Eucharistie du Vendredi 28 Août 2015 : Vendredi de la 21ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Augustin, Évêque d'Hippone, Docteur de l'Église (354-430) et Célèbre la Solennité de sa Fête en Afrique du Nord (Lectures propres).
En Afrique du Nord : Solennité de Saint Augustin - lectures propres
Fête de Sainte Joachima de Vedruna de Mas, veuve et Fondatrice de l'institut des Carmélites de la Charité (1783-1854).
Fête de Dom Helder Camara, Prêtre Lazariste, Archevêque de Recife (1909-1999).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 4,1-8… Psaume 97(96),1-2.5-6.11-12… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 25,1-13.
Commentaire de Saint Grégoire le Grand (v. 540-604), Pape et Docteur de l'Église.
DES CONFESSIONS DE SAINT AUGUSTIN.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Abbé Joan Ant. MATEO i García (La Fuliola, Lleida, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Vendredi 28 Août 2015 : Fête de Saint Augustin, Évêque d'Hippone, Docteur de l'Église (354-430).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Augustin, Évêque d'Hippone.
Vendredi 28 Août 2015 : Fête de Sainte Joachima de Vedruna de Mas, veuve et Fondatrice de l'institut des Carmélites de la Charité (1783-1854).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Joachima de Vedruna de Mas.
Vendredi 28 Août 2015 : Fête de Dom Helder Camara, Prêtre Lazariste, Archevêque de Recife (1909-1999).
Il n’est pas encore Canonisé, ni Béatifié, mais c’est une grande figure de l’Église. Son procès en Béatification est en cours.
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Dom Helder Camara.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 4,1-8.
Frères, vous avez appris de nous comment il faut vous conduire pour plaire à Dieu ; et c’est ainsi que vous vous conduisez déjà. Faites donc de nouveaux progrès, nous vous le demandons, oui, nous vous en prions dans le Seigneur Jésus.
Vous savez bien quelles instructions nous vous avons données de la part du Seigneur Jésus.
La volonté de Dieu, c’est que vous viviez dans la sainteté, en vous abstenant de la débauche,
et en veillant chacun à rester maître de son corps dans un esprit de sainteté et de respect,
sans vous laisser entraîner par la convoitise comme font les païens qui ne connaissent pas Dieu.
Dans ce domaine, il ne faut pas agir au détriment de son frère ni lui causer du tort, car de tout cela le Seigneur fait justice, comme nous vous l’avons déjà dit et attesté.
En effet, Dieu nous a appelés, non pas pour que nous restions dans l’impureté, mais pour que nous vivions dans la sainteté.
Ainsi donc celui qui rejette mes instructions, ce n’est pas un homme qu’il rejette, c’est Dieu lui-même, lui qui vous donne son Esprit Saint.
Psaume 97(96),1-2.5-6.11-12.
Le Seigneur est roi ! Exulte la terre !
Joie pour les îles sans nombre !
Ténèbre et nuée l'entourent,
justice et droit sont l'appui de son trône.
Les montagnes fondaient comme cire devant le Seigneur,
devant le Maître de toute la terre.
Les cieux ont proclamé sa justice,
et tous les peuples ont vu sa gloire.
Une lumière est semée pour le juste,
et pour le cœur simple, une joie.
Que le Seigneur soit votre joie, hommes justes ;
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 25,1-13.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : Le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux.
Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes :
les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile,
tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile.
Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.
Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.
Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.”
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure.
Commentaire du jour.
Saint Grégoire le Grand (v. 540-604), Pape et Docteur de l'Église.
Homélies sur les évangiles, 12 ; PL 76, 1119-1120
« Nos lampes s'éteignent »
« Les cinq vierges folles, en prenant leurs lampes, n'avaient pas emporté d'huile avec elles ; les sages au contraire portaient avec leurs lampes de l'huile dans des vases. »
L'huile désigne ici l'éclat de la gloire ; les vases, ce sont nos cœurs, dans lesquels nous portons toutes nos pensées.
Les vierges sages portent de l'huile dans leurs vases, parce qu'elles gardent au-dedans de leur conscience tout l'éclat de leur gloire, comme le dit Saint Paul : « Ce qui fait notre gloire, c'est le témoignage de notre conscience » (2Co 1,12).
