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- Eucharistie du Samedi 27 Décembre 2014 : L’Église Célèbre la Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste († v. 101).
Eucharistie du Samedi 27 Décembre 2014 : L’Église Célèbre la Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste († v. 101).
Eucharistie du Samedi 27 Décembre 2014 : L’Église Célèbre la Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste († v. 101).
Fête du Bienheureux Francesco Spoto, Prêtre et martyr au Congo (1924-1964).
Fête du Bienheureux Odoardo Focherini, journaliste et martyr (1907-1944).
Fête de la Bienheureuse Sára Salkaházi, Religieuse, martyre à Budapest (1899-✝ 1944).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Première lettre de saint Jean 1,1-4… Psaume 97(96),1-2.5-6.11-12… Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,2-8.
Commentaire de Jean Scot Érigène (?-v. 870), Bénédictin irlandais.
Autre commentaire de Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
COMMENTAIRE DE SAINT AUGUSTIN SUR LA 1ère LETTRE DE JEAN : La vie s’est manifestée dans la chair.
Autre commentaire de l’Abbé Manel VALLS i Serra (Barcelona, Espagne).
Autre commentaire de la Paroisse de la Vallée de L’Aisne.
Chant, Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Samedi 27 Décembre 2014 : Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste († v. 101).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Jean, Apôtre et Évangéliste.
Samedi 27 Décembre 2014 : Fête du Bienheureux Francesco Spoto, Prêtre et martyr au Congo (1924-1964).
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Bienheureux Francesco Spoto.
Samedi 27 Décembre 2014 : Fête du Bienheureux Odoardo Focherini, journaliste et martyr (1907-1944).
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Bienheureux Odoardo Focherini.
Samedi 27 Décembre 2014 : Fête de la Bienheureuse Sára Salkaházi, Religieuse, martyre à Budapest (1899-✝ 1944).
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Bienheureuse Sára Salkaházi.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Première lettre de saint Jean 1,1-4.
Ce qui était depuis le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons contemplé de nos yeux, ce que nous avons vu et que nos mains ont touché, c'est le Verbe, la Parole de la vie.
Oui, la vie s'est manifestée, nous l'avons contemplée, et nous portons témoignage : nous vous annonçons cette vie éternelle qui était auprès du Père et qui s'est manifestée à nous.
Ce que nous avons contemplé, ce que nous avons entendu, nous vous l'annonçons à vous aussi, pour que, vous aussi, vous soyez en communion avec nous. Et nous, nous sommes en communion avec le Père et avec son Fils, Jésus Christ.
Et c'est nous qui écrivons cela, afin que nous ayons la plénitude de la joie.
Psaume 97(96),1-2.5-6.11-12.
Le Seigneur est roi ! Exulte la terre !
Joie pour les îles sans nombre !
Ténèbre et nuée l'entourent,
justice et droit sont l'appui de son trône.
Les montagnes fondaient comme cire devant le Seigneur,
devant le Maître de toute la terre.
Les cieux ont proclamé sa justice,
et tous les peuples ont vu sa gloire.
Une lumière est semée pour le juste,
et pour le cœur simple, une joie.
Que le Seigneur soit votre joie, hommes justes ;
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,2-8.
Le matin de Pâques, Marie Madeleine courut trouver Simon-Pierre et l'autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : " On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l'a mis. "
Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se rendre au tombeau.
Ils couraient tous les deux ensemble, mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau.
En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n'entre pas.
Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là,
et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place.
C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut.
Commentaire du jour.
Jean Scot Érigène (?-v. 870), Bénédictin irlandais.
Homélie sur le prologue de l'Évangile de Jean, §2 (trad. Jean expliqué, DDB 1985, p. 27 rev..
« Ce qui était depuis le commencement..., ce que nous avons contemplé..., nous vous l'annonçons » (1Jn 1,1-3)
Pierre et Jean courent tous deux au tombeau. Le tombeau du Christ c'est l'Écriture sainte, dans laquelle les mystères les plus obscurs de sa Divinité et de son Humanité sont défendus, si j'ose dire, par une muraille de rocher.
Mais Jean court plus vite que Pierre, car la puissance de la Contemplation totalement purifiée pénètre les secrets des œuvres Divines d'un regard plus perçant et plus vif que la puissance de l'action, qui a encore besoin d'être purifiée.
Pierre entre cependant le premier dans le tombeau ; Jean le suit. Tous deux courent, et tous deux entrent.
