Eucharistie du Samedi 24 Novembre 2012 : Samedi de la 33ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Eglise fait mémoire (obligatoire) de la Fête des Saints Martyrs du Viêt-Nam, André Dung Lac, Prêtre, et ses 116 compagnons, martyrs entre 1745 et 1862.
Fête de la Bienheureuse Marie-Anne (Maria Anna) Sala, Religieuse de la Congrégation des Sœurs de Sainte-Marceline (1829-1891).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Evangile) :
Livre de l'Apocalypse 11,4-12… Psaume 144(143),1bc.2cd.9-10… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 20,27-40.
Commentaire du Catéchisme de l'Église Catholique.
LETTRE DE S. PAUL LE-BAO-TINH AUX SEMINARISTES DE KE-VINH (1843)
Autre commentaire de l’Abbé Ramon CORTS i Blay (Barcelona, Espagne).
Autre commentaire de la Paroisse de la Vallée de L’Aisne.
Oraisons et Parole de Dieu.
Samedi 24 Novembre 2012 : Fête des Saints Martyrs du Viêt-Nam, André Dung Lac, Prêtre, et ses 116 compagnons, martyrs entre 1745 et 1862.
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur eux, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saints Martyrs du Viêt-Nam.
Samedi 24 Novembre 2012 : Fête de la Bienheureuse Marie-Anne (Maria Anna) Sala, Religieuse de la Congrégation des Sœurs de Sainte-Marceline (1829-1891).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Marie-Anne (Maria Anna) Sala.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de l'Apocalypse 11,4-12.
Moi, Jean, j'ai entendu une voix qui disait : " Les deux témoins envoyés pour porter le message prophétique, ce sont eux les deux oliviers, les deux chandeliers, qui se tiennent debout devant le Seigneur de la terre.
Si l'on veut leur faire du mal, un feu jaillit de leur bouche et dévore leurs ennemis ; oui, ceux qui voudront leur faire du mal, c'est ainsi qu'ils doivent mourir.
Ces deux témoins ont (comme le prophète Élie) le pouvoir de fermer le ciel, pour qu'il ne pleuve pas pendant le temps fixé par leur prophétie. Ils ont aussi (comme Moïse) le pouvoir de changer l'eau en sang et de frapper la terre de toute sorte de plaies, chaque fois qu'ils voudront.
Mais, quand ils auront achevé de rendre leur témoignage, la Bête qui sort de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra et les fera mourir.
Leurs cadavres resteront sur la place de la grande ville, à laquelle on donne les noms symboliques de Sodome et d'Égypte ; c'est bien là que leur Seigneur a été crucifié.
Des hommes de tous peuples, races, langues et nations viendront voir leurs cadavres pendant trois jours et demi, sans qu'il soit permis de les mettre au tombeau.
Les habitants de la terre en seront heureux, ils s'en réjouiront, ils échangeront des présents, parce que ces deux prophètes auront tourmenté les habitants de la terre.
Mais, après ces trois jours et demi, l'Esprit de vie, qui vient de Dieu, est entré en eux et ils se sont dressés sur leurs pieds. Alors une grande crainte est tombée sur ceux qui les regardaient,
et les deux témoins ont entendu une voix puissante, venant du ciel, qui leur disait : « Montez jusqu'ici ! » Ils sont montés au ciel dans la nuée, et leurs ennemis les regardaient.
Psaume 144(143),1bc.2cd.9-10.
Le Seigneur exerce mes mains pour le combat,
il m'entraîne à la bataille.
il est le bouclier qui m'abrite,
il me donne pouvoir sur mon peuple.
Pour toi, je chanterai un chant nouveau,
pour toi, je jouerai sur la harpe à dix cordes,
pour toi qui donnes aux rois la victoire
et sauves de l'épée meurtrière David, ton serviteur.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 20,27-40.
Des sadducéens - ceux qui prétendent qu'il n'y a pas de résurrection - vinrent trouver Jésus,
et ils l'interrogèrent : « Maître, Moïse nous a donné cette loi : Si un homme a un frère marié mais qui meurt sans enfant, qu'il épouse la veuve pour donner une descendance à son frère.
Or, il y avait sept frères : le premier se maria et mourut sans enfant ;
le deuxième,
puis le troisième épousèrent la veuve, et ainsi tous les sept : ils moururent sans laisser d'enfants.
Finalement la femme mourut aussi.
Eh bien, à la résurrection, cette femme, de qui sera-t-elle l'épouse, puisque les sept l'ont eue pour femme ? »
Jésus répond : « Les enfants de ce monde se marient.
