Eucharistie du Mercredi 04 Novembre 2015 : Mercredi de la 31ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Mercredi 04 Novembre 2015 : Mercredi de la 31ème semaine du Temps Ordinaire.

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Charles (Carlo) Borromée, Archevêque de Milan (1538-1584).

Fête de Notre-Dame de Guadeloupe d'Estramadure.
Fête de Saint Félix de Valois, Ermite et co-Fondateur de l’« Ordre de la Très Sainte Trinité» (1127-1212).
Fête de la Bienheureuse Françoise d'Amboise, duchesse de Bretagne, Religieuse Carmélite, Fondatrice du 1er Carmel féminin de France (+ 1485).
Fête de la Bse Hélène (Elena) Enselmini, vierge Clarisse († 1251).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 13,8-10… Psaume 112(111),1-2.4-5.9… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 14,25-33.
Commentaire de Saint Jean Cassien (v. 360-435), Fondateur de Monastère à Marseille.
HOMÉLIE DE SAINT CHARLES BORROMÉE PRONONCÉE À SON DERNIER SYNODE.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Joan GUITERAS i Vilanova (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

San carlo arona 01

Mercredi 04 Novembre 2015 : Fête de Saint Charles (Carlo) Borromée, Archevêque de Milan (1538-1584).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Charles (Carlo) Borromée.

Nd de guadeloupe d estramadure

Mercredi 04 Novembre 2015 : Fête de Notre-Dame de Guadeloupe d'Estramadure.
(Ne pas confondre avec ND de Guadalupe au Mexique).

Pour en découvrir davantage sur cette Fête, aller dans le menu déroulant à « Les Fêtes Catholiques » ou sur le lien suivant :
Fête de Notre-Dame de Guadeloupe d'Estramadure.

Poutni misto homol1

Mercredi 04 Novembre 2015 : Fête de Saint Félix de Valois, Ermite et co-Fondateur de l’« Ordre de la Très Sainte Trinité» (1127-1212).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Félix de Valois.

Fcse d amboise

Mercredi 04 Novembre 2015 : Fête de la Bienheureuse Françoise d'Amboise, duchesse de Bretagne, Religieuse Carmélite, Fondatrice du 1er Carmel féminin de France (+ 1485).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Françoise d'Amboise.

Beata elena enselmini 2

Mercredi 04 Novembre 2015 : Fête de la Bse Hélène (Elena) Enselmini, vierge Clarisse († 1251).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bse Hélène (Elena) Enselmini.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 13,8-10.
N’ayez de dette envers personne, sauf celle de l’amour mutuel, car celui qui aime les autres a pleinement accompli la Loi.
La Loi dit : Tu ne commettras pas d’adultère, tu ne commettras pas de meurtre, tu ne commettras pas de vol, tu ne convoiteras pas. Ces commandements et tous les autres se résument dans cette parole : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
L’amour ne fait rien de mal au prochain. Donc, le plein accomplissement de la Loi, c’est l’amour.

 

Psaume 112(111),1-2.4-5.9.
Heureux qui craint le Seigneur,
qui aime entièrement sa volonté !
Sa lignée sera puissante sur la terre ;
la race des justes est bénie.

Lumière des cœurs droits, il s'est levé dans les ténèbres,
homme de justice, de tendresse et de pitié.
L'homme de bien a pitié, il partage ;
il mène ses affaires avec droiture.

A pleines mains, il donne au pauvre ;
à jamais se maintiendra sa justice,
sa puissance grandira, et sa gloire !

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 14,25-33.
De grandes foules faisaient route avec Jésus ; il se retourna et leur dit :
« Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.
Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher à ma suite ne peut pas être mon disciple.
Quel est celui d’entre vous qui, voulant bâtir une tour, ne commence par s’asseoir pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi aller jusqu’au bout ?
Car, si jamais il pose les fondations et n’est pas capable d’achever, tous ceux qui le verront vont se moquer de lui :
“Voilà un homme qui a commencé à bâtir et n’a pas été capable d’achever !”
Et quel est le roi qui, partant en guerre contre un autre roi, ne commence par s’asseoir pour voir s’il peut, avec dix mille hommes, affronter l’autre qui marche contre lui avec vingt mille ?
S’il ne le peut pas, il envoie, pendant que l’autre est encore loin, une délégation pour demander les conditions de paix.
Ainsi donc, celui d’entre vous qui ne renonce pas à tout ce qui lui appartient ne peut pas être mon disciple.

