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Eucharistie du Dimanche 03 Août 2014 : Dix-huitième Dimanche du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Dimanche 03 Août 2014 : Dix-huitième Dimanche du Temps Ordinaire.
Fête du Bienheureux Augustin Kažotić, Évêque, Dominicain et martyr (v. 1260-1323).
Fête de Saint Bennon, 45ème Évêque de Metz et d'Einsiedeln (+ 940).
Fête de Saint Nicodèmele Synhédriste, Disciple, Notable Juif, Pharisien du Nouveau Testament (1er s.).
Fête de Sainte Lydie, Commerçante en pourpre à Philippes, convertie par Saint Paul (1er s.).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre d'Isaïe 55,1-3… Psaume 145(144),8-9.15-16.17-18… Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 8,35.37-39… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 14,13-21.
Commentaire de Saint Athanase (295-373), Évêque d'Alexandrie, Docteur de l'Église.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Roger J. LANDRY (Hyannis, Massachusetts, Etats-Unis).
Hymne, Prière, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 03 Août 2014 : Fête du Bienheureux Augustin Kažotić, Évêque, Dominicain et martyr (v. 1260-1323).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Augustin Kažotić.
Dimanche 03 Août 2014 : Fête de Saint Bennon, 45ème Évêque de Metz et d'Einsiedeln (+ 940).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Bennon.
Dimanche 03 Août 2014 : Fête de Saint Nicodèmele Synhédriste, Disciple, Notable Juif, Pharisien du Nouveau Testament (1er s.).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Nicodèmele Synhédriste.
Dimanche 03 Août 2014 : Fête de Sainte Lydie, Commerçante en pourpre à Philippes, convertie par Saint Paul (1er s.).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Lydie, Commerçante en pourpre à Philippes.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre d'Isaïe 55,1-3.
Vous tous qui avez soif, venez, voici de l'eau ! Même si vous n'avez pas d'argent, venez acheter et consommer, venez acheter du vin et du lait sans argent et sans rien payer.
Pourquoi dépenser votre argent pour ce qui ne nourrit pas, vous fatiguer pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi donc : mangez de bonnes choses, régalez-vous de viandes savoureuses !
Prêtez l'oreille ! Venez à moi ! Écoutez, et vous vivrez. Je ferai avec vous une Alliance éternelle, qui confirmera ma bienveillance envers David.
Psaume 145(144),8-9.15-16.17-18.
Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d'amour ;
la bonté du Seigneur est pour tous,
sa tendresse, pour toutes ses œuvres.
Les yeux sur toi, tous, ils espèrent :
tu leur donnes la nourriture au temps voulu ;
tu ouvres ta main :
tu rassasies avec bonté tout ce qui vit.
Le Seigneur est juste en toutes ses voies,
fidèle en tout ce qu'il fait.
Il est proche de ceux qui l'invoquent,
de tous ceux qui l'invoquent en vérité.
Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 8,35.37-39.
Frères, qui pourra nous séparer de l’amour du Christ ? la détresse ? l’angoisse ? la persécution ? la faim ? le dénuement ? le danger ? le supplice ?
Oui, en tout cela nous sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés.
J'en ai la certitude : ni la mort ni la vie, ni les esprits ni les puissances, ni le présent ni l'avenir,
ni les astres, ni les cieux, ni les abîmes, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 14,13-21.
Jésus partit en barque pour un endroit désert, à l'écart. Les foules l'apprirent et, quittant leurs villes, elles suivirent à pied.
En débarquant, il vit une grande foule de gens ; il fut saisi de pitié envers eux et guérit les infirmes.
Le soir venu, les disciples s'approchèrent et lui dirent : « L'endroit est désert et il se fait tard. Renvoie donc la foule : qu'ils aillent dans les villages s'acheter à manger ! »
Mais Jésus leur dit : « Ils n'ont pas besoin de s'en aller. Donnez-leur vous-mêmes à manger. »
Alors ils lui disent : « Nous n'avons là que cinq pains et deux poissons. »
Jésus dit : « Apportez-les-moi ici. »
Puis, ordonnant à la foule de s'asseoir sur l'herbe, il prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux au ciel, il prononça la bénédiction ; il rompit les pains, il les donna aux disciples, et les disciples les donnèrent à la foule.
Tous mangèrent à leur faim et, des morceaux qui restaient, on ramassa douze paniers pleins.
Ceux qui avaient mangé étaient environ cinq mille, sans compter les femmes et les enfants.
Commentaire du jour.