Mais ceux qui ont été jugés dignes d'avoir part au monde à venir et à la résurrection d'entre les morts ne se marient pas,
car ils ne peuvent plus mourir : ils sont semblables aux anges, ils sont fils de Dieu, en étant héritiers de la résurrection.
Quant à dire que les morts doivent ressusciter, Moïse lui-même le fait comprendre dans le récit du buisson ardent, quand il appelle le Seigneur : le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, le Dieu de Jacob.
Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants ; tous vivent en effet pour lui. »
Alors certains scribes prirent la parole pour dire : « Maître, tu as bien parlé. »
Et ils n'osaient plus l'interroger sur quoi que ce soit.
Commentaire du jour.
Catéchisme de l'Église Catholique.
§ 996-1000
« Je crois à la Résurrection de la chair » (2)
Dès le début, la Foi Chrétienne en la Résurrection a rencontré incompréhensions et oppositions. « Sur aucun point la Foi Chrétienne ne rencontre plus de contradiction que sur la Résurrection de la chair » (S. Augustin).
Il est très communément accepté qu'après la mort la vie de la personne humaine continue d'une façon spirituelle. Mais comment croire que ce corps si manifestement mortel puisse Ressusciter à la Vie éternelle ?
Qu'est-ce que « Ressusciter » ? Dans la mort, séparation de l'âme et du corps, le corps de l'homme tombe dans la corruption, alors que son âme va à la rencontre de Dieu, tout en demeurant en attente d'être réunie à son corps glorifié. Dieu dans sa toute-puissance rendra définitivement la vie incorruptible à nos corps en les unissant à nos âmes, par la puissance de la Résurrection de Jésus.
Qui ressuscitera ? Tous les hommes qui sont morts : « Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, ceux qui auront fait le mal, pour la condamnation » (Jn 5,29).
Comment ? Le Christ est Ressuscité avec son propre corps : « Regardez mes mains et mes pieds : c'est bien moi » (Lc 24,39) ; mais il n'est pas revenu à une vie terrestre.
De même, en lui « tous ressusciteront avec leur propre corps qu'ils ont maintenant » (Concile Latran IV), mais ce corps sera « transfiguré en corps de Gloire » (Ph 3,21), en « corps spirituel » (1Co 15,44).
« Mais, dira-t-on, comment les morts ressuscitent-ils ? Avec quel corps reviennent-ils ? Insensé ! Ce que tu sèmes, toi, ne reprend vie à moins de mourir. Et ce que tu sèmes, ce n'est pas le corps à venir, mais un grain tout nu...
On sème de la corruption, il ressuscite de l'incorruption...; les morts ressusciteront incorruptibles...
Il faut en effet que cet être corruptible revête l'incorruptibilité, que cet être mortel revête l'immortalité » (1Co 15,35-53).
Ce « comment » dépasse notre imagination et notre entendement ; il n'est accessible que dans la Foi.
Mais notre participation à l'Eucharistie nous donne déjà un avant-goût de la Transfiguration de notre corps par Le Christ : « De même que le pain qui vient de la terre, après avoir reçu l'invocation de Dieu, n'est plus du pain ordinaire, mais Eucharistie, constituée de deux choses, l'une terrestre et l'autre Céleste, de même nos corps qui participent à l'Eucharistie ne sont plus corruptibles, puisqu'ils ont l'espérance de la Résurrection » (S. Irénée).
Quand ? Définitivement, « au dernier jour » (Jn 6,39-40), « à la fin du monde ». En effet, la Résurrection des morts est intimement associée à la Parousie du Christ.
LETTRE DE S. PAUL LE-BAO-TINH
AUX SEMINARISTES DE KE-VINH (1843)
Moi, Paul, lié de chaînes pour Le Christ, je veux vous raconter les tribulations dans lesquelles je suis chaque jour enseveli, afin qu'embrasés de l'Amour Divin, vous Bénissiez avec moi Le Seigneur, parce que dans tous les siècles est sa Miséricorde.
Cette prison est vraiment une vive figure de l'enfer éternel. Aux liens, aux cangues et aux entraves viennent s'ajouter des colères, des vengeances, des malédictions, des conversations impures, des rixes, des actes mauvais, des serments injustes, des médisances, auxquels se joignent aussi l'ennui et la tristesse. Mais celui qui a déjà délivré les trois enfants des flammes ardentes est aussi demeuré avec moi ; il m'a délivré de ces maux et il me les convertit en douceur, parce que dans tous les siècles est sa Miséricorde.