 

Commentaire du jour.
Saint Jean Cassien (v. 360-435), Fondateur de Monastère à Marseille.
Conférences 3, 6-7; CSEL 13/2, 73-75 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 437)

Renoncer à tous ses biens

Selon la tradition des Pères et l'autorité des saintes Écritures, les renoncements sont au nombre de trois.
Le premier concerne ce qui est matériel ; il nous fait mépriser toutes les richesses et les biens du monde.
Par le deuxième, nous répudions notre ancienne manière de vivre, avec les vices et les passions de l'âme et de la chair.
Par la troisième, nous détachons notre esprit de toutes les réalités présentes et visibles pour ne contempler que les réalités futures et ne désirer que les réalités invisibles.
Ces renoncements doivent être observés tous les trois, comme Le Seigneur l'a ordonné à Abraham, lorsqu'il lui a dit : « Quitte ton pays, ta famille et la maison de ton père » (Gn 12,1).

Il a dit en premier lieu : « Quitte ton pays », c'est-à-dire les richesses de la Terre. En second lieu : « Quitte ta famille », c'est-à-dire les habitudes et les vices passés qui, en s'attachant à nous depuis notre naissance, nous sont étroitement unis par une sorte de parenté. En troisième lieu : « Quitte la maison de ton père », c'est-à-dire tout attachement au monde actuel qui se présente à nos yeux.

Contemplons, comme le dit l'apôtre Paul, « non pas ce qui se voit, mais ce qui ne se voit pas ; ce qui se voit est provisoire, mais ce qui ne se voit pas est éternel » (2Co 4,18) ; « nous, nous sommes citoyens des Cieux » (Ph 3,20).
Nous sortirons ainsi de la maison de notre ancien père, celui qui était notre père selon le vieil homme, dès notre naissance, quand « nous étions par nature voués à la colère comme tous les autres » (Ep 2,3), et nous porterons toute l'attention de notre esprit aux choses Célestes.
Notre âme s'élèvera alors jusqu'au monde invisible par la méditation constante des choses de Dieu et la Contemplation spirituelle.

 

HOMÉLIE DE SAINT CHARLES BORROMÉE PRONONCÉE À SON DERNIER SYNODE

Nous sommes tous faibles, je le reconnais, mais Le Seigneur Dieu nous a donné des moyens où nous pouvons facilement trouver du secours si nous le voulons.
Voici un Prêtre qui voudrait mener la vie irréprochable à laquelle il se sait obligé, qui voudrait être chaste et avoir la conduite digne des anges qui lui convient ; mais il ne décide pas d'employer les moyens voulus : le jeûne, la prière, la fuite des relations mauvaises, des familiarités nuisibles et dangereuses.

Cet autre, lorsqu'il entre au chœur pour la psalmodie ou lorsqu'il va célébrer la Messe, se plaint de ce que mille pensées se présentent aussitôt à son esprit et le distraient de Dieu.
Mais avant d'aller au chœur ou de célébrer la Messe, qu'a-t-il fait à la sacristie, comment s'est-il préparé, quels moyens a-t-il pris pour maîtriser son attention ?

Veux-tu que je t'enseigne comment progresser sans cesse de vertu en vertu et, si déjà tu étais attentif au chœur, comment tu pourras l'être davantage une autre fois pour que tes hommages plaisent à Dieu encore plus ?
Écoute-moi bien. Si un petit feu d'Amour Divin est déjà allumé en toi, ne le montre pas tout de suite, ne l'expose pas au vent ; garde fermée la porte du four, pour ne pas laisser perdre la chaleur.
Cela veut dire : fuis, autant que possible, les distractions, demeure recueilli en Dieu, évite les conversations frivoles.

Tu as la charge de la prédication et de l'enseignement ? Étudie, applique-toi à tout ce qui est nécessaire pour bien exercer cette charge.
Soucie-toi d'abord de prêcher par ta vie et tes mœurs ; évite qu'en te voyant dire une chose et en faire une autre, les gens ne se moquent de tes paroles en hochant la tête.

Tu as charge d'âmes ? Ce n'est pas une raison pour négliger la charge de toi-même et pour te donner si généreusement aux autres qu'il ne reste plus rien de toi-même pour toi.
Tu dois te souvenir des âmes dont tu es le supérieur, sans t'oublier toi-même.

Comprenez, mes frères, que rien n'est aussi nécessaire, pour des hommes d'Église, que l'Oraison mentale qui doit précéder toutes nos actions, les accompagner et les suivre.
Je chanterai, dit le Prophète, et je serai attentif.

