Eucharistie du Mardi 15 Octobre 2013 : Mardi de la 28ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Mardi 15 Octobre 2013 : Mardi de la 28ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Sainte Thérèse d'Avila, vierge, Réformatrice des Carmélites et Docteur de l'Église (1515-1582).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Evangile) :
Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 1,16-25… Psaume 19(18),2-3.4-5ab… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 11,37-41.
Commentaire de Saint Raphaël Arnaiz Baron (1911-1938), Moine Trappiste espagnol.
DE L'AUTOBIOGRAPHIE DE SAINTE THÉRÈSE D’AVILA.
Autre commentaire de Frère Antoine-Marie, o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Pedro IGLESIAS Martínez (Rubí, Barcelona, Espagne).
Oraison et Parole de Dieu.

im-ste-therese-avila-1.jpgMardi 15 Octobre 2013 : Fête de Sainte Thérèse d'Avila, vierge, Réformatrice des Carmélites et Docteur de l'Église (1515-1582).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Thérèse d'Avila.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 1,16-25.
Frères, je n'ai pas honte d'être au service de l'Evangile, car il est la puissance de Dieu pour le salut de tout homme qui est devenu croyant, d'abord le Juif, et aussi le païen.
Cet Évangile révèle la justice de Dieu qui sauve par la foi, du commencement à la fin, comme le dit l'Écriture : C'est par la foi que le juste vivra.
Or la colère de Dieu se révèle du haut du ciel contre tout refus de Dieu, et contre toute injustice par laquelle les hommes font obstacle à la vérité.
En effet, ce qu'on peut connaître de Dieu est clair pour eux, car Dieu lui-même le leur a montré clairement.
Depuis la création du monde, les hommes, avec leur intelligence, peuvent voir, à travers les œuvres de Dieu, ce qui est invisible : sa puissance éternelle et sa divinité. Ils n'ont donc pas d'excuse,
puisqu'ils ont connu Dieu sans lui rendre la gloire et l'action de grâce que l'on doit à Dieu. Ils se sont laissé aller à des raisonnements qui ne mènent à rien, et les ténèbres ont rempli leurs cœurs sans intelligence.
Ces soi-disant sages sont devenus fous ;
ils ont échangé la gloire du Dieu immortel contre des idoles représentant l'homme mortel ou des oiseaux, des bestiaux et des serpents.
Voilà pourquoi, à cause des désirs de leur cœur, Dieu les a livrés à l'impureté, de sorte qu'ils déshonorent eux-mêmes leur corps.
Ils ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge ; ils ont adoré et servi les créatures au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen.

 

Psaume 19(18),2-3.4-5ab.
Les cieux proclament la gloire de Dieu,
le firmament raconte l'ouvrage de ses mains.
Le jour au jour en livre le récit
et la nuit à la nuit en donne connaissance.

Pas de paroles dans ce récit,
pas de voix qui s'entende ;
mais sur toute la terre en paraît le message
et la nouvelle, aux limites du monde.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 11,37-41.
Comme Jésus parlait, un pharisien l'invita pour le repas de midi. Jésus entra chez lui et se mit à table.
Le pharisien fut étonné en voyant qu'il n'avait pas d'abord fait son ablution avant le repas.
Le Seigneur lui dit : « Bien sûr, vous les pharisiens, vous purifiez l'extérieur de la coupe et du plat, mais à l'intérieur vous êtes remplis de cupidité et de méchanceté.
Insensés ! Celui qui a fait l'extérieur n'a-t-il pas fait aussi l'intérieur ?
Donnez plutôt en aumônes ce que vous avez, et alors tout sera pur pour vous.

 

Commentaire du jour.
Saint Raphaël Arnaiz Baron (1911-1938), Moine Trappiste espagnol.
Écrits spirituels, 04/03/1938 (trad. Cerf 2008, p. 374)

« Donnez en aumône ce que vous avez, et alors tout sera pur pour vous »

Dieu se trouve dans le cœur détaché, dans le silence de la Prière, dans la souffrance comme sacrifice volontaire, dans le vide du monde et de ses créatures.
Dieu est dans la Croix et, tant que nous n’aimerons pas la Croix, nous ne le verrons pas, nous ne le sentirons pas.
Taisez-vous, les hommes, qui n’arrêtez pas de faire du bruit !