Par la grâce de Dieu, au milieu de ces supplices qui ont coutume d'attrister les autres, je suis rempli de gaieté et de joie, parce que je ne suis pas seul, mais Le Christ est avec moi. C'est Lui, notre Maître, qui supporte tout le poids de cette Croix ; pour moi, mes amis, je n'en ai à soutenir que la plus légère extrémité. Car non seulement il est spectateur du combat, mais encore il est combattant et vainqueur, et c'est Lui qui consomme la lutte. C'est pourquoi la couronne de gloire est posée sur son chef, mais le membre peut aussi se réjouir de la Gloire de la tête.
Comment puis-je vivre, voyant chaque jour les tyrans et leurs satellites infidèles blasphémer ton saint Nom, Toi, Seigneur, qui es assis au milieu des Chérubins et des Séraphins ? Vois ta Croix foulée aux pieds des mécréants. Où est ta Gloire ? À cette vue, enflammé de ton Amour, j'aime mieux mourir et que mes membres soient coupés en morceaux en témoignage de mon Amour pour Toi, Seigneur.
Montre ta puissance, délivre-moi et aide-moi, afin que dans ma faiblesse, ta force se fasse sentir et soit glorifiée devant le monde, pour que tes ennemis ne lèvent pas la tête, si je suis ébranlé.
En entendant ces choses, vous rendrez, remplis de joie, d'immortelles actions de grâces à Dieu, auteur de tous les dons, et vous le Bénirez avec moi, parce que dans tous les siècles est sa Miséricorde. Mon âme glorifie le Seigneur et mon esprit a tressailli d'allégresse, parce que Dieu a regardé l'humilité de son serviteur, désormais toutes les générations futures me diront bienheureux parce que dans tous les siècles est sa Miséricorde.
Louez le Seigneur, toutes les nations : louez-le, tous les peuples, parce qu'il a choisi ce qui est faible pour confondre ce qui est fort, il a choisis ce qui est vil pour détruire ce qui est noble, et par ma bouche, son esprit a confondu les philosophes, parce que dans tous les siècles est sa Miséricorde.
Je vous écris ces choses pour que nous unissions votre Foi et la mienne : au milieu de ces tempêtes, je jette une ancre qui va jusqu'au Trône de Dieu ; c'est l'espérance qui vit toujours en mon cœur. Pour vous, mes bien-aimés, courez de telle sorte que vous remportiez la couronne, prenez l'armure de Dieu à droite et à gauche ; revêtez-vous de la cuirasse de la Foi, comme l'ordonne mon patron, saint Paul ; il vaut mieux, pour vous, entrer borgnes et infirmes dans le Royaume des deux que d'être jetés dehors, ayant vos membres entiers.
Aidez-moi de vos Prières pour que je combatte légitimement, que je combatte le bon combat et que je combatte jusqu'à la fin, pour achever heureusement ma course, afin que, si dans cette vie nous ne pouvons plus nous voir mutuellement, dans le siècle futur nous ayons ce bonheur à jamais, tout près du trône de l'Agneau immaculé, et qu'ainsi nous le louions dans la joie et l'exaltation dans les siècles. Ainsi soit-il.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_303.
Abbé Ramon CORTS i Blay (Barcelona, Espagne).
« Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants; tous vivent en effet pour Lui ».
Aujourd'hui, la Parole de Dieu nous parle du sujet capital de la Résurrection des morts. Curieusement, comme les Saducéens, nous aussi nous nous exténuons à poser des questions inutiles et mal placées.
Nous voulons trouver une solution aux questions de l'au-delà en employant des critères d'ici bas, alors que dans le monde à venir tout sera différent:
«Mais ceux qui ont été jugés dignes d'avoir part au monde à venir et à la Résurrection d'entre les morts ne se marient pas» (Lc 20,35). Si nous partons de bases erronées nous arriverons à des conclusions erronées.
Si nous nous aimions plus et mieux, cela ne nous étonnerait pas qu'au Ciel il n'existe pas cette exclusivité d'Amour que nous vivons sur terre, cela se comprend car nous sommes limités, car il nous est difficile de sortir de notre cercle.
Mais au Ciel nous nous aimerons tous d'un cœur pur, sans jalousie ni envies, et non seulement notre époux ou épouse, nos enfants ou ceux de notre famille, mais tout le monde, sans exception ni discrimination de langue, pays, race ou culture, puisque «l'Amour vrai atteint une grand force» (Saint Paulin de Nola)
Il est très salutaire d'entendre ces mots de l'écriture qui sortent de la bouche de Jésus Lui-même.