Les vierges folles au contraire n'emportent pas d'huile avec elles, parce qu'elles ne portent pas leur gloire dans le secret de leur cœur, c'est à dire qu'elles la demandent aux louanges d'autrui.
« Mais au milieu de la nuit, un cri retentit : ' Voici l'Epoux qui vient, allez au-devant de lui ! ' » Alors toutes les vierges se lèvent.
Mais les lampes des vierges folles s'éteignent parce que leurs œuvres, qui du dehors paraissaient éclatantes aux yeux des hommes, ne sont plus au-dedans que ténèbres à l'arrivée du Juge ; et elles ne reçoivent de Dieu aucune récompense, ayant pour elles déjà reçu des hommes ces louanges qu'elles aimaient.
DES CONFESSIONS DE SAINT AUGUSTIN
Averti de revenir à moi-même, je suis entré au fond de mon cœur, sous ta conduite, Seigneur, et j'ai pu le faire, parce que tu es venu à mon secours.
Je suis entré, et avec le regard de mon âme, quel que fût son état, au-dessus de ce même regard, au-dessus de mon intelligence, j'ai vu la lumière immuable.
Ce n'était pas cette lumière ordinaire que tout le monde peut voir ; ce n'était pas non plus une lumière de même nature, mais plus puissante, qui aurait brillé de plus en plus et aurait tout rempli par son éclat.
Non, cette lumière n'était pas cela, elle était autre chose, tout autre chose. Elle n'était pas au-dessus de mon esprit comme l'huile flotte à la surface de l'eau, ni comme le ciel s'étend au-dessus de la terre.
Elle était au-dessus de moi parce qu'elle m'a crée ; j'étais au-dessous d'elle parce que créé par elle. Celui qui connaît la vérité la connaît, et celui qui la connaît, connaît l'éternité. C'est l'Amour qui la connaît !
O éternelle vérité, ô véritable charité, ô chère éternité ! Tu es Mon Dieu, je soupire après Toi jour et nuit. Quand je t'ai connu pour la première fois, tu m'as soulevé vers Toi pour me faire voir l'existence de quelque chose que je devrais voir, mais que je ne pourrais pas encore voir moi-même.
Tu as ébloui la faiblesse de mon regard par la puissance de ton rayonnement, et je frissonnais d'amour et d'effroi.
J'ai découvert que j'étais loin de Toi, dans le pays de l'exil et de la dissemblance, et il me semblait que j'entendais ta voix, venant du haut du Ciel :
« Je suis la nourriture des forts : grandis et tu me mangeras. Tu ne me changeras pas en toi, comme la nourriture de ton corps, c'est toi qui seras changé en Moi. »
Je cherchais le moyen d'acquérir la force qui me rendrait capable de vivre uni à toi, et je ne la trouvais pas.
Enfin, j'ai embrassé le Médiateur entre Dieu et les hommes, l'homme Jésus Christ, lui qui est au-dessus de tout, Dieu Béni éternellement.
C'est Lui qui nous appelle et nous dit : Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. Il unit à la chair — puisque le Verbe s'est fait Chair — ; la nourriture que j'étais incapable de prendre, afin que ta Sagesse, par laquelle tu as tout créé, se transforme en lait pour s'adapter à notre condition d'enfants.
Je t'ai aimée bien tard, Beauté si ancienne et si nouvelle, je t'ai aimée bien tard ! Mais voilà : tu étais au-dedans de moi quand j'étais au-dehors, et c'est dehors que je te cherchais ; dans ma laideur, je me précipitais sur la grâce de tes créatures.
Tu étais avec moi, et je n'étais pas avec toi.
Elles me retenaient loin de toi, ces choses qui n'existeraient pas si elles n'existaient en toi. Tu m'as appelé, tu as crié, tu as vaincu ma surdité ; tu as brillé, tu as resplendi, et tu as dissipé mon aveuglement ; tu as répandu ton parfum, je l'ai respiré et je soupire maintenant pour Toi ; je t'ai goûtée, et j'ai faim et soif de Toi ; tu m'as touché et je me suis enflammé pour obtenir la Paix qui est en Toi.
