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Eucharistie du Vendredi 21 Août 2015 : Vendredi de la 20ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Vendredi 21 Août 2015 : Vendredi de la 20ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Pie X, Pape (257ème) de 1903 à 1914, Giuseppe Merchiore Sarto (1835-1914).
Fête du Bienheureux Ladislas Findysz, Prêtre polonais et martyr (1907-1964).
Fête de la Bienheureuse Victoire Rasoamanarivo, laïque malgache (✝ 1894).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre de Ruth 1,1.3-6.14b-16.22… Psaume 146(145),5-6.7.8-9a.9bc-10… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22,34-40.
Commentaire de Saint Basile (v. 330-379), Moine et Évêque de Césarée en Cappadoce, Docteur de l'Église.
CONSTITUTION APOSTOLIQUE « DIVINO AFFLATU » DE SAINT PIE X (1911).
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Pere CALMELL i Turet (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Vendredi 21 Août 2015 : Fête de Saint Pie X, Pape (257ème) de 1903 à 1914, Giuseppe Merchiore Sarto (1835-1914).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Pie X, Pape.
Vendredi 21 Août 2015 : Fête du Bienheureux Ladislas Findysz, Prêtre polonais et martyr (1907-1964).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Ladislas Findysz.
Vendredi 21 Août 2015 : Fête de la Bienheureuse Victoire Rasoamanarivo, laïque malgache (✝ 1894).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Victoire Rasoamanarivo.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de Ruth 1,1.3-6.14b-16.22.
À l’époque où gouvernaient les Juges, il y eut une famine dans le pays. Un homme de Bethléem de Juda émigra avec sa femme et ses deux fils pour s’établir dans la région appelée Champs-de-Moab.
Élimélek, le mari de Noémi, mourut, et Noémi resta seule avec ses deux fils.
Ceux-ci épousèrent deux Moabites ; l’une s’appelait Orpa (c’est-à-dire : Volte-face) et l’autre, Ruth (c’est-à-dire : Compagne). Ils demeurèrent là une dizaine d’années.
Mahlone et Kilyone moururent à leur tour, et Noémi resta privée de ses deux fils et de son mari.
Alors, avec ses belles-filles, elle se prépara à quitter les Champs-de-Moab et à retourner chez elle, car elle avait appris que le Seigneur avait visité son peuple et lui donnait du pain.
En cours de route, Orpa embrassa sa belle-mère et la quitta, mais Ruth restait attachée à ses pas.
Noémi lui dit : « Tu vois, ta belle-sœur est retournée vers son peuple et vers ses dieux. Retourne, toi aussi, comme ta belle-sœur. »
Ruth lui répondit : « Ne me force pas à t’abandonner et à m’éloigner de toi, car où tu iras, j’irai ; où tu t’arrêteras, je m’arrêterai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.
Noémi revint donc des Champs-de-Moab avec sa belle-fille, Ruth la Moabite. Elles arrivèrent à Bethléem au début de la moisson de l’orge.
Psaume 146(145),5-6.7.8-9a.9bc-10.
Heureux qui s'appuie sur le Dieu de Jacob,
qui met son espoir dans le Seigneur son Dieu.
lui qui a fait le ciel et la terre
et la mer et tout ce qu'ils renferment !
Il garde à jamais sa fidélité,
il fait justice aux opprimés ;
aux affamés, il donne le pain ;
le Seigneur délie les enchaînés.
Le Seigneur ouvre les yeux des aveugles,
le Seigneur redresse les accablés,
le Seigneur aime les justes,
le Seigneur protège l'étranger.
Il soutient la veuve et l'orphelin,
il égare les pas du méchant.
D'âge en âge, le Seigneur régnera :
ton Dieu, ô Sion, pour toujours !
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22,34-40.
En ce temps-là, les pharisiens, apprenant qu’il avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent,
et l’un d’entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l’épreuve :
« Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
Jésus lui répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit.
Voilà le grand, le premier commandement.
Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »
Commentaire du jour.
Saint Basile (v. 330-379), Moine et Évêque de Césarée en Cappadoce, Docteur de l'Église.
Grandes Règles monastiques, § 3 (trad. Lèbe, Maredsous 1969, p. 55 rev.)
« Voilà le premier Commandement... Le second lui est semblable »
Nous avons reçu le précepte d'aimer notre prochain comme nous-mêmes. Mais Dieu ne nous a-t-il pas donné aussi une disposition naturelle à le faire ?…
Rien n'est plus conforme à notre nature que de vivre ensemble, de nous rechercher mutuellement et d'aimer notre semblable.
Le Seigneur demande donc les fruits de ce germe qu'il a déjà déposé en nous, en disant : « Je vous donne un Commandement nouveau, c'est de vous aimer les uns les autres » (Jn 13,34).