Cela nous fait du bien car il se pourrait qu'agités par tant de choses qui ne nous laissent même pas le temps de penser et subissant l'influence de la culture qui nous entoure qui semble nier l'existence de la Vie éternelle, nous pourrions en arriver à douter de la Résurrection des morts. Oui, cela nous fait du bien que Le Seigneur Lui-même nous dise qu'il y a un futur au-delà de la destruction de notre corps humain et de ce monde passager:
«Quant à dire que les morts doivent Ressusciter, Moïse lui-même le fait comprendre dans le récit du buisson ardent, quand il appelle le Seigneur: le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, le Dieu de Jacob. Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants; tous vivent en effet pour Lui» (Lc 20, 37-38).
Autre commentaire de la Paroisse de la Vallée de L’Aisne.
http://vallee-aisne60.cef.fr/Samedi-de-la-33eme-semaine-annee-paire.html#evenement3543.
« Que les morts Ressuscitent, Moïse l’a donné à entendre dans le passage du Buisson quand il appelle le Seigneur le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob. »
"S’approchant alors, quelques Sadducéens, ceux qui nient qu’il y ait une Résurrection, l’interrogèrent
en disant : « Maître, Moïse a écrit pour nous : Si quelqu’un a un frère marié qui meurt sans avoir d’enfant, que son frère prenne la femme et suscite une postérité à son frère. »
Les Sadducéens savent que Moïse symbolise la loi, mais ils ne savent pas que Jésus est le nouveau Moise qui nous donne le nouveau commandement : « Comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres. »
La Vierge Marie le sait, elle qui a formé le corps de Jésus avec Amour, qui nous donne Jésus, le Fils du Père. Marie continue à former le corps du Christ qui est l’Église, elle rassemble les enfants bien-aimés du Père.
La Résurrection de Jésus est à l’œuvre, elle est constamment Célébrée dans le mystère Pascal qui nourrit notre pèlerinage terrestre parsemé d’embûches.
« Jésus dit aux Sadducéens : « Les fils de ce monde-ci prennent femme ou mari ; mais ceux qui auront été jugés dignes d’avoir part à ce monde-là et à la Résurrection d’entre les morts ne prennent ni femme ni mari ;
aussi bien ne peuvent-ils plus mourir, car ils sont pareils aux anges, et ils sont fils de Dieu, étant fils de la Résurrection. »
Marie, la femme dans sa beauté et dans sa noblesse relève le défi d’une humanité pervertie. Elle qui a accueilli le don de Dieu, est le prototype du mystère de l’Église, le mystère de la nouvelle humanité.
Chaque fois que Dieu se donne, il se donne d’une manière personnelle, Il nous personnalise dans la réception de son don. Notre corps est un corps d’Amour, c’est un corps d’Humilité et de douceur semblable à celui de notre Roi qui est un roi d’Amour, un Prince de Paix et de douceur.
Il chasse toute peine, toute peur, toute haine, pour faire en sorte que le Règne de Dieu, s’édifie en en chacun de nous, c’est la Résurrection du Christ qui est à l’œuvre et qui prend Corps en nous.
« Et que les morts Ressuscitent, Moïse aussi l’a donné à entendre dans le passage du Buisson quand il appelle le Seigneur le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.
Or il n’est pas un Dieu de morts, mais de vivants ; tous en effet vivent pour lui. » Prenant alors la parole, quelques scribes dirent : « Maître, tu as bien parlé. » Car ils n’osaient plus l’interroger sur rien. »
Jésus est venu chez nous, il reviendra dans la Gloire. Chacun de nous à sa suite prend la même voie, la voie de l’Amour. C’est le chemin d’une adhésion profonde, d’un choix profond.
Certes, il y a des chemins différents dans le mystère de Jésus qui nous sauve, tous nous sommes déjà victorieux car Jésus nous donne sa Vie :
« Ceci est mon Corps livré pour vous ; Ceci est mon Sang versé pour vous, vous ferez cela en mémoire de Moi. »
Nous demandons la Grâce d’entrer dans l’Amour infini de Dieu.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur Notre Dieu, source et origine de toute paternité, Toi qui as donné aux saints André et ses compagnons la grâce d'être fidèles à la Croix de Ton Fils jusqu'à l'effusion de leur sang, accorde-nous, par leur intercession, de savoir annoncer aux autres ton Amour afin de pouvoir être appelés fils de Dieu et de l'être vraiment. Par Jésus Christ.
Parole de Dieu : (2 P 1, 10-11)… (Office des Laudes).
Frères, redoublez d’efforts pour confirmer l’appel et le choix dont vous avez bénéficié ; en agissant ainsi, vous ne risquez pas de tomber.
C'est ainsi que vous sera généreusement accordée l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.