Ainsi il est venu en ce monde, non pas sur les nuées du Ciel, mais né ici-bas, né d'une femme ; lui, fils de Marie, et elle, mère de Dieu...
Il était vraiment Dieu et homme, mais une seule personne..., un seul Christ.
Il est urgent que les hommes et les femmes de notre temps reprennent conscience de la grandeur de la vocation de l’homme et de la femme, appelés à devenir les proches collaborateurs de Dieu dans l’acte de procréation de leurs enfants.
Nous entrons dans le monde de la victoire de l’Amour de Dieu par la Résurrection de Jésus. Dieu, personne ne l’a jamais vu, mais si nous vivons dans l’Amour, Dieu devient « visible » aux yeux des hommes.
Saint Étienne a été le premier à suivre les traces du Christ à travers le martyre ; il est mort comme le Divin Maître, en Pardonnant et en priant pour ses bourreaux (Ac 7,60).
De même que l'obscurité qui règne dans une maison est dissipée quand la lumière y entre, ainsi la mort qui nous tenait en son pouvoir a été anéantie par la venue de Notre Dieu.
Désormais, le lieu de l’Alliance vivante de Dieu avec son peuple n’est plus dans l’Arche de bois mais dans l’esprit et le corps de la Vierge qui le reçoit.
On peut être un homme irréprochable au niveau religieux, et être pourtant mal-croyant. Cette mise en garde vaut aussi bien sûr pour nous : nous croyons certes que Jésus est ressuscité des morts et qu’il est vivant pour les siècles ; mais lorsqu’il s’agit d’intégrer ce mystère dans nos vies, nous hésitons.
Jésus est en effet l’exemplaire unique, le modèle de l’obéissance filiale, celle qui se dit infailliblement en actes conformes à la volonté du Père. Voilà le repère fiable plus que tous les exercices de casuistique.
Cependant, si le Baptême de Jean ne remettait pas les péchés, il n'en était pas pour autant sans fruit pour ceux qui le recevaient...
Il était un signe de Foi et de repentir
notre joie est toute entière dans la paisible certitude de la présence au milieu de nous de celui qui est venu dans l’humilité de la crèche, qui viendra dans la gloire au dernier Jour, et qui dans l’entre-deux, continue de venir visiter les siens pour les secourir de sa grâce, les instruire de sa Parole, les fortifier
On peut avoir peur de s’humilier avec Jésus sur le chemin de la Croix, mais comment pourrait-on avoir des réticences à se mettre à genoux devant un petit enfant !
Influencés par l’idéologie des Lumières et par le laïcisme ambiant, bon nombre de Chrétiens considèrent que la morale est affaire privée.
Même l’Église n’aurait pas à se mêler de ce qui relève de l’évaluation individuelle du bien et du mal.
Jusqu'à lui, il y avait eu des prédictions du premier avènement du Seigneur ; maintenant, après Jean, cet avènement du Christ, on ne le prédit plus, on le proclame.
Et Jésus dit : « mon joug ». Il est donc celui qui y est attelé en premier et qui nous propose la place à son côté pour nous aider à tirer notre fardeau.
L'ardeur avec laquelle Dieu nous poursuit est sans doute un effet d'une très grande Miséricorde.
Mais la douceur dont ce zèle est accompagné marque une bonté encore plus admirable.
Tu es plus précieuse que toute la Création, car de toi seule le Créateur a reçu en partage les prémices de notre humanité.
Sa Chair a été faite de ta chair, son Sang de ton sang ; Dieu s'est nourri de ton lait, et tes lèvres ont touché les lèvres de Dieu...
Ainsi, alors même qu'on le possède, on le désire ; alors même qu'on le tient, on le cherche, selon qu'il est écrit : « Sans relâche cherchez sa face » (Ps 104,4).