Je me rappelle aussi d'un jeune homme qui me disait: «Mon Père, le péché promet beaucoup, ne donne rien et enlève tout».
Bon Jésus, fais que je puisse te comprendre, et que je puisse l'expliquer aux autres: ce que tu as uni, l'homme ne peut pas le séparer (cf. Mc 10,9).
Je sais : une voix intérieure, très douce, m’explique tout ; je sens en moi quelque chose, qui vient de toi et que je ne sais pas définir, qui me déchiffre tant de mystères que l’homme ne peut pas comprendre.
Moi, Seigneur, à ma manière, je comprends tout. C’est l’Amour.
Lui nous demande: «Et vous, que dites-vous? Pour vous, qui suis-je?». C'est la question de la Foi, de l'implication personnelle.
La réponse, nous ne la trouvons que dans l’expérience du silence et de l'oraison. C'est le chemin de la Foi que parcourt Pierre, et que nous devons parcourir nous aussi.
Au contraire, ce sont les œuvres qui dépendent de la Foi. Avoir une Foi vraie et authentique implique d'avoir une Foi active, dynamique; pas une Foi conditionnée et qui reste seulement en dehors, qui s'arrête aux apparences, qui tourne autour du pot…
La nôtre doit être une Foi réelle.
Il faut regarder avec les yeux
La Foi vive, la certitude inébranlable et l'adhésion inconditionnelle à la volonté du Seigneur, voilà la lumière qui éclaire les pas du peuple de Dieu au désert.
C'est cette même lumière qui resplendit à chaque instant en tout esprit agréable au Père.
La vérité de l’homme et la sainteté de l’homme sont d’abord à l’intérieur, dans son cœur.
C’est là que sont L’Esprit de Dieu ou l’esprit du mal, les pensées de Dieu ou les pensées mauvaises.
C’est le cœur qui doit être pur, avant tout, comme l’œil dans le corps, afin que le corps tout entier soit lumière.
La sollicitude fervente que les deux frères ont montrée — et particulièrement Méthode, en raison de sa responsabilité épiscopale — pour garder l'unité de la Foi et de l'Amour entre les Églises dont ils faisaient partie, c'est-à-dire l'Église de Constantinople et l'Église Romaine d'une part, et les Églises naissantes en
C'est L'Esprit Saint qui écrit non sur la pierre mais dans le cœur ; « la Loi de L'Esprit de Vie », écrite dans le cœur et non sur la pierre, cette Loi de L'Esprit de Vie qui est en Jésus Christ en qui la Pâque a été célébrée en toute vérité (1Co 5,7-8), vous a délivrés de la loi du péché et de la mort.
Ce passage peut nous aider à méditer sur la manière dont nous recevons Le Seigneur dans la Sainte Communion.
Est-ce que nous communions avec la certitude que ce contact peut opérer des miracles dans nos vies?
Nous faisons plus que toucher «la frange de son manteau»: nous recevons réellement le Corps du Christ dans
Nous sommes lumière, déjà lumière. Par notre Baptême et le sceau de L’Esprit, et par l’engagement de notre vie, nous sommes des Chrétiens repérables, des Chrétiens visibles ; nous sommes disciples de Jésus à la vue de tous.
Dans la croissance humaine de Jésus « en sagesse, en taille et en grâce » (Lc 2,52), une vertu a eu une part importante : la conscience professionnelle, le travail étant un bien de l’homme qui transforme la nature et rend l’homme en un certain sens plus homme.
Que nul d'entre nous ne demeure à l'écart de cette Lumière, comme un étranger ; que nul, alors qu'il en est inondé, ne s'obstine à rester plongé dans la nuit.
Avançons tous dans la Lumière, tous ensemble, illuminés, marchons à sa rencontre, avec le vieillard Syméon, accueillons cette Lumière glorieuse et éternelle.