Saint Athanase (295-373), Évêque d'Alexandrie, Docteur de l'Église.
24ème lettre festale pour Pâques (trad. Sr. Isabelle de la Source, Lire la Bible, t. 2, p. 31 rev.).
« Un endroit désert, à l’écart »
Chacun des Saints a dû fuir « la voie large et spacieuse » (Mt 7,13), pour demeurer seul, à part, et là, vivre dans la vertu : Élie, Élisée…, Jacob…
Le désert et l’abandon des tumultes de la vie procurent à l’homme l’amitié de Dieu ; ainsi Abraham, quand il est sorti du pays des Chaldéens, a été appelé « ami de Dieu » (Jc 2,23).
Le grand Moïse aussi, lors de son départ du pays d’Égypte…a parlé avec Dieu face à face, a été sauvé des mains de ses ennemis et a traversé le désert.
Tous ceux-là sont l’image de la sortie des ténèbres vers la lumière admirable, et de la montée vers la ville qui est au Ciel (He 11,16), la préfiguration du vrai Bonheur et de la Fête éternelle.
Quant à nous, nous avons auprès de nous la réalité que des ombres et des symboles annonçaient, je veux dire l’image du Père, Notre Seigneur Jésus Christ (Col 2,17; 1,15).
Si nous le recevons comme nourriture en tout temps, et si nous marquons de son Sang les portes de nos âmes, nous serons libérés des travaux de Pharaon et de ses inspecteurs (Ex 12,7; 5,6s)…
Maintenant nous avons trouvé le Chemin pour passer de la Terre au Ciel… Autrefois, par l’intermédiaire de Moïse, le Seigneur précédait les fils d’Israël dans une colonne de feu et de nuée ; maintenant, il nous appelle Lui-même en disant :
« Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à Moi et qu’il boive ; de celui qui croit en Moi, sortiront des fleuves d’eau vive jaillissant jusqu’à la Vie éternelle » (Jn 7,37s).
Que chacun se prépare donc avec un ardent désir à se rendre à cette Fête ; qu’il écoute le Sauveur l’appeler, car c’est Lui qui nous console tous et chacun en particulier.
Que celui qui a faim vienne à Lui : il est le vrai pain (Jn 6,32). Que celui qui a soif vienne à Lui : il est la source d’eau vive (Jn 4,10).
Que le malade vienne à Lui : il est le Verbe, la Parole de Dieu, qui guérit les malades. Si quelqu’un est accablé par les fardeaux du péché et s’en repent, qu’il se réfugie à ses pieds : il est le repos et le port du Salut.
Que le pécheur ait confiance, car il a dit : « Venez à Moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et Moi, je vous procurerai le repos » (Mt 11,28).
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3913.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Nous n'avons là que cinq pains et deux poissons.
Jésus vient d’apprendre l’exécution de Jean le Baptiste. Cette mort dramatique le bouleverse : Jean était son cousin ; il lui était attaché par de profonds liens d’affection.
De plus, Notre-Seigneur pressent que cette mort annonce la sienne.
Aussi cherche-t-il la solitude, le silence. Jésus est certes Le Fils unique de Dieu, mais il est aussi pleinement homme, partageant nos interrogations devant le grand mystère de la mort - surtout lorsque celle-ci apparaît comme le triomphe insolent du mal.
N’est-il pas légitime que Notre-Seigneur veuille s’abstraire quelques instants de son Ministère surchargé pour se retrouver seul ?
Pourtant tout se passe comme si Dieu son Père ne le lui permettait pas : les foules ont deviné l’intention du Rabbi, et le précèdent sur le lieu qu’il a choisi pour s’y retirer « à l’écart ».
S’oubliant lui-même, Jésus ne voit plus que la détresse de ces hommes et de ces femmes qui affluent de toute part vers lui : « saisi de pitié envers eux, il guérit les infirmes ».
Matthieu ne le précise pas, mais il ne fait pas de doute que Notre-Seigneur « se mit à les enseigner longuement » (Mc 6, 34).
Comme le jour baisse, les disciples réagissent avec bon sens et exhortent leur Maître à renvoyer la foule.
Mais Jésus ne l’entend pas ainsi ; croisant tous ces regards posés sur lui, il se souvient du Psaume 144 :
« Les yeux sur toi, tous ils espèrent : tu leur donnes la nourriture au temps voulu ; tu ouvres ta main : tu rassasies avec bonté tout ce qui vit ».