Ici Pierre est l'image de la Foi, et Jean représente l'intelligence... La Foi doit donc entrer la première dans le tombeau, image de l'Écriture sainte, et l'intelligence entrer à sa suite...
Pierre, qui représente aussi la pratique des vertus, voit par la puissance de la Foi et de l'action Le Fils de Dieu enfermé d'une manière inexprimable et merveilleuse dans les limites de la chair.
Jean, lui, qui représente la plus haute Contemplation de la vérité, admire le Verbe de Dieu, parfait en Lui-même et infini dans son origine, c'est-à-dire dans Son Père.
Pierre, conduit par la révélation Divine, regarde en même temps les choses éternelles et les choses de ce monde, unies dans Le Christ.
Jean contemple et annonce l'éternité du Verbe pour le faire connaître aux âmes croyantes.
Je dis donc que Jean est un aigle spirituel au vol rapide, qui voit Dieu ; je l'appelle théologien. Il domine toute la création visible et invisible, il va au-delà de toutes les facultés de l'intellect, et il entre divinisé en Dieu qui lui donne en partage sa propre Vie Divine.
Commentaire du jour.
Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Commentaire sur la première lettre de Jean,1,1 (trad. bréviaire 27/12 rev.).
« Il vit et il crut »
« Ce qui était depuis le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons contemplé de nos yeux, et que nos mains ont touché, c'est le Verbe de la vie » (1Jn 1,1).
Y a-t-il quelqu'un qui touche de ses mains le Verbe de la vie, sinon parce que « le Verbe s'est fait chair et qu'il a établi sa demeure parmi nous » ? (Jn 1,14)
Or, ce Verbe qui s'est fait chair pour être touché de nos mains a commencé d'être chair dans le sein de la Vierge Marie.
Mais il n'a pas alors commencé d'être le Verbe, car il était « depuis le commencement », dit saint Jean.
Voyez comme sa lettre confirme son évangile, où vous avez entendu lire : « Au commencement était le Verbe, la Parole de Dieu, et le Verbe était avec Dieu. »
Peut-être que certains comprennent le « Verbe de la vie » comme une formule quelconque pour désigner Le Christ, et non pas précisément le Corps du Christ, que les mains ont touché.
Mais voyez la suite : « Oui, la vie s'est manifestée. »
Le Christ est donc le Verbe de la vie. Et comment cette vie s'est-elle manifestée ? Car, même si elle était dès le commencement, elle ne s'était pas manifestée aux hommes : elle s'était manifestée aux anges, qui la voyaient et qui s'en nourrissaient comme de leur pain. C'est ce que dit l'Écriture : « L'homme a mangé le pain des anges » (Ps 77,25).
Donc, la Vie elle-même s'est manifestée dans la chair : elle a été placée en pleine manifestation afin qu'une réalité visible seulement par le cœur puisse être visible aussi aux yeux, afin de guérir les cœurs.
Car seul le cœur voit le Verbe, la chair ne le voit pas. Nous étions capables de voir la chair mais pas le Verbe.
Le Verbe s’est fait chair…pour guérir en nous ce qui nous rend capables de voir le Verbe…
« Nous portons témoignage, dit saint Jean, nous vous annonçons cette Vie éternelle qui était auprès du Père et qui s'est manifestée à nous » (1Jn 1,2).
COMMENTAIRE DE SAINT AUGUSTIN SUR LA 1ère LETTRE DE JEAN
La vie s’est manifestée dans la chair.
Ce qui était depuis le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons contemplé de nos yeux, et que nos mains ont touché, c’est le Verbe de la vie. Y a-t-il quelqu’un qui touche de ses mains le Verbe de la vie, sinon parce que le Verbe s’est fait chair et qu’il a établi sa demeure parmi nous ?
Or, ce Verbe qui s’est fait chair pour être touché de nos mains, il a commencé d’être chair dans le sein de la Vierge Marie. Mais il n’a pas alors commencé d’être le Verbe, car il était depuis le commencement, dit saint Jean. Voyez comme sa Lettre confirme son Évangile, où naguère vous avez entendu lire : Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu.
Peut-être que certains entendent le Verbe de la vie comme une formule quelconque pour désigner le Christ, et non pas précisément le corps du Christ, que les mains ont touché. Mais voyez la suite : Oui, la vie s’est manifestée. Le Christ est donc le Verbe de la vie.
Et comment cette vie s’est-elle manifestée ? Car, si elle était dès le commencement, elle ne s’était pas manifestée aux hommes : elle s’était manifestée aux Anges, qui la voyaient et qui s’en nourrissaient comme de leur pain. C’est ce que dit l’Écriture : L’homme a mangé le pain des Anges.