Ah, Seigneur, que je suis heureux dans ma retraite, comme je t’aime dans ma solitude, comme je voudrais t’offrir ce que je n’ai plus, car je t’ai tout donné !
Demande-moi, Seigneur. Mais qu’est-ce que je peux te donner ? Mon corps, tu l’as déjà, il est à toi ; mon âme, Seigneur, vers quoi soupire-t-elle, si ce n’est vers toi, pour qu’à la fin tu finisses par la prendre ?
Mon cœur est aux pieds de Marie, pleurant d’amour, et sans plus rien vouloir que toi. Ma volonté : par hasard, Seigneur, je désire ce que tu ne désires pas ?
Dis-le-moi ; dis-moi, Seigneur, quelle est ta volonté et je mettrai la mienne à l’unisson. J’aime tout ce que tu m’envoies et me donnes, aussi bien la santé que la maladie, aussi bien être ici qu’être là, aussi bien être une chose qu’une autre ; ma vie, prends-la, Seigneur, quand tu voudras.
Comment ne pas être heureux ainsi ?

Si le monde et les hommes savaient. Mais ils ne sauront pas : ils sont très occupés avec leurs intérêts, ils ont le cœur très plein de choses qui ne sont pas Dieu.
Le monde vit beaucoup pour une fin terrestre ; les hommes rêvent de cette vie, dans laquelle tout est vanité, et ainsi, ils ne peuvent pas trouver le vrai bonheur qui est l’Amour de Dieu.

Peut-être qu’on arrive à comprendre ce bonheur, mais pour le ressentir il y en a très peu qui renoncent à eux-mêmes et prennent la Croix de Jésus (Mt 16,24), même parmi les religieux.

Seigneur, quelles choses tu permets ! Ta sagesse sait ce qu’elle fait. Moi, tiens-moi dans ta main, et ne permets pas que mon pied glisse, car, sans toi, qui viendra à mon aide ?
Et « si tu ne bâtis la maison » (Ps 126,1)... Ah, Seigneur, comme je t’aime ! Jusqu’à quand, Seigneur ?

 

DE L'AUTOBIOGRAPHIE DE SAINTE THÉRÈSE D’AVILA.

En présence de Jésus Christ, si bon ami et si bon capitaine qui s'exposa le premier à la douleur, on peut tout souffrir.
Il nous vient en aide et nous donne des forces jamais il ne nous fait défaut ; c'est un véritable ami.
Et je vois clairement, je l'ai toujours vu depuis, que pour contenter Dieu en obtenant de lui de grandes faveurs, il veut que nous tenions tout de cette humanité sacrée, en qui sa Majesté a dit mettre toutes ses complaisances.

Je l'ai vu très souvent par expérience : le Seigneur me l'a dit. J'ai vu clairement que nous devions entrer par cette porte, si nous voulons que la Majesté souveraine nous révèle de grands secrets.

Que Votre grâce ne cherche donc pas un autre chemin, même si vous êtes aux sommets de la contemplation ; car ici vous êtes en sûreté.
Tous les biens nous viennent de ce Seigneur, le nôtre. Il vous instruira ; considérez sa vie, c'est le meilleur modèle.

Que voulons-nous avoir de mieux à nos côtés qu'un si bon ami qui ne nous abandonnera pas dans les peines et les tribulations, comme le font ceux du monde ?
Bienheureux celui qui l'aime et le garde toujours auprès de lui. Regardons le glorieux saint Paul, on eût dit que Jésus lui sortait toujours par la bouche, tant il le gardait présent dans son cœur.
Depuis que j'ai compris cela, j'ai considéré avec attention quelques saints, grands contemplatifs, et ils ne suivaient pas d'autre voie.
Saint François le montre par les stigmates, saint Antoine de Padoue par l'Enfant, saint Bernard faisait ses délices de l'humanité de Jésus, sainte Catherine de Sienne, et tant d'autres.

Nous devons marcher librement sur ce chemin, et nous abandonner dans les mains de Dieu ; si sa Majesté veut nous élever au rang de ses camériers et nous communiquer ses secrets, y aller de bon cœur.

Chaque fois que nous pensons au Christ, rappelons-nous avec quel Amour il nous a fait tant de faveurs, et la grandeur de celui que Dieu nous a témoigné en nous donnant ce gage de son Amour pour nous : car Amour obtient Amour.
Et même si nous en sommes tout à fait à nos débuts, et fort misérables, tâchons de toujours considérer cela pour éveiller l'Amour en nous ; car si Le Seigneur nous accorde un jour la grâce de graver cet Amour dans notre cœur, tout nous sera facile, nous agirons très vite et sans le moindre effort.

 

Autre commentaire de Frère Antoine-Marie, o.c.d. (Carmel).
http://www.carmel.asso.fr/Sainte-Therese-d-Avila,1346.html

Sainte Thérèse d’Avila

Fête de Ste Thérèse d’Avila : Lectures : Sagesse 7, 7-14 ; Ps 83 ; Epître aux Romains 8, 14-17.26-27 ; Evangile selon St Jean 4, 5-15
Pour plus d’information découvrez notre rubrique : Sainte Thérèse d’Avila

Pour entrer dans l’aventure spirituelle à la suite de Thérèse de Jésus, il me semble qu’il faille accueillir deux certitudes essentielles nées de son expérience spirituelle : d’une part de la présence de Dieu au cœur de l’homme, et d’autre part, l’oraison comme chemin de sainteté.