Renonçant encore à son désir si légitime de solitude, Jésus, dans un geste anticipant l’institution de l’Eucharistie, offre le pain du Ciel à cette foule nombreuse qui erre au désert, prémisse du nouveau peuple de Dieu marchant à la suite du nouveau Moïse.
Le Verbe se donne en nourriture dans la Parole et dans le Pain : « Ecoutez-moi donc : mangez de bonnes choses ! Prêtez l’oreille ! Venez à moi ! Ecoutez, et vous vivrez » (1ère lect.).
Etonnant contraste entre le banquet célébré dans le palais luxueux d’Hérode, qui coûtât la vie au Baptiste, et la simplicité de ce repas pris au désert, un soir de printemps peu avant la Pâque, et qui donne la Vie à la multitude.
La réponse que Jésus cherchait aux questions qui se bousculaient en lui suite au décès de son ami, lui est donnée dans l’obéissance aux événements : c’est en allant toujours plus loin sur le chemin du don désintéressé de soi, qu’il sera vainqueur de la mort, car l’Amour ne peut mourir ; en lui, la Vie triomphe toujours.
Notre-Seigneur aura le courage d’aller jusqu’au bout de cette voie apparemment sans issue et de livrer sa vie par Amour pour nous, afin que toutes les générations puissent partager la certitude de Saint Paul : « ni la mort, ni la vie (…) rien ne pourra nous séparer de l’Amour de Dieu qui est en Jésus-Christ notre Seigneur » (2nd lect.).
Telle est notre confiance et notre Espérance : la Croix est l’Arbre de Vie Divine dont la sève est le Pur Amour, et dont le fruit Eucharistique nous donne part à la vie filiale de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
Dès lors, si « le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mt 20, 28), nous devons nous aussi faire comme lui. « Donnez-leur vous-mêmes à manger » :
Jésus invite ses disciples à le suivre sur le chemin déconcertant du « davantage » de l’amour.
La charité s’oublie ; elle ne se décharge pas sur les autres pour servir : elle se met en peine, même lorsque la tâche semble impossible, dans la certitude que Dieu fera sa part.
Le seul pouvoir que Jésus transmet à son Église, est celui de se livrer à sa suite pour la vie du monde.
« Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande : aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Il n’y a pas de plus grand Amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15, 12-13).
Nous n’avons rien de plus à proposer que « cinq pains et deux poissons » : le don dérisoire de nos pauvres humanités marquées par le péché ; mais si dans la Foi nous les « apportons à Jésus » pour qu’il en dispose selon son bon plaisir, il en fera un pain rompu pour la vie du monde.
C’est en suivant notre Maître sur ce chemin du don total de soi, que nous le rejoindrons là où il nous précède : dans le Royaume de Dieu Son Père ; mais en passant par le même porche : celui de la Croix.
« Nous les vivants, écrit Saint Paul, nous sommes continuellement livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la Vie de Jésus, elle aussi, soit manifestée dans notre existence mortelle » (2 Co 4, 10).
Tel est le mystérieux échange auquel il nous faut consentir dans la Foi, car l’Amour vrai ne se purifie des scories de l’égoïsme qu’au creuset de la souffrance librement consentie.
Pourquoi donc venons-nous nous rassasier à la Table du Corps et du Sang de Notre-Seigneur, sinon pour pouvoir vivre à notre tour notre Pâques d’Amour au cœur de notre existence quotidienne ?
Si nous croyons qu’en toutes choses « nous sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés » (1ère lect.), alors ne renvoyons plus notre prochain qui nous sollicite, mais prenons autorité au Nom de Jésus-Christ sur nos égoïsmes et sur nos peurs, et mettons-nous généreusement au service de ceux qui ont faim :
« Ils n’ont pas besoin de s’en aller. Donnez-leur vous-mêmes à manger ».
« “Il est temps que tous reconnaissent le Christianisme comme la Religion de l’Amour” : Seigneur, donne-nous de ne pas faire mentir cette parole de Jean-Paul II, qui résonne comme un testament confié en ton Nom à l’Église du troisième millénaire.
Car “seul l’Amour est digne de Foi” (Saint Augustin) ; à condition que ce soit un Amour vrai, un Amour fort, un Amour grand, qui se donne sans compter ; un Amour qui puise sa générosité dans l’Esprit de Charité que tu répands en abondance, Père, sur tous ceux qui invoquent avec Foi le Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ Notre Seigneur. »
Père Joseph-Marie
Commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_160
Abbé Roger J. LANDRY (Hyannis, Massachusetts, Etats-Unis).