Donc, la Vie elle-même s’est manifestée dans la chair : elle a été placée, en effet, en état de manifestation pour qu’une réalité visible seulement par le cœur pût être aussi visible aux yeux, afin de guérir les cœurs. C’est par le cœur seul qu’on voit le Verbe, tandis que la chair est vue aussi par les yeux. C’est la chair qui nous permettait de voir le Verbe. Le Verbe s’est fait chair, une chair que nous puissions voir, afin que soit guéri en nous ce qui pourrait voir le Verbe.
Nous portons témoignage, dit Saint Jean : nous vous annonçons cette Vie éternelle qui était auprès du Père et qui s’est manifestée en nous, c’est-à-dire qui s’est manifestée parmi nous ; on dirait plus clairement : qui s’est manifestée à nous.
Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons. Que votre Charité soit attentive : Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons. Eux, ils ont vu Le Seigneur Lui-même présent dans la chair, ils ont entendu les paroles tombant de sa bouche et ils nous les ont annoncées. Mais nous, si nous avons entendu, nous n’avons pas vu.
Sommes-nous donc moins favorisés que ceux qui ont vu et entendu ? En ce cas, pourquoi ajoute-t-il : pour que, vous aussi, vous soyez en communion avec nous ? Eux ont vu ; nous, nous n’avons pas vu ; et pourtant nous sommes en communion avec eux, parce que nous avons une Foi commune.
Et notre Communion est avec Dieu Le Père et Jésus Christ Son Fils. Et c’est nous qui écrivons cela, ajoute Saint Jean, pour que vous ayez la plénitude de la Joie.
Cette plénitude de la Joie, il la fait consister précisément dans la Communion, dans l’Amour, dans l’unité.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/V_52.
Abbé Manel VALLS i Serra (Barcelona, Espagne).
Il vit, et il crut.
Aujourd'hui, la Liturgie Célèbre la Fête de Saint Jean, Apôtre et Évangéliste. Le jour qui suit la Noël, l'Église Célèbre la Fête du premier martyr de la Foi Chrétienne, Saint Étienne.
Et le jour suivant, Saint Jean, celui qui pénètre le mieux et le plus profondément le Mystère du Verbe incarné, premier théologien et modèle de tout véritable théologien.
Le passage de son Évangile qu'on nous propose aujourd'hui nous aide à contempler Noël dans la perspective de la Résurrection du Seigneur. Jean, en effet, arrivé au sépulcre vide, «vit et crut» (Jn 20,8).
Confiants dans le témoignage des Apôtres, à chaque Noël, nous nous voyons poussés à “voir” et à “croire”.
L'on peut revivre ces mêmes “voir” et “croire” à propos de la naissance de Jésus, le Verbe incarné.
Jean, poussé par les intuitions de son cœur —et, devrions-nous ajouter, par la “grâce”— “voit” au-delà de ce que ses yeux peuvent Contempler en ce moment.
En réalité, s'il croit, il le fait sans “avoir vu” encore Le Christ, ce qui inclut déjà la louange implicite de ceux qui «croiront sans savoir vu» (Jn 20,29), qui culmine dans le vingtième chapitre de son Évangile.
Pierre et Jean “courent” ensemble au sépulcre, mais le texte nous dit que Jean «courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau» (Jn 20,4).
Comme si Jean était mu davantage par le désir d'être de nouveau aux côtés de Celui qu'il aimait —Le Christ— que par le fait de rester aux côtés de Pierre, dont, cependant —par le geste de l'attendre et de le laisser entrer le premier— il reconnaît la primauté dans le Collège des Apôtres.
Malgré tout, le cœur ardent de Jean, plein de zèle, regorgeant d'Amour, le porte à “courir” et à “s'avancer”, nous invitant clairement à vivre aussi notre Foi avec ce désir ardent de rencontrer le Ressuscité.
Autre commentaire de la Paroisse de la Vallée de L’Aisne.
http://www.pere-gilbert-adam.org/Saint-Jean.html#evenement3108
« C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. »
"Marie Madeleine court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a mis. »
L’apôtre Jean nous donne l’ultime révélation du Mystère de Dieu : « Dieu est Amour. » Dieu vient chez les siens malgré l’hostilité du monde.
De la crèche au Crucifiement chantons-nous dans ce temps de Noël ! Toutes les nations sont invitées à reconnaitre cet Amour de Dieu donné dans le mystère de Noël !