Il nous faut croire, tout d’abord, au désir de Dieu notre Père de venir faire sa demeure au plus intime de notre cœur.
Et pour laisser Le Seigneur prendre possession de notre être, la porte qui ouvre ce château intérieur, c’est l’oraison.
« Considérer notre âme comme un château fait tout entier d’un seul diamant ou d’un très clair cristal, où il y a beaucoup de chambres, de même qu’il y a beaucoup de demeures au Ciel.
Car à bien y songer, mes sœurs, l’âme du juste n’est rien d’autre qu’un paradis où Il dit trouver ses délices. (…)
Je ne vois rien qu’on puisse comparer à la grande beauté d’une âme et à sa vaste capacité.
Vraiment, c’est à peine si notre intelligence, si aigue soit-elle, peut arriver à le comprendre, (…)
Il suffit donc que Sa Majesté dise que l’âme est faite à son image pour qu’il nous soit difficile de concevoir sa grande dignité et sa beauté » (1re Demeure chap. 1).
Pensons-nous vraiment que notre cœur est le lieu privilégié de la présence de Dieu ? Savons-nous demeurer dans l’admiration de ce mystère qui nous habite ?
Nous avons été créés à l’image de la ressemblance de Dieu, par le Baptême nous avons revêtu Le Christ, et nous sommes marqués du sceau de L’Esprit Saint.

Celui qui est la source du Salut, la santé de notre âme, nous est déjà présent comme une source qui désire se répandre en notre cœur.
Il ne s’agit pas pour nous de créer la communion avec Dieu, car elle nous est déjà donnée. Il s’agit pour nous d’un travail d’accueil pour Lui permettre de se développer.
Même nos fautes n’empêchent pas cette présence de Dieu au fond de notre cœur.

Écoutons Thérèse, « Mon âme se recueillit soudain et me parut tout entière comme un clair miroir, sans envers, ni côtés, ni haut, ni bas qui ne fussent clarté, et au centre m’apparut Le Christ Notre Seigneur, tel qu’il m’arrive de le voir.
Il me semblait le voir dans toutes les parties de mon âme aussi clairement que dans un miroir, et ce miroir lui-même, je ne saurais dire comment, se sculptait tout entier dans Le Seigneur Lui-même, par une communication que je ne saurais expliquer, très amoureuse.
Je sais que chaque fois que je me rappelle cette vision, j’en tire de grands bienfaits, surtout quand je viens de Communier.
On me fit entendre que lorsque l’âme est en état de péché mortel, ce miroir se couvre d’un épais brouillard qui le rend très noir, on ne peut donc se représenter ce Seigneur ni le voir, Lui qui, toujours présent, nous donne l’être. » (Vida 40,5)

Il s’agit donc pour nous de nous tourner vers cette présence, cette Lumière du Christ et qui peut traverser nos ténèbres et nous illuminer.
C’est pourquoi la Prière personnelle, comme le lieu privilégié de la rencontre avec Le Seigneur, est incontournable pour l’accueil de cette présence qui désire nous transformer.
Elle est la porte de notre château intérieur et le chemin de notre sanctification car elle permet au Seigneur de prendre possession peu à peu de notre vie.
Par l’attention à sa présence, par l’offrande de notre liberté et de notre Amour, nous permettons au Seigneur de mettre en œuvre son Amour qui nous recrée à partir du centre de notre être.
« Pensez-vous qu’il importe peu à une âme qui a tendance à se distraire, de comprendre cette vérité et de savoir qu’elle n’a pas besoin d’aller au Ciel pour parler à son Père Éternel, et se délecter avec Lui ? (…)
Enfin, songez que dans ce palais habite ce grand Roi qui a daigné être votre Père, et qu’il se tient sur un trône du plus haut prix : votre cœur. (…)
Mais quoi de plus merveilleux que de voir celui qui remplirait mille mondes de sa grandeur s’enfermer dans une si petite chose ! (…)
Quand une âme commence dans cette voie, il ne se fait pas connaître, de peur qu’elle ne se trouble en se voyant si petite pour contenir quelque chose de si grand, mais, petit à petit, tout doucement, il élargit cette âme à la mesure de ce qu’il met en elle.
C’est pourquoi je dis qu’il porte en lui la liberté, car il a le pouvoir d’agrandir ce palais. »
(Chemin de Perfection, manuscrit de Valladolid, chap.28,12)