«Apportez-les-moi ici»
Aujourd'hui, Jésus nous démontre à quel point il veut nous faire participer à son travail de Rédemption.
Lui qui a crée le Ciel et la Terre à partir de rien, aurait pu, de la même manière, facilement créer un somptueux banquet pour rassasier la multitude.
Mais il a préféré faire un miracle à partir de la seule chose que ses disciples pouvaient lui apporter. «Nous n'avons là que cinq pains et deux poissons» (Mt 14,18), lui annoncèrent-ils.
«Apportez-les-moi ici» (Mt 14,18), leur dit Jésus.
Et Jésus a opéré le miracle de la multiplication à partir d'un repas minime -qui n'aurait même pas suffi à alimenter une famille normale- pour rassasier près de 5000 familles.
Le Seigneur a procédé de la même manière lors des Noces de Cana. Lui qui a fait tous les océans aurait pu remplir les jarres de plus de 100 litres avec le vin le plus fin en partant de rien, mais pour opérer le miracle il a préféré le faire avec la participation de ses créatures en leur demandant d'abord de remplir les jarres d'eau
Et nous pouvons constater que dans l'Eucharistie il applique le même principe. Jésus, l'Hostie, ne se fait à partir de rien, ni à partir de céréales ni de raisins, mais à partir du pain et du vin, qui sont faits grâce au travail de l'homme.
Feu le Cardinal Francisco Javier Nguyen van Thuan, prisonnier des communistes vietnamiens de 1975 à 1988, se demandait comment il pouvait servir le Royaume de Dieu en s'occupant de ses fidèles pendant qu'il essayait de surmonter lui-même la souffrance brutale d'une captivité solitaire.
Et en se rendant compte du peu qu'il pouvait faire de sa cellule, il pensait qu'au moins il pouvait offrir au Seigneur ses «cinq pains et deux poissons» chaque jour et que Le Seigneur ferait le reste.
Et Le Seigneur a multiplié tous ses petits efforts en les transformant en un témoignage qui a inspiré non seulement les Vietnamiens mais toute l'Église.
Aujourd'hui, Le Seigneur demande à chacun de nous, ses apôtres modernes, de "donner à manger à la multitude" (cf. Mt 14,16).
Peu importe que nous ayons peu ou beaucoup: il faut tout donner au Seigneur et le laisser agir à partir de cela.
Hymne : Peuples, criez de joie
Peuples, criez de joie
Et bondissez d’allégresse :
Le Père envoie son Fils
Manifester sa tendresse ;
Ouvrons les yeux :
Il est l’image de Dieu
Pour que chacun le connaisse.
Loué soit notre Dieu,
Source et Parole fécondes :
Ses mains ont tout créé
Pour que nos cœurs lui répondent ;
Par Jésus Christ,
Il donne l’être et la vie :
En nous sa vie surabonde.
Loué soit notre Dieu
Qui ensemence la terre
D’un peuple où son Esprit
Est plus puissant que la guerre ;
En Jésus Christ,
La vigne porte du fruit
Quand tous les hommes sont frères.
Loué soit notre Dieu
Dont la splendeur se révèle
Quand nous buvons le vin
Pour une terre nouvelle ;
Par Jésus Christ,
Le monde passe aujourd’hui
Vers une gloire éternelle.
Peuples, battez des mains
Et proclamez votre fête :
Le Père accueille en lui
Ceux que son Verbe rachète ;
Dans l’Esprit Saint
Par qui vous n’êtes plus qu’un,
Que votre joie soit parfaite !
Oraison du matin (Office des Laudes).
Assiste tes enfants, Seigneur, et montre à ceux qui t'implorent ton inépuisable Bonté ; c'est leur fierté de t'avoir pour Créateur et Providence ; restaure en eux ta Création, et l'ayant renouvelée, protège-la.
Parole de Dieu : (Ez 36, 25-27)… (Office des Laudes).
Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai.
Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau. J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair.
Je mettrai en vous mon esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes Commandements et vous y serez fidèles.
Parole de Dieu : (2 Th 2, 13-14)… (Office des Vêpres).
Nous devons continuellement rendre grâce à Dieu pour vous, frères aimés du Seigneur, car Dieu vous a choisis dès le commencement, pour être sauvés par L’Esprit qui sanctifie et par la Foi en la Vérité.
C’est à cela qu’il vous a appelés par notre Évangile, à posséder la Gloire de Notre Seigneur Jésus Christ.
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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