, Jésus est la porte, l’unique porte qui donne accès à la fois au refuge et à la campagne, à la prière et à la mission. On entre pour trouver la Paix, on sort pour donner la Joie, mais toujours librement.
L’autre porte, celle qui se ferme, ne se ferme qu’une fois, à la fin des temps, à la fin de l’histoire, à la fin de chaque vie d’homme ; mais ne craignons pas : si durant notre vie nous cherchons loyalement Le Seigneur, cette porte ne se fermera pas devant nous, mais sur notre Bonheur, pour l’abriter éternellement.
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_189
Abbé Pedro IGLESIAS Martínez (Rubí, Barcelona, Espagne).
«Seigneur, n'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés?»
Aujourd'hui, l'Évangile nous place tous devant le thème du Salut des âmes. Ceci est le noyau du message du Christ et la “loi suprême de l'Église” (ainsi le confirme même le Code du Droit Canonique).
Le Salut de l'âme est une réalité en tant que don de Dieu, mais pour ceux de nous qui n'avons pas encore franchi la frontière de l'Au-delà, ce n'est qu'une possibilité.
Nous sauver ou nous condamner! C'est-à-dire, accepter ou rejeter l'offre de l'Amour de Dieu pour toute l'éternité.
Disait Saint Augustin: «Il devint digne de la damnation éternelle celui qui annihila en lui-même le bien qui eût pu être éternel».
Dans cette vie il n'y a que deux possibilités: ou Dieu ou le néant, car sans Dieu plus rien n'a de sens dans le monde.
La vie, la mort, l'allégresse, la souffrance, l'amour, etc., ainsi considérés, ne sont que des concepts dépourvus de logique, lorsqu'ils ne participent pas de l'être de Dieu.
Quand l'homme a péché, il fuit le regard du Créateur et le centre sur lui-même. Dieu regarde sans cesse le pécheur avec Amour, et pour ne pas obliger sa liberté, Il attend un geste minime de volonté de retour.
«Seigneur, n'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés?» (Lc 13,23). Mais Le Christ ne répond pas à cette interpellation.
Or, la question est restée sans réponse tout comme elle y reste encore aujourd'hui, car «c'est un mystère inscrutable entre la sainteté de Dieu et la conscience de l'homme.
Le silence de l'Église est, donc, la seule position convenable du Chrétien» (Jean Paul II). L'Église ne se prononce pas sur ceux qui habitent l'enfer, mais —en s'appuyant sur les paroles de Jésus-Christ— elle le fait sur leur existence et la réalité qu'au Jugement Dernier il y aura de damnés.
Et tout homme qui rejet cela, soit ecclésiastique ou laïque, il tombe tout simplement dans l'hérésie.
Nous sommes libres pour tourner le regard de notre âme vers le Sauveur, et nous sommes aussi libres pour nous entêter à le rejeter.
La mort pétrifiera cette option de notre âme pour l'éternité...
Hymne : N’allons plus nous dérobant
N’allons plus nous dérobant
À l’Esprit qui régénère :
Le Seigneur est ressuscité !
Un sang neuf coule aux artères
Du corps entier.
La nuit du temps
Se change en lumière :
L’homme était mort, il est vivant.
N’allons plus à contre-voie
De Celui qui nous entraîne :
Le Seigneur est ressuscité !
Dans sa chair monte, soudaine,
L’éternité.
Il rend leur poids
Aux jours, aux semaines,
Les achemine vers la joie.
N’allons plus sans feu ni lieu
Quand Jésus nous accompagne :
Le Seigneur est ressuscité !
Le voici pain sur la table
Des baptisés.
Présent de Dieu
Offert en partage :
Christ aujourd’hui ouvre nos yeux.
Nous irons portant plus haut
Notre foi dans la victoire :
Le Seigneur est ressuscité !
L’univers chante la gloire
Des rachetés.
Le feu et l’eau
Emportent l’histoire,
Dieu nous appelle avec l’Agneau
Oraison du matin (Office des Laudes)...(Propre à Saint Pie X).
Seigneur, pour défendre la Foi Catholique et fonder toutes choses dans Le Christ, tu as comblé le Pape Saint Pie X de Sagesse Divine et de courage apostolique ; permets que, dociles à ses instructions et à ses exemples, nous obtenions l'éternelle récompense.
Parole de Dieu : (Ap 7, 10.12)... (Office des Laudes).
Le Salut est donné par Notre Dieu, Lui qui siège sur le Trône, et par l’Agneau ! Louange, Gloire, Sagesse et Action de grâce, Honneur, Puissance et Force à Notre Dieu pour les siècles des siècles Amen !
Parole de Dieu : (2 Co 1, 3-4)... (Office des Vêpres).
Béni soit Dieu, Le Père de Notre Seigneur Jésus-Christ, Le Père plein de Tendresse, Le Dieu de qui vient tout réconfort.
Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu.
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