Dans le but d'inciter notre âme à obéir à ce précepte, il n'a pas voulu qu'on trouve le signe distinctif de ses disciples dans des prodiges ou des œuvres extraordinaires, bien qu'ils en aient reçu le don dans L'Esprit Saint.
Il dit au contraire : « On reconnaîtra que vous êtes mes disciples à cet Amour que vous aurez les uns pour les autres » (Jn 13,35).
Et il met un tel lien entre les deux Commandements qu'il regarde comme faite à Lui-même toute bonne action faite envers le prochain : « Car j'ai eu soif, dit-il, et vous m'avez donné à boire. »
Et il ajoute : « Tout ce que vous avez fait au plus petit d'entre mes frères, c'est à Moi que vous l'avez fait » (Mt 25,35-40).
L'observance du premier Commandement contient donc aussi l'observance du second, et par le second on retourne au premier.
Celui qui aime Dieu aimera par conséquent son prochain : « Celui qui m'aime, dit Le Seigneur, accomplira mes Commandements.
Mon Commandement, le voici : c'est que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jn 14,23; 15,12).
Je le répète donc : qui aime son prochain remplit son devoir d'Amour envers Dieu, car Dieu considère ce don comme fait à Lui-même.
CONSTITUTION APOSTOLIQUE « DIVINO AFFLATU » DE SAINT PIE X (1911)
Les psaumes recueillis dans la Bible ont été composés sous l'inspiration Divine. Certes, dès les débuts de l'Église, ils ont merveilleusement contribué à nourrir la piété des fidèles, qui offraient à Dieu, en toute circonstance, un sacrifice de louange, c'est-à-dire l'acte de Foi qui sortait de leurs lèvres en l'honneur de son Nom.
Mais il est certain aussi que, selon un usage déjà reçu sous la Loi ancienne, ils ont tenu une place éminente dans la liturgie proprement dite et dans l'Office Divin.
Telle est l'origine de ce que Saint Basile appelle « la voix de l'Église », cette psalmodie définie par notre prédécesseur Urbain VIII comme « la fille de cette louange qui se chante sans relâche devant le trône de Dieu et de l'Agneau ».
Et, selon Saint Athanase, elle enseigne aux hommes, surtout lorsqu'ils sont consacrés au culte Divin, « comment ils doivent louer Dieu et quelles paroles il leur faut employer pour le célébrer. »
Voici, sur ce sujet une belle parole de Saint Augustin : « Pour que l'homme puisse adresser à Dieu une digne louange, Dieu s'est loué Lui-même ; et parce qu'il a bien voulu se louer, l'homme sait quelle louange il doit lui adresser. »
Les psaumes possèdent en outre une étonnante efficacité pour éveiller dans les cœurs le désir de toutes les vertus.
« Certes, toute la Sainte Écriture, de l'Ancien comme du Nouveau Testament, est inspirée par Dieu et utile pour l'enseignement, ainsi qu'il est écrit ; néanmoins le livre des Psaumes, comme un paradis contenant tous les fruits des autres livres, propose ses chants et ajoute ses propres fruits aux autres dans la psalmodie. »
Ces paroles sont encore de Saint Athanase, qui ajoute très justement: « Je pense que, pour celui qui chante les psaumes, ils sont comparables à un miroir où il peut se contempler lui-même ainsi que les mouvements de son âme, et psalmodier dans ces dispositions. »
C'est pourquoi Saint Augustin parle ainsi dans ses Confessions : « Combien j'ai pleuré, en chantant tes hymnes et tes cantiques, tant j'étais remué par les douces mélodies que chantait ton Église !
Ces chants pénétraient dans mes oreilles, la vérité s'infiltrait dans mon cœur que la ferveur transportait, mes larmes coulaient, et cela me faisait du bien.»
En effet, peut-on être insensible à tous ces passages des psaumes où sont proclamées si hautement l'immense Majesté de Dieu, sa toute-puissance, sa justice, sa bonté, sa clémence inexprimables, et ses autres grandeurs infinies ?
Peut-on ne pas répondre par des sentiments semblables, à ces actions de grâce pour les bienfaits reçus de Dieu, à ces Prières humbles et confiantes pour ce que l'on attend, ou à ces cris d'une âme qui se repent de ses péchés ?
Peut-on ne pas être embrasé d'Amour par cette image du Christ Rédempteur esquissée avec persévérance ? Car Saint Augustin « entendait dans tous les psaumes la voix du Christ soit qu'elle chante ou qu'elle gémisse, qu'elle se réjouisse dans l'espérance ou qu'elle soupire dans la situation présente. »
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4300.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
« Tu aimeras Le Seigneur Ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Tu aimeras ton prochain comme toi-même.»