Accueillir Le Seigneur pour qu’il transforme notre vie, c’est tout simplement avoir avec Lui une relation d’amitié dans la confiance.
En prenant le temps de l’Oraison, de la Prière personnelle silencieuse, nous entrons dans une relation faite de simplicité et d’Humilité.
« Nous pouvons dire cette Prière de telle façon qu’à peine aura-t-il compris que nous sommes sans arrière pensées, et que nous agirons comme nous le disons, il fera notre fortune.
Il aime beaucoup que nous lui parlions franchement ; lorsque nous lui parlons simplement et clairement, sans dire une chose pour nous en réserver une autre il donne toujours au-delà de ce que nous lui demandons. » (CP V 37, 4)

Dieu ne s’offense pas si nous sommes simples et vrais, ce qui ne veut pas dire grossier, ni familier au sens péjoratif du terme.
Mais il s’agit de devenir des familiers de Dieu au sens positif du terme. « Mon Dieu n’est nullement susceptible ; il n’est pas méticuleux ; il devra vous savoir gré de ce que vous aurez donné.
Quant à celle qui n’est pas généreuse, mais si avare qu’elle n’a pas le cœur de donner, c’est déjà beaucoup qu’elle prête.
Enfin, faites quelque chose, Notre-Seigneur nous tient compte de tout ; il s’accommode de toutes nos façons.
Lorsqu’il nous demande des comptes, il n’est pas minutieux, mais magnanime ; même si nous lui avons fait du tort, il lui en coûte peu de pardonner.
Il paye si scrupuleusement que n’ayez crainte, même si vous n’avez fait que lever les yeux en pensant à Lui, il ne manquera pas de vous en récompenser. » (CP V 23,3)

Que le Seigneur nous donne d’entrer dans cette relation d’Amour et de confiance qu’est l’Oraison et qui est ouverte à tout Chrétien qui a entendu l’appel à la sainteté.
Fr. Antoine-Marie, o.c.d.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_254.

Abbé Pedro IGLESIAS Martínez (Rubí, Barcelona, Espagne).

Donnez plutôt en aumônes ce que vous avez, et alors tout sera pur pour vous.

Aujourd'hui, l'évangéliste situe Jésus dans un banquet: «un pharisien l'invita pour le repas de midi» (Lc 11,37).
Quelle bonne idée! Quelle tête dû faire l'amphitryon quand son invité négligea la norme rituelle de l'ablution (qui n'était pas un précepte légal, mais provenait de la tradition des anciens rabbins) et, par-dessus le marché, les censura fermement, lui et son groupe social.
Le pharisien ne fut pas inspiré ce jour-là, et le comportement de Jésus ne fut pas, comme on dit aujourd'hui, “politiquement correct”.

Les évangiles nous montrent quel peu de cas Le Seigneur fait du “qu'en dira-t-on?” et du “politiquement correct”; que cela nous plaise ou non, il doit en aller de même pour qui s'estime Chrétien.
Jésus condamne clairement le comportement typique de la double morale, l'hypocrisie qui cherche la conciliation ou la tromperie:
«Vous les pharisiens, vous purifiez l'extérieur de la coupe et du plat, mais à l'intérieur vous êtes remplis de cupidité et de méchanceté» (Lc 11,39).
Comme toujours, la Parole de Dieu questionne les us et coutumes de notre vie quotidienne, par lesquels nous finissons par convertir en “valeurs” des chimères qui dissimulent les péchés d'orgueil et d'égoïsme, afin de “globaliser” la morale dans le politiquement correct pour ne pas détoner, ne pas rester en marge, sans qu'importe le prix à payer, ni la noirceur de notre âme, puisque, au bout du compte, tout le monde le fait.

Saint Basile disait que «l'homme prudent ne doit rien fuir davantage que de vivre selon l'opinion des autres».
Si nous sommes des témoins du Christ, nous devons savoir que la vérité est et sera toujours la vérité, même s'il pleut des salades.
C'est là notre mission parmi les hommes dont nous partageons l'existence, tout en nous efforçant de nous maintenir purs selon le modèle d'humanité que Dieu nous a révélé dans Le Christ.
La Pureté d'esprit passe par-dessus les formes sociales et, si nous en doutons parfois, rappelons-nous que ceux qui ont le cœur pur verront Dieu.
À chacun de choisir ce qu'il doit voir pour toute l'éternité.

 

Oraison de l’aube (Office des Lectures).
Dieu qui as suscité par ton Esprit, sainte Thérèse d'Avila pour montrer à l'Église le chemin de la perfection, fais-nous trouver notre nourriture dans sa doctrine spirituelle et brûler du désir de la véritable sainteté.

 

Parole de Dieu : (Is 55, 1)… (Office des Laudes).
Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau ! Même si vous n’avez pas d’argent, venez acheter et consommer ; venez acheter du vin et du lait, sans argent et sans rien payer.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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