Jésus prend notre chair humaine pour que nous naissions à une vie nouvelle. Par la naissance de Jésus, sa souffrance et sa mort sur la Croix un Amour nouveau apparait vainqueur dans un monde de guerre et de violence.
Hérode et toutes les puissances du mal tremblent devant ce tout petit enfant qui manifeste la fragilité du mystère d’iniquité d’un monde de mensonge.
L’adversité s’acharne contre Dieu mais nous remettons à Dieu notre vie et nous recevons de lui toute sa Tendresse.
C’est un chemin de Résurrection proposé dans l’Évangile ! Le mystère de l’Amour de Dieu donné en Jésus dans la chair humaine se prolonge dans son Corps qui est l’Église. Nous voulons demeurer dans l’Amour nouveau révélé par Jésus à Marie Madeleine qui alerte les Apôtres.
« Pierre partit donc avec l’autre disciple pour se rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensembles, mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. »
En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n’entre pas."
L’Évangile manifeste la victoire de Jésus sur la mort ! Désormais nous pouvons vivre de ce nouvel Amour car L’Esprit Saint a été répandu dans nos cœurs.
C’est dans la lumière de ce nouvel Amour que s’opère désormais le discernement du bien et du mal dans notre vie.
Dieu est Amour, nous sommes ses enfants bien-aimés, créés à son image et à sa ressemblance et rachetés par le Sang de l’Agneau.
Nous entrons dans le monde de la victoire de l’Amour de Dieu par la Résurrection de Jésus. Dieu, personne ne l’a jamais vu, mais si nous vivons dans l’Amour, Dieu devient « visible » aux yeux des hommes. En voyant les hommes s’aimer de cet Amour de Dieu, nous « voyons » Dieu.
« Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là, et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place. »
C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut.
Devant le tombeau vide, Jean vit et il crut.« Quand la vérité de l’Amour est là, la lumière brille dans les ténèbres.
Dans le Christ, nous contemplons cette œuvre d’Amour et nous chantons avec Marie le Magnificat : »
Il élève les petits et les humbles, il abaisse les puissants de leur trône." Jean se fait le héros de cette victoire de l’Amour.
La vie de Dieu est un Don d’Amour qui nous est manifestée. ’Dans le cœur de l’Église, je serai l’Amour’ disait Thérèse de Lisieux pour manifester notre vocation dans ces temps qui sont les derniers.
Nous demandons à Jésus la Grâce de vivre du mystère de l’Amour.
Chant.
R/ Dieu n'est pas le Dieu des morts,
mais des vivants.
Tous en effet, vivent par lui.
Ceux qui ont été jugés dignes de la résurrection
ne peuvent plus mourir.
Ils sont pareils aux anges, et sont enfants de Dieu,
fils de la résurrection.
Va, prends ton repos, et tu te lèveras, toi aussi,
à la fin des jours.
Hymne : C'est un corps glorieux
C'est un corps glorieux
Que le Corps du Seigneur,
Pour y reposer mon cœur
Nul autre je ne veux.
C'est un pain savoureux
Que le Pain du Seigneur,
Pour fortifier mon cœur
Nul autre je ne veux.
C'est un grain fructueux
Que le Grain du Seigneur,
Pour ensemencer mon cœur
Nul autre je ne veux.
C'est un sang généreux
Que le Sang du Seigneur,
Pour purifier mon cœur
Nul autre je ne veux.
C'est un don merveilleux
Que l'Amour du Seigneur,
Pour transfigurer mon cœur
Nul autre je ne veux.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui a dévoilé pour nous les mystères de ton Verbe grâce à ton Apôtre Saint Jean, rends-nous capables de comprendre et d’aimer les merveilles qu’il nous a fait connaître.
Parole de Dieu : (Ac 4,19-20)… (Office des Laudes).
Pierre et Jean dirent au grand conseil des juifs : Est-il juste devant Dieu de vous écouter, plutôt que d’écouter Dieu ?
À vous de juger. Quant à nous, il nous est impossible de ne pas dire ce que nous avons vu et entendu.
Parole de Dieu : (Rm 8, 3-4)… (Office des Vêpres).
Quand Dieu a envoyé son propre Fils dans notre condition humaine de pécheurs pour vaincre le péché, il a fait ce que la loi de Moïse ne pouvait pas faire à cause de la faiblesse humaine : il a détruit le péché dans l’homme charnel.
Il voulait ainsi que les exigences de la Loi se réalisent en nous qui ne vivons pas sous l’emprise de la chair, mais de L’Esprit.
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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