Si tu administres les Sacrements, mon frère, pense à ce que tu fais ; si tu célèbres la Messe, pense à ce que tu offres ; si tu psalmodies au chœur, réfléchis à qui tu parles et à ce que tu dis ; si tu diriges les âmes, songe au Sang qui les a lavées ; ainsi faites tout avec Amour.

C'est ainsi que nous pourrons vaincre facilement les innombrables difficultés que nous rencontrons nécessairement chaque jour du fait de notre position.
C'est ainsi que nous aurons la force d'engendrer Le Christ en nous et chez les autres.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4375.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher à ma suite ne peut pas être mon disciple.

« Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher derrière moi ne peut pas être mon disciple ». Nous connaissons bien cette exigence évangélique ; elle nous dérange toujours. Il nous faut renoncer à tout ce qui est légitime, notre famille comme notre vie.
Dès lors, nous nous imaginons confusément qu’il faudrait certainement tout abandonner, ne plus voir les nôtres, rechercher la mort, à l’exemple de Sainte Thérèse d’Avila qui, lorsqu’elle était encore enfant, partait avec son petit frère à la recherche des Maures qui feraient d’eux des martyrs...
Or, sachant que ce n’est guère réaliste, nous concluons amèrement que porter notre croix ne sera sans doute pas mourir mais en tous cas souffrir gratuitement.
En somme, nous commençons plus ou moins consciemment à regretter l’invitation au banquet qui nous a été faite hier.
Nous pourrions même, si nous ne nous surveillions pas, regretter que les messagers du maître de maison ne nous aient pas laissés aux carrefours du monde où nous traînions notre pauvreté et nos infirmités.

Pourtant cette sentence de Jésus, très exigeante il est vrai, ne nous est pas livrée telle quelle. Jésus l’illustre par deux courtes paraboles qui nous permettent d’en pénétrer le sens.

Elles commencent toutes les deux par une question de sagesse : « qui ne commence pas par s’asseoir ? ». Telle est la première demande de Jésus à qui veut le suivre : s’asseoir. S’asseoir pour compter ses forces et pour évaluer ses biens, s’asseoir pour mesurer sa capacité à poser des fondations suffisamment robustes.

Jésus poursuit ensuite : « de même, celui qui ne renonce pas à tout ». S’asseoir et compter est donc équivalent à renoncer à tout. Voilà un paradoxe intéressant, il induit que les deux actions ont la même valeur : d’un côté, on ne se lance pas dans des travaux sans compter ses ressources ; de l’autre, on ne se met pas à la suite de Jésus sans renoncer à tout. Ainsi, Jésus ne nous demande-t-il pas, comme un dieu sadique, de tuer en nous l’amour filial ou conjugal, mais de peser si l’amour du Christ est prioritaire sur lui.

C’est alors seulement, après s’être assis et avoir évalué nos forces, c'est-à-dire nos faiblesses, que nous pouvons prétendre porter notre croix.
Une fois que nous avons constaté que cela nous est impossible. Car celui qui prétendrait la porter par ses propres forces ne le pourrait pas, il serait écrasé, broyé par le fardeau.
Là est notre chance. Là est le moment du choix. Voyant que nous n’avons pas la force, il nous faut envoyer un émissaire à Jésus pour le prévenir du danger imminent et conclure une alliance : « Seigneur, envoie moi ton Esprit, donne moi la force qui t’anime, car pour rien au monde je ne veux être séparé de Toi ».

L’Amour pour Jésus apparaît alors non seulement comme préférentiel, mais comme exclusif. Il faut accepter de tout perdre pour suivre Jésus jusqu’à partager sa victoire, jusqu’à vivre de sa Résurrection.
Ressusciter implique de mourir, de tout perdre, mais la Résurrection n’est pas une amélioration de la vie, elle est une vie nouvelle dans laquelle on entre par la mort.
Mourir à soi pour aimer avec l’Amour même de Dieu. Subordonner tout amour dans nos vies pour qu’il devienne Amour du Christ. Finalement, porter sa croix est simplement accepter que mes chemins deviennent ceux de Dieu, c’est seulement accueillir l’Amour de Dieu en germe de Vie éternelle.

Seigneur Jésus, donne-nous ton Esprit de Vie. Qu’il nous enseigne à renoncer à tout, à tout accueillir de Toi, sans nous attacher ni à ce que nous avons reçu, ni à ce que nous nous sommes donné, ni même à ce qu’on attend de Dieu. Accueillir la grâce de n’être jamais séparés de Toi, tout simplement, à chaque instant.

