L’entourage du Seigneur est cependant loin de communier à ses dispositions intérieures. Enfermés dans leur conception humaine d’un Messie glorieux à qui rien ne résiste, et se souvenant qu’Élie avait fait tomber le feu du ciel
C’est lorsqu’ils viennent vers nous pour exercer un ministère qu’ils reçoivent chez nous des noms tirés de leur fonction.
C’est ainsi que Michel veut dire « Qui est comme Dieu ? », Gabriel : « Force de Dieu ». Raphaël : « Dieu guérit ».
La pauvreté de l’apôtre interpelle. Elle interroge sur ce qui le fait vivre et lui donne cette joie, ce dynamisme et cette force.
Elle annonce une richesse qui dépasse les biens de ce monde : la Vie du Royaume de Dieu.
L'Église désire remercier la Très Sainte Trinité pour le « mystère de la femme » et pour toute femme, pour ce qui constitue la dimension éternelle de sa dignité féminine, pour les « merveilles de Dieu » qui, dans l'histoire des générations humaines, se sont accomplies en elle et par elle.
Chaque Chrétien est appelé à la sainteté (Vatican II, LG 39-42), et la sainteté ne consiste pas avant tout à faire des choses extraordinaires, mais à laisser agir Dieu.
Ce « plus » vient de Dieu : sa miséricorde, faite chair en Jésus, qui seule peut faire basculer le monde du mal vers le bien, à partir de notre consentement à vivre ce commandement du Seigneur.
Oui, elle est bien une mère nouvelle, celle qui enfante par un prodige si nouveau, en restant vierge, celle qui met au monde celui qui a créé le monde…
« Votre Père veut qu’aucun de ces petits ne se perde » : voilà la motivation des démarches que nous sommes invités à faire en vue de la réintégration de l’égaré.
Demandons aux apôtres de prier Jésus afin qu'il vienne auprès de nous et qu'il nous prenne la main ; car dès qu'il aura touché notre main, la fièvre disparaîtra.