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4307.html
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Le Royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces.
L’Évangile de ce jour nous présente la parabole des dix vierges. Au début du récit, même si elles sont différenciées par des qualités contraires, la sagesse et la sottise, les dix jeunes filles n’en forment pas moins un groupe uni.
Leur différenciation n’entraîne aucun conflit. L’unité du groupe est d’ailleurs soulignée par le fait que toutes, dans un premier mouvement, sortent ensemble, munies de leurs lampes, à la rencontre de l’époux.
Certes, les unes ont de l’huile en réserve et les autres non, mais rien dans le texte ne nous permet de penser que ces dernières auraient du s’en munir. Ajoutons enfin que face au retard de l’époux, toutes sombrent dans le sommeil.
Par contre, tout change lorsque retentit le cri de l’annonce de la venue de l’époux. Dès lors, le groupe se scinde en deux.
Cette séparation va très vite se révéler irréversible. Les deux groupes désormais ne se retrouveront plus dans le même lieu et se distingueront nettement par leurs actions jusqu’à ce que, dans la finale de la parabole, les prévoyantes soient admises dans la proximité de l’époux, à l’intérieur de la salle des noces, tandis que les insensées se retrouveront à l’extérieur, séparées de lui, inconnues.
Le « je ne vous connais pas » que l’époux adresse à ces dernières ne doit pas être pris comme une condamnation, ni même comme un reproche.
La transformation qui s’opère dans le récit, faisant apparaître deux sous-groupes, ne consacre pas une division morale entre de bonnes et de mauvaises vierges, ni même un conflit où les unes s’approprieraient le Royaume au dépend des autres, ni encore une quelconque condamnation des étourdies.
Si nous revenons au début de la parabole nous lisons : « il en est du Royaume comme de dix vierges… ».
Le récit nous dit donc que la totalité des vierges n’aura pas de part au Royaume : cinq entreront, cinq resteront dehors. Autrement dit, la division peut s’entendre comme se réalisant dans un même sujet.
Là où le Royaume advient, un partage est susceptible de s’opérer. En effet, tout ce qui en nous n’est pas orienté vers Le Seigneur (littéralement insensé c’est-à-dire qui a perdu le sens), tous les désirs qui ne tendent pas vers Lui et nous dispersent n’auront point part au Royaume.
L’amputation du groupe est donc un appel adressé aux jeunes filles qui sont dehors dans le monde, aux parties de nous-mêmes où ne brûle pas en quantité suffisante l’huile du désir de la rencontre avec l’époux, à se convertir : « veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure ».
« Seigneur tu connais la duplicité de notre cœur. Tu sais combien nous te désirons mais tu vois aussi combien nous sommes séduits par les sollicitations du monde.
Unifie notre cœur, Seigneur. Arrache-nous à la dispersion de nos convoitises décevantes et fait converger en Toi tous nos désirs afin que nos vies soient intégrées dans la tienne.
Tout est à nous mais nous sommes à Toi Seigneur Jésus-Christ et Toi tu es à Dieu (Cf. 1 Co 3, 21. 23).
Apprends-nous le détachement évangélique qui n’est pas indifférence aux choses de la vie mais concentration de notre attention sur ta présence qui donne à chaque événement son poids d’éternité.
Alors, lorsque ton Royaume sera pleinement manifesté nous pourrons entrer dans la salle des Noces et partager le Pain de l’éternité. »
Frère Élie.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_194
Abbé Joan Ant. MATEO i García (La Fuliola, Lleida, Espagne).
«Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas»
Aujourd'hui, 21ème Vendredi du Temps Ordinaire, Le Seigneur nous rappelle que nous devons être toujours vigilants et préparés pour notre rencontre avec Lui.
A minuit, à n'importe quel moment, on peut sonner à notre porte pour nous inviter à recevoir Le Seigneur.
La mort ne prend pas de rendez-vous à l'avance. De ce fait «vous ne savez ni le jour ni l'heure» (Mt 25,13).