Frère Dominique.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_282
Abbé Joan GUITERAS i Vilanova (Barcelona, Espagne).

«Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher derrière moi ne peut pas être mon disciple»

Aujourd'hui, nous contemplons Jésus en route vers Jérusalem. Là-bas Il donnera sa vie pour sauver le monde. «De grandes foules faisaient route avec Jésus» (Lc 14,25): les disciples, marchant avec Jésus qui les précède, doivent apprendre à devenir des hommes nouveaux. C'est la finalité des instructions que Le Seigneur exprime et propose à qui le suit dans son ascension vers la "Cité de la Paix".

Disciple signifie "suiveur". Suivre les traces du Maître, être comme Lui, penser comme Lui, vivre comme Lui… Le disciple vit avec le Maître et l'accompagne. Le Seigneur enseigne par des actes et des paroles. Vous avez clairement vu l'attitude du Christ entre l'Absolu et le relatif. Vous avez entendu de sa bouche plusieurs fois que Dieu est la première valeur de l'existence. Vous avez admiré la relation entre Jésus et Le Père Céleste.
Vous avez vu la dignité et la confiance avec laquelle il priait Le Père. Vous avez admiré sa pauvreté radicale.

Aujourd'hui Le Seigneur nous parle avec des termes clairs. Le disciple authentique doit aimer avec tout son cœur et toute son âme notre Seigneur Jésus-Christ, au-dessus de tout lien, y compris le plus intime: «Si quelqu'un vient à Moi sans me préférer (…) et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple» (Lc 14,26-27).
Il doit occuper la première place dans la vie d'un suiveur. Saint Augustin dit: «Répondons au père et à la mère: ‘Je vous aime en Christ, non à la place du Christ’». L'acte de suivre Jésus doit même précéder l'Amour pour notre propre vie. Suivre Jésus, en fin de compte, signifie embrasser sa croix. Sans croix il n'y a pas de disciple.

L'appel évangélique exhorte à la prudence, c'est-à-dire, à la vertu qui dirige le comportement adéquat.
Celui qui veut construire une tour doit calculer avant son budget. Le roi qui va à la guerre doit d'abord prendre en compte le nombre de soldats dont il dispose avant de décider s'il prend les armes ou s'il demande la paix.
Celui qui veut être disciple du Seigneur doit renoncer à tous ses biens. Le renoncement sera son meilleur pari!

 

Hymne : À la mesure sans mesure

À la mesure sans mesure
De ton immensité,
Tu nous manques, Seigneur.
Dans le tréfonds de notre cœur
Ta place reste marquée
Comme un grand vide, une blessure.

À l’infini de ta présence
Le monde est allusion,
Car tes mains l’ont formé.
Mais il gémit, en exilé,
Et crie sa désolation
De n’éprouver que ton silence.

Dans le tourment de ton absence,
C’est toi déjà, Seigneur,
Qui nous as rencontrés.
Tu n’es jamais un étranger,
Mais l’hôte plus intérieur
Qui se révèle en transparence.

Cachés au creux de ton mystère,
Nous te reconnaissons
Sans jamais te saisir.
Le pauvre seul peut t’accueillir,
D’un cœur brûlé d’attention,
Les yeux tournés vers ta lumière.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Maintiens dans ton peuple, Seigneur, l'esprit qui animait Saint Charles Borromée ; ainsi ton Église, sans cesse renouvelée et toujours plus fidèle à l'Évangile, pourra montrer au monde le vrai visage du Christ.
Lui qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.

 

Parole de Dieu : (He 13 7-9a)… (Office des Laudes)Commun des Pasteurs.
Souvenez-vous de ceux qui vous ont dirigés : ils vous ont annoncé la Parole de Dieu. Méditez sur l’aboutissement de la vie qu’ils ont menée, et imitez leur Foi.
Jésus-Christ, hier et aujourd’hui, est le même, il l’est pour l’éternité. Ne vous laissez pas égarer par toutes sortes de doctrines étrangères.

 

Parole de Dieu : (Ep 3, 20-21)… (Office des Vêpres).
Gloire à celui qui a le pouvoir de réaliser en nous par sa puissance infiniment plus que nous ne pouvons demander ou même imaginer, gloire à Lui dans l’Église et dans Le Christ Jésus pour toutes les générations dans les siècles des siècles. Amen.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

Ajouter un commentaire