Pharisiens et Sadducéens se relaient pour harceler Jésus de questions pièges. Les Pharisiens ouvrent le feu ; ils essaient de compromettre Jésus sur le terrain politique avec la demande concernant le tribut redevable à César (Mt 22, 15-22).
Mis en échec ils se retirent et laissent la place aux Sadducéens. Ceux-ci tentent de démontrer que la doctrine de la Résurrection soutenue par Notre-Seigneur est absurde ; leur argumentation s’appuie sur le cas de figure de six frères épousant successivement la femme de leur frère défunt pour lui assurer une descendance (Mt 22, 23-33).
Remis en place par un rappel des conditions de vie dans le Royaume, les Sadducéens sont eux aussi obligés de battre en retraite.
Devenus plus prudents, « les Pharisiens se réunirent » et par la voix d’un légiste, ils tendent un piège bien plus subtil.
Il était de tradition que les Maîtres résument les prescriptions de la Loi autour d’un Commandement central d’où tous les autres procèdent et auquel ils ramènent.
Cette synthèse originale caractérisait l’enseignement de chaque Rabbi.
L’exercice n’était pas facile car les quelques sentences retenues devaient proposer une image fidèle de la Thora dont elles devaient synthétiser l’essentiel.
Le « grand Commandement » auquel se réfèrent les Pharisiens est donc celui qui pour Jésus s’impose de manière absolue et autour duquel il entend construire sa doctrine. Ces messieurs espèrent bien sûr que la réponse du Rabbi sera insuffisante et qu’ils auront ainsi matière pour mettre en doute son orthodoxie.
Jésus rassemble un verset du Deutéronome (Dt 6, 5) et du Lévitique (Lv 19, 18) en un seul précepte, qui s’impose inconditionnellement.
Dans les deux passages convoqués, le programme à mettre en œuvre consiste à « aimer ». Dans les deux cas ce verbe est proposé au futur, non pas pour indiquer une action à venir, mais pour signifier qu’il s’agit de l’occupation principale tout au long du chemin qui conduit au Royaume.
Le futur a ici valeur d’un impératif qui vaut de manière définitive. L’objet de cet Amour est double.
Il s’agit d’abord d’aimer « Le Seigneur » et de l’aimer dans la radicalité d’un engagement de tout son être.
Conjointement et dans le même élan d’un unique Amour qui se donne résolument et sans retour, nous sommes invités à « aimer notre prochain comme nous-mêmes ».
Jésus précise que les deux Commandements sont d’égale importance ; pourtant Notre-Seigneur nous invite à respecter une priorité.
Ce qui laisse supposer que pour aimer comme il convient notre prochain, il nous faut d’abord nous enraciner dans l’Amour de Dieu et nous attacher à Lui « de tout notre cœur, de toute notre âme et de toute notre pensée ».
Ce n’est que lorsque nous serons ainsi totalement décentré de nous-mêmes vers celui qui est notre Source et notre Fin, que nous pourrons aimer notre prochain « en esprit et vérité » (cf. Jn 4, 23-24), c’est-à-dire dans la chasteté d’un Amour non possessif et dans la liberté du don et du service gratuits.
Le véritable Amour de soi consiste à nous livrer à Dieu qui nous appelle à Lui pour que nous trouvions notre Bonheur dans le partage de sa Vie.
Aimer notre prochain comme nous-mêmes consiste dès lors à nous livrer également à nos proches dans le même mouvement de désappropriation, qui à la fois nous libère de nos égoïsmes, et trace le chemin de la vraie liberté.
Somme toute, la seule loi qui vaille dans l’ordre de l’Amour, est celle du don sans retour. Nous aimer nous-mêmes signifie entrer dans la filiation divine en aimant Le Seigneur Notre Dieu « de tout notre cœur, de toute notre âme et de toute notre pensée », et en nous donnant les uns aux autres comme Le Christ Jésus s’est livré pour nous.
« Marie, Mère du Bel Amour, fais-nous naître à la Vie nouvelle de l’Esprit ; aide-nous à entrer dans la logique d’une Foi vivante par la Charité, afin que nous devenions ce que nous sommes : les frères de Jésus et les fils de Dieu Notre Père.
Nous pourrons alors assumer au cœur de ce monde, notre mission d’artisans de Paix et de semeurs de la vraie Joie. »
Père Joseph-Marie.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_185
Abbé Pere CALMELL i Turet (Barcelona, Espagne).
«Tu aimeras Le Seigneur Ton Dieu… Tu aimeras ton prochain»
Aujourd'hui, le maître de la Loi demande à Jésus: «Maître, dans la Loi, quel est le grand Commandement?» (Mt 22,36), le plus important, le premier.
La réponse, par contre, parle d'un premier Commandement et d'un second, qui lui «est semblable» (Mt 22,39).
Deux anneaux inséparables qui ne font qu'un seul. Inséparables, mais un premier anneau et un second, un en or et l'autre en argent.