Être vigilants ne veut pas dire non plus vivre dans la crainte et dans l'angoisse. Cela veut dire vivre avec responsabilité notre vie d'enfants de Dieu, notre vie de Foi, d'Espérance et de Charité.
Le Seigneur attend continuellement notre réponse de Foi et d'aAmour, constants et patients, au milieu de nos occupations et préoccupations de tous les jours qui tissent notre avenir.
Et cette réponse nous seuls pouvons la donner, toi et moi. Personne ne peut la donner à notre place.
C'est cela qui signifie la réponse négative de filles prudentes aux filles insensées quand celles-ci leur demandent de leur céder un peu de leur huile de réserve: «Allez plutôt vous en procurer chez les marchands» (Mt 25,9).
Ainsi notre réponse au Seigneur est personnelle et non-transférable.
N'attendons pas le lendemain —qui peut-être n'arrivera jamais— pour allumer notre lampe d'Amour pour l'Époux.
Carpe diem! Il faut vivre chaque seconde de notre vie avec toute la passion qu'un Chrétien doit avoir pour Son Seigneur.
C'est un dicton bien connu, mais qui nous ferait du bien de nous le rappeler: «Vit chaque jour de ta vie comme s'il était le premier de ton existence, comme s'il était le seul jour de ta vie, comme s'il était le dernier jour de ta vie».
Un appel, très réaliste, à la conversion nécessaire et raisonnable que nous devons réaliser.
Que Dieu dans sa Miséricorde nous accorde la grâce qu'à l'heure de notre rencontre nous n'entendons pas: «Amen, je vous le dis: je ne vous connais pas» (Mt 25,12), c'est à dire «vous n'avez eu aucun rapport ou relation avec Moi».
Fréquentons Le Seigneur en cette vie de manière que nous devenions ses connaissances ou ses amis dans le temps et dans l'éternité.
Hymne : Immensité d'amour
Immensité d'amour
Où le nôtre se perd,
Toi qui es notre nuit,
Notre désert,
Au plus loin de toi-même,
À distance infinie,
Seigneur, tu nous emmènes
Vers la source du jour.
Quand la plus haute voie
Les conduit en passion,
La blessure du cœur
Est l'aiguillon
Des enfants qui s'arrachent
À l'exil intérieur,
Mais savent d'autres marches
À l'encontre de toi.
Hors ces chemins perdus,
S'accomplit maintenant,
Au creuset du désir,
Ton jugement.
La douleur nous transperce
Comme un feu sans merci ;
Son glaive ouvre une brèche
Au profond du refus.
Et désormais plus rien
Ne disjoint notre soif
De la source jaillie
Auprès de toi.
Le voyage nocturne
Lentement se poursuit
Vers l'aube où se consume
Notre amour dans le tien.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Renouvelle, Seigneur, dans Ton Église, l'esprit dont tu as comblé l'Évêque Saint Augustin, pour que, remplis de ce même esprit, nous n'ayons soif que de Toi, source de la vraie Sagesse, et ne cherchions que Toi, auteur de l'éternel Amour.
Parole de Dieu : (Ep 4, 29-32)… (Office des Laudes).
Aucune parole mauvaise ne doit sortir de votre bouche ; mais, s’il y en a besoin, dites une parole bonne et constructive, bienveillante pour ceux qui vous écoutent.
En vue du jour de votre délivrance, vous avez reçu en vous la marque du Saint-Esprit de Dieu : ne le contristez pas.
Faites disparaître de votre vie tout ce qui est amertume, emportement, colère, éclats de voix ou insultes, ainsi que toute espèce de méchanceté.
Soyez entre vous pleins de générosité et de tendresse. Pardonnez-vous les uns aux autres, comme Dieu vous a pardonné dans Le Christ.
Parole de Dieu : (Rm 15, 1-3)… (Office des Vêpres).
C’est un devoir pour nous, les forts, de porter l’infirmité des faibles et de ne pas rechercher ce qui nous plaît. Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain, en vue du bien, pour édifier.
Le Christ, en effet, n’a pas recherché ce qui lui plaisait mais, comme il est écrit : « Les insultes de tes insulteurs sont tombées sur moi. »