Le Seigneur nous amène jusqu’à la profondeur du catéchisme chrétien, car «Tout ce qu'il y a dans l'Écriture —dans la Loi et les Prophètes— dépend de ces deux Commandements» (Mt 22,40).
Et voici la raison d'être du commentaire classique sur les deux morceaux de bois de la Croix du Seigneur: celui qui est planté dans la Terre est la verticalité, qui regarde Dieu vers le Ciel. Le traversier représente l'horizontalité, les relations avec nos semblables.
De même, dans cette image il y a un premier et un second. L'horizontalité serait au niveau de la Terre si avant nous ne possédions pas un bâton droit, et plus nous voudrons élever le niveau de nos services aux autres —l'horizontalité— plus notre Amour de Dieu sera élevé.
Sinon, viennent facilement le découragement, l'inconstance, l'exigence de compensations de quelque nature qu'elles soient.
Saint Jean de la Croix nous dit: «Plus une âme aime, plus elle est parfaite en ce qu'elle aime; à partir de là, cette âme, qui est déjà parfaite, est tout Amour et toutes ses actions sont Amour».
Effectivement, parmi les Saints que nous connaissons nous voyons comment l'Amour de Dieu, qu'ils savent manifester de nombreuses manières, leur donne une grande initiative au moment d'aider leur prochain.
Demandons aujourd'hui à la Sainte Vierge qu'elle nous remplisse du désir de surprendre Notre Seigneur avec des actes et des paroles attentionnées.
Ainsi, notre cœur sera capable de découvrir comment surprendre par un détail sympathique ceux qui vivent et travaillent à nos côtés, et pas seulement les jours importants, car n'importe qui peut faire cela.
Surprendre!: c'est une forme pratique de moins penser à nous-mêmes.
Hymne : Retournez-vous, voici l'Esprit
Retournez-vous, voici l'Esprit
Du Seigneur, au vent de la nuit,
Qui passe au monde ;
Accueillez-le, ne craignez rien ;
A la croisée de vos chemins,
Laissez-vous couvrir de son ombre.
N'alliez-vous pas vous desséchant
Dans vos lois de chair et de sang,
A perte d'être ?
Hébergez-le, vous renaîtrez,
Car Dieu travaille au plus secret :
Sa lumière luit aux ténèbres.
Ouvrez la fente de vos coeurs,
Et voyez celle du Seigneur,
L'arbre de vie ;
Rapprochez-les, restez greffés,
Buvez la sève désormais
Dont la plaie du Christ est remplie.
Et son Esprit brise les joints
Avec l'arbre mort du jardin
De sève humaine ;
Ne manquez pas ici le bond
Des derniers temps de création
Où l'amour de Dieu nous entraîne.
Ne rompez pas vos nouveaux liens :
Vous croîtrez avec l'Esprit Saint
Jusqu'à cette heure
Du Fils de l'homme éblouissant
Par tous les hommes de son sang
Qui l'auront choisi pour demeure.
Hymne : Qui donc est Dieu pour se livrer perdant
Qui donc est Dieu pour se livrer perdant
aux mains de l’homme ?
Qui donc est Dieu, qui pleure notre mal
comme une mère ?
R/Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi ?
Qui donc est Dieu, qui tire de sa mort
notre naissance ?
Qui donc est Dieu pour nous ouvrir sa joie
et son royaume ?
Qui donc est Dieu pour nous donner son Fils
né de la femme ?
Qui donc est Dieu qui veut à tous ses fils
donner sa mère ?
Qui donc est Dieu pour être notre Pain
à chaque cène ?
Qui donc est Dieu pour appeler nos corps
jusqu’en sa gloire ?
Qui donc est Dieu ? L’Amour est-il son nom
et son visage ?
Qui donc est Dieu qui fait de nous ses fils
à son image ?
Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, pour défendre la Foi Catholique et fonder toutes choses dans Le Christ, tu as comblé le Pape Saint Pie X de Sagesse Divine et de courage apostolique ; permets que, dociles à ses instructions et à ses exemples, nous obtenions l'éternelle récompense.
Parole de Dieu : (Ga 2, 19b-20)… (Office des Laudes).
Avec Le Christ, je suis fixé à la Croix : je vis, mais ce n’est plus moi, c’est Le Christ qui vit en moi. Ma vie aujourd’hui dans la condition humaine, je la vis dans la Foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et qui s’est livré pour moi.
Parole de Dieu : (Rm 8, 1-2)… (Office des Vêpres).
Pour ceux qui sont dans Le Christ Jésus, il n’y a plus de condamnation. Car, en me faisant passer sous sa loi, L’Esprit qui donne la Vie dans Le Christ Jésus m’a libéré, moi qui étais sous la loi du péché et de la mort.
Date de dernière mise à jour : 05/07/2021
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